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Airbus et les autres...

Article lié : Airbus est-il un casus belli?

Pierre M. Boriliens

  23/11/2007

N’est-ce pas un peu un combat d’arrière-garde, tout ça ? Le problème n’est-il pas plutôt celui de l’avenir de ce moyen de transport, le plus vorace d’un point de vue énergétique ?
Une chose paraît d’ores et déjà assurée : on ne les fera pas voler à l’électricité...

911 JSF

Article lié :

Seval c

  23/11/2007

Bonjour,

Ardent lecteur de dedefensa, je tique cependant sur un point : le 911 vu par la lorgnette de dedefensa.

Nous venons de traduire en français l’intégralité du site suivant :

http://www.patriotsquestion911.com/

ou des centaines de hautes personnalités (ce sont des colonels us, des généraux, des scientifiques), qu’on ne peut qualifier de “gôchistes” ou d’extrémistes, voire de terroristes, nous expliquent que la version officielle du 911 ne tient pas une seconde la route.

Votre position sur cet évènement, que vous approchez du bout des lèvres, comme si la patate était trop chaude (et vous avez raison, elle est vraiment trop chaude pour pouvoir bâtir une notoriété publique sans verser dans le clan des “méchants”) est VIRTUALISTE messieurs, mesdasmes.

Cordialement

Des "spécialistes"

Article lié :

Ilker

  23/11/2007

@ CdC : j’ai été boursicoteur, et je connais un peu le système : lorsqu’une action va mal, des gens (spécialistes, analystes) écrivent des articles ou sur des forums, que la baisse est passagère, qu’il n y a pas à s’inquiéter, qu’il faut conserver etc, pendant ce temps l’action continue de baisser sans remonter, certaines s’effondrent complètement. Ceux qui, par méconnaissance, ont suivi ces conseils se font plumer, et les conseilleurs disparaissent de la circulation… c’est de ce point vue là que j’avais cité cette article (qui selon “les analystes” etc), sans remarquer en effet que les bénéfices annoncés représentent 50% des fonds propres.

Vous pouvez reagir

Article lié : L’association européenne (sans but lucratif) des amis du JSF n’est pas vraiment à son aise

Stephane

  22/11/2007

Les caracteres de la vignette de verification sont trop petits. J’imagine que pas mal de vos lecteurs doivent s’y casser la vue. De plus en cas de mauvaise saisie, le message semble perdu. Et ce que je sais c’est qu’un lecteur ne ressaisi presque jamais un message. Mais peut etre que vous n’en perdez pas tant que cela…
A cet effet, et apres une courte mais penible experience avec votre systeme, je fais toujours un Ctrl A suivi d’un Ctrl C avant de cliquer sur le bouton Envoyer.

Mais merci quand meme pour votre impressionant travail journalistique!

Vous pouvez reagir

Article lié : L’association européenne (sans but lucratif) des amis du JSF n’est pas vraiment à son aise

Stephane

  22/11/2007

Et comment! Car vous nous faites reagir!

Elle est geniale cette phrase: “certains font leur cheval de bataille du cover-up réalisé par le système américaniste à propos de l’attaque 9/11; mais que ne s’intéressent-ils au cover-up du siècle : le programme JSF.”

Mais pouvez vous nous expliquer cela..? Vous nous taquinez la…

Car le peu que l’on comprend de votre propos est que le public ignore et doit ignorer tout du JSF.

Alors comment ce programme peut il avoir plus d’importance que l’attaque 9/11 qui elle est tres bien connue du public (meme si elle est mal connue).

Merci

pas assez loin...

Article lié : Ah oui, tiens, pourquoi pas le Pakistan?

bituur esztreym

  22/11/2007

le raisonnement de kagan, o’hanlon, kristol et consorts est parfaitement correct, se déployant dans un système logique parfaitement circonscrit, clos, imparable.
non, ce qu’on peut leur reprocher est de ne pas aller assez loin, une pusillanimité qui sied mal : pourquoi se limiter au pakistan ? non, non, car envahissant le pakistan, les troubles fête seraient repoussés et se feraient une joie mauvaise d’aller à côté, où il faudrait derechef aller se les coltiner : républiques d’asie centrale et ... chine…
donc autant s’occuper de la chine tout de suite, s’attaquer au gros morceau, pour ensuite tranquillement pouvoir traiter un à un les dominos.
pourquoi s’arrêter en si bon chemin ?

