Francis Lambert
30/10/2010
Dès 2008 : “l’expression du citoyen via les blogs comme un danger” (...) De Crem s’est depuis ce jeudi fait une belle tripotée d’opposants dans la blogosphère belge, qui réplique à sa manière…
http://www.balencourt.com/blog/2008/11/28/pieter-de-crem-les-blogs
Et en flamand :
http://www.freaky.be/blog/2008/11/28/bloggers-zijn-gevaarlijk/
De blogoorlog tussen de Nederlandse shocklog Geenstijl.nl en minister van Defensie Pieter De Crem gaat gewoon door.
http://www.hln.be/hln/nl/957/Belgie/article/detail/527646/2008/12/04/Nederlandse-shocklog-maakt-spotlied-over-De-Crem.dhtml
Again it shows that a media-training just isnt enough to safeguard your reputation, if youre not confident about your 2.0 plan of defense .. let us know
http://www.publicrelated.be/2008/11/crembo-defense20-fail/
http://hetgrootverstand.blogspot.com/2008/11/de-crem-in-ny-de-eerste-fotos.html
Pieter de Crem: réfléchir? pas du tout! (video)
http://www.youtube.com/watch?v=DYIJIVqc5bY
pierre vaudan
29/10/2010
sur le site sioniste JSS.org, on peut lire ceci:
Un Tea Party anti-Obama et anti-Netanyahu à Tel-Aviv.
Barack Obama continu dêtre la cible principale de la droite israélienne, suite à la création dun Tea Party local, avec la seule ambition de «dire non à Obama».
Le nouveau mouvement, qui sest inspiré du succès des conservateurs américains, est dirigé par membres mécontents du Likoud. Il donnera son premier meeting à Tel-Aviv dimanche et a déjà déclaré que sa cible était le Président américain, dont lappel pour le gel des constructions juives de Judée-Samarie, a provoqué la colère des habitants de ces régions et un taux de chômage en hausse chez les palestiniens.
Selon Michael Kleiner, ancien député du Likoud, lune des forces motrice du mouvement, «La politique actuelle dObama envers Israël ressemble à lattitude des britanniques aux États-Unis du XVIIIème siècle, qui a provoqué la création des Tea Parties de Boston.»
«Nous pensons que le président Obama essaie de nous forcer à faire des choses que la plupart des Israéliens pensent êtres très dangereuses» a déclaré Kleiner. «Nous sommes victimes de chantage. Sacrifier notre sécurité et nos intérêts vitaux. Cest sans précédent. Nous croyons également que Netanyahu est faible et quil cédera sur le gel.»
Le rassemblement de dimanche, auquel plusieurs députés participeront sera, selon Kleiner, le même mouvement qui «a fait tomber Netanyahu en 99».
http://jssnews.com/2010/10/28/un-tea-party-anti-obama-et-anti-netanyahu-a-tel-aviv/
Ni ANDO
29/10/2010
Julian Assange a récemment promis de publier bientôt sur Wikileaks des séries de documents confidentiels sur la Russie et sur la Chine. Que l’on attend avec intérêt (qu’il n’oublie pas la France !). On voit à cela qu’il n’est point seulement le pourfendeur maniaque du régime de Washington, mais plutôt un trublion utile qui retourne contre le système à la fois sa technologie et le miroir qui révèle toutes les béances de ses “valeurs” en carton-pâte.
Ilker de Paris
28/10/2010
C’est un des signes de l’échec d’Obama que ce retour de l’hystérie à la néocon, hystérie dont le rejet avait pourtant permis son élection.
On aura donc droit à un retour des néocons, eux ont moins de scrupules, et appliqueront des politiques extrémistes, Obama lui aura tout manqué.
Jean-Paul Baquiast
28/10/2010
Le « triomphe » qu’affiche sans vouloir trop le manifester le président et la majorité au pouvoir en France, à la suite du vote de la loi sur les retraites, s’accompagne d’une profonde amertume chez tous ceux, salariés, retraités, jeunes des classes moyennes et populaires qui avaient voulu exprimer leur exaspération devant ce qu’il faut bien appeler le gouvernement de l’internationale des riches et des puissants.
