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Quand je parle de rats je parle de gros bien gras , plus d'une saison .

Article lié : Autant en emporte la catastrophe

Christian Feugnet

  11/04/2019

çà va de soi mais çà va mieux en le disant .

Faut que je dise le fond de ma pensée quand méme .

Article lié : Autant en emporte la catastrophe

Christian Feugnet

  11/04/2019

Il y a , c'est pourquoi je m'interresse tant à la finance , en dehors de questions de profir personnel , un critére sur : c'est la finance . Et là c'est ultra clair que " nos élites " se prémunissent , C 'est rampant ; c'esr sournois , c'est controlé pour l'instant mais trés clair les rats quittent le navire , trés discretement . Obligations d'état , actions , immo , toutes "valeurs sures" glissent lentement vers le bas .quand à l'or , le bitcoin  çà monte . On peut prévoir , c'est quasi programmé un bitcoin à au minimum 100000 $ en 2021 ! alors qu'il est à tout casser à 5000 en ce moment . C'est quand méme hallucinant , mais ce serait cohérent avec un effondrement des monnaies .

ëtre et avoir été?

Article lié : Aude Lancelin et le triomphe du Macron

alain pucciarelli

  11/04/2019

Je n'ai rien contre Mme Lancelin, mais il convient de rappeler qu'elle a été virée de l'Obs, dont elle était rédactrice en chef adjointe, ce qui implique une sacrée responsabilité dans la ligne éditoriale de ce "journal". Elle a ensuite très brillamment conduit Le Média dont elle se sépare, mais enfin, n'y aurait-il pas comme un soupçon de connivence avec le système qu'elle dénonce aujourd'hui? Espérons que tel n'est pas le cas, n'est-ce pas Aude?

Faire virtuellement l'amour

Article lié : Du DeepState à l’“État-peu-profond”

jc

  11/04/2019

Dans "Le désenchantement de Dieu" (Août 2017) PhG écrit:

"Il suffit d’un mot, d’une phrase, d’une citation à placer en tête, la chose inspiratrice qui ouvre la voie et là-dessus se déroule le texte, à son rythme, entièrement structuré, avec sa signification déjà en forme et en place. Je n’ai rien vu venir et j’ignore où je vais, mais j’ai toujours écrit d’une main ferme et sans hésiter… et toujours, à l’arrivée, il y avait un sens, une forte signification, le texte était devenu être en soi… C’était un instant de bonheur fou."

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Je recite une fois encore l'extrait suivant de la conclusion de SSM (2ème ed.) parce qu'il licite l'anthropocentrisme de la pensée:

"Les situations dynamiques régissant l'évolution des phénomènes naturels sont fondamentalement les mêmes que celles qui régissent l'évolution de l'homme et des sociétés, ainsi l'usage de vocables anthropomorphes en Physique est foncièrement justifié."

Et tant qu'à faire, la sagesse, aujourd'hui, étant l'audace de la pensée¹, je fais mon possible pour sexuer cette pensée anthropocentrée.

Ainsi dans la citation en épigraphe, le "Il suffit d’un mot, d’une phrase, d’une citation à placer en tête, la chose inspiratrice qui ouvre la voie", renvoie pour moi à une idée, véritable spermatozoïde virtuel, qui féconde une materia signata-ovule dans laquelle "se déroule le texte, à son rythme, entièrement structuré, avec sa signification déjà en forme et en place". Pour PhG ça marche à tous les coups (mes félicitations) puisque "et toujours, à l’arrivée, il y avait un sens, une forte signification, le texte était devenu être en soi…", c'est-à-dire un beau bébé, dont l'auteur, à la fois père et mère, peut être fier: "C'était un instant de bonheur fou".

Je ne sais pas encore si ce genre d'approche sera féconde (fécondera quoi?) mais je ne peux nier que j'éprouve un certain plaisir intellectuel à sexuer ma pensée avec l'objectif avoué de "faire virtuellement l'amour".

Thom: "Il faut regarder tout concept comme un être amiboïde, qui réagit aux stimuli extérieurs en émettant des pseudopodes et en phagocytant ses ennemis."

Puisqu'actuellement je papillonne (beaucoup) en espérant butiner (un peu) du côté de Gaïa et de l'hypothèse Gaïa, je ne peux m'empêcher d'associer ce qui précède au combat d'Éros -émettant des pseudopodes- et de Gaïa -phagocytant ses ennemis-.

Sexuer les concepts, Grothendieck passe une bonne partie de son temps à ça dans "Récoltes et semailles" et dans "La clef des songes", en classant un grand nombre d'oppositions en yin et yang. Et rien que le début du titre du deuxième ("La clef") suggère que ce rangement est à la base de la fécondité de sa pensée mathématique.