Un peu de publicite gratuite ne nuit pas !

Article lié :

dedef@gmail.com

  22/11/2007

lien: http://contreinfo.info/rubrique.php3?id_rubrique=50

Revues de presse Contreinfo: 21 novembre 2007 19:06
- Pakistan : qui détient la clé de tir ?
21 novembre 2007

La sécurité des armes nucléaires pakistanaises fait l’objet de nombreuses allégations, révélations et démentis se succèdant à un rythme accéléré.

Il serait présomptueux de vouloir tirer des conclusions définitives sur un sujet par nature aussi sensible et confidentiel, mais cette agitation incessante confirme s’il en était besoin à quel point ces armes sont l’objet de toutes les attentions de Washington à Islamabad.

Toujours fidèles à leurs recettes éprouvées, les néoconservateurs quant-à eux ont déjà la solution : Frederick Kagan propose tranquillement d’envoyer quelques milliers de boys faire le job.

Comme l’a noté il y a peu PHILIPPE GRASSET, il y a chez ces hommes qui veulent régenter la planète un « provincialisme » étriqué, une absence de compréhension des réalités du monde qui sont tout à fait stupéfiants.

Une fois passé l’effet de sidération provoquée par la rhétorique ronflante et martiale qui les caractérise, on découvre que l’on a finalement à faire à de médiocres amateurs, de pauvres fous perdus dans leurs vains rêves d’empire, plaçant au gré de leurs divagations leurs figurines guerrières sur la carte d’un monde indifférent.
(JPG)

@ Ilker:Comment dire la vérité sur les petites choses

Article lié :

CdC

  21/11/2007

pour mieux mentir sur les grandes.
Vieille technique éprouvée du journal l\‘im-Monde

Les mille premières banques du monde ont 4 427 milliards de dollars en fonds propre, et les pertes estimées seraient de 2000 milliards de dollars.
Par ailleurs, la perte n\‘affecterait que les bénéfices.
Et toute cette masse monétaire volatilisée si aisément (car c\‘est du pur virtuel) serait récupérable en moins d\‘un an.

Une simple confrontation de ces données chiffées indique que ces banques font un bénéfice qui est équivalent à beaucoup plus que 50% de leur fonds propres.
Aucune entreprise au monde n\‘a une telle rentabilité; c\‘est du gangstérisme ou du mensonge pour rassurer les pékins lecteurs du Monde.

Les économistes qui n\‘ont plus la foi chevillée au porte-feuille pour le néo-libéralisme avouent, de moins en moins dans les coulisses, que c\‘est l\’énormité de la taille de ces mastodontes qui fait leur fragilité.( une petite erreur est démultipliée de façon incontrôlable car le mimétisme est contagieux à l\‘intérieur d\‘une même banque et saute d\‘une banque à l\‘autre)

100, 500, 2000 et pourquoi pas 10 000 dans quelques semaines?

changer l'axe de rotation de l'économie-monde

Article lié : Fallon en porte-à-faux

CdC

  20/11/2007

Ce que dit Fallon en substance, c\‘est:
Le roi est nu, mais Chuut, ne le dites pas tout haut.
Le problème pakistanais a en effet de quoi distraire un petit moment de l\‘Iran, mais Ahmadinejad a besoin de renforcer ses positions sur le plan intérieur, aussi profite-t-il de l\‘assurance des Chinois.