Je pense qu’une même exaspération suivie plus tard d’une même amertume, s’exprimera lors des élections américaines. Sous quelles formes? Nous comptons sur DeDefensa pour nous le dire.
Pour moi la question se complique d’une autre. Les forces au pouvoir utilisent, désormais, non seulement les médias traditionnels mais aussi les nouvelles technologies pour susciter une opinion qui leur soit favorable. Les oppositions, notamment au niveau des lycéens et étudiants, tentent de le faire aussi, mais avec des moyens infiniment plus faibles. D’où une nouvelle exaspération, un sentiment diffus d’étouffement. La tentation est grande pour beaucoup de non seulement descendre dans la rue mais de tout bloquer. La plupart savent que l’internationale des riches et des puissants (je reprends le terme, auquel il faudra s’habituer) finirait en ce cas par l’emporter et qu’au mieux ils se retrouveront fichés à vie comme asociaux. La majorité au pouvoir espère donc qu’ils ne feront donc rien même pas voter contre elle puisque si en France un DG du FMI remplaçait un Sarkozy, si aux Etats-Unis des Républicains ou des Tea Parties remplaçaient les Démocrates, le changement ne sera que de façade.
Pourtant la question reste posée et reste posée en termes de manifestations dans le système technologique global de communication et d’expression. Comment peut évoluer une société hautement technologique dont une majorité des acteurs de la base sont exaspérés contre ceux qui les représentent? En quoi ce système de communication et d’expression intervient-il pour générer un « global mood » cohérent et actif, qu’il soit de soumission ou d’exaspération.
Jean-Paul Baquiast
28/10/2010
Ce texte sera mis à jour en fonction des réactions reçues sur le site http://www.admiroutes.asso.fr/larevue/2010/111/geostrategie.htm
Merci à DeDéfensa pour son accueil
Vincent .
27/10/2010
@ cospas
Il est inexact de dire que seul le FN souhaite rendre à la France le droit de battre monnaie. Le Parti de gauche aborde aussi ce sujet et les souverainistes également. En fait, seuls les partis légalistes UMP-PS évitent le sujet.
Quant à lyncher le nabot et son gang, je pense que c’est dans l’esprit de beaucoup de Français si l’on en croit la recrudescence de “Robespierre” sur les forums. Ce pseudo est à la mode et de plus en plus employé ...
Il s’agit désormais de se réunir et de s’organiser sans se tromper d’ennemis. Les neuneus des partis de droite ou de gauche présentés comme ” extrêmes” par le système médiatique se dénigrent trop souvent l’un et l’autre, au lieu de tirer groupé sur la vraie source de leurs maux.
Ilker de Paris
27/10/2010
Dans le meme esprit, un article d’un journaliste du Monde “attaque” Assange qu’il “accuse” de faire du cinéma. Les attaques sont dérisoires face a ce qui est révélé, mais ici c est le dérisoire qui l’emporte et l essentiel (la barbarie revelée) est relégué au rang de décor.
Le titre est également assez remarquable : “WikiLeaks : silence, on tourne”. “Silence”.. c est là très certainement un vu de ce genre de presse empressée d’enterrer une affaire qui constitue un point de rupture dans la logique d’un discours quasi-automatique.
En tout cas, la petitesse de la réaction démontre le peu d’estime que cette presse s’accorde, c est presque comique a force d’ être dérisoire.
