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Je ne méprend pas sur ma personne avec mon Grand Cycle du Grand Tout .

Article lié : Balade au bord du désordre

Christian Feugnet

  16/02/2019

çà reste modeste : 4 ans . A ma perite mesure par rapport au Sidéral . Mais consudérable par rapport au 5 mn du guidon .
Bien sur en 5 mn on pourrait faire d'énormes gains avec un robot à la micro seconde sans frais d'opération . Moi je paye des frais et vise d'au moins de quoi vivre par mois , les périodes de mes coups doivent étre au moins de 1 mois  .avec l'amplitude adéquate . 

Actualité , trés court terme .( 5 mn).

Article lié : Balade au bord du désordre

Christian Feugnet

  16/02/2019

Je suis là dans la zone de l'à peu prés , sans prévisibilité .
Ce con de Blier a ouvert la porte mais pas osé franchir le seuil , erreur , il s'est pris son gros coup dans la gueule . C'est partie remise pour la hausse relative , affaire d'une journée , peut étre moins , peut étre plus . On va voir de quoi il se chauffe le con !

Précision sur l'aléa actuel .

Article lié : Balade au bord du désordre

Christian Feugnet

  16/02/2019

L' antisystéme à l'instar du systéme en négatif , vient de faire un tout petit pas vers une hausse relative qui demande encore confirmation .
Attaque , ou pré attaque du Venezuela ?, de l'Iran? des deux ?

Illustration par les Tontons flingueurs .

Article lié : Balade au bord du désordre

Christian Feugnet

  16/02/2019

On a une opposition entre Blier et Ventura  , Ventura joue un grand coups , à long terme , l'héritage du Mexicain . Blier lui est dans les petites affaires quotidiennes , alcool , trafic de putes , etc ...A chaque fois que Blier tente une sortie de sa médiocrité , il reçoit un grand coup dans la geule , à force il ose plus , il consolide . ..

Tentative phénoménologique .

Article lié : Balade au bord du désordre

Christian Feugnet

  16/02/2019

Par analogie étrange avec ce que je vis présentement en finance .
Dans le jargon il y a consolidation . Plus personne ne sait si çà va monter ou descendre , plus personne n'ose bouger . çà dure interminablement . Quand on a le nez sur le guidon ....
Vu de Syrius d'où je regarde , excusez du peu , c'est prévisible et intelligible .  Nous sommes dans une consolidation pré-ultime qui aboutit à une chute brutale et profonde et inattendue , ultime ( relativement au Grand Cycle du Grand TouT ) , et pour encore , mieux embrouiller le nez sur le guidon : la Chute va étre précédée d'une hausse  . Malgré tout , au rythme faussement trépidant des aléas de l'actualité , l'attente de l'Evenement est interminable . Parce que c'est suite à cette Chute qu'aussi sec démarrera la Hausse ( tout doucement) . De Syrius je peux évaluer à peu de chose prés le timing et les amplitudes , gains mirobolants en pourcent . 

Apologie du topos

Article lié : “Le Tome-III à l’horizon” : Suite en 9/11

jc

  15/02/2019

Apologie \a.pɔ.lɔ.ʒi\ féminin

    Paroles ou écrits destinés à justifier ou à défendre quelqu’un ou quelque chose. (Wiktionnaire)
 
                                            —————————————————-

Pour moi l'opposition logos/topos renvoie à l'opposition aristotélicienne matière/forme (sinon la recouvre presqu'exactement) et donc au "Dans cette lutte prodigieuse entre la matière rétive et la volonté créatrice" de Daniel Rops cité à maintes reprises dans le tome II de "La Grâce de l'Histoire" dont PhG écrit (p.332) que "Notre hypothèse est désormais qu'il s'agira d'un des thèmes majeurs, sinon du thème majeur du Premier Cercle, le troisième tome de La Grâce."

Après relecture (une fois de plus) de l'envoi de "Apologie du logos" de René Thom, je me suis convaincu encore plus qu'il s'agit en fait d'une apologie du topos (ce qui n'est pas étonnant de la part d'un mathématicien de formation et topologue de sensibilité), le "Ce n'est pas un hasard si, finalement, l'une des meilleures applications de la théorie des catastrophes est encore le modèle de l'agressivité du chien proposé par Christopher Zeeman. Malgré son caractère non quantitatif, qui a suscité la dérision des scientifiques professionnels, il a l'avantage inestimable de montrer ce qui fait la supériorité d'un modèle géométrique sur une construction conceptuelle. Expliquer linguistiquement son contenu oblige à des paraphrases compliquées dont la cohérence sémantique n'est pas évidente." ne laissant, selon moi, guère de place au doute: pour moi Thom se pose là clairement en topocrate.

