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Article : Ullman-Diogène cherche un leadership

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Un monde d'actionnaires, donc vivant au jour le jour...

Théo TER-ABGARIAN

  26/10/2013

Le mythe de l’actionnariat s’effondre en vrille. Une société qui vit au jour le jour, sans autre perspective qu’un gain imbécile, est vouée à sa perte.

L'empire ou la fin de l'empire...

Philippe Le Baleur

  27/10/2013

Comme il est bon de se voir comme un intellectuel, toujours pret a donner des conseils irresponsables, a l’abri de sa propre impuissance, pour ainsi dire!
Les pionniers americains n’ont pas cette chance. Pour eux, toute idee doit porter des fruits tangibles. Leur ideal, depuis la conquete de l’Amerique, est un ideal de puissance. Ils etaient pauvres et frustres, ils ont emigre, et colonise cette terre. Une fois qu’ils en ont assure la possession, ils se sont organises pour que rien ne puisse la leur reprendre.
C’est la que ont intervenus les Peres fondateurs, avec leur philosophie democratique issue du Siecle des Lumieres… Ce qu’ils n’ont pas pense, c’est que le 18eme siecle europeen avait elabore une philosophie humaniste a un usage europeen, pour se debarrasser de l’autocratie royale.
Alors l’humanisme des Peres fondateurs a fonctionne a usage interne, pour gerer des communautes de pionniers enrichis qui voulaient conserver leur pouvoir.
En fait, tout a commence a basculer a partir de la fin de la seconde guerre mondiale, en 1945, quand les USA se sont retrouves en position de leadership mondial par defaut. Les affaires n’ont pas ete trop mal tant qu’il y avait l’URSS pour partager ce pouvoir immense. Mais a partir de 1990, avec l’effondrement de cet autre empire, l’hubris des corporations americaines n’a plus connu de limite.
Ainsi, en s’accrochant a leur Constitution humaniste et democratique, les USA auront ete les instruments de leur propre declin. Henry Kissinger avait raison quand il declarait que les USA etaient un empire sans doctrine imperiale. A l’epoque ou il a ecrit cela, on se faisait traiter de fasciste a la simple mention de la possibilite d’un pouvoir autocratique. Mais ce qu’il voulait dire, Dear Henry, ce n’etait pas “une doctrine imperiale”. En verite, une doctrine imperiale est imposee par un empereur.
Tous les empires de l’histoire connue ont toujours ete autocratiques. Les Romains, apres la republique, avaient un empereur coopte, mais assimile a un dieu. La democratie grecque a vite cede la place a Alexandre. La Republique Francaise, apres les aventures napoleoniennes, n’a pas su gerer un empire, et l’a perdu. L’empire britannique n’a fonctionne que par la monarchie, meme une monarchie constitutionnelle.
Aujourd’hui, les USA ne feront pas exception a la regle. A l’election d’Obama, je l’avais compare a l’empereur romain Marc-Aurele, intelligent, habile, philosophe de valeur, mais prisonnier d’une decadence inevitable.
BHO avait aussi le choix, comme les deux Bonaparte, de faire un coup d’etat en tant que dirigeant elu. En tant que “commander in chief”, il pouvait mettre l’armee de son cote et faire arreter toute personne qui conteste son pouvoir. Il n’avait pas la stature d’un empereur, je crois. C’etait sa meilleure option, mais il n’a pas ose… Et en plus, il a eu la force derisoire de stopper ceux qui auraient eu la carrure, comme Petraeus, mais qui n’avaient pas la legitimite.
A present, tout est fini. Les factions du pouvoir americaniste sont bloquees sur leurs privileges, arc-boutees sur leurs fortunes de papier. Le monde va se reorganiser, et les USA redeviendront ce qu’ils n’ont jamais cesse d’etre: un ensemble de communautes locales dirigees par des potentats locaux; une federation d’Etats sans pouvoir central. Le pouvoir de Washington n’aura ete qu’un passage fortuit, temporaire de l’Histoire… Le XXeme siecle figurera dans les livres d’histoire sous le nom de siecle americain, comme le XIXeme fut le siecle britannique, comme le XVIIIeme fut le siecle francais.

Le leadership à tout prix ? Une vieille histoire !

Jack v.

  28/10/2013

Le programme Apollo est un des motifs de célébration du Système tel que nous le subissons aujourd’hui.

Il a été conçu, en toute hâte, il faut le rappeler, pour répondre à la menace que représentait pour
l’hubris US, la progression tranquille de la technologie spatiale soviétique.

Aujourd’hui, on ne peut plus ignorer les anomalies qui émaillent l’histoire de ce programme, et notamment
celle du premier pas supposé de l’Homme sur notre satellite, d’autant plus que les acteurs principaux du Système ont été, depuis lors,
maintes fois été pris en flagrant délit de mensonge.

Dans cette vidéo, qu’il faut vraiment regarder avec attention,  ces principales anomalies
sont passées en revue par l’un des premiers à dénoncer le hoax Apollo,

< a href=http://fr.wikipedia.org/wiki/Bill_Kaysing>

Bill Kaysing.

L’homme est un ancien employé de Rocketdyne. D’après wikipédia, “il est considéré comme l’initiateur des accusations de mensonge relatives au programme Apollo” .

Toutefois, on ne donne pas de réponses satisfaisantes aux questions fort judicieuses qu’il pose.

- Pourquoi après l’alunissage les trépieds du LEM ne portaient pas de trace de poussière alors qu’ils auraient dû en être recouverts puisque le moteur-fusée du LEM venait de fonctionner pour poser le LEM à la surface lunaire quasiment à vitesse nulle ?

- Pourquoi entend-on distinctement les commentaires de occupants du LEM alors que ces derniers étaient littéralement assis sur ce même moteur-fusée qui devait faire un boucan terrible… que l’on n’entend pas ?

- A quoi ont servi les équipements et décors qui apparaissent

< a href=http://apolloreality.atspace.co.uk/>

ICI ?

- Et bien d’autres questions.

Pour rester dans le thème du site Dedefensa.org je dirai que ceux qui ont tenté (et tentent encore) de vendre le F35 à leurs alliés, et qui ont organisé les reality-shows sanglants qui ont marqué les deux dernières décennies, avaient de sérieuses raisons pour fourguer au monde entier l’Histoire de cette fausse conquête américaine de la Lune.

Je dois dire qu’à l’époque, j’avais beaucoup aimé/rêvé ce conte de l’Homme sortant de son berceau planétaire pour partir dans les étoiles.  Aujourd’hui, ma religion est faite : Apollo, c’était aussi et déjà du flan.