Forum

BB : "Par un artifice expérimental les auteurs ont réussi à lui faire transcrire de l’ARN en ADN ce qui n’est pas son activité habituelle."

Je me demande si cette possibilité "lamarckienne" n'a pas été envisagée par René Thom dans son article de 1986 : "La notion de programme en biologie", qui figure dans son "Apologie du logos" (1990, Hachette).

Nous sommes dans Orwell. Le régime teste nos capacités de resistance à ses diktats en nous imposant ce La Covid pour le Covid tel que l'usage l'a créé depuis 2 ans d'usage.
Qui emploie ce LA Covid, est soit militant macroniste (sciemment ou sans le savoir soi-même), soit, tout simplement, conformiste (obéir aux autorités, par principe)  ; et le conformisme est une misérable maladie (M. Yourcenar).
Je repère grâce à l'usage de LA Covid le profil sociologique de ceux qui l'utilisent, cela réussit à chaque coup. Et c'est même un moyen de déceler les crypto-macronistes. 

Nous avons lu le même texte.  Pas de doute que l'article s'adressait aux Russes et leur intimait un minimum de dignité, et ce n'était pas gagné, comme je le pense. Le pire est que les US  misent, et cela très cyniquement, sur l'"attractivité" du mode de vie trash-US des jeunes Russes. Je remarque que l'Iran est dans cette situation de manière 10 fois plus intense. L'équipe Biden-Pentagone sait fort bien que les moins de 35 ans, en Iran, n'ont d'yeux, de rêves que dans l'american way of live, dans tout ce que cela a de plus humainement minable, mais c'est UN FAIT. Les Russes à un niveau moindre. Et ils sont prêts à tout pour (d'où la psychose de l'ennemi intérieur, psychose évidemment fondée sur les faits, et des faits objectifs).
Là où votre raisonnement ne manque pas de finesse, c'est quand vous évoquez le mouvement woke. Mais
1°/ Ce mouvement ne concerne qu'une minorité bruyante de la jeunesse américaine et que le magma boboïque bostonien, les paléo-clintoniens, etc. Donc, très peu de monde.
2°/ Ce mouvement est en décalage avec la frénésie d'american way of life de toute la middle class mondialisée, les zombies qu'on voit se presser chez Ikéa, mettre des cadenas sur le Pont des Arts,  glander sur les quais du canal Saint-Martin, etc…  Ceux-là, ils sont de  Yaroslav , de  Machad, de Tunis, de Bucarest, de Kaboul, de Toronto, du Caire… Ils ont la piétaille du système, par leur seule présence consumériste dans les rouages.
Mais, ça, la Chine l'a bien compris, il n'y a pas de révolte en vue
pour plus d'éthique, plus d'esthétique en Chine.
 
 

Pour moi il y a fondamentalement deux attitudes en Science : une attitude prométhéenne avec en vue la prédiction, le progrès, et une attitude herméneutique, avec en vue la compréhension et l'explication. Et il est tout-à-fait clair pour moi que le capitalisme privilégie outrageusement la science prométhéenne. Je rappelle à ce propos la citation suivante, extraite de la préface à la deuxième édition de la Critique de la Raison Pure : "La raison, tenant d’une main ses principes, qui seuls peuvent donner valeur de lois à des phénomènes concordants, et de l’autre l’expérimentation qu’elle a conçue d’après ceux-ci, doit s’approcher de la nature, certes pour être instruite par elle, mais non toutefois comme un élève, prêt à entendre tout ce que le maître veut, mais en la qualité d’un juge en exercice, qui contraint les témoins à répondre aux questions qu’il leur soumet." 

Et si cet événement spirituel tant attendu n’était autre que la providence personnelle procurée par une pensée du coeur et de l’esprit, un esprit chevaleresque et une âme poétique retrouvés ou remise au goût du jour tandis que la pensée moderne et son intellectualisme agonisant continueront à s’enfoncer dans la dissolution et l'entropie  leurs pensée héminégligente incorrecte.

