Christian Feugnet
16/03/2019
Je vais vous reveiller tout çà :
https://www.youtube.com/watch?v=AkQYbIc6zUw
Clausewitz ou Sun Tzu , pure stratégie militaire ou guerre hybride ,, comme si il existait une séparation étanche peu importe . Au prochain coup , ( Venezuela , Iran ) , surprise ! , ce sera l'anéantissement de l'ennemi , certes , mais intérieur ( le Systéme) et définitive .
Inovation , aparemment sans importance , les Venezueliens , le peuple a un recours massif au bitcoin ( et non au dollar) quand à l'Etat il établit un "bitcoin' national pour son pétrole . L 'Tslande avait déjà eu recours à celà pour sauver sa monnaie et son Etat mais sans repercutions internationales , et contournée partiellement par des edges fubds , cette fois ce ne sera pas les cas .
David Cayla
15/03/2019
https://www.moonofalabama.org/2019/03/boeing-the-faa-and-why-two-737-max-planes-crashed.html#more
D'après des commentaires postés sur Moon of Alabama et notamment celui-ci
" Why is Boeing suffering from this design problem and not A320neo is that 737's wings are much lower to the ground than the A320. Unfortunately, more fuel-efficient engines require a larger air inlet, so the newer generation engines are much larger than the previously installed V2500 or CFM56 (anyone can verify that - the older engines are much, much smaller than the newer ones). When Airbus introduced the Pratt & Whitney GTF on its A320s (calling it the neo - new engine option), it led to an increase (high single digits %) increase in fuel efficiency. Boeing had to respond to that. If they wanted to increase the height of the wings of the 737 from the ground, they would have had to redesign the fuselage which would have cost billions (and which they should have done, in hindsight). Instead, they listened to the investors and the bean counters as you have called them here and they jiggled the position of the wings a bit and introduced the new automatic stabiliser. "
Le problème tient au fait que la conception des Boeing 737 remonte aux années 1960, tandis que les Airbus A320 ont été conçus dans les années 1980, et que l'implantation des ailes sur les 737 était beaucoup trop basse pour pouvoir y monter les tout derniers moteurs à basse consommation, qui sont devenus énormes par rapport aux moteurs d'ancienne génération. Résultat, là où Airbus a pu adapter ses appareils aux nouveaux moteurs sans difficultés majeures, Boeing a du les déplacer vers l'avant des ailes, ce qui déséquilibre structurellement les 737 MAX.
L'avion n'est donc plus équilibré, et pour tâcher de corriger la chose, Boeing a mis en oeuvre cette rustine technologique qu'est le système d'auto-stabiliation MCAS. Sauf que la rustine repose sur un unique capteur qui peut être défaillant et non sur plusieurs capteurs (mais la programmation d'un système reposant sur plusieurs capteurs est autrement plus ardue que celle d'un système se fiant à un seul capteur), sauf que le système MCAS n'est pas déconnectable en éteignant le pilote automatique. Sauf qu'il n'est pas documenté. Sauf qu'il n'en a jamais été question lorsque l'appareil a passé le programme de certification.
Tout cela parce qu'il aurait fallu confesser ce dont il s'agissait : une rustine technologique peu fiable mise en place pour pallier les insuffisances devenues criantes d'un appareil dont la conception nous renvoie 60 ans en arrière, confronté à de multiples concurrents, à commencer par les C-Series flambant neufs du canadien Bombardier (renommés Airbus A200 depuis la reprise du canadien sous l'aile d'Airbus), sans compter les appareils russes et chinois en embuscade.
L'alternative était de concevoir un tout nouvel appareil, étant donné qu'il fallait reprendre toute la conception du fuselage afin de pouvoir rehausser les ailes et installer les nouveaux moteurs dessous, mais il aurait fallu accepter un effacement relatif durant une période qui aurait durée plusieurs années (sans doute au moins cinq ans) et durant laquelle Boeing aurait été contraint de vendre ses Boeing 737 d'ancienne génération à prix bradés pour continuer d'écouler ses appareils face à la concurrence.
