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"Ma liberté commence ou fini celle d'autrui ∫∫∫∫"

Article lié : “La ‘Liberté’ est devenue notre prison”

Sophie Guiroy

  15/10/2007

“Ma liberté commence ou fini celle d’autrui !”, eh bien justement, je n’en suis pas si sure ... Je partage toutes les critiques que vous faites de la manière dont les américains du Nord ont donné vie à ‘leur liberté” mais je ne partage pas votre conclusion.
Je pense que ce qui cloche là-dedans, c’est que ma liberté ne peut commencer que si elle est partagée… où bien il me faudra toujours user de la force pour la maintenir et je ne pourrais pas en jouir.
C’est en ce sens que la liberté comme valeur fondamentale ne me parait pas le cul de sac désespérant que notre journaliste préféré veut lire dans le texte de James Carroll.

La liberté à la française paraît peut-être mieux équilibrée, flanquée de sa fraternité et de son égalité ... qui sont de très beaux concepts en opposition totale avec l’idée sous-jacente que notre époque semble se faire de la nature humaine. “L’homme est un loup pour l’homme”, notre ami Freud a peut-être eut du mal à se faire entendre en son temps, il n’empêche que nos esprits sont bien imprêgnés de ce postulat et que nous ferions peut-être bien d’y aller voir de plus près avant de l’ingurgiter benoitement.

C’est sympa les forums sur ce site !
Bonne soirée,
Sophie

Liberté avec ∫ ou sans règles ∫

Article lié : “La ‘Liberté’ est devenue notre prison”

René M

  15/10/2007

Je trouve votre démonstration dans - faits et commentaires du 12/10 - : ” La Liberté est devenue notre prison ” très juste, et je suis en désaccord sur ce point avec Sophie Guyroy
En effet à  ce qu’il me semble, je comprends cela comme une parfaite illustration de l’aphorisme : ”

Ma liberté commence ou fini celle d’autrui ! 

C’est pour avoir oublié ce principe premier ,déja au temps des pionners et de la ruée vers l’ouest,  avec le comportement de ces pionniers vis à vis des Tribus Indiennes . Le mépris qu’ils ont manifesté pour leurs droits pourtant premiers sur cette terre Etc.. qu’elle à commencé à dériver (ou à révéler sa tendance naturelle ? )

Sorte de péché originel de l’Amérique ! 

Puis au long de son histoire l’attitude caractéristique envers ses voisins du Sud du continent .

Puis maintenant dans sa prétention à imposer au monde entier sa vision du monde tant au plan économique que sur tous les autres . Ainsi que les tentatives de mainmises sur les richesses ou l’énergie

La Liberté éclairant le Monde ! Elle aurait pu vraiment le faire si elle avait commencé par se fixer des REGLES et des LIMITES . j’allais dire si elle avait commencée à profiter de la lumière en question en s’éclairant elle-même sur ce qui lui était permis de faire ou non !

Sans règles rien ne vaut. En économie c’est la jungle ,ou le renard dans le poulailler , en politique, c’est la dérive oligarchique et la loi du plus puissant (ou plus riche)

Les REGLES :ce sont les “Constitutions” (entre autres) des régimes qui s’efforcent d’êtres démocratiques   (Républiques,  ou même Monachies constitutionnelles, dans certains cas )

Les pouvoirs absolus des rois par exemples, sont morts de la Liberté sans limites qu’ils s’octroyaient, et par conséquent refusaient a leurs sujets .
Et la notion d’empire est contradictoire avec une Liberté respectueuses de la Liberté et des libertés de tous

” L’Amérique a succombé à l’exercice de ce qui était apprécié comme sa vertu absolument fondamentale: la liberté”

Oui effectivement L’Amérique telle qu’elle est devenue est maintenant Le Problème .
Sans le frein ou les limites apportées par un monde multipolaire et planétairement organisé de façon vraiment démocratique ce ne peut être qu’un problème pour le monde mais avant tout pour elle même.


Sans règles ni limites - La liberté est liberticide -  et donc emprisonne, au propre et au figuré .
Bouleversant et vaste sujet !

Libertté ... - Egalité - Fraternité

Article lié : “La ‘Liberté’ est devenue notre prison”

Frans Leens

  15/10/2007

On peut aller au bout de la démonstration.

Même si cela a été dévoyé rapidement par la bourgeoisie, les révolutionnaires français avaient englobé justement les 3 concepts qui sont en fait inséparables si on veut construire une société pour le bien être de tous. Les Américains se trompent donc depuis le début en oubliant Egalité et Fraternité. Egalité pour permettre à tous d’avoir le meilleur et Fraternité pour le faire avec un esprit de solidarité universelle.
La jungle est libre, mais c’est la jungle. Les américains y retournent avec la sauvagerie en plus, que n’a même pas le règne animal. Il n’y a qu’à penser aux millions de victimes directes et indirectes des interventions américaines depuis 1945 et maintenant du goulag américains avec plus de 2 millions de prisonniers ou l’état totalitaire en marche.

