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Article : Les nerfs florissants d’Hillary l’hallucinée

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Le Diable de nos anciens.

Bernard Scaringella

  07/07/2012

Pauvre hillary .... son impuissance à tordre la réalité à sa volonté ....
Attitude mythique évidente. Psychopathe évidemment. Femme on ne peut plus moderne. Eternel féminin sous nos yeux incrédules.

Il est, avec un tel exemple d’une femme de pouvoir aussi malade, impossible de ne pas poser le problème global de la féminisation de la société depuis 60 ans et il est impossible de na pas lier le degré de folie de l’occident avec cette même féminisation. Il est impossible de ne pas voir les dégats du nouveau matriarcat qui s’installe. Au niveau global de l’univers.

Bien sur le patriarcat a de gros défauts. Mais toute la politique, le management moderne et l’usure toujours recommencée de nos nerfs et de nos forces, ne fonctionnent ils pas de manière féminine, tout en non dit, manoeuvres, alliances de circonstances, tout en douceur, avec quelques explosions émotionnelles quand .... son impuissance à tordre la réalité à sa volonté ... est manifeste???

Afghanistan, Irak, Lybie, autant d’explosions émotionnelles typiquement féminines, et typique d’une mère-poule défendant becs et ongles le confort de la couvée au détriment de la survie du poulailler.

Nos anciens gardaient aussi loin que possible les dames du pouvoir, et l’histoire est chargée des désastres causés par icelles. Avaient-ils cette expérience qui nous fait défaut depuis que la fin de l’histoire est survenue?

Hi-stéri-llary, histérillaric bientôt dans le dictionnaire.

Féminisation de la société... ou des rapports de pouvoir ?

David Cayla

  07/07/2012

Je rebondis sur les propos de Bernard Scaringella qui éveillent un certain écho chez moi, en ajoutant que jusqu’à preuve du contraire, nos dirigeants sont tous, dans leur écrasante majorité, des hommes.

Des hommes qui auront usé abondamment de toute la palette des traits de caractère habituellement attribués aux femmes, et notamment la séduction le plus souvent, la menace parfois, l’hystérie enfin quand le cours des choses leur échappe.

Sans oublier toute la palette des petits coups tordus portés en douce, pour punir un manque de soutien ou venger un précédent état de subordination, à défaut d’être en mesure de pouvoir régler leurs comptes de manière plus ouverte, faute de disposer du privilège de la violence légale…

Tout cela parce que ces hommes de pouvoir ne sont que les dépositaires d’une autorité qui leur a été confiée par d’autres, le plus souvent de sexe masculin eux aussi, et qui peut leur être retirée à tout moment.  Avec, certes, le truchement involontaire de la gent féminine dans beaucoup de situations, épouses, assistantes,... qui se feront le relais de ces personnes aussi charmantes auprès de leurs patrons ou maris.

Et parce que ces hommes sont beaucoup plus réceptifs aux attentes des femmes que la plupart des hommes, et c’est en cela qu’ils sont séducteurs, manipulateurs, cela les conduit systématiquement à surjouer les attentes de ceux ou celles qui leur ont confié l’autorité dont ils disposent.

Et au fur et à mesure que ces hommes ont progressivement phagocyté l’ensemble des structures de pouvoir, n’acceptant d’adouber que d’autres eux-mêmes, parce qu’ils sont foncièrement incapables d’entendre un autre point de vue que le leur (*), ils se sont tous enfermés à l’unisson dans une vision du monde que je qualifierais d’ “hyperféminisée” et qui pour cette raison n’a pas grand chose à voir avec une “féminisation” de la société.

Donc, non, la seule faiblesse des femmes, ce serait de s’être laissées séduire par ces hommes-là - mais leur a-t-on jamais présenté d’autres hommes que ceux-là à tous les échelons de la vie démocratique ? - qui ont par ailleurs prospéré dans une société qui n’aura jamais été aussi organisée, aussi efficace, et dans laquelle il était facile de se lover en ayant ses seuls talents de séduction pour soi, quand les compétences “techniques” étaient le plus souvent devenues inutiles (on trouve d’ailleurs là une amorce d’explication sur les difficultés inextricables dans lesquelles sont plongés les programmes d’armement américains, toujours plus ambitieux, toujours plus sophistiqués, et servis par des cadres de moins en moins compétents et de plus en plus séducteurs).

(*) Si l’essence de la séduction (de la manipulation ?), c’est de ne pas dire autre chose à son interlocuteur ou interlocutrice que ce qu’il ou elle voudra bien entendre, un discours disruptif sera forcément perçu comme repoussant, favorisant ainsi, dans un phénomène de sélection par défaut, les profils de séducteur, et ceci alors qu’on serait soi-même un séducteur !

Le voyez-vous? Le Diable!

Bernard Scaringella

  07/07/2012

David Cayla manifestement ne se rend pas compte combien il tombe dans le panneau des sois-disant femmes faibles, séduites et comment il propage la narrative féminine de culpabilisation des hommes.

Comme si les femmes avaient jamais été dupes des séducteurs. Comme si les femmes ne se faisaient pas une guerre éternelle pour accrocher les meilleurs partis (tout ce qu’à accepter de subir une certaine princesse récemment mariée dans une certaine principauté au bord de la mer .... quelle force ... dans la durée ... ).

La force des femmes est ailleurs, dans l’utilisation depuis des millénaires des rouages sociaux afin d’atteindre leurs objectifs personnels. Elles n’ont jamais aucune vision à moyen terme ou long terme, sauf rare exception. La démocratie moderne est leur marche-pied vers le pouvoir absolu.

