Denis Monod-Broca
08/11/2023
La bible est pleine de violences en tous genres. C'est bien connu et c'est bien vrai.
Elle nous donne aussi le remède.
Elle nous dit comment ne pas nous laisser entrainer par la violence, redoutable mécanisme.
Il y avait une bonne raison de tuer Caïn puisqu’il avait tué Abel mais non, justement, ce n’était pas une bonne raison : « Et le Seigneur mit un signe sur Caïn pour le préserver d’être tué par le premier venu qui le trouverait ». Qu’a-t-on écrit de mieux depuis pour arrêter l’engrenage de la violence réciproque ?
Après la Passion, Juifs et Chrétiens furent pendant 2 ou 3 siècles en concurrence.
Puis l'Eglise, devenue romaine, trahit le message qu'elle professait. Erreur d'aigguillage: de défendeur des persécutés qu'elle était, elle devint persécutrice.
Pendant que le peuple juif, lui, au contraire, qui n'avait pas reconnu le Messie, mit en application les principes judaïques/christiques.
Cela lui valut d'être persécuté.
Il ne prit jamais les armes.
Après quelques siècles vinrent les Lumières
Ah, les Lumières, les Lumières… Elles s’avèrent avoir été un nouvel obscurantisme.
À la suite de l’« émancipation », les Juifs, porteurs d’un savoir ancestral, universel, se sont fondus dans la masse.
Ça ne suffisait pas. Ils existaient encore trop. Ils ont été exterminés.
Et désormais, désolation des désolations, ils n’existent plus, et le savoir dont ils étaient porteurs a été perdu, au mieux a été rangé au rayon des vieilleries inutiles.
Plus aucun peuple n’envisage de le mettre en application. La parole s’est tue. La force a libre cours.
« Tu ne tueras pas », condition de la paix, n'est plus compris.
jc
08/11/2023
PhG : "le P-51 ‘Mustang’ est le plus bel avion et le meilleur avion de combat de la guerre, et le pays qui a fabriqué cette merveille pour un coût de recherches et de développement (R&D) de $75 000 bouclé en six mois de l'année 1940 pour en arriver au F-35 (je ne vous dis pas le coût d'un processus de R&D commencé en 1993-1995 et toujours pas fini) est vraiment au bout du rouleau… »
Pour moi c'est une très belle illustration du délire dans lequel s'enfonce le monde de l'AO, de l'Assistance par Ordinateur.
René Thom (mon maître à penser) :
"C'est parce que la mathématique débouche sur l'espace qu'elle échappe au décollage sémantique créé par l'automatisme des opérations algébriques." .
Et c'est parce que l'IAO n'y échappe pas que le F35 ne décolle pas !
Que tout soit nombre in fine, comme le croyaient les pythagoriciens, pourquoi pas (n'en déplaise à Guénon). Mais les pythagoriciens étaient également des géomètres et considéraient -par exemple typique- comme une hérésie d'identifier la tétraktys (nombre triangulaire 1+2+3+4) avec 1+1+1+1+1+1+1+1+1+1.
Deux millénaires et demi plus tard on lit encore 9³ "neuf au cube", même dans le 9 cube !
jc
07/11/2023
J'ai été accroché par la méthodologie schizophrénique prônée par PhG car elle renvoie à ma propre méthodologie bipolaire (1) dont j'ai pris conscience à la lecture d'un billet de François Roddier datant du 0I/05/2019, billet où j'ai découvert (en commentaire) l'existence d'un certain Élie Bernard Weil :
" Il faut apprendre ou réapprendre à penser toujours d'une manière bipolaire et de ne pas céder à l'attrait d'une pensée unipolaire, branchée sur un pôle dominant - ce qu'on appelle aussi « pensée unique » de nos jours - une tentation qui fait immanquablement plonger dans l'erreur et l'impuissance. ".
J'ai aussitôt cliqué sur le lien renvoyant sur l'article "Notre méthodologie schizophrénique” datant du 27 mars 2018 pour m'apercevoir que je l'avais lu et commenté (la mémoire n'est pas mon fort…) et que j'étais déjà inconsciemment bipolaire.