Lisez à ce sujet l’article de Namomi Wolf sur la page http://www.alterinfo.net/Blackwater-peut-etre-legalement-ce-soir-dans-votre-ville_a12257.html?PHPSESSID=1bca90d500a267aeef8e126ecd9a5583

démonstration ∫

Article lié : “La ‘Liberté’ est devenue notre prison”

Sophie Guiroy

  14/10/2007

\“les guillemets suggérant combien ce principe a donné son contraire.
[ ...]
Il ne s’agit pas du constat que la liberté a été bafouée, déformée, trahie ; non, c’est la liberté elle-même qui nous a trahis. La liberté n’est donc pas la libération de l’homme mais, au contraire, son emprisonnement.\”

Je ne comprends pas comment vous pouvez en arriver à cette conclusion. Au contraire, à la lecture des extraits que vous utilisez, il me semble (et ce serait aussi la logique typographique) que les guillements mettent en cause l\’écart entre la Liberté et la manière dont cet idéal est poursuivi par les USA - et ce serait cette acception du terme qui deviendrait synonyme d\‘emprisonnement.
Il ne fait pas de doute qu\‘il s\‘agit d\‘un idéal non atteignable mais, pour autant, tout espoir n\‘est pas vain et la manière dont les états unis l\‘ont brandie et mise en oeuvre (terme pas très adéquate mais je n\‘ai pas beaucoup de temps devant moi) laisse tout de même une bonne marge de manoeuvre pour tenter autre chose, non ?

En tout cas, il me manque, pour vous suivre, une démonstration un peu plus rigoureuse.

Bonsoir et merci tout de même !

Sophie

OVNI politique ∫

Article lié : Un cas de complexité dans la crise autour de la Turquie: les rapports Israël-Turquie, en passant par le Congrès

Ilker

  14/10/2007

J’ai du mal à voir la “raison” de ce vote, certainement pas morale, vu l’Irak et le silence sur le million de victimes. Certainement pas stratégique, vu que ça induit un risque pour la présence US dans la région : le ministre de la défense Robert Gates a écrit à Nancy Pelosie pour lui demander de ne pas appuyer le texte au Congrès, que cela nuirait aux intérêts américains, proposant même de révéler à Polosie des documents classés “secrets défenses” pour lui montrer le sérieux de la situation. Certainement pas non plus dans l’intérêt d’Israël, considérant l’influence de la communauté juive aux USA et qu’elle aurait encouragé ce vote. Peut-être un mauvais calcul politique ? Ou une aberration, un OVNI politique ? Attendons voir.

traduction

Article lié :

Grumpt

  13/10/2007

Je trouve tres intérréssant vos sujet avec rappel tres régulier a des journaux étranger (éssentiellement de langue anglaise ) mais vous les recopié tel quel ce qui est bien mais si vous pouviez les traduire en français se serai parfais tout le monde et j\‘en fait partie n\‘a pas une maitrise suffisente de l\‘anglais pour comprendre tout ce qui est dis ! d\‘avance merci. :)

Liberté

Article lié : “La ‘Liberté’ est devenue notre prison”

Diogene

  13/10/2007

On ne peut pas ne pas repenser à la phrase de Cecilia Meirelles qui termine le film ‘L’ile aux fleurs’(12 min Jorge Furtado 1989):

‘Liberté est un mot que le rêve humain alimente. Il n’existe personne qui l’explique et personne qui ne le comprenne’.

A revoir ou a voir pour ceux qui ne l’auraient vu.

voiture piègée

Article lié :

geo

  13/10/2007

Les lecteurs de De Defensa ont déjà quelques informations sur Mike Davis, cité élogieudement sur le site pour “cité de quartz.

il nous livre a présent une “petite histoire de la voiture piégée” qui se lit bien.

Guerre contre l'Iran = une assurance anti-impeachment

Article lié :

Dominique Larchey-Wendling

  12/10/2007

Ecoutez Ralph Nader qui témoigne d’une prise de position d’un député démocrate :

http://www.youtube.com/watch?v=rIO-tCPSfHA

Pas d’impeachment car Bush-Cheney menacent de déclarer la loi martiale si les démocrates se lancent dans cette procédure, pourtant évidente vu leurs crimes ...

Avec des “courageux” comme ça, on n’est pas rendus ...

Astroturfing∫ containing Ron Paul!