Thom commence son envoi en mettant l'accent sur l'ambiguïté du terme "logos". J'ai introduit les néologismes topos et topocrate pour lever cette ambiguité¹. Dans la fin de cet envoi (ci-dessous) il faut donc, pour l'intelligibilité de mon propos, remplacer le début ("Ces deux pentes du logos") par "Ces deux pentes, celle du logos et celle du topos":

"Ces deux pentes du logos manifestent sans doute une distinction irréductible entre deux modes d'appréhender l'existence. Le mode métaphysique, celui d'Aristote -l'être comme acte² ("on agit comme on est" dit saint Thomas)-, et le mode géométrique: la forme visible dans l'étendue. Ces deux modes existent bel et bien l'un et l'autre, et à leurs frontières subsiste un no man's land où se déploient les catastrophes. L'exploration de ces marches où se heurtent vouloir [volonté créatrice] et étendue [matière rétive], n'est pas chose aisée (...)."

René Thom le topocrate face à Philippe Grasset le logocrate en filigrane du tome III?


¹: Ce topos n'a rien à voir avec les topos de Grothendieck.

²: Pour moi l'être en puissance aussi: on ne fait pas qu'agir comme on est, on pense également comme on est).

Ceci fort bien dit ( mon commentaire ) ....

Article lié : Les bons comptes font les bons “juges”

Christian Feugnet

  15/02/2019

C'est une profonde connerie de mepriser les faibles quand on est pas le plus fort . Et ne pas savoir qu'on est pas le plus fort c'est vivre dans un horizon trés restreint , en temps et espace .

Le peuple a un défault majeur redhibitoire .

Article lié : Les bons comptes font les bons “juges”

Christian Feugnet

  15/02/2019

Il n'a pas les moyens de vous corrompre , ni de vous promouvoir par ces relations . En plus il est désagréable et on peut le remplacer facilement pour les taches désagréables qu'on s'épargne grace au mépris dans lequel on l'entretien .

A quoi reconnait les cons ? ( selon Audiard)

Article lié : Balade au bord du désordre

Christian Feugnet

  15/02/2019

A ce qu'ils essaient tout . Toutes les combinaisons possibles , c'est la méthode de nos élites : l' Intelligence Artificielle promise à un bel avenir .
Si on y comprend plus rien , comment faire autrement .  Le souci c'est que méme avec les bétes de calcul dont nous disposons ou pourrons disposer  , il faut un temps infiniment long dés que la question est un peu compliquée . Mais on a quand méme une chance ,quoique infime d'y arriver par hasard . 
Quand on est sur de perdre pourquoi , comme le populaire, trop désabusé pour mettre un gilet jaune, ne pas passer son samedi à jouer aux courses ou au loto .

Le progressime des traditionalistes

Article lié : “Le Tome-III à l’horizon” : Suite en 9/11

jc

  15/02/2019

Dans mon précédent commentaire j'ai opposé -avec l'espoir de les réunir- le progressisme des modernes au conservatisme des traditionalistes. Or, en lisant le TC-69 je suis tombé sur la citation d'Evola, qui m'a renvoyé au tome II de "La Grâce de l'Histoire", où cette citation est faite plusieurs fois, en particulier p.342, où elle est éclairée par un propos d'un dénommé Daniel Vouga: "Progresser pour eux [les antimodernes, les traditionalistes] ce n'est pas avancer ni conquérir, mais revenir et retrouver… [...] Le progrès donc, le seul progrès possible, consiste à vouloir retrouver l'unité perdue [le noyau transcendant d'Evola?]...".

Pour moi les "grands" physiciens modernes (Einstein, Newton, Képler, etc.) sont bien des antimodernes au sens où ce sont des métaphysiciens qui ont réussi à unifier des connaissances qui étaient auparavant éparses, qui ont réussi à réduire l'arbitraire  de la description  -pour reprendre une expression favorite de Thom. Ainsi sont pour moi antimodernes ces physiciens contemporains qui recherchent l'unification des -quatre?- forces fondamentales.