Pendant que le monde entier regarde hébété le spectacle de la valse-hésitation des Usa en train d\‘ajuster comment ils enverront un uppercut bien ajusté sur Téhéran, les Iraniens dans leur ensemble ne croient pas du tout en la possibilité d\‘une attaque.
Ils imaginent même pour certains que cette hypothèse sort de l\‘imagination de la ligne dure au pouvoir. (sic)

Il ne vous certainement pas échappé  que non seulement Pékin peut pulvériser des satellites sur basse orbite, faire émerger de sous-marins là où les Us les y attendent le moins, mais qu\‘ils craquent les systèmes informatiques du Pentagone quand ils veulent
http://defensenews.com/story.php?F=3187387&C=america
Bon, ils sont chagrinés car les 1300 milliards de dollars qu\‘ils détiennent fondent plus vite que la calotte de l\‘Artique sous les effets de l\‘activité humaine qui consume le patrimoine énergétique fossile de la terre.
Que peuvent-ils en faire, ils n\‘ont pas le droit d\‘achetre des entreprises étasuniennes?
Accéler leur fonte et désaxer l\’économie virtuelle mondiale?

Subprimes et nouvelles prédictions de pertes : 2000 milliards

Article lié :

Ilker

  20/11/2007

Un article dans le site de Le Monde.fr sur la crise des “subprimes” qui parle de la possibilité de pertes plus importantes que celles qui avaient d’abord été annoncées : 100 milliards de dollars, puis 400 et maintenant 2000.

Mais selon des “analystes”, prétend l’article, il n y a pas de quoi paniquer, les banques ayant assez de réserves pour répondre à cette crise.

Crise des “subprimes” : les banques pourraient perdre 2 000 milliards de dollars
Jusqu’où la facture de la crise financière grimpera-t-elle pour le secteur bancaire mondial ? A mesure que la situation se dégrade sur le marché du logement américain – “un déclin sans précédent depuis la Grande Dépression” de 1929, estime la banque américaine Wells Fargo –, les banques révisent en hausse le montant de leurs pertes. Celles-ci atteignent désormais un montant cumulé de 65,3 milliards de dollars (44,3 milliards d’euros), dont les trois quarts pour les banques américaines (48 milliards de dollars).

Pris dans la tourmente, le numéro un mondial, Citigroup, a déjà dû rayer près de 16 milliards de dollars de valeur dans ses livres. Il pourrait subir 15 milliards de dollars de dépréciations d’actifs supplémentaires, selon les calculs de sa rivale américaine Goldman Sachs.

Cette inflation arithmétique affole les boussoles. Depuis quelques jours, les économistes employés par les grandes institutions financières revoient à la hausse leurs prévisions du coût de la crise pour les années à venir. Après l’estimation de 400 milliards de dollars calculée par la Deutsche Bank fin octobre, un chiffre fondé sur des hypothèses économiques déjà pessimistes, Goldman Sachs pousse aujourd’hui le curseur à 2 000 milliards de dollars.

C’est plus que le produit national brut (PNB) de l’Italie (1 724,9 milliards de dollars en 2005) et presque autant que celui de la France (2 177,7 milliards). Pour mémoire, aux débuts de la crise financière, cet été, la Réserve fédérale américaine (Fed) en avait chiffré l’impact à 100 milliards de dollars.

Ces nouveaux chiffrages, bâtis sur des scénarios catastrophes, s’efforcent d’anticiper au maximum les effets de la crise partie des Etats-Unis. Ils agrègent des pertes directes (crédits immobiliers impayés) et indirectes (importantes pertes de valeurs sur des instruments financiers adossés à ces crédits, activité bancaire au ralenti etc.), déjà constatées comme à venir.

UN SECTEUR FORTEMENT CAPITALISÉ

Ainsi, pour parvenir à son chiffrage de 2 000 milliards de dollars, Goldman Sachs a considéré qu’une perte d’un dollar sur un crédit hypothécaire entraîne une diminution de dix dollars sur la production de crédits nouveaux. Ce calcul répond à une logique simple : moins les banques gagnent d’argent, moins elles en prêtent. Toute crise entraîne un effet de rationnement du crédit.

Bien que ces chiffrages soient sujets à caution – la plupart des modèles économiques des banques restant bâtis sur une crise à 200 milliards de dollars –, ils posent la question de la capacité de résistance du secteur bancaire mondial à une crise financière violente et durable. Pourrait-il affronter un tel choc ? Quelles en seraient les conséquences ?