Providence personnelle En novembre 2016, lors de l’édition de mon autobiographie aux éditions l’Harmattan, « Renaissance d’une apocalypse cérébrale » ou mon odyssée sous le soleil de minuit de Nietzsche/Zarathoustra … sans oublier les bons auspices du Philosophe Pierre HéberSuffrin, j’avais écrit ceci en guise de conclusion : « Quand je vous disais que l'odyssée d'Ulysse semble presque insignifiante au regard de mes pérégrinations psychologiques et physiques. Cette odyssée sisyphienne que je viens de vous narrer, sisyphienne car la vie n'est au final qu'un éternel recommencement, cette vie que j'aurais empoignée à bras-lecorps et sur laquelle j'aurais réussi à influer avec la complicité de mes pensées, n’est qu’un exemple de ce que vous pouvez tous réaliser, vous qui me lisez : être les acteurs conscients de votre existence. Je tenais absolument à vous en laisser le témoignage… »

Eh bien, en ce mois de mai 2021, je viens de découvrir la preuve de toutes les preuves, ce mystère qui me taraudait l’esprit depuis de si nombreuses années, et qui par un concours de circonstances labyrinthique comme cette si facétieuse providence personnelle en a le secret, m’aura guidé durant presque cinq années avec l'écriture de ma seconde odyssée à la redécouverte du Principe de l'âme soeur éternelle dont nous avons conservé le témoignage depuis Homère et les présocatiques jusqu'aux chevaliers de l'ordre du temple .... j'aurais été guidé pas à pas, jour après jour, vers la révélation de ce Principe éternel à la bienveillance infinie ... ce Graal de tous les Graal de la création intellectuelle et de la maîtrise du destin délivré par la grâce de l’âme soeur éternelle ! 

 « Providence personnelle, Friedrich Nietzsche. « Le Gai Savoir »
 — Il existe un certain point supérieur de la vie : lorsque nous l’avons atteint, malgré notre liberté et quoi que nous déniions au beau chaos de l’existence toute raison prévoyante et toute bonté, nous sommes encore une fois en grand danger de servitude intellectuelle et nous avons à faire nos preuves les plus difficiles. Car c’est maintenant seulement que notre esprit est violemment envahi par l’idée d’une providence personnelle, une idée qui a pour elle le meilleur avocat, l’apparence évidente, maintenant que nous pouvons constater que toutes, toutes choses qui nous frappent, tournent toujours à notre bien. La vie de chaque jour et de chaque heure semble vouloir démontrer cela toujours à nouveau ; que ce soit n’importe quoi, le beau comme le mauvais temps, la perte d’un ami, une maladie, une calomnie, la non-arrivée d’une lettre, un pied foulé, un regard jeté dans un magasin, un argument qu’on vous oppose, le fait d’ouvrir un livre, un rêve, une fraude : tout cela nous apparaît, immédiatement, ou peu de temps après, comme quelque chose qui « ne pouvait pas manquer », — quelque chose qui est plein de sens et d’une profonde utilité, précisément pour nous ! Y a-t-il une plus dangereuse séduction que de retirer sa foi aux dieux d’Épicure, ces insouciants inconnus, pour croire à une divinité quelconque, soucieuse et mesquine, qui connaît personnellement chaque petit cheveu sur notre tête et que les services les plus détestables ne dégoûtent point ? Eh bien ! — je veux dire malgré tout cela, — laissons en repos les dieux et aussi les génies serviables, pour nous contenter d’admettre que maintenant notre habileté, pratique et théorique, à interpréter et à arranger les événements atteint son apogée. Ne pensons pas non plus trop de bien de cette dextérité de notre sagesse, si nous sommes parfois surpris de la merveilleuse harmonie que produit le jeu sur notre instrument : une harmonie trop belle pour que nous osions nous l’attribuer à nous-mêmes. En effet, de-ci de-là, il y a quelqu’un qui se joue de nous — le cher hasard : à l’occasion, il nous conduit la main et la providence la plus sage ne saurait imaginer de musique plus belle que celle qui réussit alors sous notre folle main. » 