Il me semble que le progressisme-Système actuel¹ est à l'exact opposé. Progresser dans l'esprit du Système actuel c'est en effet, selon moi, détruire des liens, c'est hacher menu, c'est discrétiser (01 01 01 ...) pour pouvoir l'inputer dans la quincaille².

Il est clair pour moi que cette tentative de retrouver l'unité perdue n'est possible que pour un penseur du continu car il s'agit de renouer des liens qui ont été rompus. Pour Thom la mathématique est la conquête du continu par le discret et dans un cadre plus général c'est l'opposition discret-continu qui domine la pensée (et, selon moi, l'opposition logos-topos n'en est pas loin). Qu'a donc le langage naturel, le langage traditionnel, de si mystérieux qu'il puisse rendre compte de ce que ne peuvent pas faire les langages formels, les langages artificiels? Esquisse de réponse dans le tome III de "La Grâce"?

Thom:

"Je suis convaincu que le langage, ce dépositaire du savoir ancestral de notre espèce, contient dans sa structure les clés de l'éternelle structure de l'Être".

"Le grand vice du structuralisme est son caractère discret, qui ne lui permet pas de prendre en compte les variations continues des formes, en particulier leur mouvement."

"Aucune théorie un peu profonde de l'activité linguistique ne peut se passer du continu géométrique (relativisant ainsi toutes les tentatives linguistiques qui fleurissent chez les Modernes)."

"(...) l'existence du continu apparaît comme une donnée primordiale. C'est par elle, croyons-nous, que s'opère la jonction entre la description langagière d'Aristote et la description mathématisée de la Physique post-galiléenne."


¹: Ismaël Emelien, conseiller spécial d’Emmanuel Macron, vient d'annoncer sa démission; il assure partir en raison d’un livre qu’il s’apprête à publier « sur le progressisme »... Wait and see.

²: "Au sens informatique, le terme quincaille a été proposé par Louis Armand, un scientifique français, dans les années cinquante, pour franciser hardware." (Wikipédia)



 

La réponse de Thom à Attali

Article lié : Attali et sa surclasse contre les Français

jc

  14/02/2019

Thom a jadis écrit un article sur l'innovation qui figure dans mon édition papier de l'EU -qui date de la fin des années 1980- papier qui se termine par la phrase suivante:

"Sinon, si nous continuons à priser par-dessus tout l'efficacité technologique, les inévitables corrections à l'équilibre entre l'homme et la Terre ne pourront être -au sens strict et usuel du terme- que catastrophiques."

(Ci-après l'intégralité de la dernière partie de l'article)

Décourager l'innovation

Les sociologues et les politologues modernes ont beaucoup insisté sur l'importance de l'innovation dans nos sociétés. On y voit l'indispensable moteur du progrès et -actuellement [années 1980]- le remède quasi-magique à la crise économique présente; les "élites novatrices" seraient le coeur même des nations, leur plus sûr garant d'efficacité dans le monde compétitif où nous vivons. Nous nous permettrons de soulever ici une question. Il est maintenant pratiquement admis que la croissance (de la population et de la production) ne peut être continuée car les ressources du globe terrestre approchent de la saturation. Une humanité consciente d'elle-même s'efforcerait d'atteindre au plus vite le régime stationnaire (croissance zéro) où la population maintenue constante en nombre trouverait, dans la production des biens issus des énergies renouvelables, exactement de quoi satisfaire ses besoins: l'humanité reviendrait ainsi, à l'échelle globale, au principe de maintes sociétés primitives qui ont pu -grâce, par exemple à un système matrimonial contraignant- vivre en équilibre avec les ressources écologiques de leur territoire (les sociétés froides de Lévi-Strauss). Or toute innovation, dans la mesure où elle a un impact social, est par essence déstabilisatrice; en pareil cas, progrès équivaut à déséquilibre. Dans une société en croissance, un tel déséquilibre peut facilement être compensé par une innovation meilleure qui supplante l'ancienne. On voit donc que notre société, si elle avait la lucidité qu'exige sa propre situation, devrait décourager l'innovation. Au lieu d'offrir aux innovateurs une "rente" que justifierait le progrès apporté par la découverte, notre économie devrait tendre à décourager l'innovation ou, en tout cas, ne la tolérer que si elle peut à long terme être sans impact sur la société (disons, par exemple, comme une création artistique qui n'apporterait qu'une satisfaction esthétique éphémère -à l'inverse des innovations technologiques, qui, elles, accroissent durablement l'emprise de l'homme sur l'environnement). Peut-être une nouvelle forme de sensibilité apparaîtra-t-elle qui favorisera cette nouvelle direction. Sinon, si nous continuons à priser par-dessus tout l'efficacité technologique, les inévitables corrections à l'équilibre entre l'homme et la Terre ne pourront être -au sens strict et usuel du terme- que catastrophiques.
 

