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Trafic d'armes

Article lié :

Bruno Hanzen

  13/08/2007

Voir jane’s: http://www.janes.com/news/security/countryrisk/jdw/jdw070809_1_n.shtml

110.000 Kalachnikov, 80.000 pistolets, 135.000 gilets pare-balles, 115.000 casques “évaporés”.

Les rebelles irakiens n’ont même pas besoin d’aller en Iran : les américains livrent tout sur place.
Pour les plus agés, cela rappelle un peu la situation vietnamienne où même les transports de troupes blindés se négociaient.

autres sites d'information sur la crise monétaire

Article lié :

Armand

  13/08/2007

en plus de ceux indiqués par “miquet”

- http://www.financialsense.com/
en consultant les archives de Jim Puplava, on trouvera une longue série qui décrivait ce qui allait se passer avec la spéculation immobilière.

attention : certains des auteurs font davantage de désinformation, voire de la propagande, que de l’information. Un cerveau en état de marche est recommandé.

- http://000999.forumactif.com/ (site en français)
il y a deux ans, ce petit essai :
http://000999.forumactif.com/viewtopic.forum?t=1976

Israel instrumentalisé par les USA et non l'inverse

Article lié :

Leboutte

  13/08/2007

Est-ce sur ce site que j’ai lu le compte rendu d’un livre ou d’un article écrit par un anglo-saxon et tendant à montrer que ce sont les besoins du complexe militaro-industriel US qui a moulé la réalité israélienne, et non au contraire comme on le pense généralement, le lobby pro-Israel US qui met en forme la politique US ?

Merci d’éventuellement m’envoyer cette source à mon adresse “g.leboutte AT scarlet.be”

Super-Sarko

Article lié : Super-Sarko “on the (Jet-set) road”

Françoise

  13/08/2007

“Dans une époque si indigne, c’est ce qu’il fallait à la France pour qu’elle joue son rôle, avec les moyens du bord et sans trop se compromettre; avec un peu de chance et la patine de la fonction pour Sarko, peut-être même la France saura-t-elle continuer, ou recommencer à “tenir son rang” comme disait Mitterrand. Super Sarko aura bien mérité des éditoralistes”.

Permettez-moi d’en douter.

Je pense que lorsque l’on fait du vent on ne récolte que du vent. En attendant, vu de France, tout ce cirque est affligeant… Même si les sondages donnent, eux, des résultats tout à fait “soviétiques”.

Nous n’aurons pas des lendemains qui chantent, en politique intérieure. Pour ce qui est de la politique extérieure… L’art de l’illusionniste n’est-il pas de donner à voir des illusions ?

La guerre contre la terreur a du plomb dans l’aile.

Article lié :

Stéphane

  13/08/2007

Pendant qu’on négocie des libérations et des cessez-le-feu avec les talibans, des britanniques conseillent à leur gouvernement de rétablir des relations avec le Hamas et le Hezbollah.

UK lawmakers say UK should talk to Hamas, Hezbollah
Al-Manar Special - Hanan Awarekeh
http://www.almanar.com.lb/NewsSite/NewsDetails.aspx?id=22683&language=en
13/08/2007 Britain should begin talking directly with three of the Middle East’s most prominent Islamic groups - Hamas, Hezbollah and the Muslim Brotherhood - a committee of lawmakers said in a report released Monday. British diplomats should speak with what they described as “moderate elements” from such groups and continue engaging Iran and Syria because their influence can no longer be discounted, Parliament’s Foreign Affairs Committee said.
‘‘The Muslim Brotherhood is strong in Egypt, and Hamas and Hezbollah cannot be ignored,’’ the report said. The report criticized Britain’s role in the international boycott of Hamas, saying it had contributed to the collapse of the unity government in the Palestinian territories amid the violence and political breakdown that engulfed the West Bank and Gaza in June. Britain’s priority should now be to draw Hamas back into a national unity government with the Fatah movement and persuade it to renounce violence, the committee said.
The lawmakers urged former Prime Minister Tony Blair, the new envoy for the so-called “Quartet”, an international group of Middle East mediators, to negotiate directly with the Islamic organization. A similar approach was recommended for dealing with Lebanon’s Hezbollah and the Muslim Brotherhood, Egypt’s outlawed opposition party. Lawmakers said that the power and influence of Hezbollah and the Brotherhood groups made dealing with them unavoidable. The report said dialogue with Syria and Iran must feature in regional negotiations. It said Damascus ‘‘may slowly be changing for the better.’’ Britain’s Foreign Office said it had challenged Hamas to renounce violence before it would talk with the group, which now controls Gaza.
Hamas, which democratically won elections last year, is considered a terrorist organization by the United States and the European Union. Both have refused to negotiate directly with group. The US - but not the EU - has also labeled Hezbollah a terrorist organization. US officials have also avoided meeting members of Egypt’s Muslim Brotherhood, which has been banned since 1954 but is the country’s most powerful opposition movement. While the report largely covered British policy in the Middle East, it also questioned US foreign policy. The committee said the US-backed ‘‘roadmap’’ for so-called “Mideast peace” had become irrelevant, that its ‘‘surge’’ strategy in Iraq was unlikely to succeed, and that the so-called ‘‘War on Terror’’ vocabulary espoused by US officials created resentment across the Middle East.

