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Réchauffement climatique

Article lié :

Jean-Claude HENRY

  16/04/2007

A lire à propos des démissions de scsientifiques au G.I.E.C.

http://www.agriculture-environnement.fr/spip/ae_article.php3?id_article=59

La chute de Paul ,ou Le vieil homme indigne

Article lié : La chute de Paul Wolfowitz

Erem

  16/04/2007

Je vous cite :
Une fois pour toutes : il n’y a pas de complot. Il y a une machine. Les êtres humains, tous les êtres humains se débattent dans ses rouages. Ils sont alors piteusement humains.)

Et plus bas:
L’entreprise américaniste d’après 9/11, les rêves de (re)conquête du monde (faire l’empire US, c’est-à-dire refaire l’empire “sur lequel le soleil ne se couche jamais”

Je ne suis pas d’accord !
Quelque soit la façon dont on appelle cela :  les actions , les décisions qui ont été prises, pour la (re) conquête du monde etc… il à bien fallu que des gens au pouvoir ou “dans ses allées” se mettent d’accord, programment ,organisent ,mettent en place les moyens d’un plus grand pouvoir ,les moyens de leur buts. Et parmi ces moyens de terribles réductions des libertés, et le déclenchement de guerres. 

Alors que vous ne vouliez pas le nommer “complot” c’est votre choix et aussi votre droit le plus strict bien sûr.

Et j’admets et comprends aussi (c’est si je comprends le sens de votre billet de ce jour )que dans le jeu des grands acteurs de cette entreprise d’américanisation du monde,  il y a une large part d’entrainement du système lui même ,ils sont pris dans la vague du système en folie “qu’ils accompagnent et quils stimulent,” mais vague qui aussi “les emporte” . Et qui emporte tout les autres de par le monde chacun à sa petite échelle ,  les acteurs plus petits

Mais “au fond peu importe le nom qu’on donne à tout cela “finalement nous sommes je crois,  d’accord pour le” constat des effets” produits

Cependant plus particulèrement dans le coup de tonnerre inaugural du siècle, d’un de ces moments décisifs de l’Histoire , la mise en condition des foules le 9/11,  je le répète des décisions on certainement été prises,et pas au grand jour !. et la démocratie a été ce jour là  plus ou mois subvertie,(plutôt plus que moins d’ailleurs)

C’est le fruit du système peut-être, mais en même temps c’est bien selon moi des “volontés” en action

Alors même si le mot “complot est mal vu en ce moment et et pour un temps encore (ceci pour des raisons complexes et longues à développer,disons en résumé “la mode veut que ce soit mal vu “) ,  il n’en sera peut-êre pas toujours ainsi ? Le vent tournera peut être ?

Reaction

Article lié : La France va voter et l’Europe panique

Roberto

  15/04/2007

Le plus incroyable de l’article de Hutton (un classique du: “les anglosaxons sont les meilleurs et la France est foutue” de la presse anglophone) c’est…les reactions des lecteurs…non seulement la vaste majorité d’entre eux pensent que ces elections seront fondamentales poour l’Europe et l’Occident sinon que voir ecrit “la France est un pllier de l’occident” para un anglais (et c’est seulement un exemple) demontre bien que en fait beaucoup de personnes sont, outre amnche, jalouse de la “liberté” d’action des français au niveau du patriotisme, du debat politique et l’idée de la “Nation”. Tout cela ils le comparent a la mediocrité incroyable des special relationships…

réchauffement

Article lié :

geo

  15/04/2007

les arguments de JC henry sont exposés et détaillés par claude allègre qui renvoie a une étude franco-américaine publiée dans “science” du 14 04 03 pour l’inversion de causalité co2 température.
D’autres points critiques sont examinés.