(On peut voir dans le chapitre "Le symbolisme du tissage" -chaîne et trame- extrait de "Le symbolisme de la croix", un exemple de pensée sexuée (traditionnelle ou seulement guénonienne?), malheureusement, selon moi, pas prolongée dans le Chapitre "Caïn et Abel" -pour moi Abelle-.)


¹: Citation de PhG

Texte d extreme interet mais qui reste énigmatique comme l'oracle de Delphes

Article lié : Autant en emporte la catastrophe

Christian Feugnet

  11/04/2019

Pourquoi on casse pas le morceau ?
Un chiffre a été cité 1000 milliards de dollar par trimestre ! Faudrait étre clair çà va à qui , c est pris à qui .? Dans le détail c'est trés compliqué tout autant que le dessin des fractures dans le Mur , mais en gros c'est clair c'est pris au reste du monde au profit là des States ; mais y en a autant pour l'Europe .  Alors c'est quand méme clair il me semble qu'il existe une rationalité certaine de persister dans l'erreur tant que çà dure , apparemment imbibé de foi du charbonnier . D'autant que les conséquences négatives de la , les ruptures , seroint alors plutot supportées par les innocents qui y croient vraiment . Ce qui arrange bien des établis .
Et quelles sont les véritables limites du systéme et bien la démographie! Quoique s'amenuisant elle reste positive , et tant qu'elle l'est suffisemment çà marche . Quand exactement çà va casser ? Et ben çà malgré toute notre science personne ne peut le dire sauf qu'on s'en approche et de plus en plus vite .

Évolution du clivage gauche-droite.14

Article lié :

jc

  11/04/2019

Sous-titre: déconstruction, changement de phase

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Après avoir parcouru l'article "Déconstruction" de Wikipédia, et avoir découvert à l'occasion que la déconstruction chez Heidegger dans "Être et Temps" porte sur le concept de Temps, j'ai quasiment aussitôt fait -encouragé par Thom¹- les analogies métaphysico-biologiques Être-génétique et Temps-épigénétique.

Je vois l'évolution (temporelle!) de la politique occidentale -pour fixer les idées depuis les suffragettes au RU- basculer d'un clivage gauche-droite (fake-génétique) vers un clivage homme-femme (véritablement génétique), et j'ai argumenté en ce sens dans mes précédents commentaires. D'un point de vue scientifique j'interprète cette évolution comme un changement de phase, c'est-à-dire comme un passage d'un état qui a été relativement stable en Occident pendant un ou deux siècles vers un état que je subodore et espère comme étant plus stable.

Le physicien François Roddier a consacré plusieurs billets² sur son blog au problème des transitions de phase, transitions qui peuvent être plus ou moins abruptes. En premier commentaire de cet article sa femme Claude Roddier milite pour un sursaut souverainiste face au globalisme. Des deux transitions de phase du clivage gauche-droite soit vers le clivage souverainisme-globalisme soit vers le clivage homme-femme, je pense que c'est le dernier cité des clivages qui est structurellement le plus stable et qui donc, en définitive, l'emportera (mais peut-être faudra-t-il passer auparavant par le premier).


¹: Thom: "Les situations dynamiques régissant l'évolution des phénomènes naturels sont fondamentalement les mêmes que celles qui régissent l'évolution de l'homme et des sociétés, ainsi l'usage de vocables anthropomorphes en Physique est foncièrement justifié."

²: Cf. par ex. le billet 107
 

Une aute idée à interroger sérieusement à mon avis .

Article lié : Du DeepState à l’“État-peu-profond”

Christian Feugnet

  10/04/2019

Sous l'angle du financement , surtout que de hauts esprits sont enclins à négliger ces choses bassement terrestres . quoique nécessaires comme temporel à spirituel .  Le fait du financement général de  l'état par l'endettement ! et non l'impot . çà va presque de soi .
Sauf qu'il existe une petite différence : un impot c'est fort désagréable , non seulement pour le citoyen , qui spontanément se met à le discuter ( fondé pas fondé ?)  mais encore plus par l'état qui doit le justifier . Rien de tel pour l'emprunt , quasiment indolore , çà se paye à long terme , par fraction ....Sans bruit , on néglige d'examiner l influence de ces founisseurs , si spéciaux !

Trés bien ! j'apprécie grandement ce dépoussiérage d'une notion toute faite .

Article lié : Du DeepState à l’“État-peu-profond”

Christian Feugnet

  10/04/2019

Notemment l'idée de financement autonome et quelque peu occulte . Autonome je veux dire hors impots , ou méme budget donc hors controle de l'étar et méme politique .
Pour donner un autre exemple bien de chez nous : le cas de l'ex Elf rattaché à Total dont il était notoire qu'il était truffé sinon faisandé d'agents secrets . Et vivait sa propre vie . Je ne suis pas sur que l'absorption de Elf  par Total aie complétement changé les choses . Quoique avec la corruption actuelle , ordinaire , si je puis dire de notre état actuel , ce n'étre peut plus finalement un mal , d'avoir encore quelque chose qui soit encore un tant soi peu national .