“ ... à partir du monde qui nous est familier pourrait être démontré  un tout autre dieu… qui n’a rien d’humanitaire ” 
(Préface de juillet 1887 à la Généalogie)

 … Nous aurons découvert pour le drame dionysiaque du “ destin de l’âme ” une nouvelle intrigue et une nouvelle possibilité et l’on peut parier que le grand, le vieux, l’éternel auteur comique de notre existence saura en tirer profit!...  “

Lisons-nous le même texte ? Nulle part, je ne vois un “appel à un sursaut de fierté chez les Russes”.

Je vois une critique violente et brutale de la direction chinois (dont GT est le porte-parole) contre la direction US, et un rappel de la direction chinoise à la direction russe des intérêts stratégiques et économiques communs des deux pays.

Quant aux “générations montantes fragilisés indentitairement” chez les Russes et chez les Chinois, peut-être, sans doute, – et alors? Vous croyez que les “générations montantes” aux USA, en France, en Inde, en Angleterre, en Algérie, aux Seychelles, en Partagonie, ne soient pas “fragilisées identitairement” dans le contexte actuel de déclin accéléré de la civilisation ? Vous croyez que tous les jeunes US sont prets à s'engager dans la Woke-Army de Biden pour mourir en défendant le drapeau arc-en-ciel ? Vous parlez là d'une crise identitaire globale, qui d'ailleurs n'affectent pas que les jeunes mais tt le monde, y compris ceux qui honnissent l'identité. C'est compètement autre chose que les rapports stratégiques du trio Russie-USA-Chine, et si cela y interfère bien malin qui dira dans quel sens et au profit de qui. 

L'article du Global Times manque d'intelligence.
Le but en est, à l'évidence, de faire appel à un sursaut de fierté chez les Russes. La  notion d'honneur est désuète, surtout auprès de jeunes générations, pour qui la notion de nation, aussi, est désuète. Il y a une fascination des jeunes Russes pour la consumérisme trash anglo-saxon, il suffit de circuler sur V-Kontakte pour en avoir le coeur net. Donc, le journal en question se trompe d'axe d'attaque. 
La vérité est qu'il y a une russophobie maladive chez les anglo-saxons (Américains + Britanniques)  qui s'attrape en naissant.  A un chercheur anglais qui faisait des crises (quasi convulsives) à chaque évocation de Poutine, j'ai fini par demander : "bon, très bien vous n'aimez pas Poutine… Mais, dites moi, clairement,  sur quoi se base votre hostilité", et, là, il m'a dévidé un récit, d'une incroyable vétusté, les tsars, le despotisme oriental,  l'incapacité à être occidental, démocrate, libre échangiste. Bon, et encore ? Il a fini par me sortir : "ce sont des barbares indécrottables, la vodka n'arrange rien". J'ai, évidemment, repensé au reportage de BHL en Géorgie où grouillaient ces thèmes.  Donc hostilité anthropologique, génétiquement acquise depuis des générations. Hostilité qui épargne Erdogan ou MBS, (gens fort sympathiques ?), fréquentables sans doute ?, mais, là est le mystère :  vous ne trouverez jamais cette haine archaïque contre ces deux là. Voilà pourquoi les Chinois n'ont rien compris, sans doute parce qu'eux, aussi, ont à leur train des générations montantes aussi fragilisés indentitairement que les Russes.
 

Dans mon précédent commentaire j'écrivais que l'ère du numérique était pour moi une formidable machine à perdre les pédales. Depuis l'arrivée des ordinateurs, une bonne partie des scientifiques ont pratiquement arrêté de penser pour se consacrer à la tâche de formaliser leurs connaissances, en gommant au passage toutes les singularités qui ne sont pas au format des machines électroniques et de leur langage. Le résultat? Une forte accélération de la mécanisation et de la solidification du monde (celle même dont parle René Guénon dans "Le règne de la quantité..."), solidification que je préfère appeler rigidification, car je vois dans ce processus qui nie le vivant une rigidification cadavérique : du formel au formol.