Je suis de plus en plus fermement convaincu que la position "pensée unique" est intenable à long terme car "tout passe, tout lasse, tout casse", et ce qui était bon à une époque devient mauvais à une autre. Pour moi nous sommes en fin de cycle Yang et donc en début de cycle Yin, en fin de Kali-Yuga et en début de Satya-Yuga, en fin de période masculine (la logique masculine sépare) et au début d'une période féminine (la logique féminine réunit).
A. Crooke : "Considérer la guerre entre Israël et le Hamas comme un événement local serait une autre erreur de la “vieille pensée”. Il s'agit désormais d'une guerre pour l'existence palestinienne, entre la vision hébraïque d'Israël et la vision islamique de sa propre renaissance civilisationnelle.".
Je pense que la guerre "de religion" entre la vision hébraïque d'Israël et la vision islamiste de la Palestine est une pensée certes plus vieille mais pas encore assez de mon point de vue. Pour moi le véritable conflit actuellement en cours remonte à la nuit des temps : c'est le conflit entre pensée masculine et pensée féminine (conflit entre notre hémisphère cérébral gauche et hémisphère cérébral droit, entre fermion et boson…).
Je ne donne pas cher de la peau de nos trois "grandes" religions monothéistes. La raison ? Pensée unique ! Ma solution ? Dieu/Déesse Janus.
1 : Reconnue "officiellement" par PhG dans le chapô de mon "Une autre voie pour la civilisation" ( https://www.dedefensa.org/article/une-autre-voie-pour-la-civilisation ).
mumen
06/11/2023
En effet, l'article de 2006 reste parfaitement actuel. Il demeure l'un de vos grands moments de ce qu'il pourraît bien être convenu d'appeler de l'ontopolitique ou, au choix, de la métapolitique.
En le lisant il m'est venu à l'esprit que le “fanatisme technologique” de Michael Sherry pourraît bien être à l'origine de votre expression relativement récente, qui est plus métaphorique mais tout aussi fine : "le déchaînement de la matière".
Je le situe personellement, non sans vous paraphraser, au "déchaînement cartésien", en appui sur quelques malignités fort bien pensées par notre René national. De base : "l'animal est un automate" et "mes sens me trompent".
Denis Monod-Broca
03/11/2023
Tel Macbeth, nous avons épousé la cause de l'ennemi vaincu.
Avec ou sans prépuce, nous sommes les nazis du temps présent : ayant vaincu le « mal absolu » en 1945, nous nous croyons tout permis ; notre empire règne sur le monde ; nous n'écoutons que notre orgueil ; nous croyons en la force, comme eux naguère.
Après le sac du Palais d’été à Pékin, Victor Hugo le dit en une phrase : « voici ce que les civilisés font aux barbares ».
Il en est toujours ainsi : convaincus de leur bon droit, de leur « droit de se défendre », les civilisés font pire que les barbares.
Le grand William et le grand Victor avaient compris ce que philosophes, politiques, psychanalystes, sociologues, éditorialistes… ne comprennent toujours pas, ou plutôt ne voient pas car ils ne veulent pas le voir.
jc
02/11/2023
De Gaulle : "La révolution n'a pas appelé au pouvoir le peuple français, mais cette classe artificielle qu'est la bourgeoisie. En réalité il y a deux bourgeoisies. La bourgeoisie d'argent, à droite, et la bourgeoisie intellectuelle, à gauche. Mais les deux font la paire, elles s'entendent comme larrons en foire pour se partager le pouvoir, même si c'est contraire aux intérêts de la France. Tandis que le populo ne partage pas du tout ces sentiments, le populo est patriote, le populo a des réflexes sains, ... , le populo sent où est l'intérêt du pays, le populo ne s'y trompe pas souvent."
Dans un commentaire précédent j'ai traité de Gaulle d'aristocrate, de guide, de duce, de führer. Je persiste car je pense que, pour lui, le peuple doit être éduqué mais pas élevé.