État peu profond : j'adore le concept

Article lié : Du DeepState à l’“État-peu-profond”

Koui

  10/04/2019

C,est pour des articles comme celui ci que je suis devenu un adepte de dedefensa. Bien souvent, je suis abruti par les bavardages sur le

Il Faut Sauver le Soldat Ryan

Article lié : Debord à Hollywood

Kevin

  09/04/2019

Je pense que le film de Spielberg, derrière son patriotisme de surface décrit exactement le débarquement comme une opération de com. Voici un article qui analyse le film sous cet angle:

http://www.lecturesalternatives.fr/2018/01/saving-private-ryan-au-final-ils-ont-fait-quoi-de-bien-les-americains.html

Debord à Hollywood

Article lié : Du DeepState à l’“État-peu-profond”

Kevin

  09/04/2019

Désolé de poster un commentaire à propos d'un autre article (Debord à Hollywood) mais cela faisait un an que je ne parvenais plus m'identifier sur dedefensa et était donc frustré de ne pas pouvoir réagir aux idées qu'il développait. Deux citations:
1- "Effectivement, c’est de communication qu’il est question, et cela autour et à propos de la Deuxième Guerre mondiale ; [...] parce que ce conflit fut l’occasion, grâce à la communication, d’une “victoire stratégique majeure” des USA qui a transformé l’époque et orienté l’histoire du monde vers où nous nous trouvons : « La transmutation de la Deuxième Guerre, en Europe, en victoire américaine et américaniste est le fait stratégique majeur du conflit, – et une victoire [...] de la communication. »"
2- "Elle ne cesse d’être “authentifiée” par les productions hollywoodiennes, comme ce film de Spielberg, Il faut sauver le soldat Ryan, où les Américains sont seuls à débarquer le 6 juin 1944 et où les indigènes se révèlent être des sauvages sans le moindre intérêt"

La remarque je voulais donc faire est que "Il faut sauver le soldat Ryan" dénonce l'opération de com qu'a été le débarquement.
http://www.lecturesalternatives.fr/2018/01/saving-private-ryan-au-final-ils-ont-fait-quoi-de-bien-les-americains.html
 

Gaïa

Article lié : Du DeepState à l’“État-peu-profond”

jc

  09/04/2019

https://fr.wikipedia.org/wiki/Ga%C3%AFa

Le tsunami féminin qui s'annonce?

Article lié : Du DeepState à l’“État-peu-profond”

jc

  09/04/2019

Du "Deep State" au "Shallow State".

J'ai lu sur la toile que les tsunamis se formaient au fond des océans (deep waters) mais qu'ils ne devenaient dangereux pour l'homme que lorsque le fond remontait (shallow waters):

https://www.le-cartographe.net/blog/archives/259-formation-d-un-tsunami

Thom: "Les situations dynamiques régissant l'évolution des phénomènes naturels sont fondamentalement les mêmes que celles qui régissent l'évolution de l'homme et des sociétés; ainsi l'usage de vocables anthropomorphes en Physique est foncièrement justifié."

Pour Thom le phénomène du déferlement hydrodynamique est modélisé par la catastrophe "ombilic hyperbolique", l'une des deux plus simples catastrophes que Thom qualifie de sexuelles, l'autre étant la catastrophe "ombilic elliptique". Thom interprète langagièrement ces catastrophes comme suit¹:

-Ombilic hyperbolique:
 Interprétation spatiale -substantifs-: le crêt de la vague, la voûte;
 Interprétation temporelle -verbes-: briser, s'effondrer -sens destructif-, recouvrir -sens constructif-;

- Ombilic elliptique:
 Interprétation spatiale: l'aiguille, la pique, le poil…;
 Interprétation temporelle: piquer, pénétrer -sens destructif-, boucher (un trou), anéantir -sens constructif.

Interprétations qui permettent de qualifier sans hésitation la catastrophe "Ombilic elliptique" de masculine et la catastrophe "Ombilic hyperbolique" de féminine.

Tsunami féminin en vue?


¹: Cf. "Topologie et signification", MMM

 

Derrida, Thom et la double contrainte

Article lié : L’essoufflement en peau de chagrin

jc

  09/04/2019

Je ne connaissais la pensée de Derrida qu'à travers ce site¹, site où les déconstructeurs n'ont pas bonne presse (et je ne voyais jusqu'à présent aucune raison de m'opposer à cette façon de voir les choses). Ma position a changé en deux jours. Car en deux jours j'y ai vu se croiser les routes de Thom et de Derrida (ce qui m'a étonné parce que dans sa carte du sens⁰ Thom place la littérature post-moderne au bord de la mer de l'insignifiance).