C'est très, très, très décevant. Poutine se comporte dans cet extrait comme n'importe quel politicard de quinzième zone refusant de répondre aux questions et renvoyant grossièrement toutes les attaques à l'expéditeur, de manière très médiocre en plus. C'est du niveau des talk shows débiles dont les télés raffolent.
Je n'ai pas regardé l'interview, ni lu de compte rendu détaillé, et ne sais rien du contexte etc., mais je fais là le constat d'un fait (une "vérité de situation", comme on dit sur de dedefensa…) : c'est archi nul.
Peut-être Poutine est-il tombé dans un traquenard, mais ça ne change rien au constat de base. Bon, j'aurais au moins eu une piqûre de rappel : il ne faut surtout jamais, jamais idéaliser un dirigeant politique !
 

(Le titre pourrait laisser penser que je vais m'intéresser aux LGBTQ. Ce n'est pas le cas.)

À la suite du scribe de Babylone jugeant notre façon moderne d'extraire les racines carrées (cf. Tout n'est pas perdu) on peut se demander comment nous avons fait pour perdre à ce point les pédales. Voici la réponse de Thom :

"Pourquoi, au début de la pensée philosophique, les Présocratiques, d'Héraclite à Platon, nous ont-ils laissé tant de vues d'une si grandiose profondeur? Il est tentant de penser qu'à cette époque l'esprit était encore au contact quasi-direct de la réalité, les structures verbales et grammaticales ne s'étaient pas interposées comme un écran déformant entre la pensée et le monde. Avec l'arrivée des Sophistes, de la Géométrie euclidienne, de la logique Aristotélicienne, la pensée intuitive a fait place à la pensée instrumentale, la vision directe à la technique de la preuve. Or le moteur de toute implication logique est la perte en contenu informationnel : Socrate est mortel renseigne moins que Socrate est un homme. Il était donc fatal que le problème de la signification s'effaçât devant celui de la structure de la déduction; (...) La formalisation -en elle-même, disjointe d'un contenu intelligible- ne peut être source de connaissance."

L'ère du numérique? Une formidable machine à perdre les pédales. Je ne peux m'empêcher de faire le rapprochement avec :

"Notre dialogue a tout de l’incongru, apprécié d’un certain point de vue: vous, esprit qui affectionne la méthode scientifique, qui en est instruit, qui a en cette méthode, me semble-t-il, une certaine foi; moi, tout le contraire en un sens, écartant la méthode scientifique (ou bien, impuissant à la comprendre et donc à en user), sans aucune connaissance scientifique sérieuse et rétif à cela, tout entier emporté par l’intuition et constatant ma méthode après coup, – après l’avoir construite, si j’ose dire, sans la moindre méthode."

(https://www.dedefensa.org/article/dialogues-1-questions-de-sens)

PS: Ceux qui auront visionné la conférence de Benoît Riffaut (qui, aparté, se classe parmi les "climatoréalistes") auront remarqué l'harmonie dans la façon géométrique d'approcher racine carré de 2 : on passe d'un rectangle initial de petit côté 1 et de grand côté 2 à un rectangle de petit côté 4/3 et de grand côté 3/2, de même aire 2 que le précédent mais plus proche du carré de côté racine carrée de 2. De l'unisson à l'octave, de la quarte à la quinte; la musique du monde… Tout est nombre pour les pythagoriciens. Mais pour eux il s'agit de nombres sacrés et non de nombres profanes, de nombres profanés par les banquiers. Qui, de nos jours en sciences, se préoccupe d'harmonie?

La dégringolade du niveau universitaire aux USA et en France est vertigineuse. Comment les générations futures vont-elles juger notre époque? Ci-joint la vidéo d'un exposé pour moi magnifique (pour le talent pédagogique de l'orateur -tout n'est pas perdu!) sur le nombre racine de 2 (https://video.umontpellier.fr/video/0014-le-fabuleux-destin-de-la-racine-carree- de-2/) dont je recommande la vision du début à 10'50 et de 24'35 à 25'15.