Je pense que nos sociétés occidentales manquent clairement d'élévation, expérimentalisme, pragmatisme et positivisme obligent. En ce qui concerne la France la laïcité interdit de dépasser le plafond de verre de ces trois "ismes", le clair manque d'élévation devenant catastrophique manque d'élévation. En France on voit le problème poussé à l'extrême : interdiction actuellement pure et simple de la métaphysique dans les affaires politiques et sociétales : opposition frontale du clerc et du laïc.
Suivant Guénon sur ce point je pense qu'il est crucial de rétablir une autorité spirituelle en ces matières (politique et sociétale), autorité dont la fonction est d'influencer le pouvoir temporel. Fonction délicate s'il en est puisqu'il s'agit ni plus ni moins que de faire le travail de Dieu.
[ Je rappelle à ce propos :
- que Lloyd Blankfein, ex-directeur exécutif de Goldman Sachs -et donc au cœur du pouvoir temporel US- a dit : "I am doing God's work." ;
- que la métaphysique n'était pas totalement absente de la période révolutionnaire (culte de l'Être suprême de 1797 à 1803, aboli par "notre" premier empereur bourgeois) ]
Comment recruter des collèges (des communautés de commune, départementaux, régionaux, national) représentant cette autorité spirituelle (sélection de ses "Panoramix" ? Je ne vois pas d'autre façon que de procéder comme pour l'élection "aristocratique" du pouvoir temporel (abandon du vote-plébiscite -un citoyen, une voix-, élection interne du meilleur d'entre eux parmi une vingtaine).
Je pense qu'à la fin de l'adolescence, c'est-à-dire au début du Lycée, il faut commencer à élever et non pas seulement à éduquer. Et en fin d'études "supérieures" l'éducation doit avoir totalement disparu pour laisser toute la place à l'élévation. Objectif de l'éleveur spirituel : qu'il soit dépassé par ceux qu'il élève : voilà comment j'entrevois la future sélection de "nos" "panoramix", sélection qu'il me semble urgent de systématiser.
À l'heure où "nos" médias aux ordres traitent pis que pendre les palestiniens, voici pour finir l'épigraphe de l'envoi d' "Apologie du logos" de mon maître à penser René Thom, épigraphe signé d'un philosophe arabe du IXème siècle qui nous rappelle que nous ne sommes pas tous égaux :
"Au vrai, parmi les choses tant singulières qu'universelles, ainsi que parmi les conditions des choses, certaines sont manifestes, certaines assez manifestes, certaines extrêmement manifestes, d'autres sont cachées, d'autres assez cachées, d'autre extrêmement cachées, soit pour le sens, soit pour la raison. Cette diversité est opérée par la nature des choses elles-mêmes qui les produit dans telle ou telle condition.
Parmi les hommes aussi, d'aucuns sont très aptes à percevoir, soit par le sens, soit par la raison, tandis que d'autres le sont très peu, et cela est dû à la qualité propre de chacun qui le dispose plus ou moins à la perception.
Il en résulte que certains deviennent plus sages que d'autres : est et est réputé sage, celui qui perçoit ce qu'il y a de moins perceptible dans les choses et leurs conditions. C'est pourquoi ceux qui sont formés par un saint désir de sagesse travaillent considérablement à comprendre l'occulte condition des choses." (Al-Kindi, "Des rayons, ou théorie des arts magiques")
Jean-Claude Cousin
02/11/2023
@Sébastien Antoine
Philippe précise bien que la globalisation est "un plus" par rapport à la mondialisation, parce que la somme des parties est supérieure à celle-ci. Ce plus n'est pas forcément un "mieux", mais au contraire un "pire" parce que cette globalisation tente d'assujettir tout le reste contre son gré. Cela peut avoir un revers, comme le rappelle La Fontaine dans sa fable sur la grenouille et le bœuf. A ce moment-là, en tendant l'oreille, pourrait se frayer un petit "flop" correspondant au dégonflement de l'effrontée.
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Sinon, il faut hélas s'attendre à ce qu'avait décrit notre cher Guy Béart.