pauvre Paul

Article lié : La chute de Paul Wolfowitz

p r le baleur

  14/04/2007

Il faut quand même admettre, on attendait d’un chef de file neocon de cette dimension une sortie plus glorieuse… On l’a toujours présenté comme un maître intellectuel, parfois le véritable cerveau de GW Bush (bless him).
Ceci dit, il n’est pas encore sorti. Il est en train de réfléchir. Il peut encore nous montrer l’étendue de son vaste esprit! Ou alors -plus probable-, il est un archétype de ces nombreux leaders politiques de notre époque: entièrement fabriqué à coup de campagnes de presse et d’agences de communication.
Au demeurant, ce qui interpelle dans cette histoire, c’est le paradoxe de la psychologie neocon. Et là je rejoins notre très-apprécié rédacteur: c’est proprement fascinant!
Qu’on en juge:
1- Comme les USA disposent d’une puissance de feu militaire incomparable, Wolfowitz dispose des énormes ressources financières de la Banque Mondiale. La volonté de puissance alliée à la peur d’être blessé, battu les conduit à accumuler les moyens de se protéger. Il faut dire qu’ils ne peuvent gagner, car leur ennemi mortel se situe dans leur pensée dévoyée. Rien ne peut leur résister, sauf eux-mêmes.
On pourrait dire: pourquoi les USA ne détruisent-ils pas TOUT le Moyen-Orient (sauf Israel). Pourquoi Wolfowitz ne fait-il pas assassiner les gens qui cherchent à lui nuire. Ceci nous conduit à la seconde partie de notre proposition, à savoir:
2- Les USA pensent qu’ils sont GENTILS. S’ils massacrent quelques centaines de milliers d’Iraqis, il ne faut pas que celà se sache, car c’est mal. Des bombes atomiques sur les résistants Musulmans, celà se verrait. Par conséquent, ce serait VRAIMENT mal PARCE QUE le monde le saurait. Il y a là une totale perversion de la pensée, qui permet d’expliquer tout le reste de la psychologie neocon. Tant il est vrai que le mouvement neocon, c’est les nazis PLUS l’hypocrisie.
De même, Wolfowitz ne peut faire tuer les gens qui se font un plaisir de lui savonner la planche. Ce n’est certainement pas l’envie qui lui en manque. Mais celà se saurait, donc ce serait mal.
Au second degré, la chose a un côté presque réjouissant, car celà démontre de façon éclatante que malgré tout, la junte américaniste est formée d’individus qui n’ont pas encore déserté toute conscience morale… Mais quand le monde apprendra l’étendue de leurs crimes, il auront du mal à trouver un endroit où se cacher. Les cavernes d’Afghanistan, peut-être?

Bêtes et bornés ∫ Non : Américains !

Article lié : L’attaque contre la superbe démocratie irakienne et l’indéfectibilité US

Jean-Philippe Immarigeon

  14/04/2007

Mon cher Philippe Grasset,

C’est la pensée fermée US. Il y a le modèle, le déterminisme, le process managérial qui ne peut que marcher. Et puis le “unwilling participant”, “reluctant participant”, ce malotru qui ne fit jamais ce qu’on attend de lui, comme écrivait Marc Bloch dans “L’étrange défaite”, cet Irakien dont les généraux US ne tolèrent pas qu’il ne se contente pas d’opposer à l’occupation le seul silence de la mer, comme je l’écrivais dans “American parano”, et qui, de ce fait, n’est qu’un barbare.

Mais le modèle concocté par la Rand, lui, doit marcher. C’est génétique, dirait Sarko.

C’est comme la globalisation : 2 milliards d’individus sous le seuil de pauvreté, c’est le signe de son éclatant succès. On croyait avoir tout vu avec le communisme stalinien, mais on apprend encore avec l’idéologisme américain.

Je signalais par exemple déjà ce ton outré de certains journalistes scandalisé que les insurgés irakiens attaquent les convois isolés, de nuit et en se repliant immédiatement, et non, comme on doit toujours l’enseigner à West Point, de jour, avec les soleil dans les yeux et plantés au beau milieu de l’autoroute face au convoi US, et attendant l’arrivée des hélicoptères de la First Cav, ces nouveaux carabiniers d’Offenbach.

Il n’y a rien à faire, on ne refera pas l’Amérique. Il faut faire avec… ou sans.

Bien à vous.

Paul et le loup

Article lié : La chute de Paul Wolfowitz

Jean-Philippe Immarigeon

  14/04/2007

Comme le ridicule ne suffit pas à tuer, je me permets de vous renvoyer à une article d’un ton un peu inhabituel sur mon blog “American parano”, intitulé “Les néocons et leur bite”. Excusez, mais on peut se faire plaisir, surtout lorsque le sujet s’y prète. C’est la seule réponse adéquate au minable qui exigeait en 2003 que la France soit sanctionnée (http://americanparano.blog.fr).

