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Mais Quid de la BCE?

Que cet article du NYT confirme ce que dit dedefensa depuis des années, quelle occcasion de se féliciter!
Mais je voudrais, comme historien, poser une ou deux questions.
Nous avons ici une immense machine à fabriquer du SENS, sans doute du faux-sens, mais du sens. Et nous voyons comment la machine opère. On peut penser que, après le 11 Septembre, et avec le plan Bush de terminer le travail de son papa (ou d’accomplir la mission à lui confiée par Dieu de faire la paix au Proche Orient), le Pentagone se charge de fournir les interventions et leur cadre, ainsi que l’idéologie qui les soutient (Afghanistan, Irak). Est-ce bien le Pentagone, la source principale de l’intervention en Irak, de sa stratégie et de la propagande qui l’accompagne?
(Et alors, les compagnies pétolières, Halliburton et autres ne seraient que des profiteurs de la situation, ce qui expliquerait leur sentiment d’inculpabilité, puisque l’erreur est commise par d’autres, et qu’elle est la vérité offifielle?)

Deuxième question: Si on remplace dans l’article du NYT l’intervention en Irak par le rejet des Juifs, tels que les concevaient les nazis, n’a-t-on pas un nouvel éclairage sur la façon dont les choses se sont passées en Allemagne? La responsabilité, au lieu du Pentagone, devient celle des nazis, ou celle du Reich, les “experts” se répandent dans les médias, les directeurs de journaux ne se posent pas de questions, les profiteurs profitent d’une culpabilité assumée par les officiels,et de la toute puissance de l’Institution… et alors, ... le nazisme aussi a produit du SENS, une vision du monde virtuelle.
Dans ce cas ,d’autres questions sont à se poser, non seulement sur le gouvernement américain, mais en effet sur le système contemporain dans son ensemble, depuis un siècle.

Tout ça me paraît assez logique :
1 on pompe en marché libre sans contraintes
2 la pompe ne fonctionne plus
3 on réamorce en pompant par le biais de l’Etat
4 on re-pompe en marché libre sans contraintes

Ils pompèrent, ils pompèrent, et le cosmogol arrivait en flots continus…
C’est sûr qu’il y a quand même quelque chose qui finira par coincer… Mais quoi ?

Tant que vous y etes je vous rappelle la phrase de Warren Buffet: “aux US les riches ménent -et gagnent- la lutte des classes”

De manière amusante, s’agissant des conséquences de la fin du moment unipolaire sur la politique intérieure américaine, certains prescripteurs d’opinion (pas spécialement gauchistes) anticipent une renaissance du “socialisme” voire de “la lutte des classes”.

Alexandre Adler - l’Amérique et le socialisme :
http://www.lefigaro.fr/debats/2008/03/29/01005-20080329ARTFIG00221-l-amerique-et-le-socialisme.php

Marc Fiorentino (président d’Euroland Finance) - Les Etats-Unis mûrs pour la lutte des classes :
http://www.euroland-finance.com/v2/accueil.php?page=35&row=464

Devant ce determinisme implacable, il apparait que nous serions alors tous de maistrien scelerats..?

Et je m’empresse d’ajouter, suite a mon precedent commentaire, que DeDefensa a eu l’elegance de publier, que ce plaisir d’observer est aussi le mien. DeDefensa, par son amour pour la chose sociale, est une proposition rare dans l’univers du web. Sachons l’apprecier!

Nucléaire iranien: McCain songe à contourner l’ONU, paralysée par le veto russe

WASHINGTON, 21 avril - RIA Novosti. Les Etats-Unis sont dans l’incapacité de mettre en place des sanctions suffisamment efficaces contre l’Iran en raison du blocage de Moscou, qui dispose du droit de veto au sein du Conseil de sécurité de l’ONU, a déclaré le sénateur républicain et candidat à la Maison Blanche John McCain.

“Je suis convaincu que des sanctions sévères et efficaces pourraient donner de bons résultats. Si celles adoptées jusqu’à présent étaient si légères, c’est parce que la Russie bloque tout ce que nous entreprenons au sein de l’ONU”, a-t-il déclaré dimanche à la chaîne américaine ABC.

Le sénateur considère que les décisions relatives au dossier iranien doivent donc être adoptées par les Etats-Unis et leurs alliés occidentaux dans le cadre de la “Ligue des démocraties” qu’il préconise.

“La Ligue des démocraties, ce sont des pays qui possèdent des valeurs et des objectifs communs, et contrôlent une part significative de l’économie mondiale, et je suis absolument convaincu que nous pouvons avoir un rôle très efficace”, a-t-il indiqué.