Ne l'accablons pas Attali , pourquoi il est content ?

Article lié : Attali et sa surclasse contre les Français

Christian Feugnet

  14/02/2019

Parce que zéro travail pour lui , de gauche , scandalisé par la pauvreté dans le socialisme tu vivras ta viie , sans soucii en te réjouissant de vers gluants , c'est Hakuna Matata :https://www.youtube.com/watch?v=v34w65U98gI

Issue de secours à une envolée vers les cieux

Article lié : “Le Tome-III à l’horizon” : Suite en 9/11

jc

  14/02/2019

PhG: "Ce combat, à l’heure où j’écris ce que lit ici le lecteur, – je crois pouvoir dire décembre 2018-printemps 2019 pour les corrections, – a une autre envolée, une issue inattendue avant même d’être tranché. Je ne veux surtout pas parler de ce mauvais jeu de mots qui serait de parler d’une “issue de secours”, mais bien autrement, d’une envolée vers les cieux… Ici, je veux parler de la nostalgie, c’est-à-dire en vérité introduire l’une des poutre-maîtresses, ma propre Voie Sacrée si l’on veut bien m’accorder cette expression, de ce Troisième Tome de La Grâce."

Le lecteur attentif de Philippe Grasset -et j'essaye d'en être un- aura noté chez lui le recours à un vocabulaire qui peut laisser perplexe ceux qui ont reçu une formation scientifique (pour moi c'aura plutôt été un formatage scientiste): "Intuition haute", "Âme poétique", "Grâce", "Voie Sacrée", "Bien", "Mal", "Diable", etc.

("Issue de secours thomienne à l'envolée de PhG vers les cieux" est un titre plus complet, fil rouge de ce qui suit -qui s'adresse plutôt aux "scientifiques", mais je l'espère, pas seulement-.)

De même que PhG je suis convaincu qu'il faut faire un saut métaphysique pour s'extraire des griffes de la pensée-Système (pragmatisme, positivisme, etc.) et espérer ainsi mettre fin à cette contre-civilisation délirante. (PhG: "La sagesse aujourd'hui, c'est l'audace de la pensée"; il faut effectivement une audace certaine pour s'opposer ainsi au Système.)

Thom qualifie de minimale et de réaliste la métaphysique qu'il propose pour redonner du sens au monde (qui en a bien besoin), métaphysique que j'oppose à celle, plus traditionnelle, que propose PhG (que j'aurais tendance à qualifier de maximale et idéaliste…). Lorsque Galilée écrit que "Le livre de la Nature est écrit en langage mathématique", il indique une coupure -la fameuse coupure galiléenne- entre le langage mathématique et le langage naturel: il se crée alors une science mathématisée, qui s'auto-décrète objective et contraint la philosophie -au moins une certaine philosophie- à se réfugier dans la forteresse de la subjectivité. Au dire de Thom lui-même l'ambition ultime de la théorie des catastrophes "est d'abolir la distinction langage mathématique-langage naturel qui sévit en science depuis la coupure galiléenne".

PhG conclut son papier en nous indiquant en quoi le "9/11" a scellé son destin. Ma prétention¹ sur ce site est de convaincre que les visions que Philippe Grasset et René Thom ont du monde ne sont pas si éloignées qu'on pourrait le penser de prime abord, ma prétention ultime étant d'aider à faire prendre conscience de la possibilité de rapprochement entre le monde traditionnel², celui auquel PhG se réfère constamment, et le monde moderne² né de renaissance (si mal nommée car pouvant être vue comme la naissance de notre contre-civilisation), autrement dit en termes politiques, entre les conservateurs et les progressistes.