Et il y aurait eu pire : ce ne sont pas tant les perspectives d'accroissement du trafic aérien qui poussent aujourd'hui les compagnies aériennes à acquérir autant d'avions que les promesses d'économies de carburant offertes par les Airbus A320 Néo et les Boeing 737 MAX. Sans Boeing 737 MAX, les compagnies auraient fait le choix de maintenir leurs Boeing 737 "ancienne génération" en service.
Enfin, pour conclure, c'est bien la perspective de l'entrée en service des tout nouveaux C-Series qui avait forcé Airbus à réagir en lançant en urgence les Airbus A320 Néo, contraignant Boeing à réagir à son tour dans l'urgence, à la différence près que l'intégration des nouveaux moteurs s'est faite sans soucis majeurs pour Airbus.
jc
15/03/2019
Ce sont, selon PhG, les deux piliers du Sytème¹; si le Système s'effondre c'est donc qu'un pilier s'effondre, ou les deux à la fois.
Qu'y a-t-il de commun à ces deux piliers?
- l'argent, qui corromp, qui entropise, moyen devenu fin dans ce Système à bout de souffle (la carotte de l'argent électronique, fondé sur rien, et le bâton des normes, règlements et taxes en tous genres):
"(...) pour éviter des frais supplémentaires d’écolage et réduire les prix de vente des 737 Max."
- La complexité (en particulier celle des normes, des règlements, des organigrammes). Selon moi une citation de Uexküll, extraite de sa "Théorie de la signification" et mise par Thom en épigraphe d'un chapitre de SSM, montre le problème (problème où je verrais volontiers, en toile de fond, s'opposer la logique naturelle et la logique artificielle):
"« Le mécanisme de n’importe quelle machine, une montre par exemple, est toujours construit de manière centripète, c’est à dire que toutes les parties de la montre, aiguilles, ressorts, roues, doivent d’abord être achevées pour être ensuite montées sur un support commun.
Tout au contraire la croissance d’un animal, te le triton, est toujours organisée de manière centrifuge à partir de son germe; d’abord gastrula il s’enrichit ensuite de nouveaux bourgeons qui évoluent en organes différenciés.
Dans les deux cas, il existe un plan de construction; dans la montre, il régit un processus centripète, chez le triton, un processus centrifuge. Selon le plan les parties s’assemblent en vertu de principes opposés. »
J.V. Uexküll, Théorie de la signification.
Thom:"La classe engendre ses prédicats comme le germe engendre les organes de l'animal. Tel est (à mes yeux) l'unique manière de définir ce qu'est la Logique naturelle." (je cite de mémoire)
Dans la théorie "embryologique" des catastrophes élémentaires, le nombre maximum d'actants est 4 (catastrophe "ombilic parabolique", alias "champignon"). Ce nombre paraît dérisoire comparé à celui des intervenants "essentiels" dans la construction d'un avion moderne.
Dans le technologisme et le communicationnisme le concept d'information et le problème de la transmission de l'information sont cruciaux. Dans le court-métrage réalisé par Godard sur Thom au début des années 1970², Thom parle d'information à partir de 40'. On notera l'élémentarité du schéma fait par Thom à 41'45, dont il dit pourtant à 42'15 que c'est un schéma très compliqué. Que dire des organigrammes nécessaires à la construction d'un 737 ou d'un JSF!
Pour Thom, en mathématiques, c'est la géométrie qui évite le décollage sémantique de l'algèbre, et c'est aussi, plus généralement, la géométrie qui évite le décollage sémantique du langage naturel³.
Le nombre de lignes de code nécessaires à faire voler le JSF est -ai-je lu- de l'ordre de 25 millions. Où est la géométrie des langages informatiques -indispensable, selon moi, pour éviter leur décollage sémantique de ces lignes de code et permettre le décollage et le vol corrects du 737 et du JSF-?
¹: http://www.dedefensa.org/article/glossairedde-technologisme-versus-communication-1
²: disponible sur la toile.
³: Thom a proposé 16 morphologies archétypes à la base de la structuration du langage naturel.
Christian Feugnet
14/03/2019
On le savait çà se confirme : " Il y a quelque chose de pourri au Royaume de Danemark " .