Wolfowitz est pitoyable. Il présente ses excuses pour cette histoire, mais pas pour la guerre dIrak dont il fut un des principaux inspirateurs. Il avoue son incompétence comme banquier, mais pas comme idéologue et “va-t-en guerre” depuis plus de 10 ans. Leo Strauss et Allan Bloom doivent se retourner dans leurs tombes d’avoir de si rachitiques épigones parmi les néocons.

Il me semble donc que ce qui est consternant dans la crise que nous vivons n’est pas tant la menace assez fantasmatique qui pèse sur l’Occident, que la nullité absolue et abyssale de ceux qui sont censés y faire face. Et qu’il va bien falloir avoir peur un jour, non d’un risque fondamentaliste démesurément exagéré, mais de l’effondrement de nos propres structures. Le pauvre Paul en est un des nombreux prodromes.

Bien à vous.

Le réchauffement climatique est-il naturel ou causé par l'homme ∫ :

Article lié :

Jean-Claude HENRY

  14/04/2007

Les opposants à la théorie du “global warming” commencent à s’exprimer dans la presse, mais c’est en Allemagne.

http://www.solidariteetprogres.org/spip/sp_article.php3?id_article=2718

Turkish Army Ready To Invade Irak : US Retreat From Occupied Zone Could Open Time Frame To Quash Kurdish Nationhood

Article lié :

Stassen

  13/04/2007

Turks leger dreigt met inval in Irak
Turkije vreest de vorming van een Koerdische staat in Irak. Dat zou het separatisme kunnen aanwakkeren bij de Turkse Koerden.

Van onze correspondent

in Turkije

Erdal Balci

De Turkse voorzitter van de Generale Staf, Yasar Buyukanit, sprak gisteren op een persconferentie duidelijke taal: ,,Het Turkse leger moet Noord-Irak binnenvallen., De generaal onderbouwde zijn stelling op het feit dat de separatistische PKK zich te gemakkelijk beweegt in het Koerdische gebied in Irak. Maar de Turkse publieke opinie weet dat het gaat om de oprichting van een Koerdische staat in Irak. De Turkse militairen willen dat koste wat het kost tegenhouden.

Een onafhankelijke Koerdische staat is voor Turken uit den boze. De vrees is dat de Koerdische minderheid in eigen land op den duur aansluiting zal willen bij die staat. Het zuidoosten van Turkije, dat enkel bevolkt wordt door Koerden, grenst aan het Koerdische gebied in Irak. Verder wil Turkije dat de oliestaat Kirkoek in Noord-Irak niet in Koerdische handen komt. Volgens de Turken is deze stad van origine een Turkse stad vanwege de Turkmenen die er wonen.

Op de persconferentie liet Buyukanit weten de ontwikkelingen van de Koerden in Irak op de voet te volgen. De generaal zei: ,,Wanneer je op het vliegveld van Sulaymaniyah komt, zie je de Koerdische vlag en niet de vlag van Irak. Ze hebben hun eigen centrale bank gesticht en drukken hun eigen geld. Het lijkt me duidelijk waar ze mee bezig zijn.,

Het Turkse leger heeft in het verleden vaker invallen gedaan in Noord-Irak om te vechten tegen PKK-militanten. Maar de huidige realiteit is dat Irak onder het bewind van de Verenigde Staten staat en dat een inval in Irak er dus op neerkomt dat Turkse militairen tegen het Amerikaanse leger komen te staan. Om deze reden was de Turkse regering terughoudend om actie te laten ondernemen in Noord-Irak.

De hoogste Turkse generaal heeft wel gezegd dat voor een inval in Irak het Turkse parlement een besluit dient te nemen. Maar na deze uitspraken van Buyukanit lijkt het er op dat de Turkse regering moeilijk een stap terug kan zetten. De meerderheid van de Turken roept al langer om actie in Noord-Irak. Een stap terug van de regerende AK-partij kan er op neerkomen dat de regerende AK-partij afgestraft wordt bij de algemene verkiezingen die in het najaar worden gehouden.

Yasar Buyukanit weet zich nu helemaal gesterkt door de Turkse publieke opinie na de enorme Turkse woede om de uitlatingen van de Noord-Iraakse leider Masud Barzani. Barzani zei in een interview dat Turkije zich niet in de binnenlandse kwesties van Irak mag mengen. ,,Anders mengen wij ons ook in de kwesties van Turkije waar dertig miljoen Koerden wonen’‘, zei Barzani.