La théorie thomienne des catastrophes se veut une théorie de l'analogie³. Pour Thom il faut libérer sa pensée du diktat positiviste: comparaison n'est pas raison. Pour lui le saut métaphysique -minimal et réaliste- est là: "Je crois que l'acceptabilité sémantique (en dépit de son caractère apparemment relatif à la langue considérée) a en général une portée ontologique: "Toute analogie, dans la mesure où elle est sémantiquement acceptable, est vraie". C'est là, je crois, le principe de toute investigation métaphysique."

Pour fixer les idées à très gros traits je vois un Philippe Grasset logocrate et plutôt idéaliste (ciel à ciel) opposé à un René Thom topocrate -néologisme maison- et plutôt matérialiste (terre à terre). Un conflit logos-topos dissimulé derrière le conflit matière-forme annoncé par PhG à la fin du tome II par la citation de Daniel Rops (à propos du "Balzac" de Rodin): "Dans cette lutte prodigieuse entre la matière rétive et la volonté créatrice"?

L'effondrement des tours jumelles le 9/11 m'a fait penser à l'effondrement du simulacre de Jérusalem céleste érigé par notre contre-civilisation, et m'a donc incité à relire les chapitres XXI "Caïn et Abel" et XXIII "Le temps changé en espace" du "Règne de la quantité..." vus dans le cadre du conflit Nature/Culture qui se solde par une défaite de la Culture (Caïn).

Guénon note au chapitre XXIII:

"Ainsi, un "retournement" s'opère en dernier lieu contre le temps et au profit de l'espace; au moment même où le temps semblait achever de dévorer l'espace, c'est au contraire l'espace qui absorbe le temps; et c'est là, pourrait-on dire en se référant au sens cosmologique du symbolisme biblique, la revanche d'Abel sur Caïn."

et (en note de bas de page):

"Il est à remarquer que si l'on parle communément de "fin du monde" comme étant la "fin du temps", on n'en parle jamais comme de la "fin de l'espace"; cette observation, qui pourra sembler insignifiante à ceux qui ne voient les choses que superficiellement, n'en est pas moins très significative en réalité."

Guénon topocrate?


J'ai hâte de lire le tome III.


Remarque finale:

Guénon parle dans le chapitre XXIII précité de "temps dévorateur qui finit par se dévorer lui-même". Le thomien appliqué que j'essaye d'être ne manque pas de faire l'analogie avec d'autres assertions de nature translogique telles que "Le prédateur affamé est sa propre proie" que Thom voit à la base de l'embryologie animale, et  "Le capitalisme affamé est sa propre proie", 9/11 et World Trade Center obligent. Je ne vois pas en quoi elles pourraient être sémantiquement inacceptables.


¹: Pour moi un prétentieux est un ambitieux qui n'est pas à la hauteur de son ambition.

²: Thom: "(...) une vision plus claire du programme métaphysique de la théorie des catastrophes: fonder une théorie mathématique de l'analogie, qui vise à compléter la lacune ouverte par Galilée entre quantitatif et qualitatif."

³: Thom: "(...) la théorie des catastrophes élémentaires est, très vraisemblablement, le premier essai cohérent (depuis la logique d'Aristote) d'une théorie de l'analogie. Lorsque des scientifiques d'esprit étroit objectent à la théorie des catastrophes de ne pas donner plus que des analogies ou des métaphores, ils ne se doutent pas qu'ils énoncent le véritable dessein de la théorie des catastrophes, lequel est de classer tous les types possibles de situations analogues."

Grave erreur d'ecriture de ma part sir la délectation d'Attali .

Article lié : Attali et sa surclasse contre les Français

Christian Feugnet

  14/02/2019

Comme le logarythme est reciproque de l'exponentielle , Y devient X si je puis dire ,  qualitativement c'est le travail qui reste positif mais tend vers zéro ,  le capital lui croit vers l'infiniment grand . Tout va bien pour lui ..

Mathematiquement une exponentielle en sens inverse ....

Article lié : Du mémoriel à la repentance, l’esprit en déroute...

Christian Feugnet

  14/02/2019

S'exprime en termes complexes et non réels où je me suis cantonné .
Le nombre imaginaire quoique positif , comme angle , tourne en sens inverse des aiguilles d'ine montre , sens du temps réel .