M. McCain a souligné “qu’il connaissait les mécanismes de travail nécessaires à la mise au point, avec nos alliés et la Ligue des démocraties, de sanctions efficaces et aptes à faire pression sur les Iraniens”.

“Je me suis déjà penché sur cette question avec le président (français) Nicolas Sarkozy et je viens de m’entretenir à nouveau avec le premier ministre (britannique Gordon) Brown. Nous pourrions nous unir dans le cadre de la Ligue des démocraties et faire pression sur les Iraniens dans une plus ample mesure”, a-t-il déclaré.

Selon M. McCain, la mise en place de mesures “efficaces et sévères” contre Téhéran pourrait porter ses fruits, notamment parce que l’économie iranienne est vulnérable face aux sanctions économiques.

Crise alimentaire: un ministre allemand dénonce les ultinationales
AFP le 20/04/2008 12h43          
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http://www.boursorama.com/infos/imprimer_news.phtml?news=5401873               
  —————      http://www.boursorama.com/infos/actualites/detail_actu_marches.phtml?news=5401873                 
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Il y a à ce propos un papier pas mal de Kunstler, daté du 14 avril..
http://jameshowardkunstler.typepad.com/

Dans le délire des infos qui passent vite, il y a eu aujourd’hui sur boursorama.com une déclaration tonitruante du ministre allemand de l’agriculture qui remettait les pendules à l’heure, à propos des problèmes alimentaires actuels.
(de mémoire) Il déclararait que:
-les hausses des couts étaient dus à la spéculation , mais aussi aux manoeuvres d’un certain grand groupe agro-chimique spécialiste des OGM
-en allemagne (ou ds le monde?) 24% des terres étaient exploitables pour l’agriculture, mais que seuls 15% étaient utilisés.
- les bio-carburant ne peuvent ètre incriminés car ils exploitent moins de 1% des terres
- la meilleure façon de gérer les besoins alimentaires était selon lui en développant la production et distribution à échelle locale avec des exploitations non liées aux industries alimentaires… ou quelque chose d’approchant.

Ce brulot à malheureusement disparu - y compris ds l’historique de boursorama.com- au bout d’une heure
Si quelqu’un arrive à retrouver soit l’article, soit la déclaration de ce ministre, ce serait intéressant!

Les médias us (ici le New York Times) accusent Bush de manipulations concernant la guerre en Irak, le faire aujourd’hui c’est tirer sur l’ambulance, on aurait aimé que ces mêmes médias aient été critiques lorsque ces manipulations avaient lieu et étaient connues.

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USA:” Bush a manipulé les analystes”

L’administration du président américain George W. Bush a organisé une vaste entreprise de manipulation des analystes militaires travaillant à la télévision pour obtenir une couverture favorable de la guerre en Irak, affirme le New York Times aujourd’hui.

Dans cette entreprise, l’administration a exploité d’une part la loyauté idéologique et militaire de ces analystes, qui sont souvent des gradés de l’armée à la retraite, affirme le quotidien dans une longue enquête.Elle a d’autre part utilisé un puissant levier financier, à savoir les liens que ces analystes entretiennent avec les entreprises militaires impliquées dans les politiques militaires même qu’ils sont chargés d’évaluer à la télévision.

Ces commentateurs, qui apparaissent régulièrement sur les grandes chaînes américaines pour analyser les guerre en Irak et en Afghanistan, représentent aussi quelque 150 entreprises militaires, que ce soit en tant que lobbyistes, consultants ou membres du conseil d’administration, ce que les téléspectateurs ignorent totalement.
Ces entreprises comprennent des poids-lourds du secteur, mais aussi une myriade de sous-traitants, qui tous cherchent à obtenir une part des centaines de milliards de dollars de contrats générés par la guerre contre le terrorisme de l’administration Bush, ajoute le quotidien. Dans cette course aux contrats, l’accès à l’information et aux décideurs gouvernementaux est hautement prisé, souligne le New York Times.
Et l’administration Bush a utilisé cette situation pour transformer les analystes en instrument capable de façonner de l’intérieur la couverture du terrorisme par les grands réseaux de télévision et de radio.