De Turkse premier Tayyip Erdogan heeft na dat interview gezegd dat Barzani zich stil moet houden, want dat zij anders wel methoden kennen om hem stil te krijgen.

Van onze correspondent Erdal Balci

http://www.standaard.be/Artikel/Detail.aspx?artikelid=4F1AQSSM#
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Biden Says Bush’s Iraq Policy Doomed

By Dan Balz and Chris Cillizza
Washington Post Staff Writers
Wednesday, April 11, 2007; 5:25 PM

Delaware Sen. Joseph R. Biden Jr. (D) said today that the Bush Administration’s surge strategy in Iraq is doomed to fail and criticized Army General David Petraeus for offering what he called an overly optimistic assessment of the situation on the ground.

Biden, in an attempt to distinguish himself from the crowded Democratic presidential field, also asserted that none of his principal rivals for the nomination has offered a viable plan for success in Iraq.

Biden’s critical assessment came hours after Arizona Sen. John McCain (R) defended the administration’s strategy and chastised Democrats for not giving Petraeus and U.S. military forces enough time to make it work.

Biden paraphrased comments made by Petraeus several years ago that “there comes a moment in an invasion where you have a brief opportunity to set things straight and then it turns into an occupation,” adding that “He was right then, he’s wrong now.”

Biden made his comments during an interview at the studios of washingtonpost.com as a guest on “PostTalk”—a new, regular video feature that provides interviews with presidential candidates, politicians and other newsmakers.

In addition to Iraq, Biden talked candidly about his own presidential prospects against high-profile Democratic candidates including Sens. Hillary Rodham Clinton (N.Y.) and Barack Obama (Ill.)

Acknowledging that he trails the frontrunners badly in money raised, Biden said he believes he will have plenty of cash to compete in the four early states—caucuses in Iowa and Nevada and primaries in New Hampshire and South Carolina.

Biden, the chairman of the Senate Foreign Relations Committee, said his path to victory includes finishing in the top three in Iowa’s Jan. 14 caucus, a strong showing in New Hampshire and a victory in South Carolina where he has focused considerable time and energy.

Biden, who has appeared regularly on Don Imus’ radio show, said he would condition future appearances on a change the tone of the program. He added that the attention Imus’ racially charged remarks about the Rutgers University women’s basketball team have received could have a positive effect on the discussions of race and gender in the public sphere.

But it was Iraq where Biden was most strident, insisting that advocates of President Bush’s strategy for reducing violence and killings in Iraq—most notably McCain—had no plan beyond adding more troops. “Assume the surge worked, then what?” asked Biden. “Stay there forever? If you don’t stay there forever, what’s the political solution?”

He also reiterated his belief that those—including many within his own party—who believe that a centralized democratic Iraqi government will emerge are flat wrong. “Not possible,” Biden said. Biden has long advocated a proposal that would split Iraq into three sections occupied by the Sunnis, Shias and Kurds, respectively.

“You separate the parties, giving them breathing room within a defined central government,” Biden said. “That’s the only thing that’s going to work.”

Biden predicted that Bush “will pay a heavy price” if he vetoes legislation approved by Democratic majorities in the House and the Senate that sets a firm timetable for withdrawal of American troops from Iraq.

Although Bush will not appear on the ballot in 2008, Biden noted that he could well face a rebellion among the 21 Republican Senators up for re-election in 2008.

“Does anyone think [they] are going to stick with this president’s plan without any target date to get out of Iraq, without a fundamental change in strategy?” Biden asked. “I think not.”

On Iran, Biden cast doubt on claims made by that country’s government that it currently has 3,000 centrifuges to produce uranium, but criticized the Bush Administration for its failure to engage what he called America’s “strongest ally as it relates to Iran: the Iranian people.”

Nearly two decades after he first ran for president in 1988, Biden admitted that much has changed. “Before I was the guy who could turn on crowds, the guy with charisma,” said Biden. “Now I’m the old guy who’s qualified.”