Tout n'est pas encore perdu (peut-être) pour les Etats Unis

Article lié :

foxbat

  13/08/2007

L’American Conservative a une très intéressante analyse sur les stratégies encore susceptibles de gagner la guerre en Irak. Et commence par le début, à savoir que toute victoire passe par la définition d’objectifs réalistes à atteindre : dans ce cas, priver le terrorisme salafiste d’une base en permettant le rétablissement d’un état viable en Irak. Ca sous entend de parvenir à un accord avec l’Iran et les “forces vives” irakiennes (de manière intéressante, la seule identifiée dans l’article est le mouvement sadriste… à vrai dire je n’en vois pas d’autre moi-même, mais peut être ai-je omis quelque chose).
A vrai dire la proposition n’est pas exempte de défauts (quid des Kurdes?), mais on peut penser qu’un Etat Irakien consolidé pourrait être en position de trouver des solutions à ces problêmes, sans ingérence américaine bien sûr…

Ce n’est aussi pas n’importe qui qui prend la parole ici, les Conservateutrs Américains ne sont pas à suspecter de visées “antiaméricaines” ou “libérales”. Ils pourraient bien être l’embryon d’un parti soutenant Ron Paul s’il tentait l’aventure en indépendant.

Voici le lien :

http://amconmag.com/2007/2007_07_16/article1.html

explication de la crise liee a l'immobilier

Article lié : Gros temps et souvenirs de crise

Steven Rix

  13/08/2007

Dernierement aux USA, il y a toute sorte d’indicateurs pour definir une crise economique. Le marche de la Chine par exemple est devenu dorenavant un indicateur de la crise aux USA, mais le talon d’achilles de la crise se situe dans l’immobilier. 75% des Americains sont finances par des ARMs (Adjustable Rate Mortgage), ce sont des emprunts dont la valeur pivote annuellement, et leur paiement immobilier peut doubler voire tripler d’une annee a une autre, si et seulement si les corporations financieres en decident. Donc la crise existe mais c’est le systeme qui la cree sous certaines conditions. Aux USA vu qu’il n’y a pas vraiment de regulation sur le marche immobilier, car il n’y a pas de moral dans une dictature economique, les corporations financieres ont abuse du systeme pour engranger un maximum d’argent, et les Americains sont en train de declarer faillite (chapter 7 bankruptcy) pour l’annee 2007, 2008, et 2009.
Dans les lois financieres americaines, lorsque vous faites un emprunt pour acheter une maison, les corporations financieres vous donnent une rallonge pour payer vos dettes anterieures (paiement des voitures par exemple, paiement de la piscine ... etc). C’est comme cela que le credit a la consommation continue a faire tourner l’economie americaine, mais le marche est devenu sature dernierement, on parle d’une surchauffe du secteur immobilier, et des millions d’Americains vont se retrouver sur la paille. Aux USA une maison est comme une tirelire de fonds, car generalement la valeur de l’immobilier ne decroit jamais, bien au contraire elle augmente. C’est cette valeur (qui s’appelle appraisal en anglais) qui permet aux Americains de refinancer leur maison et de deduire une plus-value en argent liquide sur leur maison pour leur achat courant. Cette valeur ne faisant plus partie du systeme, il y a un effet domino sur l’immobilier americain: si votre voisin a achete une maison dans les $300,000 et la revend au meme prix ou a un prix inferieur, cette loi du marche s’appliquera egalement dans tout le lotissement du quartier. Le resultat a cree une panique sur le marche de l’immobilier, car les vendeurs ont peur de vendre a perte, et les acheteurs conscients du marche preferent differer leur achat immobilier: il n’y a plus assez d’argent regenere dans le marche financier pour engendrer la consommation.
Il est difficile de comprendre le marche americain, toutefois il y a des indicateurs qui peuvent predefinir une crise: la classe moyenne americaine de 2006 en inflation ajustee est plus pauvre que la classe americaine des annnees 70, avec un salaire passant de $40,000 dans les annees 70, a un salaire passant a $35,000 pour l’annee 2006. Comparativement le prix d’une maison aux USA est passee de quelques $50,000 a plus de $255,000 (tout depend ou vous vivez). A titre d’exemple a Las Vegas le prix median d’une maison est de $275,000 alors que seulement 25% des gens sont capables de s’acheter une maison a ce prix la (sur un emprunt de 30 ans, parfois 40 ans, voire 50 ans); et c’est 25% des Americains qui investissent dans l’immobilier pour generer un benefice. Le malheur des uns fera surement le bonheur des autres. Ah the american dream.