Article lié :

miquet

  12/10/2007

The International Murdoch Media Smearing Of Ron Paul Begins

Darryl Mason
YOUR NEW REALITY
Friday October 12, 2007

The Rupert Murdoch media in the United States mostly pretends Ron Paul doesn’t exist, or simply doesn’t matter. As hard a myth that is to maintain, Murdoch is clearly backing Giuliani and Billary and no-one else for the White House in 2008. Like most American elites, Murdoch doesn’t care if it’s Billary or Giuliani, just as long as it isn’t Ron Paul in the White House come 2008.

In Australia, now that Ron Paul’s infamy is spreading fast, and his reputation as one of the more credible and interesting Republican candidates is taking root, the Murdoch media has decided to kill off the story of a real presidential underdog before it excites too many journalists down under.

The first shot from Murdoch’s Australian media claims that Ron Paul’s impressive dominance of internet campaigning is merely the result of a “fake online campaign.”

Wait. Here’s the full headlines from news.com.au :

Republican Ron Paul In Possible ‘Fake Online Campaign’

In the story, journalist Mark Schliebs makes a fistful of accusations of online fraud, based on little more than his own opinion and the strategic use of words like ‘possible’ and ‘may’. If the headline wasn’t bad enough, check out the opening paragraph :

  A candidate for the US presidency is being buoyed by a massive online campaign that may be a fake grassroots movement organised by party staff.

It gets worse, and far more dubious :

  YouTube footage of Texan Republican Congressman Ron Paul, whose candidacy has been overshadowed in the media by competitors Rudy Giuliani, Fred Thompson and John McCain, has been viewed by tens of thousands of people in the last week.

  As of 11am (AEST) today, a compilation of different clips of Dr Paul was the “Top Rated” video of the past 24 hours.

  The clip had been viewed nearly 60,000 times since it was uploaded yesterday.

  But it was not the only clip of the Congressman receiving kudos from Youtube users, with another 10 videos appearing in today’s list of the site’s 100 “Top Rated” recordings.

  Of the 11 featured clips of Dr Paul, only one user uploaded more than one of them in the last 24 hours.

  Just one of the 11 clips in the list was actually featured in today’s top 100 “Most Viewed” videos.

  Head of Flinders University’s Department of American Studies Don De Bats told NEWS.com.au that it “sounded like” an astroturfing campaign.

  Astroturfing is the term used to describe a fake grassroots campaign, where members of an organisation create the illusion that “ordinary people” are behind the movement.

  Professor De Bats said that for a relatively unknown candidate like Dr Paul to have so much prominence online was suspicious.

  “I would not put any credibility on those results,” Prof De Bats said.

  “I find it terrifically surprising and unlikely (that Dr Paul would attract that level of response).”

  Earlier this week, the Republican’s campaign team issued a press release that said: “Dr Paul’s video channel has been viewed 4.5 million times by supporters who embrace his message of freedom and limited government, making him one of the most-watched presidential candidates in internet history.”
  Those figures were only based on clips uploaded by one user, RonPaul2008dotcom, who didn’t have any clips in today’s 100 Top Rated list.

What the hell is this guy talking about? Can anyone make sense of this nonsense? The RonPaul2008 channel is an election channel, which every presidential wannabe who is seriously pursuing an online audience also has, including Billary, Giuliani and Barack Obama.

It’s an online campaign, so of course Ron Paul supporters or Ron Paul’s own office is going to post clips, just as the teams behind Giuliani, Billary and Obama are now also doing.

Similar claims of ‘astroturfing’ have been made about Ron Paul’s extraordinary showing in online polls after Republican debates, where he often heartily trounces higher profile candidates like Rudolph Giuliani. Despite the fact that most major media organisations only allow one vote from each IP address for such polls, the smear campaign continues to claim that Ron Paul staffers, and a small pool of supporters, are stacking the polls.

So when there is clear evidence that Ron Paul is making a deep impression with hundreds of thousands of Americans online, via impressive viewing numbers for videos on YouTube, a Murdoch journo tries to claim that this is merely yet another example of astroturfing?

There’s many reasons why it is in the interest of the ‘establishment’ media to try and discredit Ron Paul every chance they get. Here’s one reason why - Ron Paul talks like this about the international Murdoch media campaign to ramp up support for a War On Iran:

  “Why don’t we just open up the Constitution and read it? You’re not allowed to go to war without a declaration of war. Now, as far as fleeting enemies goes, yes—if there’s an imminent attack on us. We’ve never had that happen to us in 220 years. The idea that Iran could pose an imminent attack on the United States is preposterous. There’s no way.”

  “This is just war propaganda preparing this nation to go to war and spread this war not only into Iraq but into Iran unconstitutionally. It is a road to disaster for us as a nation. It is the road to our financial disaster if we don’t read the Constitution once in a while.”

No wonder they want to shut him up, and shut him down.