D’un point de vue global, l’inquiétude n’est pas de mise. Pour violente qu’elle soit, la crise n’a altéré, à ce jour, que les résultats des banques sans entamer leurs fonds propres. Même si cela devait être le cas, le niveau élevé de capitaux du secteur bancaire a de quoi rassurer.

Selon l’éditeur d’informations économiques Bureau van Dijck, qui développe l’outil Bankscope, sur les 1 000 plus grandes banques mondiales, 467 possèdent des données exploitables. Elles affichent ensemble 4 427 milliards de dollars de fonds propres, un confortable coussin de sécurité face à une crise même coûteuse. Cela, bien sûr, n’exclut pas des accidents et des défaillances localisées, d’établissements spécialisés de taille modeste.

Les autorités bancaires européennes sont sereines face à ce qu’elles ne qualifient pas encore de crise financière mais de “correction significative des marchés”. Certes, la brutalité avec laquelle la crise de liquidités de l’été s’est manifestée en Europe – obligeant la Banque centrale européenne (BCE) à injecter de l’argent pour rétablir la confiance – a surpris les banquiers les plus expérimentés.

Mais la bonne santé des banques les rassure : la crise intervient à un moment où celles-ci ne sont jamais aussi bien portées. Au prix d’importantes restructurations et de fusions depuis dix ans, elles ont renforcé leur capacité de résistance.

“La rentabilité des banques s’est encore améliorée en 2006, notamment pour les moyennes et les grandes”, relève la BCE dans un rapport sur la stabilité bancaire paru le 14 novembre. Pour la BCE, “la forte rentabilité des banques (…), ainsi que le renforcement de leur solvabilité, feront office d’amortisseurs face à d’éventuelles pertes, prévues ou pas”.

RISQUES ACCRUS

Ce discours n’empêche pas la BCE de rester prudente. “Les risques à court terme se sont accrus (…), les interrogations des marchés sur les prévisions de résultats aussi, avertit la BCE, ces problèmes pourraient être aggravés par des développements inattendus sur le marché des crédits hypothécaires américains (…).”

La même analyse prévaut dans les agences de notation. Tout en s’attendant à “d’importantes fluctuations des résultats trimestriels” après des années records, Arnaud de Toytot chez Standard and Poor’s juge “les banques robustes” et “leur capacité de résistance solide”.

S’agissant de la France, Stéphane LePriol de Moody’s voit les banques “bien armées pour affronter une crise, étant solidement capitalisées et dotées de modèles d’activités équilibrés”. Il parle d’“une crise gérable, en regard d’une exposition limitée aux risques, sauf si celle-ci devait s’aggraver et s’étendre à d’autres actifs”.

Moody’s a soumis toutes les banques françaises à des “stress-tests” et, rapporte M. Le Priol, “même dans le pire des cas [si toutes les activités souffraient], toutes retrouveraient, dès juin 2008, c’est-à-dire en un an, leur niveau de solvabilité de juin 2007”.

http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3234,36-980255,0.html?xtor=RSS-3208

15 000 Soldats américains tués

Article lié :

Rakk

  19/11/2007

Le pentagone vient de “craquer” devant l’enquête de CBS, et reconnait que le nombre de soldats US tués par la guerre en Irak dépasse les 15 000 hommes !!

http://www.presstv.com/Detail.aspx?id=31710&sectionid=3510304

Récapitulons...

Article lié : Le retrait d’Afghanistan est-il en train de devenir une option?

Pierre M. Boriliens

  19/11/2007

1 libération du Koweit
2 chasse à Ben Laden et aux Talibans en Afghanistan
3 chasse aux armes de destruction massive et rétablissement de la démocratie en Irak
4 projet de chasse à la bombe atomique en Iran

On peut faire (au moins) 2 hypothèses :
1 Les Etats-Unis ont une grande obstination à défendre les opprimés et les “grandes valeurs de la civilisation”
2 Les Etats-Unis tâchent de faire main basse sur le Golfe Persique (son pétrole, évidemment) et d’empêcher quiconque (la Chine, par exemple) de tenter d’en faire autant, lorsque le besoin s’en manifestera dans toute son ampleur…

Les esprits prompts à secourir les Etats-Unis répondront assurément que l’un n’empêche pas l’autre… Sauf qu’en pratique, c’est-à-dire dans la réalité...