Les responsables du Pentagone n’avaient pu être joints dimanche.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2008/04/20/01011-20080420FILWWW00112-usa-bush-a-manipule-les-analystes.php

C’est une “tradition” maintenant bien bien établie que les mesures statistiques sont quelques fois ainsi définies qu’elles servent avant tout à donner une image valorisante des performances d’un système économique. C’est une forme de propagande d’abord destinée à un usage interne. Il est bien plus simple de manipuler un indice que d’agir vraiment et efficacement sur la réalité que cet indice est supposé représenter. Le cas étasunien rejoint d’ailleurs les cas japonais et anglais. Au-delà de ces manipulations, la question du taux de chomage est un peu moins pertinente aujourd’hui qu’il y a dix ans puisque le phénomène des “working poors” tend à se généraliser partout en Europe et au Etats-Unis: on peut parfaitement avoir un emploi rémunéré mais si faiblement rémunéré que la distinction chomage/non chomage tend à s’affaiblir.

Is the Hillary Clinton campaign being deliberately sunk?

by F. William Engdahl – Global Research April 15, 2008

American Presidential politics are at best a cynical business. The outcome is typically determined, at least since the ill-fated campaign of George McGovern in 1972, by major corporate lobbyists and behind-the-scenes money interests who have little interest in national issues other than their own. Now, with the sudden departure of Hillary Clinton’s main campaign strategist, Mark Penn, it is clear that the powerful interests originally backing Clinton have decided to end the game with her.

On the surface the issue was a discovered conflict of interest between Penn and Hillary over Penn’s outside consulting for the government of Colombia on a policy which Hillary stated she opposed. Penn had agreed to be hired as a high-price lobbyist by Colombia to help secure Congressional passage of a bilateral US-Colombia free trade bill that US unions claim would cost American workers hundreds of thousands of jobs. Hillary desperately needed trade union support to win the primary in Pennsylvania, and unions are strongly opposed to the US-Colombia trade deal.

The curious career of Mark Penn

The figure of Mark Penn is revealing as to what the machine of Hillary Clinton represents in terms of power politics. Penn had been a political adviser of the Clintons since managing Bill Clinton’s 1996 re-election fight. His firm ran the election polls that helped define Clinton’s campaign strategy, itself a cynical modern US electoral innovation, updating with high tech means the motto, “tell the people what they want to hear.” Penn’s polling firm, Penn, Schoen and Berland (PSB) has been used by Britain’s Tony Blair, Italy’s Silvio Berlusconi, by Menachim Begin in Israel and Senator Joe Lieberman to shape election strategy.

PSB has played a pioneering role in the use of polling operations, especially “exit polls,” in facilitating various US-backed “Color Revolutions” in Serbia and elsewhere. Its primary mission is to shape the perception that the group installed into power in a targeted country has broad popular support. The PSB group began work in Serbia during the period when Mark Penn, was President Clinton’s top political advisor.

Manipulating exit polls

The PSB website boasts that they, “have played critical roles behind the scenes of the elections in Serbia and Zimbabwe, helping the opposition parties craft strategies, messages and organize a credible and effective campaign that has enabled them to weaken the dictator, his political party, and eventually throw him out of power. The introduction of cutting edge political and communications techniques is as well as the advice of the best Western political consultants and image makers, is as potent a weapon as the planes, bombs, and intelligence technology used in such conflicts as the Persian Gulf War, Bosnia, Kosovo, and, most recently Afghanistan.” In short, PSB is at the cutting edge of the modern politics of images.

In 2004 it was PSB which ran the “exit polls” in Venezuela asserting even as voting was still open, that their polls showed “major defeat for Chavez.” The opposite was the case with Chavez winning an overwhelming 59%. Investigation revealed that Penn’s PSB had emailed and faxed their poll results to international media four hours before polls were to close proclaiming, on the basis of the fraudulent polls that Chavez had lost. That was in violation of Venezuelan election law and was intended to rally international support behind a campaign to declare Chavez guilty of vote fraud and organize a recall. It backfired and PSB came under public fire as a result.

Referring to Mark Penn, the influential Washington Post once referred to him as “the most powerful man in Washington you’ve never heard of.” According to PSB’s website, Penn helped elect 15 overseas Presidents in the Far East, Latin America, and Europe. Clients include heads of state or opposition politicians in Greece, Turkey, Israel, the Philippines, the Dominican Republic, Bermuda and Yugoslavia.

About the “permanent establishment”

Mark Penn is exemplary of what US political insiders refer to as a person of the “permanent establishment,” the shadowy institutions and insiders behind the curtains who really determine critical policy issues and shape the choices gullible voters then are given to “democratically choose among.”

It has been referred to by strategists since the time of Edward Bernays as the “illusion of choice.” Penn is above political party, serving the interests of what some call the permanent establishment. As a case in point, he also is CEO of the influential global public relations firm, Burson-Marsteller, which includes among clients the largest US mortgage lender, Countrywide Financial and Blackwater Inc. the Republican led mercenary security firm that has been accused of repeated killings of innocent Iraqi civilians. Penn’s firm was to make sure the “image” of such clients remained positive to the US public.

