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• Les services de renseignement extérieur russes ont identifié et localisé l’ensemble d’un complexe militaro-industriel ukrainien, fabriquant une fusée balistique qui devait (avait pour mission) de lancer une immense opération de provocation. • L’ensemble a été pulvérisé au cours d’attaques massives (missiles, drones, le toutim habituel). • Ainsi a été éliminé ce qui devait sans doute servir d’instrument principal pour faire échouer la rencontre entre Trump et Poutine et provoquer une relance catastrophique de la confrontation.
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Les services de renseignement extérieur russes, le FSB qui a pris en charge une partie du travail (l’extérieur) du KGB a réussi un coup remarquable en identifiant et en localisant le centre de production de missiles balistiques ukrainiens (avec l’aide allemande) ‘Sapsan’ d’une portée d’environ 700 kilomètres. Les Ukrainiens préparaient une intervention profonde en Russie, sans doute au moment de la rencontre Poutine-Trump d’Anchorage, compromettant complètement celle-là avec l’aide du parti de la guerre US, Lindsey Graham en tête, qui entende (entendait) réclamer aussitôt cette attaque effectuée la rupture des pourparlers.
L’importance de l’opération est mise en évidence par l’intervention publique du FSB, donnant tous les détails de cette opération qui a abouti à la destruction complète du complexe de production du ‘Sapsan’. RT.com a largement couvert l’événement, avec vidéos, photos satellites fournies par le FSB.
« Les forces russes ont frappé quatre installations industrielles de défense ukrainiennes produisant des systèmes de missiles longue portée, causant des dégâts “colossaux” et paralysant le programme de missiles national de Kiev, a déclaré le Service fédéral de sécurité (FSB).
» Dans un communiqué publié jeudi, le FSB a indiqué que l'opération menée par l'agence et le ministère russe de la Défense visait des usines chimiques et mécaniques à Pavlograd, dans la région de Dneptropetrovsk, ainsi que l'usine ‘Zvezda’ et l'Institut national de recherche scientifique sur les produits chimiques à Chostka, dans la région de Soumy.
» L'impact des frappes a été confirmé par des images satellite et des renseignements de sources ouvertes, a-t-il ajouté.
» Le FSB a déclaré que l'Ukraine, avec l'autorisation de l'OTAN, prévoyait d'utiliser des missiles longue portée Sapsan pour des frappes en profondeur sur le territoire russe. “Grâce aux efforts conjoints du FSB et des forces armées russes, les plans du programme de missiles ukrainien ont été déjoués”, a ajouté le communiqué. »
L’agence a donc qualifié de “colossaux” les dégâts causés au complexe militaro-industriel ukrainien, affirmant qu'ils dépassaient de loin l'opération “Spiderweb” de Kiev, qui avait visé l'aviation stratégique russe début juin.
Le missile ‘Sapsan’ est un missile balistique tactique ukrainien doté d'une ogive d'environ 480 kg. Il peut atteindre une vitesse de plus de 6 000 km/h dans sa phase balistique (ralentissement à l’entrée dans l’atmosphère, ce qui n’en fait évidemment pas un hypersonique) et sa portée est estimée à 700 km. Le FSB a publié une carte indiquant la portée du ‘Sapsan’, une grande partie de l'ouest de la Russie, y compris Moscou, se trouve dans la zone de destruction.
En mai, le chancelier Friedrich Merz avait annoncé que l'Allemagne financerait la production ukrainienne de missiles à longue portée, sans toutefois préciser le type d'arme. Le ministère allemand de la Défense avait également déclaré à l'époque qu'investir dans la production ukrainienne permettrait à Kiev de disposer d'un nombre « substantiel » d'armes à longue portée cette année.
En juillet, le Major General Christian Freuding, nouveau chef d’état-major des forces armées mis à ce poste par Mertz pour sa russophobie sans aucune réserve, nous avait expliqué le programme :
« L'Ukraine recevra ce mois-ci des armes à longue portée financées par l'Allemagne, selon le Général de division Christian Freuding
» Le soutien de Berlin à l'industrie militaire de Kiev attise le conflit avec Moscou et entrave les efforts de paix, a déclaré la Russie. »
Il semble que le programme ait été lancé dans le courant 2024, un document dérobé à un laboratoire clandestin révélant qu’en décembre 2024 l’Ukraine jugeait possible dz disposer du premier exemplaire opérationnel en juin 2025 (article du ‘Times’ du 24 novembre 2024). L’idée des Ukrainiens était, par menace de frappes, de forcer la Russie à réduire ses exigences en matière de démilitarisation de l’Ukraine, cela ouvrant la voie à d’autres compromis. Une source du FSB dit à Tass que dès l’origine, l’Allemagne et d’autres agents étrangers ont joué un rôle essentiel dans le lancement et le développement du programme.
« En mai 2025, le chancelier Friedrich Merz a annoncé que l'Allemagne financerait la production ukrainienne de missiles à longue portée… Le ministère allemand de la Défense a également déclaré à l'époque qu'investir dans la production ukrainienne permettrait à Kiev de disposer d'un nombre “substantiel” d'armes à longue portée en 2025.»
Les buts recherchés par les Européens étaient aussi divers qu’évidents :
• Pour entretenir la guerre et faire se poursuivre l’escalade, aucun Européen n’était très chaud pour un engagement direct. Les Allemands n’avaient rien, les Franco-Anglais avaient mais voulaient garder pour eux, les autres, – s’il y en a, – avaient tout simplement pour. Donc, le meilleur moyen était de faire fabriquer ses missiles par les ukrainiens eux-mêmes. L’escalade oui ; les risques non...