CNTF_Officiel
14/03/2019
Monsieur Eric FIORILE à été démis de sa fonction et de toutes ses prérogatives personnelles de porte‐parole depuis le 1er Juillet 2018
https://conseilnationaldetransition.org/avis-general/
Les deux sites conseilnational.fr et conseilnational.org ne sont plus liés au C.N.T.F.
Les informations sont retransmises par les sites : https://conseilnationaldetransition.org et https://www.radioreeveil.re
Pour toute information complémentaire retrouver le Conseil National de Transition de France sur le Mumble
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jc
14/03/2019
PhG: "La sagesse c'est aujourd'hui l'audace de la pensée."
Thom: "L'intelligence c'est la faculté de s'identifier à autre chose, à autrui. Il s'agit en quelque sorte d'une identification amoureuse." (cité de mémoire)
Toujours avec la complémentarité politique (et non l'égalité) homme/femme en toile de fond.
L'idée de ce commentaire m'est venue après visionnage du Janus 27 de Jean-Pierre Petit, en particulier ce qui concerne la réfraction (1'40), où j'apprends qu'un certain Ibn Sahl (Xème siècle) a découvert(?) la loi que Descartes a redécouverte sept siècles plus tard.
Wikipédia: "L'antonyme littéral du « symbolique » est le « diabolique », ce qui divise (du grec διαβάλλειν / diaballein, de dia- à travers, et -ballein, jeter, c'est-à-dire « diviser, disperser », par extension « rendre confus »). Le diabolique est, au sens propre, pour les Grecs, le bâton qui semble rompu lorsqu'il est plongé dans l'eau."
Diaboliser c'est diviser (le bâton semble se briser lorsqu'on plonge dans l'eau); dédiaboliser c'est faire l'expérience de pensée inverse du retour à l'unité primordiale.
Thom propose rien moins qu'une théorie de la biologie¹. Selon lui nous -les mammifères- avons deux cerveaux: l'un prédateur, près de la bouche, l'autre proie le long de la moelle épinière. Nos quatre fonctions de vue, odorat, ouïe, goût, avec les organes associés situés près de la bouche -l'input-, sont des auxiliaires de prédation, et les "images" qu'ils perçoivent sont interprétées par le cerveau prédateur. Le toucher est, conjecturalement, associé selon moi au cerveau proie (que je place au bas de la moelle épinière, près des organes excréteurs et génitaux -l'output).
Quand nous essayons de toucher la partie immergée d'un bâton, il y a misfit entre nostre vue -sens prédateur- et notre toucher -sens proie- et c'est le toucher, qui a raison.
Je pense que les femmes -plus "endo"- ont un cerveau proie plus développé que les hommes, et qu'elles ont , peut-être pour cette raison, de bonnes intuitions "viscérales" alors que les hommes -plus ecto- se laissent plus facilement berner par leurs intuitions prédatrices, et lâchent ainsi plus souvent la proie pour l'ombre.
Antoine Blondin²: "Ce n'était pas la première fois qu'il [AB] éprouvait les vertus viriles des femmes, leur rudesse, leur sincérité atroce, leur courage, (...)". Et leur sens de la réalité?
Les femmes plus dans le réel que les hommes?
¹: Et également une théorie géométrique du langage.
²: Cité par PhG dans "L'Europe buissonnière".
(Rq pour PhG: Pour pouvoir avoir accès à Blondin dans le moteur de recherche du site il faut le détacher de Trump.)
Christian Feugnet
14/03/2019
Fallait le trouver . Pour sortir ne serait ce qu'un instant du prét à penser et surtant à ressentir . Surtout s'il n'est pas à nos mensurations . , ni d'ailleurs à celles de personnes .
laurent k
14/03/2019
Lorsque la source est en anglais, il y a un site qui fait des traductions relativement décentes: https://www.deepl.com/translator
Ce n'est pas parfait mais c'est suffisament bon pour servir de base pour une correction rapide.
Christian Steiner
13/03/2019
... Merci !!