Biden also noted that in his first run for president he was the financial frontrunner, a very different circumstance in which he currently finds himself. He said that the wide financial gap between him and financial frontrunners like Clinton and Obama complicates his effort among party insiders to gather the $20 million to $30 million he believes he needs to be competitive for the nomination. The solution? “You have got to go out and find people who are not betters,” Biden explained. “You’ve got to go out and find people who really are focused on who they think can be the best president.”

As for Imus’ remark regarding the Rutgers women’s basketball team and the controversy that has ensued, Biden said he would not appear again on the program unless Imus “fundamentally alters the composition” of the show.

But, Biden added, he believed there was a real chance for good to come out of the situation. “No matter what happens to Don Imus, the entire character of the discussion about race and gender in the mainstream media is going to change for the better,” he predicted.

http://www.washingtonpost.com/wp-dyn/content/article/2007/04/11/AR2007041101633.html?referrer=email&referrer=email&referrer=email
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Alexandre Adler analyse la crise des antimissiles

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Ursulon

  13/04/2007

Etonnante chronique d’Alexandre Adler sur France Culture le matin de ce 13 avril.

Le chroniqueur, pourtant en général tout à fait “mainstream” et pro-américain, présente une analyse étonnamment proche de celle de dedefensa au sujet de la nouvelle crise des antimissiles en Europe et de ses implications.

Pour écouter :
http://www.radiofrance.fr/listen.php?file=/chaines/france-culture/chroniques2/adler/adler_20070413.ra

Bien cordialement.

Nouvelle vague nucléaire en Europe

Article lié :

Eurasiste

  13/04/2007

Le nucléaire de retour en Europe:
http://www.pinr.com/report.php?ac=view_report&report_id=640&language_id=1

Bonnes nouvelles pour la France et pour l’Europe-puissance de demain.

Le réchauffement climatique est-il naturel ou causé par l'homme ∫

Article lié :

Jean-Claude HENRY

  12/04/2007

A Campagnol.
Mon commentaire était bien une réponse à votre interrogation.

Il est bien évident que l’intérêt des pétroliers est de nier l’influence du CO2 sur l’hypothétique réchauffement climatique. Ce lien, si souvent affirmé, est effectivement établi, puisque les “archives” climatiques montrent que l’élévation du CO2 a précédé les réchauffements passés d’environ 800 ans ! Dans ces conditions, il est bien curieux d’affirmer que le CO2 est la cause du réchauffement, alors qu’il semble en être la conséquence. Il faut d’ailleurs remarquer également que pendant l’ optimum climatique du Moyen-Age, les températures étaient nettement plus élevées que maintenant alors que la teneur atmosphérique de CO2 était plus faible.
Cependant, ce n’est pas parce que le CO2 n’est pas à l’origine des modifications climatiques que l’on observe, qu’il ne faut pas prendre de précautions à son encontre, car, à défaut d’élever le niveau des mers, il en provoque l’acidification. Toutes les mesures, réduction des émissions et mise en place de séquestration, sont les bienvenues.
Les modèles climatiques numériques prévoient un réchauffement des pôles, alors que l’on y observe un refroidissement continu depuis le début du siècle dernier, même si la surface de la banquise diminue épisodiquement. Ce refroidissement est à l’origine des phénomènes météorologiques brutaux que l’on observe de plus en pus fréquemment (voir la théorie de Marcel LEROUX). Si réellement il y avait un réchauffement atmosphérique, les évènements climatiques devraient voir leur intensité se réduire.
Les rapports scientifiques du GIEC, en général d’un millier de pages, ne sont guère publiés, alors que le rapports “politiques” que l’on en tire sont largement publiés et commentés. Il n’est pas rare que, sur un certain nombre de points, le rapport “politique” contredise le rapport scientifique. Cette pratique a provoqué la démission de scientifiques de renom comme LANDSEA ou PIELKE.
Quant à “l’orchestration” de cette propagande pro-réchauffement, elle s’explique de plusieurs façons. Il y a sans doute des intérêts industriels qui se manifestent derrière le rapport de Nicholas STERN. Il y a également des intérêts “scientifiques”. En effet, une catastrophe annoncée justifie des études et par conséquent demande des crédits, qui sont d’autant plus importants que la menace est plus grave. Il suffit de se rappeler la panique créée par la NASA (qui avait perdu beaucoup de ses crédits pour Mars) au sujet du trou de la couche d’ozone. La disparition programmée de cette couche (ainsi que de la vie terrestre) était attribuée aux gaz aérosols de nombreux propulseurs ainsi que des réfrigérateurs. Ce drame potentiel a heureusement été écarté grâce au remplacement des CFC incriminés par un gaz breveté aux USA. Notons cependant que les CFC étaient expédiés dans l’atmosphère de l’hémisphère nord, alors que ce fameux trou se produisait au dessus du pôle sud, mais cela n’a jamais choqué personne ! Depuis, le trou se forme toujours au printemps, mais il n’inquiète plus personne. Par bonheur, la “catastrophe” climatique a permis de débloquer de nouveaux crédits pour “étudier” le réchauffement.
Dernier point. La tendance est de stigmatiser BUSH et son équipe pour son refus obstiné de signer le protocole de Kyoto. En fait, ce sont CLINTON et AL GORE qui les premiers ont refusé de le signer, alors qu’ils l’avaient négocié. L’attitude actuelle d’AL GORE est donc difficilement incompréhensible.