J´espère que la stratégie du bloc BAO n´est pas d´offrir Biden en sacrifice afin d´obtenir ce qu´il n´a pas pu avoir jusque-là...
Je ne comprends pas pourquoi Poutine a accepté de rencontrer quelqu´un qui l´a accusé d´être un tueur.
Après tout, pour les esprits tortueux et torturés du bloc BAO, Biden sucre déjà les fraises et est une marionette.
Bien à vous,

Pour mettre fin à une pratique qui remontait à l’Antiquité, le 23 janvier 1846 Ahmed Bey décrète la fin de l’esclavage en Tunisie qui devient le premier pays du monde arabo-musulman à défendre la cause abolitionniste. Dès avril 1841, le commerce des esclaves est interdit
Cétait un grand tournant pour le passage de l'ignorance à l'ouverture sur le monde moderne.
Aujourd'hui la Tunisie compte parmi les meilleures destinations justement parce que c'est devenu un pays ouvert et moderne, et a beaucoup investi dans l'éducation. La preuve, son statut actuel de l'une des plus importantes destinations pour le tourisme médical et la chirurgie esthétique en particulier.

Monsieur Grasset, vous décrivez ici un tourbillon, une tempête, une explosion. Ce sommet du 16 juin 2021 est comme la lumière de l’explosion avant que le son n’arrive à nos oreilles. Il est cette lumière avant que les débris volent dans les airs. Il est cette lumière avant que la fumée et le feu apparaissent. La lumière perçue est sans danger et ne fait rien à personne dans le cas des explosions classiques. Elle n’est que fort perceptible et cela de très loin.

L’explosif est en place. La mèche est allumée et est consumée. Il reste deux jours pour voir cette lumière lointaine. Les débris, le feu, la fumée, le souffle de l’explosion arriveront ensuite. Nous sommes dans ce bref instant entre l’explosion du détonateur et celle de la masse explosive. La rencontre est, en elle-même, un spectacle. Sa lumière sera visible de partout sur la terre. Elle sera si intense que tout le reste disparaîtra durant cet instant.

Les deux présidents donneront deux conférences de presse séparée. C’est un symbole de très grande puissance de ce qui se passe. Les formes et les apparences n’ont plus cours. Dans une société du spectacle, du simulacre, du récit de lui-même qu’elle a créé, c’est un événement gigantesque. La représentation est changée.

Quand je pense à ce que vous écrivez, mon esprit se bloque. C’est un mélange de terreur, de perplexité, de folie subie, d’égarement. Je ne peux rien en penser de fait. Il y a tant de choses, de troubles, de sous-entendus, d’agitations, de déclarations qui vont dans tous les sens que personne ne peut venir me dire comprendre tout cela. Je me sens un peu comme Biden à ce restaurant. Je ne peux pas demander mon chemin et je dois accepter l’aide d’un petit morveux qui se prend pour une étoile illuminant l’humanité quand il n’est qu’une image d’hebdomadaire à commérages.

En face, Poutine m’a l’air de prendre acte de cette situation. Biden est un « machiste hollywoodien ». « Trump est une personne remarquable… pas une créature de l’establishment américain : il n’avait aucune pratique politique… Le président Biden … est … totalement différent de Trump, parce que c’est un professionnel. » Il va rencontrer une image qu’un groupe US fort puissant a de lui-même qui val lui lancer des accusations infondées et qui perd les pédales.

Ces gens font des conneries comme Biden fait des gaffes pitoyables. Leur destruction est leur affaire et ils font cela très bien. Le problème est de rester en dehors de leur contrôle. C’est une question de survie. Ils nous écraseront sans même en être conscients pour rester une seconde de plus au pouvoir.

Ils sont condamnés, le savent et se le nient. Ils sont face au pire choc qu’un humain peut subir, la perte de tous leurs repères existentiels. La Russie avait une histoire quand elle l’a traversé. C’est le tour de l’Occident. Nous verrons si les modernes de toutes sortes ont laissé passer assez de Tradition pour qu’il survive.