jean-marc solalbe
27/10/2010
C’est le US marine le plus décoré de l’histoire, le général Smedley Butler, qui donne, en 1934, l’expression la plus cinglante de cette histoire :
“Jai effectué 33 ans et 4 mois de service actif, et durant cette période, jai passé la plupart de mon temps en tant que gros bras pour le monde des affaires, pour Wall Street, et pour les banquiers. En bref, jétais un racketteur, un gangster au service du capitalisme. Jai aidé à sécuriser le Mexique, plus particulièrement la ville de Tampico, au profit des groupes pétroliers américains en 1914. Jai aidé à faire de Haïti et de Cuba un endroit convenable pour que les hommes de la National City Bank puissent y faire des profits. Jai aidé au viol dune demi-douzaine de républiques dAmérique centrale au bénéfice de Wall Street. Jai aidé à purifier le Nicaragua au profit de la banque américaine Brown Brothers de 1902 à 1912. Jai apporté la lumière en République Dominicaine au profit des entreprises sucrières américaines en 1916. Jai livré le Honduras aux entreprises fruitières américaines en 1903. En Chine, en 1927, jai aidé à ce que lentreprise Standard Oil fasse ses affaires en paix.”
“Quand je repense à tout ça, je pourrais donner à Al Capone quelques conseils. Le mieux quAl Capone pouvait faire, cétait de racketter trois quartiers. Moi, jagissais sur trois continents.”
Dominique Larchey-Wendling
26/10/2010
Tout ceci confirme l’analyse de Guilietto Chiesa (cf film Zero, enquête sur 9/11) : “The Empire is the corporate media”
laurent juillard
26/10/2010
Pour ma part, j’ai plutot fait le rapprochement avec la situation irakienne.
Là bas aussi il y a blocage au démarrage de l’assemblée legislative depuis plusieurs mois du fait du désordre installé par l’invasion américaine.
exemple typique d’arroseur arrosé.
Jean-Paul Baquiast
25/10/2010
On constate une étrange similitude entre la situation américaine et la situation française. Je reprends les termes de Philippe Grasset, en en changeant seulement quelques termes
“Le processus politique français est un jeu institué pour sauvegarder lapparence démocratique dun mécanisme destiné à pérenniser le pouvoir de lestablishment. Pour bien jouer le jeu, il faut que tous les participants acceptent den respecter les règles. On comprend que les circonstances, le climat politique, autant que les spécificités très différentes des acteurs du processus, conduisent à une situation où sans doute jamais cette garantie (jouer le jeu) na été aussi menacée. On ne parle pas ici dune vertu quelconque montant à lassaut de ce système, on parle du désordre des tensions diverses, de candidats incontrôlables avec leurs propres idées et leurs ambitions, du discrédit et du mépris extraordinaires qui caractérisent le sentiment général à légard du système, y compris à lintérieur même du système par certains qui le servent mais en sont également mécontents.
Pour le moment, en France, ceux qui ne veulent plus jouer le jeu de la protection de l’establishment, ce sont les citoyens de base.
Qu’adviendra-t-il aux USA, qu’adviendra-t-il en France. Peut-être un banal retour au business as usual. Peut-être autre chose.
Jean-Paul Baquiast
25/10/2010
Sans reprendre les appels de Cospas à lyncher tel ou tel, je confirme qu’il a tout à fait raison. Il souligne un facteur auquel bien peu d’Européens sont sensibles: les intérêts économiques et financiers mondialisés ne veulent pas que l’Europe prenne conscience de la puissance que leur donnerait la monnaie unique, l’euro, pour financer ses propres investissements à partir de ses propres épargnes.
Tout a été fait notamment, à partir de la loi française peu connue du 3 janvier 1973, art. 35 sur la banque de France, dite aussi Loi Pompidou-Giscard, pour obliger les Etats à recourir aux banques privées pour couvrir leurs déficits budgétaires, même lorsqu’il s’agissait de prendre en charge des besoins d’équipements rentables. Ce texte précisait dans son article 25 que « Le Trésor public ne peut être présentateur de ses propres effets à l’escompte de la Banque de France ». Autrement dit, il ne peut créer de monnaie pour faire face à ses dépenses extraordinaires La mesure avait été présentée comme destinée à limiter les risques d’inflation et la croissance de déficits budgétaires consacrés à financer des dépenses courantes. Mais il est clair qu’en fait, elle était surtout destinée à conserver aux banques le privilège de créer de la monnaie pour l’Etat, en percevant les intérêts de ces prêts et plus directement, en conservant le pouvoir de contrôler indirectement les politiques publiques.