(... pour faire vivre ce geste et ces deux vertus qui se croisèrent (ces deux gestes, le salut de l'un, la reconnaissance de l'autre), devenus par une sorte de grâce quasi immortels, ou à tout le moins se prolongeant dans le temps, simple, vibrant, jusqu'à nous… ;
... merci de chercher ainsi et de nous faire partager les fruits de votre labeur dans ces champs élevés…)
jc
13/03/2019
L'article "Le USS Pentagone et sa Mer des Sargasses" pour la technologie-Système (le technologisme) et cet article-ci
("Les “strange 24 hours” de ZeroHedge.com") pour la communication-Système nous montrent, une fois encore, les deux piliers du Système* en cours d'effondrement simultané**.
(Au sujet de l'effondrement de la science occidentale contemporaine, on pourra consulter le premier quart d'heure de la vidéo Janus 27 de Jean-Pierre Petit, disponible sur la toile, (et, bien entendu, plus si affinité), puis s'interroger sur les mérites comparés de l'intelligence humaine "traditionnelle" et de l'intelligence post-moderne "contemporaine".)
*: http://www.dedefensa.org/article/glossairedde-technologisme-versus-communication-1
**: http://www.dedefensa.org/article/glossairedde-leffondrement-du-systeme
alain pucciarelli
13/03/2019
Le crash de deux Boeing dernier cri me renvoie aux difficultés des Etats Unis en ce qui concerne la mise au point de leurs armes fétiches. Non que des erreurs ne puissent affecter tout constructeur d'avion civil, mais ce qui est pertinent, c'est à mon sens la réaction des autorités US qui, contre toute raison, maintiennent les avions concernés en service quand une grande partie des possesseurs de ces appareils les clouent au sol. Nous sommes donc en apparence devant la négation d'un danger réel au nom d'une toute puissance technologique supposée qui ne doit en aucun cas être contestée. Cette attitude "magique" laisse supposer que les autorités à Washington ont parfaitement identifié les tares de leur système industriel, et qu'il convient donc à leur yeux de nier les faits pour ne pas donner le signal du sauve qui peut des alliés qui achètent US. Devant une telle absurdité, le refus de prendre en compte une fois encore la réalité, souhaitons pour les passagers que les Boeing américain concernés ne tueront personne.
Abdel
12/03/2019
Dans cette histoire de milliards de milliards de dollars , on oublie une limite .
Ils peuvent déverser des milliers de milliards de dollars mais ils ont besoin d' humains.
Je parle de compétences techniques , ingénieur, technicien ,dessinateur.
Ceux qui connaissent les USA , savent que pour travailler pour l' armement , cela nécessite la nationalité américaine. Sans oublier,que vu les coûts des études et les salaires, les meilleurs font plutôt du droit que de l' ingénierie.
Le niveau est mauvais ,incitant les entreprises américaines à chercher les compétences à l' étranger.
Pour ceux qui désire y aller, ils font face à un durcissement d'obtention des visas .
Pour ceux qui travaillent dans les projets armement US , chaque modification technique nécessite tout un tas de validations administratifs : le rêve pour tout « free-lance » qui facture à l'heure.(une petite modif et des heures payer à rien faire )
https://www.courrierinternational.com/article/portrait-lisa-rivalin-de-nantes-la-baie-de-san-francisco
https://www.leblogauto.com/2017/05/tesla-va-chercher-ingenieurs-mexique.html
jc
12/03/2019
Sénèque: "Nos pères vivaient dans des siècles d'innocence et de pureté. Chacun alors demeurait tranquille sur le rivage qui l'avait vu naître, et vieillissait sur la terre de ses aïeux, riche de peu, ne connaissant de trésors que ceux du pays natal."
Du Bellay: "Heureux qui comme Ulysse…"
Les Racines, la Tradition, la Nostalgie chère à PhG… Heureux celui qui, après le voyage de la vie, pourra mourir dans le lit qui l'a vu naître; effet saumon.