What the Murdoch media journo also failed to point out is how miserable the YouTube viewing numbers, and online poll results, are for presidential wannabes like Giuliani, who is supposed to be the chief Republican contender for the White House, and is “electrifying” the Republican heartland, if you believe what you hear on Fox News.

Tens of millions of Americans spend more than three or four hours online every day, but how many of them are drawn to check out Giuliani videos on YouTube? Not many. This Giuliani YouTube video, where he espouses on one of his key platforms, attracted a measly 370 viewings after a week. The clips where Giuliani scores tens of thousands, or hundreds of thousands of viewings, are the ones where he and Ron Paul are going at each other during Republican debates.

Here’s Giuliani on free trade (94 viewings), on combating internet predators (113 viewings), and on energy independence for the US (120 viewings) - at the time of this blog posting.

But when an anti-war Republican, who personifies the core values of real American conservatism, and who ‘courageously speaks the truth’, finds a massive online audience who flock to each new video in their hundreds of thousands, it’s all supposed to be fake?

If Ron Paul supporters are so easily stacking YouTube viewing numbers, and online polls, then why aren’t Giuliani supporters doing the same?

The Australian Murdoch media story on Ron Paul is a beat-up, hack work, nasty and vindictive and a standard example of the kind of insidious propaganda that gets flung at anyone who hits the American heartland talking of changing the status quo of an American in deep, deep trouble.

The Murdoch journalist also failed to mention the biggest Ron Paul story of the last few weeks - the fact that he has managed to raise $5 million in only a few months, with the vast majority of donations coming in small amounts from tens of thousands of supporters, as opposed to Giuliani who gets a handful of checks worth hundreds of thousands of dollars each instead.

The ‘Fake Online Campaign’ story has gone up on News Limited’s central media website for Australia, and it is likely to filter out into city newspapers across the country tomorrow, and also become fodder for talk back radio. Remember that Rupert Murdoch controls 70% of all Australian newspapers. That’s some distribution system for propaganda like the Schliebs story.

The lies propagated by Mark Schliebs will stick, and the rest of the Australian media will follow the Murdoch media line : that Ron Paul’s remarkable grassroots support base is nothing more than a fake campaign, organised by his staffers, instead of a revolutionary change to the way Americans elect their presidents, or at least hear what they have to say and what they stand for.

Another voice of rational American politics, which could help change the blood-stained international reputation of the United States, has been maligned, and discredited in Australia today.

If more Australians, Europeans, Asians and Russians heard what Ron Paul had to say, the horrific international poll results showing anti-American dissent is soaring across the world might level off a bit.

This Ron Paul video (and remember this is a video clip about politics, not Paris Hilton nude or skateboarding dogs) has been viewed an extraordinary 472,000 times.

Astroturfing? They wish.

La guerre au sein de la communauté juive américaine ∫

Article lié : Un cas de complexité dans la crise autour de la Turquie: les rapports Israël-Turquie, en passant par le Congrès

Dominique Larchey-Wendling

  12/10/2007

Ce sont peut-être les juifs qui ont décidé d’arrêter les sionistes/néocons ?

http://www.courrierinternational.com/article.asp?obj_id=76766

Géo-Politique pour le Nul

Article lié : Derrière la crise iranienne, celle des ABM en Europe

Aladin

  12/10/2007

d’actualité mon post de mi septembre…

US France, vire sarkosy au + vite !

image : http://www.come4news.com/images/stories/AVIATION/29915240578.jpg

lundi 17 septembre 2007 à 22:06
>>  =http://fr.netlog.com/Aladin87/blog/blogid=1738611

..................................................................
géo politique pour le NUL de l’Elysée
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sarkosy ne se sent plus
il joue dans la cour des Grands !
petite France ne se sent plus ,
elle jouit sur Internet(...)  wouaaa
décomplexée de sa nature bourgeoise, nombriliste, surprenante, coquine, hummm quelle parfum !!  (de nausée !)

alors petit cours de stratégie-politique :

l’ennemi n° 1 des USA économiquement c’est ???
L’ E U R O P E

l’ennemi n° 1 de la Russie économiquement c’est ???
L’ E U R O P E

Qui se met en première ligne contre l’Iran ? le gouvernement sarko ....
France est tu prête à payer le prix ? réfléchis un peu…
...les attentats dans Paris, en province ???

Qui va venir t’aider si une alliance Russo-pouet-pouet-tchin-tchine vient te dégommer contre l’Iran ?

tu vas menacer les Russes avec ta tite bombe natomique ?

ton super ami américain va venir t’aider ?
comme en 1945, aprés t’avoir vu te trainer dans la boue, te faire détruire par les nazis pendant des années,

ils viendront te prendre comme une catin dans leur marché capitaliste d’esclavagisme.

rappelle-toi à la fin de la guerre 1945,
==> 75% des réserves d’Or Mondial étaient aux Etats-Unis !!!!

pourquoi le peuple américain, qui a vu les invraisemblances des simili-attentats du 11 septembre 2001, ne bronche pas contre son gouvernement dictatorial ?

parce que l’Or du Monde fait baver les amér’loc !
Qui est plein d’oseille, de vitalité économique et faible structurellement ?
L’Europe !)
———-
et voilà la toile d’araignée de ton machiavélique Co & bush, sarkosy !