Ce texte a été abrogé le 4 août 1993 à l’occasion de l’entrée de la France dans la monnaie unique européenne et le transfert d’une partie des compétences de la Banque de France à la Banque centrale européenne (BCE). Mais à la demande de certains Etats-membres, plus particulièrement de l’Allemagne, l’interdit à été transféré au niveau de la BCE. La Banque européenne n’est donc pas pour le moment autorisée à racheter la dette des Etats. Ceux-ci sont obligés de s’adresser aux investisseurs privés lorsqu’ils ont besoin de capitaux. Il en résulte des pertes (en termes d’intérêts de la dette) considérables pour les Trésors publics. De plus, les budgets des Etats sont soumis en permanence au contrôle des agences de notation. Pour ne pas voir dégrader leurs notations, ce qui augmenterait le montant des intérêts à verser, les Etats s’engagent dans des politiques de réduction des dépenses publiques aux conséquences sociales et économiques désastreuses.
Ainsi, faute de pouvoir utiliser l’euro pour fortifier sa puissance, comme le font les Etats-Unis où la Federal Reserve Bank achète et vend des bons du trésor américain en fonction de la conjoncture, l’Union européenne n’offre aux citoyens des Etats européens aucune perspective les rendant sensibles à l’intérêt que représente pour eux l’appartenance à un ensemble politique doté d’une monnaie unique. Rappelons la position fermement défendue par le Nobel d’économie le regretté Emile Allais, récemment décédé, selon laquelle, il fallait redonner pleinement aux Etats la possibilité de créer de la monnaie pour financer leurs investissements stratégiques, sans passer par la monnaie de banque.
Si Philippe Grasset n’y voit pas d’inconvénient, je vous proposerai prochainement dans Ouverture libre un article faisant quelques propositions sur ces questions. Le titre en sera clair: Pour une forteresse-Europe.
CMLFdA
25/10/2010
French Debate Missile Defense Programs
By PIERRE TRAN
Defense News
25 Oct 2010
PARIS A recent statement of French support for NATOs plan to build a ballistic missile defense system for protection of national territory has sent an important policy signal that acknowledges the capability as complementary to the nuclear deterrent, defense specialists said at a high-level conference.
The conference, Missile Defense: What Are the Stakes Ahead of the Lisbon Summit, also marked a frank exchange between industry chiefs François Auque, chief executive of Astrium, the EADS space division, and Antoine Bouvier, chief executive of missile maker MBDA, as each argued the merits of his own program needs. The event was set up by conference organizer Défense & Stratégie.
Lawmaker Christophe Guilloteau, secretary of the parliamentary defense committee, opened the conference by quoting the official communiqué issued after the Oct. 15 meeting between NATO Secretary-General Anders Fogh Rasmussen and French President Nicolas Sarkozy.
Sarkozy recalled Frances support in principle for the new approach in missile defense proposed by the president of the United States and currently under debate in NATO, Guilloteau said, citing the communiqué.
A decision could be taken in Lisbon on the basis of a realistic project, adapted to the evolution of the ballistic threat posed by certain Middle East programs and accompanied by a dialogue with Russia with a view to cooperation. France could contribute to it.
As Mr. Rasmussen underlined, missile defense is designed as a complement to nuclear deterrence, and not as a substitute, he said.
The Lisbon summit, set for Nov. 19-20, brings together heads of states and governments of the 28 members of the treaty organization.
Missile defense is a subject of actuality as countries in the Middle East and around the world work on missile programs, said Maj. Gen. Philippe Houbron of the Direction Générale de lArmement (DGA) procurement office.
France has consistently pointed to its nuclear deterrent as its response to potential attack by ballistic missiles.
Indeed, until recently, Defense Minister Hervé Morin has referred to missile defense systems as a Maginot Line, the fixed defensive position that failed to protect France from German invasion at the opening of World War II.
For France, missile defense has been restricted to protection of deployed forces in theater. The French Air Force received Sept. 20 at its Luxeuil air base a first delivery of the Aster 15 SAMP/T missile battery, named Mamba, as its new air defense system.
