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Article : Vraiment, est-ce le “bon choix”?

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Stephane Eybert

  16/05/2009

Le bon choix.. Peut etre n’y a t’il parfois pas de bon choix. Simplement des choix que l’on ne peut pas ne pas faire.

http://www.voltairenet.org/article160014.html

Spirit of Warpaint

Exocet

  16/05/2009

Je ne suis pas si sur que les lourdeurs résiduels (essentiellement de souche idéologique ) de l’histoire qui bascule dans une orgie sublimée de créatrices destructions   chéres aux NC puissent encore être opérationelles de nos jours   d’un point de vue politique (donc comme acteur de régulation !), ni même militairement sur le théatre des opérations, surtout dans des conflits bâtards comme l’afghanistan versus Irak.. (d’ailleurs une légitimité  forcée   de Karzai le corrompu l’aidera peut être à cerner les tribulations autonome du bonhomme…).Certainement qu’Obama a déjà acté depuis longtemps la fin de l’ancien ordre international ,celui proclamé en 1991 et qu’il recherchera des partenaires “plus rationalisé” à ses yeux et   plus conforme à des USA redevenus multipolaire par la force des choses!!! ...Pas sur que son agenda prête non plus un grand intêrêt à l’UE et l’OTAN ,incapables de sortir de leurs divisions post guerre froide ( il faudrait peut être attendre le prochain remplacant de Merkel pour espérer voir une autre inspiration se dessiner ..) . Medvedev pourrait occasionellement l’inspirer tout autant,sans nuire pour autant à ses voisins..( ce qui est du coup trés lourd psychopolitiquement , indeed) .

Choice Of Continuity

René M

  17/05/2009

Bon eh bien ce soir il semble que la version Américan Gorbatchev perd du poids au bénéfice de la version COG (Continuity Of Government)  et que DeDefensa toujours si ardent à envisager la thèse et l’antithèse en toute chose penche aussi vers une interprétation moins incertaine.

Au fond comment imaginer que la transformation,  le glissement vers l’abandon des principes qui a jalonné ” The Road to 9/11” (Lire Peter Dale Scott ) puisse s’être arrêter soudain comme par une sorte de miracle électoral. Comment imaginer que les forces qui ont poussé si longtemps dans le sens de cette dérive de ce glissement d’une démocratie sur la pente infernale, démocratie supposée démocratique au moins en théorie,  comment imaginer que cette déstructuration arrête de produire ses effets. Que les dites forces cessent de vouloir pousser leur politique en avant.

Tout au plus et dans l’hypothèse la plus indulgente, il peut s’agir d’un courant de pensée un peu plus subtil, jouant plus fin et donc plus insidieux dans les méthodes qu’il emploie pour parvenir à ses fins.

Mais “la bête” obligée ainsi de se réfugier dans une mainmise moins directe que dans la période Bush ne peut même plus donner le change puisque les observateurs lucides ne s’y trompent pas.

Tiens !  — Ne peut même plus donner le “Change”  cette sorte de jeu de mot m’est sorti sous les doigts sans que je le veuille.

Chiqué !

Père Iclès

  17/05/2009

Ce n’est peut-être pas si étrange que cela : Obama a été désigné pour changer l’image des US mais peut-être pas les pratiques.

Il s’agit peut-être surtout de donner le change pour fournir aux alliés la possibilité de rassurer leurs populations sur la nature du régime US et l’occasion aux média de regagner un peu de crédibilité avant de leur réclamer une belle petite propagande qui affirmera que les US ont changé, si si, en ignorant la réalité, qui est toute autre…

Pendant que Obama noiera le poisson en se confondant en excuses sur les pratique du régime Bush, on torturera de plus belle tout en criant partout qu’on a enfin abandonné les méthodes de ce régime, gagnant quelques précieux mois avant l’inévitable prise de conscience de l’opinion publique mondiale…

Ensuite,  sans doute dans quelques semaines ou quelques mois, on fera mine de se rendre subitement compte que décidément avec les terroristes insurgés il n’y a que la manière forte qui paye… Peut-être même songera-t-on alors à présenter des excuses au trio Bush-Cheney-Rumsfeld…