L’examen attentif d’une carte de la région, avec l’oeil d’un stratège militaire (conventionnel, parce que s’agissant de pétrole, ce ne serait pas très efficace d’utiliser un armement qui rendrait la région invivable), est assez éloquent.

Il est fort à parier que les Etats-Unis ne quitteront ni l’Afghanistan, ni l’Irak (sur ce dernier point l’affaire semble d’ailleurs entendue, à en juger par les milliers de milliards de budget prévu).

Par conséquent, quiconque (et particulièrement la Grande-Bretagne) aurait des velléités d’abandonner le combat, même pour d’excellentes raisons, risque fort de tomber immédiatement en disgrâce (voire pire). Quel sera le prix à payer pour éviter cette sanction ?

on n'arrête pas le progrès!

Article lié :

miquet

  19/11/2007

La Géorgie serait-elle le premier pays au monde à avoir utilisé le dernier cri de la technologie américaniste de “sécurité” contre sa population? Etant le deuxième pays derrière Israël pour les montants de l’aide américaine reçue, on sait maintenant au mois en partie comment ces montants ont été dépensé...

Et par ailleurs, qui sera le premier à utiliser l’appareil décrit dans le deuxième article ci-dessous?

Géorgie: la police a utilisé la force acoustique contre les manifestants

MOSCOU, 19 novembre - RIA Novosti. La police géorgienne a utilisé un système acoustique spécial destiné à générer un état de panique afin de disperser les manifestations de l’opposition à Tbilissi le 7 novembre dernier, a annoncé dimanche la chaîne russe NTV.

Les images diffusées montrent un groupe de policiers à bord d’une Jeep manipulant un instrument hexagonal fixé sur une base rotative, orienté vers un groupe de manifestants qui prend la fuite.

“Les unités des forces spéciales américaines ont employé un système semblable au cours des opérations militaires en Irak. Le 7 novembre, ce système a été utilisé par les commandos spéciaux de la police géorgienne afin de disperser une manifestation pacifique à Tbilissi”, a commenté un expert sous couvert d’anonymat.

Selon la chaîne, ce système, dont le principe est basé sur l’émission d’une impulsion sonore mille fois supérieure au seuil tolérable, est produit par une compagnie américaine.

“Le système provoque une forte douleur auditive, une sensation de peur incontrôlée et de panique. Ce son est tellement fort qu’il est impossible de s’y soustraire, même en se bouchant les oreilles. Selon certains spécialistes, l’utilisation de ce système peut provoquer des troubles psychiques”, a indiqué l’expert.

Cet instrument, mis au point après l’adoption des conventions internationales sur les armements, n’est interdit par aucune d’entre elles.

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We test US army’s new secret weapon

Michael Hanlon – Daily Mail September 18, 2007

“Where do I put my finger? There ... OK? Nothing’s happening ... is it on?” - “Yes, it’s on. Move your finger a bit closer.”

“Er ... ow! OW!” Not good. I try again. “OOWW!” I pull my hand away sharpish. My finger is throbbing, but seems undamaged.

I was told people can take it for a second, maximum. No way, not for a wimp like me.

I try it again. It is a bit like touching a red-hot wire, but there is no heat, only the sensation of heat. There is no burn mark or blister.

Its makers claim this infernal machine is the modern face of warfare. It has a nice, friendly sounding name, Silent Guardian.

I am told not to call it a ray-gun, though that is precisely what it is (the term “pain gun” is maybe better, but I suppose they would like that even less).

And, to be fair, the machine is not designed to vaporise, shred, atomise, dismember or otherwise cause permanent harm.

But it is a horrible device nonetheless, and you are forced to wonder what the world has come to when human ingenuity is pressed into service to make a thing like this.

