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Article : « Quand c’est fini, n-i-nini, ça recommence »

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Where is the bitch ?

jc

  27/01/2023

PhG : "... cette métaphysique [de l'américanisme] s’inscrit directement, sans nécessité de débat dans une époque qui est directement métahistorique et non plus historique, dans cette psychologie si spécifique avec l’inculpabilité et l’indéfectibilité. Dans le premier cas, l’inculpabilité, c’est l’évidence américaniste que l’Amérique ne peut pas moralement être prise en tort, qu’elle ne peut être qualifiée de “coupable” ; dans le second, l’indéfectibilité, par l’intermédiaire de l’exceptionnalisme que dénonçait Poutine, c’est l’évidence américaniste que l’Amérique ne peut pas perdre dans quelque combat que ce soit, qu’elle ne peut être qualifiée de “vaincue”. " (1).

PhG : "Il fait, il est nécessaire que chacun d’entre nous se rappelle la phrase fameuse du temps d’Eisenhower (est-ce un ambassadeur US en Amérique du Sud, ou le secrétaire d’État ou quelqu’un du genre…), parlant d’un dictateur sur mesure installé par la CIA là où il faut pour faire ce qu’il faut : « He’s a sonavabitch but he's our sonavabitch » (« C’est un fils de pute mais c’est notre fils de pute. »).

Compte tenu de la première citation ci-dessus il ne fait aucun doute que ce "haut dignitaire" ne pouvait concevoir que la pute était à Washington. Et pourtant c'est à mon avis bel et bien là qu'elle est.


1 :  https://www.dedefensa.org/article/trump-et-le-paroxysme-de-la-haine