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J’affectionne toujours autant votre humour. Merci pour ce petit joyau pour lequel, hélas, vous n’inventez rien.
Un regard sur nous-mêmes? Le n°6 du Prisonnier, interprété et conçu jadis par l’acteur anglais Patrick Mac Goohan, nous le souffle sur les joues comme le réveil salutaire de l’initiation (pour les engourdis par l’acné). Poutine, n°6? Et la reconnaissance dans le “Dénouement” comme un être au-dessus de la mêlée qui a su résister à tous les stratagèmes déployés pour le soumettre…

Poutine, l’elfe de maison :

The Guardian

“Parfois, les militaires, s’exagérant l’impuissance relative de l’intelligence, négligent de s’en servir.”  Charles de Gaulle, Le Fil de l’épée.

Dans le cas de Mr Campbell, on peut imaginer que son jugement est altéré par le fait qu’il est supporter de Burnley et comme chacun sait si Burnley joue 50 fois contre Chelsea, Burnley perdra 49 fois lien

On s’ étonnera quand même des jugements à l’emporte pièce de nos amis anglais. Il y a peu Sir Tony Breton (KCMG) nous disait que Poutine était un Trouillard : In a sense, Russia’s behaviour has been very uncharacteristic. I saw quite a lot of Putin when I was the ambassador, and one of my conclusions about him was that he is a very risk-averse man—a cautious man who does not expose himself or his country to real danger. I saw him get into various confrontations with the West, most notably over Georgia, where Russia finally stepped back from the brink even after it had fought its war and won it. The annexation of Crimea was not the Putin whom I had known. As I talk with Russian experts, that is the general feeling.
No one, but no one, anticipated the annexation of Crimea lien.

Non que je pense que c’est Ian Bond (Center for european reform) qui a raison, Poutine manque de Fair Play : If somebody thinks he is in a zero-sum game, it is very important that you are the winner. We think that you can have a win-win relationship. Fundamentally, President Putin does not. He sees that there are always winners and losers lien.

En parlant de reptiles, un article de Russia Insider du 6 février intitulé “Kremlin-Funded Study Says Obama Is a Space Lizard”
http://russia-insider.com/en/2015/02/06/3199
nous fournit des éléments supplémentaires et bienvenus. Cet article répond à la curieuse étude qui imputait à Vladimir Poutine un autisme dissimulé en faisant monter les enchères. Cette fois on a un Obama ovipare à sang froid, dont le cerveau a reçu un implant comme en utilisent les services secrets britanniques pour contrôler les extraterrestres échoués sur notre belle planète. Les preuves sont disponibles sur YouTube.

Russia Insider conclut sur un aspect purement pratique mais de bon goût : les diplomates russes pourront prendre soin du bien-être d’Obama-le-lézard-de-l’espace en le rencontrant de préférence dans une salle bien chauffée, mettant à sa disposition des mouches vivantes en abondance. Une gentillesse dont la presse anglo-saxonne gagnerait à s’inspirer.

La ressemblance/confusion est visuelle et auditive :

http://en.wikipedia.org/wiki/Vladimir_Putin

http://www.legaliondesetoiles.com/Empire-galactique_a683.html

2 personnes/personnages intéressants, patients, méthodiques et pragmatiques.

Dans la saga Star Wars, l’ancien système est balayé au moment opportun sur un seul ordre après un plan de longue haleine.