Silent Guardian is making waves in defence circles. Built by the U.S. firm Raytheon, it is part of its “Directed Energy Solutions” programme.

What it amounts to is a way of making people run away, very fast, without killing or even permanently harming them.

That is what the company says, anyway. The reality may turn out to be more horrific.

I tested a table-top demonstration model, but here’s how it works in the field.

A square transmitter as big as a plasma TV screen is mounted on the back of a Jeep.

When turned on, it emits an invisible, focused beam of radiation - similar to the microwaves in a domestic cooker - that are tuned to a precise frequency to stimulate human nerve endings.

It can throw a wave of agony nearly half a mile.

Because the beam penetrates skin only to a depth of 1/64th of an inch, it cannot, says Raytheon, cause visible, permanent injury.

But anyone in the beam’s path will feel, over their entire body, the agonising sensation I’ve just felt on my fingertip. The prospect doesn’t bear thinking about.

“I have been in front of the full-sized system and, believe me, you just run. You don’t have time to think about it - you just run,” says George Svitak, a Raytheon executive.

Silent Guardian is supposed to be the 21st century equivalent of tear gas or water cannon - a way of getting crowds to disperse quickly and with minimum harm. Its potential is obvious.

“In Iraq, there was a situation when combatants had taken media as human shields. The battalion commander told me there was no way of separating combatants from non-combatants without lethal force,” Mr Svitak tells me.

He says this weapon would have made it possible because everyone, friend or foe, would have run from it.

In tests, even the most hardened Marines flee after a few seconds of exposure. It just isn’t possible to tough it out.

This machine has the ability to inflict limitless, unbearable pain.

What makes it OK, says Raytheon, is that the pain stops as soon as you are out of the beam or the machine is turned off.

But my right finger was tingling hours later - was that psychosomatic?

So what is the problem? All right, it hurts, but then so do tear gas and water cannon and they have been used by the world’s police and military for decades.

Am I being squeamish?

One thing is certain: not just the Silent Guardian, but weapons such as the Taser, the electric stun-gun, are being rolled out by Britain’s police forces as the new way of controlling people by using pain.

And, as the Raytheon chaps all insist, you always have the option to get out of the way (just as you have the option to comply with the police officer’s demands and not get Tasered).

But there is a problem: mission creep. This is the Americanism which describes what happens when, over time, powers or techniques are used to ends not stated or even imagined when they were devised.

With the Taser, the rules in place in Britain say it must be used only as an alternative to the gun. But what happens in ten or 20 years if a new government chooses to amend these rules?

It is so easy to see the Taser being used routinely to control dissent and pacify - as, indeed, already happens in the U.S.

And the Silent Guardian? Raytheon’s Mac Jeffery says it is being looked at only by the “North American military and its allies” and is not being sold to countries with questionable human rights records.

An MoD spokesman said Britain is not planning to buy this weapon.

In fact, it is easy to see the raygun being used not as an alternative to lethal force (when I can see that it is quite justified), but as an extra weapon in the battle against dissent.

Because it is, in essence, a simple machine, it is easy to see similar devices being pressed into service in places with extremely dubious reputations.

There are more questions: in tests, volunteers have been asked to remove spectacles and contact lenses before being microwaved. Does this imply these rays are not as harmless as Raytheon insists?

What happens when someone with a weak heart is zapped?

And, perhaps most worryingly, what if deployment of Silent Guardian causes mass panic, leaving some people unable to flee in the melee? Will they just be stuck there roasting?

Raytheon insists the system is set up to limit exposure, but presumably these safeguards can be over-ridden.

Silent Guardian and the Taser are just the first in a new wave of “non-lethal” weaponry being developed, mostly in the U.S.

These include not only microwave ray-guns, but the terrifying Pulsed Energy Projectile weapon. This uses a powerful laser which, when it hits someone up to 11/2 miles away, produces a “plasma” - a bubble of superhot gas - on the skin.

A report in New Scientist claimed the focus of research was to heighten the pain caused by this semi-classified weapon.