Re 11 septembre 2001

Article lié :

mortimer

  13/08/2007

Réponse à Périclès.

Qu’est ce qui se précise? J.Edwards a simplement appliqué le principe de précaution en ne divulguant aucune information attentant à l’enquête en cours. Certes, avec la langue de bois habituelle mais à contre-pied même des autorités en place qui eux ont nommé les coupables quelques heures après les faits. Il est à noter que l’entretien a été fait le jour des attentats.

En revanche, à un moment donné, le journaliste déclare en paraphrasant J.Edwards que si ces attentats étaient soutenus par un Etat, ceci équivaudrait à un acte de guerre. La question à 1000 dinars: s’il n’y avait pas d’Etat qui aurait soutenu les attaques, il n’y aurait pas de guerre?

Article lié : La crise et le facteur psychologique, — soupçon, défiance et irrespect

Francis

  12/08/2007

Oui, j’ai résumé plusieurs articles de “La Chronique Agora” ou Europe2020.org. De nombreux autres sites offrent de bonnes analyses et informations financières et géopolitiques.

Ainsi je ne partage pas cette opinion “... le constat que personne, il y a trois mois encore, ne semblait rien connaître de l’élément technique principal de la crise…” : il y avait depuis trop longtemps un consensu sur l’orage quant à savoir quand et où exactement il tomberait c’est une autre affaire: les différentes inondations relèvent ensuite des particularités des terrains concernés… la suite dans les différents bulletins météoconomiques cités.

Il me semble essentiel que l’éclairage de dedefensa soit différent, c’est bien cela qui m’intéresse:  argumenté c’est le moins, original plutôt originel, “anthropologique” sinon rien. A force d’informations “mondaines”, de techniques et de spéculations “scientifiques” nous perdons de vue les fondements, c’est à dire nos limites ... le hasard, le tragique, le doute qui fonde notre la liberté et une distance ou une dérision qui rétablit la responsabilité de l’aventureux lecteur. Souvent insatisfait, dérangé mais toujours intéressé même si le conducteur du récit est surpris du paysage aperçu par ses lecteurs embarqués à l’arrière.

crise boursière

Article lié :

miquet

  12/08/2007

Contrairement à ce que vous affirmez dans vos commentaires de la crise bousière en cours, de très nombreux économistes et investisseurs ont vu venir cette crise jour après jour inexorablement depuis des mois et n’ont cessé de mettre en garde le public contre ses effets potentiels.

Ce sont les économistes de l’establishment et les médias MSM qui n’ont soit disant rien vu venir, car ils sont payés pour annoncer que tout va bien dans le meilleur des mondes possibles.

Le virtualisme malheureusement est d’abord économique avant d’être politique ou psychologique…

Vous trouverez des articles quotidiens sur ces questions aux adresses suivantes par exemple:

http://www.gold-eagle.com/editorials.html

http://www.321gold.com

http://news.silverseek.com/Articles/

11 septembre 2001

Article lié :

Périclès

  11/08/2007

Cela se précise : le sénateur John Edwards, questionné en direct ne “peut pas” répondre à la question “sait-on si les évènements du 11 Septembre ont été organisés par des étrangers ou par des américains” ?

http://www.youtube.com/watch?v=ljAph7jYQwI

Eloge de la barbarie

Article lié :

mortimer

  11/08/2007

Ou quand la machine de mort s’emballa pour enfanter le chaos dans l’indifference mortifère. A lire:


Prisons de la CIA: la vérité dépassée

Paru le Vendredi 10 Août 2007
  FABIO LO VERSO  

International

S’il y a une constante dans le scandale des prisons secrètes de la CIA, c’est l’irritante désinvolture qu’affiche Washington à son encontre. Les ultimes révélations du New Yorker[*] n’ont en rien ébranlé les certitudes des services étasuniens. Encore moins celles de George W. Bush. Le président des Etats-Unis vient de légaliser, par décret, le recours à la torture dans «sa» lutte contre le terrorisme. Il met ainsi ses hommes et leurs mandants à l’abri de toute poursuite, fût-elle fondée sur des preuves. L’impressionnante enquête du prestigieux hebdomadaire arrive peut-être trop tard, elle qui dévoile pour la première fois le menu détaillé des atrocités commises dans les cachots occultes de la CIA en Europe. Avant même son éclosion, la vérité est dépassée par le cynisme.
Sur l’ahurissant dossier du magazine new-yorkais plane aussi une ombre inquiétante: le sentiment que les journalistes ne réécriront peut-être plus les pages du Watergate, retentissante affaire ayant poussé le président Richard Nixon à démissionner en 1974. Pour les Etasuniens, focalisés sur la déroute irakienne et paralysés par la peur du terrorisme, la violation des droits de l’homme ne suscite pas de vagues d’indignation semblables à celles qui ont fait capituler les plus redoutables hommes d’Etat. En Europe, cette question ne semble plus avoir une importance capitale, en dépit de foyers mal éteints ou qui menacent de se rallumer sur ce dossier entre le Vieux et le Nouveau Continent. Difficile d’attendre de la confrontation d’un président allergique aux Conventions de Genève et de pays européens passifs ou complices l’amorce d’un repentir ou d’un simple retour au bon sens. Pourtant, au-delà des ravages de nature éthique, le franchissement de la ligne des droits humains crée un vide juridique dont la nature politique a horreur.
Les embarrassantes libertés que Washington s’accorde pour «protéger son peuple» entraînent un sérieux dérèglement de la gouvernance mondiale. Elles écrasent les protestations des Nations Unies, paralysées par les rapports de forces et les rivalités de puissances, et accentuent de ce fait les tensions géostratégiques. Qui doit jouer le rôle de pilote dans le règlement des crises internationales? Avec la guerre d’Irak, la force militaire l’a emporté sur la diplomatie. Avec la légalisation de la torture, les clignotants passent au rouge vif, car il y a en jeu l’intégrité physique et psychique de la personne, domaine autrement plus intouchable que les conventions sur les conflits armés. Publiée au moment où les prétendants à la présidence des Etats-Unis s’échauffent, les pages du New Yorker évoquent, en filigrane, l’enjeu crucial de la campagne électorale. Si les républicains gardent le contrôle de la Maison-Blanche, le prochain président ne manquera pas de poursuivre la politique de son prédécesseur. Si les démocrates placent leur candidat, personne ne peut garantir qu’il s’engagera à démanteler les lois liberticides héritées de l’ère Bush. Plus qu’une enquête, l’hebdomadaire étasunien signe presque un aveu d’impuissance.

[*]http://www.newyorker.com/reporting/2007/08/13/070813fa_fact_mayer

Source:http://www.lecourrier.ch/index.php?name=NewsPaper&file=article&sid=437137&layout=article,latruite

Prévisions, prédictions

Article lié : La crise et le facteur psychologique, — soupçon, défiance et irrespect

Tatanka

  11/08/2007

Et pourtant depuis plusieurs mois, un site “Europe2020.org” a donné la chronologie et les étapes de la crise systèmique qui nous affecte. En particulier cette crise de l’été 2007. Et ce n’est pas fini…

My America

Article lié : C’est nous (“US”) et le chaos

Francis

  11/08/2007

La mise en scène du pouvoir américain sous l’œil d’un photographe de guerre.

... Dans l’attente, il place son appareil hors champ et tourne le dos au président. Que reste-t-il du pouvoir lorsqu’il n’est plus regardé ? Voilà en un sens la question qui guide ses pas et ses vues.

... Les yeux dans les yeux, Morris parvient alors à capter dans l’assistance le regard de la sujétion, révélée, soulignée par les apparats du moment.

Cette Amérique, est-elle encore un instant la sienne ? Citoyenne, elle voue à son chef et à la nation les dévotions d’une religion. Dans l’absolue certitude de soi, pour cette Amérique-là, il n’y a d’autre qu’elle-même : My America.

My America, par Christopher Morris, Steidl éditeur. ( http://www.courrierinternational.com/article.asp?obj_id=62503 ) par Pascal Philippe

Témoignages de vétérans US.... jusqu'à l'effroi

Article lié :

Rakk

  10/08/2007

A lire absoluement,des soldats US témoignent. Les récits font froids dans le dos.

extrait:
Le caporal Josh Middleton, 23 ans, a servi à Bagdad et à Mossoul avec la 82ème division aéroportée, de décembre 2004 à mars 2005. Il a expliqué que des soldats de 20 ans étaient passés des brimades de l’entraînement –« se faire engueuler chaque jour si leur fusil était sale » - aux rues irakiennes, où ils risquent leur vie. « Beaucoup de gars partageait l’idée, vous savez, que si ces gens ne parlent pas anglais et ont la peau plus foncée, ils ne sont pas aussi humains que nous, alors nous pouvons faire ce que nous voulons », dit-il. (...) 

http://mondialisation.ca/index.php?context=va&aid=6455