Halliburton : quand les USA quittent l’Iran et son pétrole

Article lié :

Lambrechts Francis

  12/04/2007

Non vous n’avez pas rêvé et je ne me suis pas trompée, c’est bien l’Iran que le groupe pétrolier américain Halliburton va quitter.

... Halliburton, qui était dirigée entre 1995 et 2000 par Dick Cheney avant qu’il ne devienne vice-président des Etats-Unis, a souligné lundi que ses activités en Iran avant leur interruption “étaient de toute évidence autorisées par les loi et règlements applicables”. De toute évidence, l’on vous dit, vous pouvez croire un politique…

Ces derniers stipulent notamment que les entreprises américaines ne peuvent investir plus de 40 millions de dollars dans le secteur énergétique iranien sous peine de sanctions. Et oh magie, il se trouve que par le plus grand des hasards, - vous le croirez ou pas - la valeur des contrats d’Halliburton en Iran n’aurait jamais dépassé de 30 à 40 millions de dollars selon le groupe, l’entreprise les qualifiant elle-même de “minuscules”...

( Elisabeth Studer , http://www.leblogfinance.com/2007/04/halliburton_qua.html#more )

Haaretz - The Middle East is Pelosi's playground

Article lié : Pelosi ira-t-elle en Iran?

Lambrechts Francis

  12/04/2007

... Pelosi, they say in Washington, didn’t like the Israeli clarification. It made her look slightly ridiculous, like a rookie in foreign policy. Upon her return to the U.S. it became evident that her attempt to conduct independent foreign policy for Congress’ Democratic majority was not appreciated from wall to wall. The administration, predictably, attacked her, but not just the administration.

... The thing is, Pelosi is not setting independent foreign policy, but domestic policy. Feet in Damascus, head in New Hampshire. It was not Israel’s interest nor Syria’s that guided her, but the good of the Democratic party.

... However, in the race for 2008, the risk to Israel is increasing. The Middle East is at the center of the American agenda. Every detail in U.S. policy regarding Iraq, Iran, Syria, Lebanon, Saudi Arabia, Egypt, Hamas, radical Islam and terror affects Israel directly. Every detail affecting that policy is at the center of a profound debate, at least on the rhetorical level.

http://www.haaretz.com/hasen/pages/ShArtVty.jhtml?sw=pelosi&itemNo=847312

Le réchauffement climatique est-il naturel ou causé par l'homme ∫

Article lié :

Campagnol

  10/04/2007

Monsieur Henry,

J’ai lu votre commentaire à ce sujet avec beaucoup d’intérêt.

Je ne sais s’il vient en réponse au mien (daté du 29 mars), si c’est le cas, je vous en remercie.

Une question reste ouverte à mon sens : comment est-il possible qu’un si grand nombre de scientifiques (dont certains de renom), se laissent aller à une telle tromperie, sous l’égide d’un organisme internationnal comme l’ONU ???

Est-il possible que l’on assiste à un bégaiement de l’histoire de la science, après les avatars subis par Galilée ?

Et si c’est le cas, qui peut bien être, sinon la cheville ouvrière, du moins l’influence favorable, d’une propagande aussi bien orchestrée ??? Le lobby des pétroliers, USA en tête, auraient plutôt intérêt à nous dire que le CO2 n’y est pour rien ...

Mes salutations perplexes et néanmoins amicales !