... alors .... sur un plan exclusivement humain se joue une partie d’échec
Russo-américaine dans laquelle tu vas perdre France.

Quand à l’Europe,
peuples d’Europe, réveillez-vous,
vos dirigeants vous ont trahi pour de l’argent,
vous êtes mis échec par les autres super-nations
par le démantelement et les dissentions entre les pays européens.

le monde du grand capitalisme règne sans contre-pouvoir sur les peuples,
le système américain basé sur le bluff, les faux, la poudre aux yeux va s’effondrer devant la réalité des chiffres de leur économie,
les financiers étrangers se retirent, les pays du pétrole veulent changer la monnaie $ de ce marché,

les guerres servent aux américains à effacer
..............
LEUR ARDOISE
..............
et à recommencer un nouveau marché de dupes
en soumettant les nations détruites par leurs guerres.

Le grand-père bush est accusé et condamné dans son pays pour avoir financé les outils de pouvoir des Nazis en Allemagne dans les années 30.
le cycle est clair non ?
créer l’ennemi de son concurrent, les laisser se détruire, piller les belligérants et proposer son impérialisme.

aprés il va y avoir le boomerang en retour de l’effondrement écologique en cours,
lui va faire plus mal encore !

Peuple de France, va tu laisser tes enfants se faire tuer pour la grande escroquerie capitaliste ????
tu peux encore reprendre les rênes en main !!!!
si tu marques ta conviction !

US France,
mobilise toi au plus vite,
bloque la nation par des grèves générales et
destitue sarkosy au + vite !
Son orgueil, sa bétise profonde,
te mènent au désastre, à la déconfiture,
sinon tu te seras faite avoir !
ou pire décapitée !

—————————-
- - - video - - -

sarkozy et l’iran (soir3 du 27/08/07)
*/ sarko tellement convaincu de ses dires qu’il tremblotte ce crétin, ce traitre.
>> http://www.dailymotion.com/video/x2ulqc_sarkozy-et- -liran-soir3-du-270807_tech

Guerre en Iran : Il faut s’y préparer
(Kouchner et sarko)
>> http://www.dailymotion.com/tag/france/video/x2zwdn- _guerre-en-iran-il-faut-sy-preparer_politics

...
Gran’ Papy bush, ce héros - banquier du nazisme
>> http://fr.wikipedia.org/wiki/Prescott_Bush

La belle Europe dans ses oeuvres >> http://rue89.com/2007/09/18/parfum-de-corruption-s- ur-le-contrat-du-siecle-saoudien#comments
(un tout petit exemple)

Parfum de corruption sur le “contrat du siècle” saoudien

La justice ou les emplois? La morale ou les contrats? Le gouvernement travailliste britannique a donné une grande leçon de cynisme mais d’efficacité, lundi, en signant le contrat de fourniture de 72 jets Eurofighters Typhoon à l’Arabie saoudite, pour un montant de 4,43 milliards de Livres Sterling (6,3 milliards d’euros), le “contrat du siècle” pour British Aerospace (BAE) et ses partenaires.

Crise Iranienne et génocide arménien

Article lié :

Dominique Larchey-Wendling

  12/10/2007

@ Ilker

Vous noterez que je n’ai pas dis que c’était un coup des Démocrates. Même si le congrès est à majorité démocrate, il y a encore des républicains et leurs votes comptent ... un raccourci un peu rapide que vous faites et dedefensa aussi. Et puis la ligne de fracture n’est peut-être pas entre Démocrate et Républicain à Washington (cf duel Gates-Baker-Rice-Brzezinski-Scowcroft contre Cheney-Bolton et les néocons/impérialistes, Kissinger je ne sais pas où il est).

