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Article : Notes sur la re-“systémation” des USA

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Dénégation totalitaire

Vincent .

  01/12/2011

Si l’on considère le fascisme comme étant la violence justifiée par l’économie, alors oui, les USA sont évidement ce qu’il y a de plus fasciste au monde.

La différence avec le fascisme tel qu’il exista en Italie vient du fait que la source de cette violence avait un visage ( un homme, un état ... ), alors que dans le cas des USA, l’état est si caché que l’on parle de ” main invisible du marché “.

La déshumanisation justifiée par les “gains de productivité” ont les mêmes bases et les mêmes connexions.

Le totalitarisme usant de psychologie, qu’il s’appuie sur une figure réelle comme un “dutché” ou qu’il s’appuie sur une image illusoire comme ” l’american dream”, sur le fond, ce sont les mêmes.
Quoi que, dans le cas Italien, il était peut-être plus doux car les consciences n’étaient pas violées au point ou elle le sont aux USA.
Les photos parlent d’elles mêmes :
- une nation d’europe = http://cryptome.org/info/ows-16/pict112.jpg
- les USA = http://cryptome.org/info/ows-16/pict124.jpg
Les USA ne sont pas une nation, c’est un groupement d’intérêts économiques. La fondation des USA, elle est basée sur le commerce, une idéologie d’épiciers égoïstes.

L’homme n’a rien à attendre d’une telle structure, au contraire, il a tout à craindre, et les faits nous le démontrent chaque jour un peu plus.

Oui, les USA et le fascisme des corporations, c’est la même chose.
Oui, les forces de polices aux USA ont plus de point commun avec des GI que des ilotiers. Ils utilisent même des tours de guets, sortent de miradors transportables, pour disposer d’un point haut.

( voir ici l’engin blanc avec les inscriptions en bleu ” NYPD ” : http://cryptome.org/info/ows-15/pict52.jpg )

Les dénégations présentes tout au long de l’article n’apportent rien à l’analyse de la situation, au contraire.

Terminologie & réalité

Charles DESTAR

  05/01/2012

Deux observations , à propos de cette éclectique analyse :

Un /
<


Les mots impliquent que la chose à craindre n’est pas encore patente , et le point d’ interrogation annonce une réponse .
La matière à interrogation est la nature du système de pouvoir qui conduit l’ état le plus dangereux de la planète .

Tous les historiens ont leur années charnières préférée de l’ Histoire . 1913 pour les deux guerres mondiales n’ est guerre discutable . Et Avril 2001 pour l’ époque présente est en passe de devenir l’ année charnière incontournable de notre époque .

Le fait ?  Le résultat d’une élection , dans un système de structure démocratique , est refusé par une minorité puissante , et un candidat non élu est imposé .
  Raisons vraisemblables : la longue préparation d’un coup d’ Etat permettant un contrôle des armées des USA tout en maintenant une apparence de continuité  était en cours de finalisation .  Un président lucide et décidé pouvait tout compromettre et ce puissant groupe ne pouvait permettre ce fiasco sur le résultat d’une coutume démocratique qu’il méprisait .
Al Gore fut élu mais   G W Bush fut le président et le 11 septembre 2001 ne fut donc pas compromis .  La politique extérieure des USA devient ce que le Likoud souhaitait , au point que les démonstrations de colère de ce bouillant parti disparurent avec ce président , tout comme les chroniques salaces du procureur Starr sur le président Clinton.
  Quand l’ élection démocratique est dépouillée de son produit , ce régime ne peut continuer à être appelé <

< démocratie >> . Le nouveau système est complexe , occulte , soigneusement masqué , mais ce n’est plus une démocratie , et le << doit on craindre >

> devient un débat un peu ” attardé ” , car la chose à craindre me parait nettement établie . Ne serait-ce que par les actes commis depuis 2000 par ce pays .(trois guerres de millions de morts , une morale de la force qui fait loi )
Débattre des finasseries de Chamberlain à Munich en pleine bataille de Koursk me parait aussi opportun.

Second point :

Je suis étonné de lire ici des analyses très pointues et extraordinairement bien renseignées , mais qui s’appliquent à décrire la même partie d’ échec en refusant de prendre en compte la pièce maitresse de l’ échiquier .
En effet , dans les analyses concernant le comportement et les actes du BAO et des USA , aucun orateur ne considère ce qui est pourtant la seule pièce dont la stratégie peut à elle seule expliquer celle de tous les membres du groupe : la puissance juive sioniste .
  Atypique - sa forme d’ Etat n’ étant qu’un masque , et ne respectant aucune des règles diplomatiques -  ce groupe d’individus représente un pouvoir à pensée unique qui s’exerce au sein même de toutes les structures obsolètes des gouvernements du BAO .  On ne le nomme donc pas tant qu’on conserve l’ ancienne et traditionelle terminologie politique , et sur l’ échiquier , sa présence n’ est pas codifiée . Pourtant elle est la seule puissance dont l’ idéologie peut se lire dans tous les choix de politique extérieure les plus dangereux pour les populations de ces Etats.  Elle est l’ unité de doctrine dont un point résume tout : priorité absolue aux intérêts du groupe Israël .
Cet état n’ étant qu’une excroissance à forme légale ( qui permet des actes impossibles aux privés , comme posséder une armée )  d’une puissance qui en a bien d’ autres .  La forme bancaire est d’ailleurs celle qui semble la plus proche de l’origine centralisée de ce nouveau pouvoir masqué qui gère tous les gouvernements des pays du BAO.
Je viens de décrire laborieusement le centre d’où s’ élabore l’ actuelle stratégie de conflit planétaire . Et toute la difficulté vient de ce qu’aucun vocabulaire n’existe encore pour traiter cette nouvelle réalité .

  Pourquoi , toujours cette absence obstinée de la pièce maitresse , dans les analyse de la partie en cours ?

Noah Chomsky , en 1975 , avait joué une fois à ce jeux qui consiste à remettre le pion absent sur l’ échiquier .
Il l’ avait fait avec le Vatican pour expliquer la partie qui se terminait par la guerre du Vietnam ( N Chomsky : ” l’ archipel Bloodbath ” ) .

  C’est perpétuellement incroyable comment la complexité des mécaniques politiques se dégonfle en d’ horribles mais simples vaudevilles de peur et de cupidité ,  dés que les donnés du jeux sont en clair et que toutes les pièces sont sur le damier !