And a document released under the U.S. Freedom of Information Act talks of “optimal pulse parameters to evoke peak nociceptor activation” - i.e. cause the maximum agony possible, leaving no permanent damage.

Perhaps the most alarming prospect is that such machines would make efficient torture instruments.

They are quick, clean, cheap, easy to use and, most importantly, leave no marks. What would happen if they fell into the hands of unscrupulous nations where torture is not unknown?

The agony the Raytheon gun inflicts is probably equal to anything in a torture chamber - these waves are tuned to a frequency exactly designed to stimulate the pain nerves.

I couldn’t hold my finger next to the device for more than a fraction of a second. I could make the pain stop, but what if my finger had been strapped to the machine?

Dr John Wood, a biologist at UCL and an expert in the way the brain perceives pain, is horrified by the new pain weapons.

“They are so obviously useful as torture instruments,” he says.

“It is ethically dubious to say they are useful for crowd control when they will obviously be used by unscrupulous people for torture.”

We use the word “medieval” as shorthand for brutality. The truth is that new technology makes racks look benign.
http://www.dailymail.co.uk/pages/live/articles/technology/technology.html?in_article_id=482560&in_page_id=1965

Des roupies OUI, des dollars NO !

Article lié :

Aguire

  19/11/2007

Dollar no longer welcome at Taj Mahal
By Andrew Buncombe in Delhi
Published: 19 November 2007

The Taj Mahal may have been built as a testament to love but some hard-headed business decisions are now holding sway at India’s most famous monument. First among them is that the US dollar is no longer welcome.

With parts of the American economy in turmoil and the dollar rapidly losing its long-held position as the currency of choice, Indian authorities have calculated they are losing considerable sums of money by allowing foreign tourists to pay using greenbacks.

A statement by India’s Ministry for Tourism and Culture said the government had decided to act “in view of the international practices and also to avoid any anomaly on account of falling exchange rates of the US dollar vis-a-vis the rupee and the consequent fall in revenues”.

Until the change, foreign tourists visiting the Taj Mahal in Agra, south-west of Delhi, could enter by paying a fixed $5 (£2.45) fee – a price that was set when the dollar was worth around R50. But with the dollar having fallen by 12 per cent this year against the rupee and the current exchange rate closer to R39 to the dollar, the government has now fixed the entry price for foreigners at R250 – more than $6.

“These rates have been fixed in line with international practices,” a ministry spokesman said. “It will avoid any anomaly on account of falling dollar-rupee exchange rates.”

The ruling will affect around 120 sites overseen by the Archaeological Society of India, of which 27 – including the Taj Mahal – are World Heritage sites. The new rates are expected to be introduced as soon as this week to avoid a loss of income as the value of the dollar continues to fall.

Indians pay around R10 or R20 to enter the archaeological sites, a disparity often questioned by foreign visitors but defended by the authorities, who say most overseas visitors are considerably wealthier than the locals.

At the moment, nationals from the South Asian Association for Regional Co-operation also do not have to pay the higher fee. Neither do foreigners holding a Person of Indian Origin card. But if India’s economic boom – with growth of more than 8 per cent a year and a newly wealthy middle class – continues, the authorities may have to rethink the pricing structure.

The snub to the dollar by the Indian authorities is just the latest indication of how many are now turning away from what for generations was considered the safest of the world’s currencies. After months of turmoil, partly created by the collapse of the sub-prime mortgage markets in the US, the lack of confidence in the dollar has reached the point where many international traders are transferring their wealth to stronger currencies such as sterling or the euro.

India earned an estimated $6.5bn last year from the more than four million tourists who visited the country, many of whom will have made the journey to the Taj Mahal to visit India’s most famous – and now, probably most expensive – monument.

La Maison-Blanche sacrifiera-t-elle la Ve flotte...

Article lié :

Ursulon

  18/11/2007

Lire cet article paru sur le site du Réseau Voltaire :

http://www.voltairenet.org/article153012.html

C’est assez “hénaurme” mais, après tout…

Quelqu’un connaît-il Michael Salla, son auteur ?