Votre remarque sur la réaction de la Turquie me renforce dans mon hypothèse et à vrai dire, je trouve que c’est une hypothèse très plaisante ;-)

Lien avec la crise iranienne

Article lié :

Ilker

  12/10/2007

@ Dominique Larchey-Wendling, je suis d’origine turque et je peux vous dire qu’en Turquie la réaction à ce vote est vive.. si c’est comme vous le pensez c’est un “coup” des démocrates pour saboter une éventuelle guerre contre l’Iran, c’est bien parti. J’avais moi même rapproché ce vote avec la crise iranienne, mais dans l’autre sens à savoir une pression sur la Turquie (ce vote devant encore être validé par le Congrès), pour qu’elle soit plus coopératif que dans le cas irakien. A suivre.

comentaire éclairé des propos de Kouchner par un Général de l'Otan

Article lié :

miquet

  11/10/2007

Opération essaim de feu

par Général Fabio Mini

Mondialisation.ca, Le 9 octobre 2007
L’espresso

      Le général Fabio Mini

« Tout est prêt, en vue de   la guerre. L’offensive ne frappera pas seulement les installations nucléaires, mais elle anéantira toute la puissance iranienne. En concentrant les forces offensives les plus modernes sous la forme de hordes semblables à celles de Gengis Khan. »

Ceux qui pensaient que le feu vert à l’attaque israélo-américaine contre l’Iran serait venu du Congrès des Etats-Unis étaient dans l’erreur. Comme étaient dans l’erreur ceux qui pensaient qu’un président Bush frustré par le chaos irakien, par la situation en Afghanistan et par les pressions du lobby militaro-industriel aurait fini par décider seul. C’est grâce aux déclarations du nouveau ministre français des Affaires étrangères que l’attaque contre l’Iran aura lieu. Dans ces années de menaces et de contre-menaces, d’excuses et de prétextes pour faire la guerre, les seuls propos « révélateurs » jamais formulés jusqu’ici sont ceux contenus dans la phrase laconique en français : « nous devons nous préparer au pire ». Beaucoup l’ont prise comme une gaffe, d’autres y ont vu une provocation fanfaronne, d’autres encore l’ont considérée comme une incitation, et d’autres, enfin, comme une résignation devant un événement inéluctable. Cette phrase contient peut-être bien tout cela, mais l’essence profonde des propos de Kouchner est tout autre. 

Durant ces quinze dernières années d’interventions militaires de divers types et dans toutes les régions du monde, des connexions et des affinités étranges se sont mises en place. Les armées sont intégrées par les entrepreneurs privés, les idéalistes le sont par les mercenaires, les affaires par l’idéologie, et la vérité s’est mêlée à des mensonges que même la logique de la propagande ne parvient plus à excuser. Et une des connexions les plus insolites est celle qui s’est réalisée entre militaires, intervenants humanitaires et politique étrangère, jusqu’à permettre que chacune de ces trois composantes puisse se reposer sur les deux autres. Le liant principal de cette alliance, c’est la concession de l’urgence. La politique étrangère a perdu son caractère de continuité des rapports entre les Etats, au sein des organisations internationales. Depuis longtemps, désormais, on se consacre à gérer des rapports d’urgence, des rapports temporaires liés à des intérêts ou à des positions transitoires, susceptibles de changer, à géométries variables.

D’autre part, cette politique de l’urgence est la seule qui permette des engagements limités et sélectifs. De plus, étant donné que l’ampleur de l’urgence peut faire l’objet de manipulation ou d’interprétation, elle peut être construite ou déconstruite, à volonté. Selon une même logique, les armées, durant ces quinze dernières années écoulées, se sont vouées exclusivement à l’émergence, de préférence à l’extérieur et pour des motifs ainsi dit humanitaires, de façon à s’assurer d’un consensus et d’un soutien. Il n’y a plus d’armée capable de défendre son propre territoire ou d’assurer la défense, en cas de guerre. Il est de plus en plus difficile de trouver un Etat qui soit menacé de guerre par un autre Etat, et toutes les armées du monde comptent, aujourd’hui, sur un préavis d’au moins douze mois pour mobiliser les ressources adéquates à la défense nationale. Les armées se sont, pour cette raison, spécialisées dans l’urgence, soit comme type, soit comme tempo et comme rythme de leurs interventions.

Quand Kouchner dit, candide, que nous devons nous « préparer au pire », il ne fait pas autre chose qu’interpréter une philosophie qui ne se donne pas pour objectif la recherche du mieux, de la solution la moins traumatisante, mais au contraire, de celle qui invoque la gestion de l’urgence par le politique, par l’instrument militaire et par des organisations humanitaires désormais liées avec du fil renforcé. C’est aussi l’aveu de l’incapacité de cette même politique à penser et à trouver des solutions durables, de l’incapacité des instruments militaires de gérer des situations conflictuelles jusqu’à la stabilisation complète ainsi que celui de l’incapacité des organisations humanitaires à résoudre les problèmes des gens dans une perspective à un terme un peu plus lointain que celle offerte par l’urgence. Enfin, Kouchner reconnaît que la somme de ces incapacités conduit inéluctablement à la guerre. Donc : partons en guerre !