Ah tiens, intéressant, je ne peux pas démarrer la vidéo chez moi….. censure ?
https://www.youtube.com/watch?v=1oYvA0IDY2s
Sebastien Antoine
02/11/2023
Dans l'enseignement francophone, la mondialisation correspond à ce que vous appelez ici globalisation : "Le monde c’est la simple somme des échelles inférieures, sans que cette somme ne débouche sur un objet intégré. Ceci est encore en train de se faire, c’est un processus en cours, un processus de production du Monde : un processus de mondialisation"
Dans le monde anglophone, les global studies s'appliquent surtout à la question du réchauffement climatique. Cepandant, le terme de globalisation a été utilisé, dans le même sens que celui de mondialisation, par des sociologues (Sassen, Castells…) à propos de la révolution des télécommunications, pour qualifier la transformation des villes et de la production dans les flux et les réseaux.
Jean-Claude Cousin
02/11/2023
Cher Philippe Grasset, puisque tous les mots comptent, je tenterai d'éviter le mot "guerre". Selon ma théorie, vu que les enjeux sont les mêmes depuis plusieurs centaines d'années, et en fait les protagonistes aussi, nous sommes depuis cette époque-là déjà lointaine sous le joug de la Première Guerre Mondiale.
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Cela commence par une défaite du futur "roi du monde" en 1748.
Depuis, c'est toujours lui, avec des hauts et des bas, qui a "créé l'évènement" en imposant sa bien particulière diplomatie partout dans le monde. Cela fut par exemple "la guerre de l'opium", ou l'annexion du Texas et du reste des États Unis du sud-ouest.
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Quelle était la particularité de ces escarmouches parfois violentes ? L'extension coûte que coûte de l'hégémonie de l'anglosaxonnerie. Extension télécommandée via "le billard à trois, quatre, cinq bandes" placé dans la City de Londres. C'était vrai il y a trois siècles, ce l'est encore aujourd'hui, et ce, même si comme l'empire romain, celui-ci fatigue. Les causes sont internes, comme il y a dix-huit siècles. Ramollissement, mise en avant de la débauche au détriment de la culture, panne de l'élan vital poussé par les naissances, sont des causes objectives de l'écroulement aussi bien au niveau des pieds que de la tête.
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D'où ce sursaut — trop tard, trop maladroit — de la violence à la fois armée, anticulturelle, antidiplomatique, financière et alors que le savoir et le savoir-faire sont en mode panique. Oui, c'est toujours la première guerre mondiale, mais quels que soient les évènements à venir elle se terminera bientôt. Comme pour ce lion vieillissant, qui n'a à la fin plus que la fuite devant les hyènes pour n'être pas à son tour l'objet du petit déjeuner d'autres créatures.
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Ne resteront alors que deux possibilités : soit la fuite dans son pré carré, où le prédateur se fera oublier ; soit le grand éclair multiple, où nous passerons tous. Malgré les bêtes sauvages et hors sol du Département d'État, enfin muselées par le Peuple, gageons que la première solution s'imposera. En tout cas, espérons-le.
jean-luce Morlie
01/11/2023
Sahra Wagenknecht voudra-t-elle, subtilement, ouvrir un pont médiatique à Francois Asselineau ?
jc
31/10/2023
PPPS : Parti Populaire Pacifiste et Souverainiste.
MPPS : Monarchie Populaire Pacifiste et Souverainiste.
Pour MPPS : cf : https://www.dedefensa.org/article/une-autre-voie-pour-la-civilisation , et mes précisions.
Coquille : Dans mon précédent commentaire "Un parti français pour la paix", le droit/devoir du sang est masculin…
jc
31/10/2023
Un drapeau bleu blanc rouge, bleu* frappé d'un balai et d'un rouleau à pâtisserie, blanc frappé d'une belle fleur de lis naturelle (pour faire écolo), rouge* frappé d'une faucille et d'un marteau. Une madame sans gêne** pour emmener tout ça. Nom pour ce parti à créer : "Le parti de la paix", bien entendu.
* : Pour moi le droit/devoir du sol est féminin et le droit/devoir du sang est féminin.
