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Article : La chute de l’Empire Summers, par Summers

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non ci si libera mai della vaga sensazione ch'è tutto falso

perceval78

  07/04/2015

Chaque pays a sa vision de la Haute Trahison, en angleterre, on exécute, mais avec l’avantage de rentrer dans l’histoire, en témoigne la longue liste de personnage passé à l’austérité
lien.

En France on se souvient que le Général Bazaine, le traitre de Metz, fut condamné a mort en 1873 pour avoir refusé de sortir de sa citadelle, mais il eut jusqu’au bout le sens de sa propre survie ... lien.

Aujourd’hui, les guerres sont économiques et il serait intéressant de savoir si l’article 3 de la constitution Américaine, peut être étendu au crime de guerre économique Treason against the United States, shall consist only in levying War against them, or in adhering to their Enemies, giving them Aid and Comfort lien.

Mais Larry Summers est comme Bazaine, il a le sens de la survie,  on est pas trop inquiet pour lui, il est même rassurant de savoir que Ben Bernanke n’est pas d’accord avec lui lien.
De la même façon on est pas trop inquiet pour Goldman Sachs qui préconise d’acheter des “Russian Bonds”, même si on reconnait que cette banque a tendance à pousser le bouchon un peu loin lien.

Pendant que certains sont au devant de la scène, d’autres agissent lien et le système, saisie de Bazainite aigüe, ne sait plus que faire .

Ma a un certo punto, istintivamente, ci si volta indietro e si vede che un cancello è stato sprangato alle spalle nostre,
chiudendo la via del ritorno. Allora si sente che qualche cosa è cambiato, il sole non sembra più immobile ma si sposta rapidamente, ahimè, non si fa tempo a fissarlo che già precipita verso il fiume dell’orizzonte, ci si accorge che le nubi non ristagnano più nei golfi azzurri del cielo ma fuggono accavallandosi l’una sull’altra, tanto è il loro affanno; si capisce che il tempo passa e che la strada un
giorno dovrà pur finire

Cependant, le temps passait, toujours plus rapide; son rythme silencieux scande la vie, on ne peut s’arrêter même un seul instant, même pas pour jeter un coup d’œil en arrière. « Arrête ! Arrête ! » Voudrait-on crier. Mais on se rend compte que c’est inutile. Tout s’enfuit, les hommes, les saisons, les nuages; et il est inutile de s’agripper aux pierres, de se cramponner au sommet d’un quelconque rocher, les doigts fatigués se desserrent, les bras retombent inertes, on est toujours entraîné par ce fleuve qui semble lent, mais qui ne s’arrête jamais.