J’ai plus que peur de la réponse. Je suis anxieux. La tâche de la reconstruction s’annonce herculéenne. L’explosion est en cours. Elle a lieu dans les âmes des modernistes les plus avancés sur cette voie. Un temps de folie, l’explosion complètement développée, nous attend. C’est déjà la folie mais ce n’est que l’apéritif. Le plat principal arrive. Il s’annonce lourd à digérer.

Si on parlait de l'affaire Daillet et ce qu'elle signifie. Je pense que la presse du régime  ne va pas nous éclaircir…
Moi, je n'y vois que clarté.
Certes, je ne sais pas grand chose de l'individu, mais je pressens qu'à 99 % on est dans le délit d'opinion. Il n'y a pas de crime qu'on puisse lui imputer. Mais le "satanique" (nouvel épithète d'anathème , après lépreux…) le "satanique" personnage serait un "complotiste". Hurlez braves gens, syndicalistes de la CFDT, bonnes soeurs défroquées de la Cimade, électeurs de Hollande, actionnaires dans l'équitable,  bobos canal axolotl,  cloportes macronistes,  hurlez et répandez vous dans les rues avec des mouvements amiboïdes, avec vos faces congestionnées déversant vos éternels dégouts névrotiquement affichés, tant répétés qu'on croirait voir défiler des cohortes de déments frontaux, règne de in put out put, de l'arc réflexe. Ne pensez pas, brave piétaille du régime macroniste, hurlez et hurlez en rythme.

Bien entendu, le régime, qui pense à notre bien-être,  ne laissera pas notre démocratie et nos valeurs (nos valeurs ! nos valeurs !)  tomber dans les mains de l'"extrême droite", des "populistes", des "complotistes"... Brrr.

Dormez, braves gens, vous les aurez vos procès politiques dont vous rêvez,  le régime va vous trouver des dangereux putschistes, des terroristes, des complotistes contre la sécurité de l'Etat, identitaires . Parce que c'est sûr, aveugles et  sourds que vous êtes, le danger est là, puisqu'on vous le répète du soir au matin du matin au soir, à l'école (flicage par le "parcours citoyen", dès la prime enfance !),  au travail, vos amis bien-pensants, jusqu'à  chez vous, TF1, M6, BFMTV, les organes du régime (Libération ou Le Monde), gavés de fonds publics spoliés au contribuable. 

La CLASSE POLITIQUE saura faire front -et ne croyez pas que la classe politique n'a qu'un objectif : se rassasier sur les fonds publics et s'y maintenir, ça, non-, la classe politique a de l'éthique, personne n'en doute, n'est-ce pas ? Les Macronistes et leurs alliés si pointilleux sur l'éthique, les Glucksmann, les Bayrou, les Jadot, les Mélenchon, les Benoît Hamon… sont, vous vous doutez bien, les chevaliers blancs des Droits de l'Homme. Ils n'instrumentalisent pas ça, non. On ne peut croire qu'ils se soudent seulement pour continuer à se gaver de prébendes en singeant le débat "démocratique". 
Ce qu'elle souhaite, cette classe politique, c'est qu'on fasse silence, silence sur  tout,  leur mépris de classe, leurs combines, leurs trafics, leurs spéculations, leurs ventes à la découpe de tout dans ce pays,  industrie, patrimoine…

Rien ne vaut, pour dynamiser ces protoplasmes  sur lesquels compte le régime pour ses élections, qu'une bonne chasse aux sorcières, pour intimider les derniers résistants à ce régime ploutocratique et fascisant. 

Parce que pas une voix ne s'élèvera pour dénoncer cette entorse incroyable au droit de l'homme qu'est l'incarcération de Daillet, par lettre de cachet. Ne comptez pas sur les pleureuses habituelles pour  nous parler de justice et droit, ils sont tout à leurs cuisines dérisoires, les eaux glacées du calcul égoïste…