** : https://fr.wikipedia.org/wiki/Marie-Th%C3%A9r%C3%A8se_Figueur ;
https://fr.wikipedia.org/wiki/Madame_Sans-G%C3%AAne :
"L'ascension sociale de son époux, maréchal d'Empire le 19 mai 1804, lui fait intégrer la cour impériale sans qu'elle perde son parler et ses manières populaires, au grand dam de beaucoup. Loyale envers l'Empereur, elle ne se privait pourtant pas de le critiquer et le désarmait — il l'appréciait pour sa franchise et la soutenait contre ceux qui voulaient la chasser de la cour —, tenant aussi tête à Talleyrand, pourtant expert en joutes verbales.".
Pascal B.
31/10/2023
Dans les pays majeurs de l'UErope on est habitué à l'émergence de nouvelles figures qui suscitent l'enthousiasme avant de rentrer sous les fourches caudines du système
jc
31/10/2023
PhG : "Iéna : victoire de Napoléon fondatrice du Reich".
Selon Wikipédia :
- le premier Reich (Saint empire romain de la nation germanique), initié en 962 par l'empereur Otton Ier, a pris fin le 6 août 1806 (abdication de l'empereur François II), alors que la bataille d'Iéna a eu lieu deux mois plus tard ;
- le deuxième Reich a commencé en Janvier 1971 (pour finir en 1918).
jc
31/10/2023
Pour moi de Gaulle a pensé la Vème république en aristocrate, en militaire, en guide, en duce, en führer -tout ça au sens étymologique bien entendu- (et nous a légué une constitution catastrophique quand on en oublie l'esprit, ce qui a été le cas de Nicolas Ier et est le cas d'Ixodida Ier) : à mes yeux il ne fait aucun doute que, pour de Gaulle, le pouvoir vient d'en haut et se délègue de haut en bas.
Pour moi il faut penser une organisation sociale où se tressent harmonieusement :
- une organisation horizontale "girondine" à partir du village -la cellule démocratique de base (village Astérix de 200 hab)- remontant à la commune (20 fois plus), à la communauté de communes, au département, à la région, à la nation (de 20 fois plus en 20 fois plus, ça fait 64 millions d'habitants), à la communauté des nations d'Europe (Russie évidemment comprise) et enfin à la communauté internationale. Principe de subsidiarité bottom-up.
- une organisation verticale "jacobine" du type de celles qui "règnent" en France depuis au moins Philippe le Bel. Principe de subsidiarité encore, mais cette fois top-down.
Pour moi la logique masculine sépare alors que la logique féminine réunit (la logique féminine viole allègrement le sacro-saint principe de non-contradiction masculin !).
Diviser pour régner : traduction française du latin "Divide ut regnes" et du grec "Διαίρει καὶ βασίλευε". Pour Machiavel (et "notre" machiavélique tique) : "Divide et impera". Pour les anglo-saxons : "Divide* and conquer".
En commentaire d'un article Dedefensa intitulé "Justin-Adolf et ses nerfs " j'ai proposé l'alignement de trois planètes :
- la fin de la domination mondiale du néo-libéralisme anglo-saxon dont je date le début au 11/09/1973 (renversement d'Allende au Chili); époque économique de 50 ans;
- la fin d'un certaine forme de scientisme dont je date le début à la rupture galiléenne; époque scientifique de 500 ans;
- la fin d'une certaine forme de domination yang; époque théologique (et métaphysique) de 5.000 ans (pour faire des comptes ronds).
Sahra initiatrice de la fin d'une certaine forme de domination yang ? Ou Sahra prolongeant seulement l'interminable traversée d'un désertique Sahara ?
(Pour Lacan l'homme existe et la femme n'existe pas. Pour moi l'homme existe et la femme co-existe.)
NB : Quand je parle de fin, il s'agit pour moi de fin d'une époque, d'un parenthèse : " Tout passe, tout lasse, tout casse", répète inlassablement Michel Maffesoli.
* : Obama : "Il ne faut pas sous-estimer la capacité de Joe à foutre la merde".
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