Il est évident que, dans ces conditions, quelques coups de main soient nécessaires, qui garantissent la concrétisation de l’urgence et des interventions des diverses composantes : quelque chose doit se passer – ce que les analystes appellent « la gâchette » [trigger, ang.] – qui détermine l’urgence politique, il faut que la sécurité collective soit placée devant un danger immédiat, et il faut prévoir une catastrophe humanitaire (de la plus grande ampleur possible). On doit, en substance, avoir un appareil gestionnaire capable d’ « inventer » l’urgence et d’en inventer une issue à même d’autoriser le détachement et le désengagement par rapport à la recherche d’une solution aux problèmes. L’attaque contre l’Iran rentre parfaitement dans ce cadre, et, tout bien considéré, il s’agit là d’un cadre désormais quasi achevé. La disponibilité des prétextes pour l’attaque est multiple.

L’idée que l’Iran voudrait développer une bombe nucléaire, et qu’il veule détruire Israël, est désormais largement admise par tout le monde. Certes, manquent encore les recoupements et les preuves, outre les fanfaronnades, mais il y a eu, par le passé, des témoignages de fanfaronnades terroristes qui se sont, de toute façon, concrétisées, et personne ne veut plus prendre de risque, fût-ce par amour de la vérité. L ’idée d’une attaque iranienne, ou d’une attaque soutenue par l’Iran, contre les forces américaines présentes en Irak, quand bien même il n’en existe aucune preuve, est en train de convaincre même les plus sceptiques. Tôt ou tard, à force d’en parler et de l’évoquer, cela sera perçu comme une invite ou un défi, et l’attaque sera effectuée pour de vrai. La politique iranienne de soutien au Hamas et au Hezbollah rend Téhéran extrêmement vulnérable. Une perte de sang froid, ou une erreur, de la part de ces formations, suffirait à déclencher [contre l’Iran] une intervention militaire immédiate.

La politique extérieure des plus grandes puissances, Europe comprise, s’est désormais habituée à l’idée qu’une intervention militaire serait en mesure de repousser l’Iran sur les positions qu’il avait, voici de cela une vingtaine d’années.

S’installe, par ailleurs, l’idée selon laquelle l’objectif n’est pas tant, ni seulement, celui d’empêcher la formation d’une puissance militaire, mais aussi celui d’éliminer ce pays en tant qu’acteur régional détenteur d’intérêts pétroliers et stratégiques dans toute l’Asie du Centre-Sud. Sur le plan militaire, tout est désormais prêt, et depuis longtemps. Les plans d’attaque sont en vigueur depuis 1979, époque de la crise à l’ambassade américaine en Iran, et ils ont été mis à jour au moyen des nouvelles technologies et structures. La thèse selon laquelle il s’agirait d’une attaque visant essentiellement les structures atomiques de l’Iran sans dommages collatéraux pour la population civile n’est qu’un fantasme pieux chez ceux qui sont désormais habitués à mentir. Même l’idée qu’elle puisse se limiter au territoire iranien est moins suspecte, parce que le but de l’obstination et de l’ostentation des ayatollahs, d’une part, et des israélo-américains, de l’autre, concerne des intérêts et des ambitions qui s’étendent très au-delà du Golfe persique.

Toute attaque, quelle qu’en soit la nature, produira des pertes énormes tant militaires que civiles, dès lors qu’on peut envisager une urgence nucléaire causée par des retombées radioactives ou une fuite de radiations. Une attaque, quelle qu’elle soit, ne pourra avoir pour objectif que la destruction pure et simple des structures défensives : bases aériennes et bases de missiles, dépôts d’armes, rampes de lancement mobiles, ports militaires, unités en cours de navigation, défenses anti-aériennes et radars, moyens terrestres mobiles et blindés, centres de communication, de commandement et de contrôle devront être éliminés avant, ou en même temps que l’attaque contre les installations nucléaires. Or, beaucoup de ces structures sont situées dans les principales concentrations de population.

Même en tenant compte des missiles de croisière les plus sophistiqués, des bombes intelligentes guidées sur les objectifs par des commandos israéliens et américains, depuis longtemps déjà à pied d’œuvre en Iran, une marge très élevée de dommages collatéraux demeure. Si, en lieu et place des bombes à explosif conventionnel « bunker busters », des mini-bombes nucléaires ou à fission, ou encore des bombes à neutrons étaient utilisées, le pourcentage des dommages pourrait augmenter, mais pas dans les proportions énormes affirmées par beaucoup d’observateurs.

Même la thèse selon laquelle des frappes chirurgicales seraient possibles avec une seule composante – aérienne et par missiles – est un miroir aux alouettes. Une action complète, visant, comme on dit vouloir le faire, à renvoyer le potentiel belliqueux iranien à l’âge de la pierre, présuppose des actions d’attaque multiple, au moyen de forces multiples, dans des temps restreints, de manière à interdire à l’adversaire, comme le disait le colonel Boyd, toute capacité de décision, de riposte et de contre-stratégie. L’action multiple doit également empêcher la rétorsion directe de la part des forces aériennes et maritimes iraniennes contre les installations et les transports de pétrole dans le Golfe persique et dans la Mer d’Oman.