For Louis Gautier, a conference speaker and Lyon University professor, the complementarity of missile defense to deterrence settled the doctrinal debate. Gautier was also defense adviser to ex-Prime Minister Lionel Jospin.
Even if France agrees to work on missile defense as part of the phased-adaptive approach adopted by the U.S. government, and extension of NATOs active layered theater ballistic missile defense (ALTBMD) system, questions remain about Paris contribution and industrial opportunities.
There will be competition for scarce money, Gautier said.
Missile defense will have to fight for funding against the nuclear deterrent, which consumes about 3 billion euros ($4.2 billion) of annual equipment spending, or 10 percent of the total defense budget.
And within missile defense, decisions will have to be taken on what asset Paris will contribute. Countries can contribute money or assets to the U.S. system, based on the Standard Missile-3 (SM-3).
A senior NATO official said that upgrading the command-and-control network of members under the ALTBMD program to give territorial protection would cost about $200 million over 10 years and be shared among the 28 members.
The ALTBMD system was designed for theater protection with a completion date of 2018. Houbron said the estimated 80 million to 150 million euro cost of extending the NATO ALTBMD system to provide territorial defense was relatively modest, but that had to be added to the current 800 million euros budgeted for delivering the network.
Obviously, this cost estimate has to be taken with caution, as it is not based on clearly identified military needs, Houbron said.
France has budgeted 100 million euros as its share of the 800 million euro cost of ALTBMD.
On the industrial front, Auque, visibly annoyed, argued that France should pursue the capabilities of satellite-based early alert and interception in space, as it was unrealistic to ask enemy countries to restrict themselves to weapons covered by extended air defense systems, such as the Aster missile from MBDA. There is no room for an incremental approach under the enlarged air defense concept, he said. Faced with threats of long-range, high-speed ballistic missiles, the current budget reductions have delayed for four years an order for the Ceres satellite system, and there are no feasibility studies for space research, Auque said. France has in orbit two Spirale microsatellites providing infrared imagery for detecting launches, but this is a demonstrator program, not a fully operational capability. The money is there, Auque said, adding that former President Charles de Gaulle had found the money when it was needed. If Europe relied on the U.S. government for long-range interception, there would be a price to pay, Auque added.
MBDAs Bouvier, however, insisted that it is the ability to deploy an operational capability that earns credibility. MBDA has pushed development of the Aster Block 2 missile under the evolution road map backed by MBDA, Safran and Thales. The Americans have cornered the longrange, space-intercept mission with the SM-3 whereas there is an emerging threat in medium-range missiles with maneuverable warheads. European industry could work on this domain by developing the Aster missile, Bouvier said. The U.S. government has signed up with Japan to develop the SM-3 Block 2A, and has excluded European participation in the block 2B program, Bouvier said. Only companies registered in the United States, employing U.S. citizens with security clearance and contributing local research and development, can work on the Block 2B missile, Bouvier said later. That made it difficult for European companies to work on the program, he said.
A key question in the missile defense domain will be, whose finger is on the button, a senior French Navy officer said. De facto, it will be the top U.S. commander in NATO, supreme allied commander Europe, but that must be acknowledged and accepted by the alliance members, Gautier said. And if Russia is participating in the missile defense talks, it is highly unlikely Moscow would accept a command-and-control system under U.S. authority, he added. The French white paper on defense and national security identified a space-based early alert capability as a necessary strategic function, but budgetary constraints have seen this sidelined.
cospas
25/10/2010
Il est temps de saccager l’Elysée, de lyncher le nabot, sa clique ainsi que les valets des banques, pour l’exemple, et de convoquer des états généraux. L’essentiel est de revenir sur la loi scélerate pompidou-giscard qui en 73 a retiré à la France le droit de battre monnaie… C’est de là que vient la dette abyssale de la France et c’est de là que vient là majorité des problèmes. Parmi les partis politiques influents, n’y a t’il que le FN pour aborder ce sujet?
http://www.egaliteetreconciliation.fr/Marine-Le-Pen-denonce-la-loi-Pompidou-Giscard-Rothschild-de-1973-4393.html
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