I. Avant hier.

À la lecture du "Le mythe de la virilité" de la philosophe Olivia Gazalé et particulièrement de la sixième partie "La déconstruction du monde viril" où OG retrace l'émergence de la différenciation des concepts de sexe (pour moi "génétique") et de genre (pour moi "épigénétique"), ainsi que l'émergence de la théorie "Queer" du genre qui postule que le genre "épigénétique" peut balayer continûment le spectre qui va de la femme idéalement féminine à l'homme idéalement viril (quid d'une théorie "Trans", c-à-d du changement de sexe "génétique"?). (Dans les dernières lignes de sa conclusion OG appelle de ses voeux "l'enthousiasmante naissance de masculinités" face à la désolante² fin de l'homme viril.)

Derrida est cité dans cette partie, en particulier p.477: "Au delà la différence binaire qui gouverne la bienséance de tous les codes, au delà de l'opposition féminin/masculin [...], je voudrais croire à la multiplicité de voix sexuellement marquées, à ce nombre interminable de voix enchevêtrées, à ce mobile de marques sexuelles non identifiées dont la chorégraphie peut entraîner le corps de chaque individu, le traverser, le diviser, le multiplier, qu'il soit classé comme un homme ou une femme selon les critères en usage."

À travers un jargon qui m'est inhabituel, je vois là nettement apparaître chez Derrida un penseur pour lequel il y a une relation de continuité entre les genres "épigénétiques" masculin et féminin; ce qui me renvoie aussitôt à Thom, penseur du continu affirmé et affiché.

II. Hier

À la lecture du lien "Double contrainte" de l'article présent "L'essoufflement en peau de chagrin", où la double contrainte me renvoie instantanément au thomien "Le prédateur affamé est sa propre proie" que Thom considère comme étant à la base de l'embryologie animale et que je personnalise ("je" mis pour Macron) pour la mettre au diapason de l'article en la paraphrasant en l'injonction paradoxale: "Je suis à la fois prédateur et proie".

L'exemple -pour moi archétypique- que donne Thom d'une injonction paradoxale n'est pas celui de l'âne de Buridan (proposé par Wikipédia) mais celui de l'oiseau fasciné par le serpent,car la forme du serpent est pour Thom une forme génétique (et non épigénétique) pour l'oiseau (un petit serpent est un ver, une proie, un gros serpent est un prédateur).

Je note avec intérêt que l'article évoque que toute solution logique au problème de la double contrainte se heurte au sacro-saint principe de non contradiction et donc que toute solution ne peut se faire que dans le cadre d'une logique paraconsistante, logique âprement défendue par Thom³.

Aux ébauches de solutions proposées par Wikipédia Thom propose l'explication "catastrophique" suivante: pour lui il faut briser le cercle vicieux représenté par le lacet de prédation associé à la catastrophe "fronce" en haussant le niveau de la façon suivante: un choc affectif permet de déformer la "fronce" en la compliquant en "papillon" (mathématiquement on complique un potentiel en x⁴ en un potentiel en x⁶), faisant apparaître une poche de compromis qui élimine le paradoxe⁴.

Et -the last but not the least- en lisant la partie philosophie de l'article Wikipédia largement consacrée à Derrida, je me demande si ce dernier n'essaye pas, avec son concept de différance, d'exprimer les idées thomiennes ci-dessus dans un jargon qui ne m'est pas familier -il n'y a peut-être qu'un pas entre différance derridienne et différenciation-différentiation thomienne (l'analogie entre différenciation cellulaire et différentiation des fonctions étant, je le rappelle, fondamentale dans l'oeuvre de Thom)-.


⁰: http://strangepaths.com/forum/viewtopic.php?t=41

¹: Cf. le moteur de recherche de Dedefensa

²: Certainement pour Éric Zemmour, cf. "Le premier sexe"

³: Et aussi (entre autres?) les épistémologues belges Lambert et Hespel via leur article "De la topologie de la conciliation à la logique de la contradiction" dont j'ai parlé à plusieurs reprises dans mes commentaires.

⁴: Thom décrit en détail dans ES pp.72 à 74 un modèle qui, je subodore, "colle" correctement pour le double bind.

Articles Similaires.

Article lié : La pub et les Gilets-Jaunes

Kevin CONRAUX

  09/04/2019

Voici un lien à deux articles que j'ai publié assez incroyablement par pur hasard le lendemenain de cet article de dedefensa et dans lequel je vomissais aussi sur la publicité, pour la première fois alors que ça fait si longtemps que ça me torture:

http://www.lecturesalternatives.fr/2019/03/la-propagande-fasciste-publicitaire-2000-mots.html
http://www.lecturesalternatives.fr/2019/03/1-la-pub-mercedes-classe-b.html