Elle devra neutraliser les menaces par missiles contre les bases militaires américaines en Asie centrale et au Moyen-Orient. Elle devra interdire des actions iraniennes de stratégie indirecte en Afghanistan, au Pakistan, en Irak, au Liban, à Gaza, dans le Caucase ou partout ailleurs où un chiite est susceptible de créer des emmerdes. Téhéran, de surcroît, contrôle la côte septentrionale du détroit d’Hormuz, et la fermeture de cette route maritime au trafic des pétroliers pourrait faire s’envoler le prix du baril de pétrole jusqu’à atteindre des prix oscillant entre les 200 et 400 dollars le baril. Le même résultat serait obtenu au cas où l’Iran se vengeait des opérations de sabotage et des bombardements contre les installations pétrolières d’autres pays de la région.

C’est la raison pour laquelle la stratégie militaire d’une attaque contre l’Iran ne saurait consister en des frappes chirurgicales ou en une seule composante. Il ne peut s’agir d’autre chose que de la « Swarm Warfare », de la guerre de l’essaim et de la horde, qu’Arquilla et Ronfeld ont ré-exhumée après l’usage indépassable qu’en fit Gengis Khan. En termes modernes, cette stratégie active toutes les dimensions de la guerre – terrestre, navale, aérienne, par missiles, spatiale, virtuelle et informationnelle – sur des théâtres et à des niveaux multiples. A cette fin, il faut que l’ « essaim » des diverses composantes et des actions qui se déroulent en se concentrant sur un lieu et une dimension donnés pour se transférer ensuite sur d’autres lieux et d’autres dimensions puisse, quoi qu’il en soit, interdire une quelconque réaction. Les hordes chargées de la destruction physique des cibles doivent s’intégrer et se concentrer sur les objectifs avec les hordes virtuelles des actions diplomatiques, de la guerre psychologique, ainsi qu’avec celles de la manipulation de l’information.

Ensuite, les actions militaires doivent avoir pour but de créer une urgence humanitaire qui permette à des organisations internationales d’intervenir en territoire iranien. De toute évidence, la catastrophe doit être attribuée à la responsabilité des Iraniens eux-mêmes. Dans ce domaine, y compris, tout est désormais fin prêt, ou presque, en particulier depuis l’exhortation de Kouchner. Des agences internationales et des ONG sont déjà en train de trépigner pour partir en Iran enlever le voile des femmes. Si on leur donne la possibilité d’intervenir afin de recueillir les réfugiés, de soigner les blessés, de compter les morts et mettre en place une élection par mois, ce sera la course, pour aller apporter la démocratie en Iran !

La complexité de ce scénario ne doit pas nous inciter à croire que l’on doive mobiliser des forces énormes. Les capacités de bombardement des avions israéliens et américains sont tellement élevées qu’elles peuvent détruire des objectifs multiples avec un nombre limité d’aéronefs. Les missiles de croisière qui peuvent être lancés depuis la mer sont désormais des armes technologiques qui n’ont pas besoin d’une intervention de masse pour réaliser les destructions désirées, même à grande échelle. La multiplicité des plans et des niveaux d’intervention pourrait éventuellement poser des problèmes de coordination, de commandement et de contrôle, mais rien d’exceptionnel. Les Etats-Unis et Israël collaborent entre eux depuis un demi-siècle, et les problèmes de pseudo-autorisations de pays tiers aux survols ou au transit [terrestre] de troupes sont désormais dépassés, soit par des accords politiques signés avec les pays concernés, soit par la prédisposition de ces deux puissances à ignorer les objections.

Reste la grave et importante inconnue du post-urgence. L’inconnue sur l’avenir d’un Etat d’origine et de mentalité impériales, qui se voit rétrogradé du rôle d’Etat voyou à celui d’Etat en faillite et d’aspirant au rôle de puissance régionale à celui de trou noir politique et stratégique. Reste très prégnante l’inconnue de la réaction non point tant à la défaite ou au redimensionnement des aspirations, mais à l’humiliation. Il n’est nullement exclu que ce qu’on veut à tout prix éviter, à savoir la nucléarisation de l’Iran, entièrement à démontrer et entièrement à réaliser, ne soit au contraire favorisé, grâce à l’aide de puissances extérieures, précisément par l’humiliation. 

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Article original en italien, « Operazinone Sciame di fueco », 1er octobre 2007.

Traduit de l’italien par Marcel Charbonnier

Fabio Mini, général de l’armée italienne, a été commandant en chef des forces armées de l’Otan au Kosovo jusqu’au 1er octobre 2007.