Michel
03/03/2014
A l’évidence, vous faites de l’aveuglement volontaire systématique sur la Russie de Poutine.
Quand on cherche un peu, tous les pays ont des bouts de “grande Histoire.” Elle est fabriquée par leurs élites, dont le pouvoir dépend de leur propagande, en Russie comme ailleurs.
La “Grande Russie” est comme toutes les manipulations organisées: un moyen de fournir un ennemi extérieur au petit peuple. Un seul poil de l’ennemi qui passe la frontière et hop! Tout le monde à l’attaque! Allons crever pour sauver nos bourreaux locaux. Au moins on les connaît.
Le nationalisme est un instrument de contrôle. Partout.
François Jéru
03/03/2014
Parfait
... avec en sus la ref. blogs.rediff.com/mkbhadrakumar/2014/03/03/ukraine-imperils-obamas-foreign-policy-legacy/. Parfait.
Se savoir non affiché autorise le langage pleinement en clair, ( : - ) c’est ce qui est tenté
Bernard Scaringella
03/03/2014
De même que la crise a été créée/amplifiée par l’UE, le
fiasco ukrainien a été créée/amplifiée par l’UE. Mais
pourquoi donc? Pour se débarrasser de l’emprise US.
Car les seuls ayant des moyens militaires à mettre en face
des russes, ce sont les US. Les UE n’ont pas d’armée.
Aucun pays de l’UE ne peut bouger le petit doigt.
Seuls les US comme pour la crise sont affligés des sept plaies
d’égypte et se montrent pour ce qu’ils sont devenus.
Le reich UE va à force de preuves pouvoir se
séparer du suzerain avec l’aval des BRICS (leur protection ?).
Les US sont si bêtes (des animaux quoi ...) que les minus de l’UE les bernent avec une facilité telle qu’ont se croirait dans un de ces
scénarios hollywoodiens à 2 cents. Bon, il a fallu sacrifier
la grèce pour montrer le droit chemin, c’est pas grave, et ça
fait véridique dans le scénario.
L’UE va bien être obligée de monter une armée pour se
protéger de l’ours! Quand même! (clin d’oeil de merkel à
poutin, indiens, chinois, brésiliens, iraniens).
Les seuls vrais perdants depuis la crise c’est les US. C’est la
curée.
olivier taurisson
03/03/2014
La puissance du Destin Russe nest plus à démontrer. Toute son Histoire et les peuples embarqués avec elle nont jamais eu à se justifier. Cest et pas autrement. Il suffit de lire Dostoïevski et on comprend tout : de lancienne Grande Russie comme de lUnion qui a suivi. Nest-il pas vrai que nous nemployons les termes « lâme russe » que pour cette nation ? Berceau dune « certaine » spiritualité à la Tarkovski.
(Pour ne pas gâcher notre jubilation : on ne dit pas lâme américaine, lâme française, etc
on dit autre chose plus terre à terre ou swinguant).
« On ne débat plus sous la pression de la puissance et selon les références de lidéal de la puissance mais on débat de la valeur même de lidéal de la puissance (contre lidéal de la puissance, au nom de lidéal de perfection, toujours selon le classement de Ferrero) » (de votre article du 23 septembre 2013).
Nous y sommes en plein.
Théo TER-ABGARIAN
03/03/2014
Aveuglement et jugements de valeur : ce lundi 3 mars 2014 20h20, le président des Etats-Unis Barack Obama affirme que la Russie est «du mauvais côté de lHistoire» en Ukraine….
Obama ne se rend pas compte que le toboggan du déclin n’a pas de frein et que les USA sont en passe de sortir de lHistoire . Sic transit gloria mundi.
pierre
04/03/2014
Et si la Chine avait la même idée, c’en serait fini de la peste américaine !
Pour poster un commentaire, vous devez vous identifier