…political incest?

More interesting is that “Democrat” Penn’s Burson-Marsteller Worldwide owns BKSH & Associates, a major political lobbying firm run by Charles R. Black, Jr. counsellor to Republican Presidents. Black now works full time for the campaign of Republican John McCain. In other words, Black heads a firm whose boss is “Democrat” Clinton top strategist, at the same time Black is Republican opponent John McCain’s top strategist.

In turn, Penn’s firm, Burson-Marsteller is owned by British advertising and Public Relations giant, WPP Group which employs as lobbyists a former Republican National Committee chairman, Ed Gillespie; a former House of Representatives Republican leader, Robert S. Walker, top Republican fundraiser, Wayne L. Berman and the former media adviser to George W. Bush, Mark McKinnon.

In the wake of the resignation of Mark Penn, reports in Washington are that James Carville, former 1992 campaign adviser to Bill Clinton, to Tony Blair and Israel’s Ehud Barak, will assume the role of campaign strategist. It is worth noting that Carville is also deep in Washington political incest. While Carville was running the 1992 Clinton strategy, Carville’s fiancee, Mary Matalin was running the campaign strategy of President George Herbert Walker Bush. As the old expression goes, US politics at least, has indeed strange bedfellows.

F. William Engdahl is a Research Associate of the Center for Research on Globalization and author of the recently-released book, Seeds of Destruction: The Hidden Agenda of Genetic Manipulation (http://www.globalresearch.ca). He also author of ‘A Century of War: Anglo-American Oil Politics,’ Pluto Press Ltd. He may be contacted at his website, http://www.engdahl.oilgeopolitics.net

DeDefensa nous a maintenant habitue a ses doctes commentaires d’entomologiste sur la situation actuelle des etats-unis.

On y voit le plaisir de celui qui s’ecoute parler, il est vrai, si justement.

Et ainsi DeDefensa s’est toujours bien garde d’aborder les choses sous un angle historique. Car cela en retirerait toute cette matiere intangible avait laquelle on peut si aisement jongler.

S’en tenir a la logique pour expliquer les choses ne produit pas cette effet d’admiration de l’auditeur.

Que vaudrait au beau parleur de dire que le peuple americain est prisonier d’une situation psychologique crystalisee par les attaques terrorisantes du 11 septembre 2001 faites par ses propres dirigeants..?

Que rapporterait de dire que l’homme de la rue est tiraille entre la realite impossible a admettre et le conte impossible a croire plus longtemps, et qu’a l’echelle d’un peuple il y a un trauma qui perdurera pendant fort longtemps..?

Bien que je ne saurais croire qu’il y a la un plaisir sadique a observer l’autre souffrant,
cela ne permetrait certainement pas d’aussi beau articles.

Webster Tarpley n’hesite pas lui a appeller un chat un chat dans son livre “911 Synthetic Terror - Made in USA” (VF “La terreur fabriquee” - Editions Demi Lune). Il est vrai que cet homme la a un amour pour ce pays et ce peuple qui est loin de la froideur de l’analyste psychologue.

Mais enfin, ne jetons pas la pierre a DeDefensa.

Ce ne sont apres tout, la, que jeux innocents.

What_8_Years_of_Bush_and_Cheney_Have_Done   April 2008
      http://duggmirror.com/politics/What_8_Years_of_Bush_and_Cheney_Have_Done_to_the_U_S_Economy/     

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The Fading American Economy   By PAUL CRAIG ROBERTS Counterpunch   Apri1 9, 2008
      http://www.counterpunch.org/roberts04092008.html
  meme papier que le New York Times du 12 avril (Floyd Norris )

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The Bush Boom Was a Complete Bust   by bonddad         Sun Apr 06, 2008
      http://www.dailykos.com/storyonly/2008/4/6/101348/9564/491/490730

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Economic mobility: the myth!   
      http://superfrenchie.com/?p=1176
  Lire aussi les commentaires!

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Top Model (pour les UK)
    http://www.heritage.org/Research/Economy/wm601.cfm?renderforprint=1
  Ancien, mais à relire pour le plaisir!

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Sharp drop in jobs adds to grim picture of U.S. economy   By Edmund L. Andrews IHT   Published: March 8, 2008
    http://www.iht.com/bin/printfriendly.php?id=10824458

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US jobless figures: The specter of a new depression   By David Walsh   WSW   5 April 2008
    http://www.wsws.org/articles/2008/apr2008/jobs-a05.shtml

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Et la possibilité de visualiser avant de poster serait bien pratique, M Grasset…
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