(Je verrais bien ça comme article dans une nouvelle version des Droits de l'Homme, dans le cadre d'une mondialisation plus heureuse remplaçant l'actuelle moribonde globalisation.)
jc
12/03/2019
J'ai oublié de (re)dire ce qui est pour moi l'essentiel: dans le conflit survie individuelle/survie de l'espèce c'est la survie de l'espèce qui prime. Et la mortalité -la non immortalité- des individus d'une espèce donnée est une preuve de cette primauté; c'est du moins ainsi que j'interprète la citation thomienne suivante:
"Il y a une certaine incompatibilité entre l'immortalité de l'individu et les possibilités évolutives ultérieures de l'espèce. La mort serait le prix à payer pour préserver toutes les possibilités de perfectionnement futur de l'espèce."¹
Clairement à mes yeux la femme (c'est elle qui enfante) est plus "survie de l'espèce", plus socialiste que l'homme; et pour cela, plus que l'homme, elle a besoin de stabilité, de permanence, car elle a toujours en vue, j'en suis convaincu -mais c'est à elle de le dire-, consciemment ou inconsciemment sa progéniture à venir, c'est-à-dire sa part de sa longue et lourde tâche de la survie de l'espèce, comme le loup de Vigny.
Selon moi ce qui vaut pour les individus vaut aussi pour les sociétés, voire les civilisations: La mort serait [aussi] le prix à payer pour préserver toutes les possibilités de perfectionnement futur de |[l'organisation sociale] de l'espèce." (Pour moi l'espèce humaine est une jeune espèce qui est loin d'avoir trouvé sa maturité, sa vitesse de croisière, comme les abeilles ou les fourmis.)
Jusqu'à présent nos sociétés, nos civilisations ont privilégié la survie individuelle à la survie de l'espèce: struggle for life et que la meilleure société, la meilleure civilisation gagne²; l'histoire des sociétés et des civilisations jusqu'à nos jours semble ainsi se limiter au conflit prédateur-proie que Thom associe à la catastrophe fronce.
La déformation par complication la plus simple de la catastrophe fronce est la catastrophe papillon, avec apparition d'un troisième actant dans le conflit initial à deux actants; ce troisième actant réalise un compromis entre les deux actants antagonistes initiaux. Thom explique ainsi la formation d'outils et d'organes (et, je crois, également le mésoderme comme poche de compromis entre l'ectoderme et l'endoderme).
Si on considère -mon cas- que les hommes, les "mecs", sont plus "ecto" et les femmes plus "endo", alors de les opposer politiquement pourrait -et pour moi devrait- permettre la création d'une poche de compromis, d'un mésoderme politique structurellement stable, tout le contraire du centre vide occupé par le coucou Macron, les deux camps se partageant naturellement -c'est-à-dire selon leur nature respective- le pouvoir.
Thom associe le don (et donc aussi le contre-don) à la catastrophe papillon (catastrophe qui domine -contient en quelque sorte- la catastrophe fronce). Je sens de moins en moins confusément que ça pourrait ouvrir d'intéressantes perspectives politiques.
Ainsi les pouvoirs régaliens des femmes seraient "endo": nourriture, santé, éducation "primaire", habillement³, etc., alors que ceux des hommes seraient "ecto" (défense de l'oikos, du territoire: foyer familial, commune, canton, département, région, nation, et donc construction des maisons, des remparts, des frontières, etc.)⁴. De ce point de vue il reste une large plage "méso" où les deux actants homme et femme seront en conflit permanent.
Mais il ne fait aucun doute pour moi que force doit rester aux femmes, au palais du Luxembourg; car c'est la survie de l'espèce qui prime la survie individuelle.
¹: Thom encore, à ce propos: "Il m'est difficile de voir pourquoi un être pleinement différencié ne pourrait être immortel." Eternel retour?
²: cf. "Tristes tropiques".
³: Thom: "On sera frappé par l'abondance des interprétations sémantiques extraites du vocabulaire de la couture est restée une activité traditionnellement féminine, c'est que sans doute, la confection des vêtements est chez l'Homme le stade ultime de l'Embryologie…"
⁴: Les fillettes aiment bien habiller, soigner, nourrir leurs poupées, les garçonnets préfèrent les jeux de construction.
Christian Feugnet
12/03/2019
Il a trés bien été formulé par Ilya Prygogine pour résoudre la paradoxe de la vie . Malheureusement transposé tel quel à la société comme si celle ci était un organisme .
Le probléme , à mon avis est surtout que pour des raisons de domination sociale ; l'énergie est principalement depensée et en proportion croissante à cette domination . Globalement en pure perte pour l'ensemble et au dépend de la plupart c'est une entropie sociale ( hypertrophie communication, commandement) .
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