Andrew Korybko a fait un texte sur cette affaire. Il la juge comme très importante et estime que le FSB nous a véritablement sauvé d’un très possible sinon probable enchainement vers la guerre, à l’occasion du sabotage du sommet d’Anchorage.
« Ni les Européens (à l'exception de la Hongrie et de la Slovaquie) ni les Ukrainiens ne souhaitent la fin de la guerre par procuration contre la Russie, et encore moins par des concessions à celle-ci. C'est pourquoi l'UE, dirigée par l'Allemagne (et peut-être le Royaume-Uni, ainsi que des éléments antirusses de l'« État profond » américain) ont cherché à aider l'Ukraine à développer ces missiles. Ce complot était mené parallèlement à l’action des bellicistes comme Lindsey Graham qui manipulaient Trump pour le pousser à s'engager dans une mission inconsidérée, afin de lui servir de plan de secours au cas où il finirait par les défier et « devenir un voyou ». C'est précisément ce qu'il semble avoir fait concernant son projet d'accueillir Poutine vendredi. Mais avec le programme de missiles ukrainien en ruine suite à l'opération du FSB, la seule escalade à laquelle Zelenski pourrait désormais recourir serait une attaque sous fausse bannière. Même s'il mettait à exécution le complot contre lequel le ministère russe de la Défense avait mis en garde, cela pourrait ne pas suffire à faire dérailler leurs négociations comme l'aurait fait le scénario des missiles. Le FSB aurait ainsi sauvé le processus de paix et, par conséquent, le changement fondamental des équilibres mondiaux. »
En annexe et pour passer un bon week-end du 15 août, on écoutera l’excellent sénateur Graham, – l’un des chefs-comploteurs de la fin du monde et promoteur de la concorde mondiale des choses (sans compter ses communications avec Dieu ordonnant aux USA d’armer Israël), – dérouler une gracieuse courbe de type colombe pas trop effarouchée, reconnaissant que s’il faut découper en tranches la Russes, c’est tout de même « une très bonne chose que Trump rencontre Poutine en Alaska et entretienne de bonnes relations avec lui. »
Il est vrai et il faut dire, car cela se paie, que Trump a promis de venir soutenir la campagne de réélection de Graham au Sénat, en Caroline du Sud, – tiens, et pourquoi pas demander à Poutine également son soutien ? Tiens (encore), c’est la première fois que Graham fait appel au poids super-lourd qu’est le président pour booster sa réélection en Caroline du Sud.
Le rôle joué par les Allemands dans cette affaire est absolument stupéfiant, comme si Merz avait été choisi dans un concours du Rien et du Vide, comme le fulgurant meilleur de tous. En plus, aussi grand qu’une aubergine montée sur panzer (ou qu’une saucisse montée sur Francfort) : il est inutile qu’il laisse pousser sa petite et fameuse moustache, il ne fait pas le poids mais on le voit de loin. Les Allemands ont, avec lui, tiré le gros lot d’une grande hauteur.
Ce qu’il y a de plus consternant, c’est le résultat de l’addition de la lourdeur pseudo-démocratique allemande, de la soumission agressive à l’autorité américaniste avec cirage de pompes permanent, de l’acquiescement allemand empressé à la stupidité arrogante des globaliste appliqués à une vision complètement perverse de la situation, enfin des réelles possibilités de la caricature postmoderne d’une Prusse complètement invertie en une auto-flagellation aussi cruelle que le modèle nazi qu’elle veut continuer à condamner en se ralliant à ses restes ukronazis. Si c’est cela le haut personnel de Blackrock (Merz pour l’Europe) reconverti dans la dictature postmoderniste, alors il faut conclure que « l’effet Dunning-Kruger » tourne à plein régime et que les directeurs de conscience de notre néantisation sont encore notablement plus cons que ceux auxquels Audiard pensait.
Nous dirons que c’est notre chance, – mais encore faut-il la mériter et la tenter en cessant de pleurnicher avec colère et de s’apitoyer sur nous-mêmes et sur notre incapacité (voulue ?) de riposter à cause de notre endormissement par les méchants globalistes pourtant si néantisés et nullissimes de défaite en défaite et de Trump 0.1 en Trump 0.2. Cette attitude est une des spécialités de ls “résistance” française qui est à peu près de la même valeur que celui qu’elle veut abattre, – le citoyen au genre imperceptible, dit-Macron, – un peu comme Nietzsche haïssait Flaubert. Cela s’appelle, à la façon d’un ‘Bouvard & Pécuchet’ un peu grivois : “Du gout d’être enculé en gémissant ‘Aïe, ça fait mal mais c’est si bon’”. Ces brillantes élitesSystème françaises du XXIème siècle ont super-postmodernisé la collaboration des “années sombres” en l’intitulant “résistance” ; imperturbable, la manœuvre se poursuit.
Note de PhGBis : « Après tout, ce n’est qu’un hommage involontaire rendu à la vérité de nos “années sombres”. La gauche française, communiste jusqu’en juin 1941et la non-communiste très longtemps, avait fourni les gros bataillons des collabos et autres vichyssois avant de se refaire une vertu, peinte en bleu-blanc-rouge par le général, dans une résistance organisée dès 1940 par la droite extrême française, maurrassienne, cagoularde et royaliste – comme chacun l’ignore, évidemment. On peut donc dire que l’UE européiste est bien le successeur énamouré du IIIème Reich de l’Adolf, peinturluré en IVème Reich autour de la Fuehrine van der LaHyène. Tout cela fait un bon plan, l’homosexualité de Lindsey Graham cadrant parfaitement avec les origines “rose-brun” d’une partie importante du ,nazisme. »