David Cayla est déjà sous le joug d’icelles, et leur excusera tout comme on excuse tout a Hi-stéri-llary parcequ’elle est une femme. Une folle peu diriger le monde sans que quiconque y trouve à redire.
Un roi fou était toujours rapidement assassiné. Imaginez un instant qu’un des adjoints de la folle l’assassine?

Quand a cette phrase:
ils se sont tous enfermés à l’unisson dans une vision du monde que je qualifierais d’ “hyperféminisée” et qui pour cette raison n’a pas grand chose à voir avec une “féminisation” de la société.

A-t-on jamais vu dans l’histoire humaine un homme, un vrai, un dur, un tatoué faire un régime?? Des femmes, voilà ce qu’ils sont.
Des femmes qui veulent des guerres sans morts, car ils y perdent leurs petits nourris aux mamelles de Marianne.

L’hyper-séxualisation du monde occidental est un fait, ce qui est répugnant pour les autres civilisations. La féminisation de l’occident est un fait, ce qui invite les autres civilisations à envahir l’occident.

David Cayla en bon occidental ne connait pas les femmes de chair et de sang, seulement l’idéal féminin où il veut se fondre pour l’éternité.

Le voyez-vous? Le Diable!

Bernard Scaringella

  07/07/2012

David Cayla manifestement ne se rend pas compte combien il tombe dans le panneau des sois-disant femmes faibles, séduites et comment il propage la narrative féminine de culpabilisation des hommes.

Comme si les femmes avaient jamais été dupes des séducteurs. Comme si les femmes ne se faisaient pas une guerre éternelle pour accrocher les meilleurs partis (tout ce qu’à accepter de subir une certaine princesse récemment mariée dans une certaine principauté au bord de la mer .... quelle force ... dans la durée ... ).

La force des femmes est ailleurs, dans l’utilisation depuis des millénaires des rouages sociaux afin d’atteindre leurs objectifs personnels. Elles n’ont jamais aucune vision à moyen terme ou long terme, sauf rare exception. La démocratie moderne est leur marche-pied vers le pouvoir absolu.

David Cayla est déjà sous le joug d’icelles, et leur excusera tout comme on excuse tout a Hi-stéri-llary parcequ’elle est une femme. Une folle peu diriger le monde sans que quiconque y trouve à redire.
Un roi fou était toujours rapidement assassiné. Imaginez un instant qu’un des adjoints de la folle l’assassine?

Quand a cette phrase:
ils se sont tous enfermés à l’unisson dans une vision du monde que je qualifierais d’ “hyperféminisée” et qui pour cette raison n’a pas grand chose à voir avec une “féminisation” de la société.

A-t-on jamais vu dans l’histoire humaine un homme, un vrai, un dur, un tatoué faire un régime?? Des femmes, voilà ce qu’ils sont.
Des femmes qui veulent des guerres sans morts, car ils y perdent leurs petits nourris aux mamelles de Marianne.

L’hyper-séxualisation du monde occidental est un fait, ce qui est répugnant pour les autres civilisations. La féminisation de l’occident est un fait, ce qui invite les autres civilisations à envahir l’occident.

David Cayla en bon occidental ne connait pas les femmes de chair et de sang, seulement l’idéal féminin où il veut se fondre pour l’éternité.

Les femmes, un bouc émissaire bien commode ?

David Cayla

  08/07/2012

Monsieur Scaringella,

J’aimerais savoir si c’était bien utile à votre propos de scander mon nom précédé de mon prénom et en parlant de moi à la troisième personne comme vous l’avez fait.

J’aimerais savoir si c’était bien utile à votre propos de me dépeindre d’emblée comme une personne asservie aux femmes, sous leur joug, complètement abusé par leur apparente faiblesse.

Quel était votre but ? Imposer votre point de vue sans la moindre discussion possible ? Et pourquoi cette envolée haineuse contre les femmes en particulier (le diable !) quand on dépeint sur ce site à longueur de temps les soubresauts rageurs du Système qui agonise ?

Et puis, je ne comprends pas comment vous parvenez à dire tout ensemble que la force des femmes est dans l’utilisation depuis des millénaires des rouages sociaux à leur profit, qu’elles n’ont aucune vision à moyen terme ou long terme, et enfin que la démocratie serait leur marche-pied vers le pouvoir absolu.

Une marche vers le pouvoir absolu qui durerait depuis des millénaires ? N’est-ce pas un peu contradictoire avec l’absence de vision de long terme ? Et puis, comment pouvez-dire que leur force est dans l’utilisation des rouages sociaux si depuis tout ce temps, elles ne sont toujours pas parvenues au pouvoir absolu ?

Il y a encore autre chose que je ne comprends pas. Vous dites que nos anciens gardaient aussi loin que possible les dames du pouvoir, et que l’histoire est chargée des désastres causés par icelles. Avaient-ils cette expérience qui nous fait défaut depuis que la fin de l’histoire est survenue?

Excusez-moi, mais tout de même ! Vous réussissez le tour de force de vanter l’expérience des anciens qui gardaient aussi loin que possible les dames du pouvoir, tout en nous expliquant que l’histoire serait chargée des désastres causés par icelles. La révolution française, les guerres napoléoniennes, la guerre de 1870, la 1ère guerre mondiale, la 2ème guerre mondiale, l’Algérie, l’Indochine,... Les femmes ? Encore et toujours les femmes ?

A moins que vous ne pensiez à la guerre de Cent ans et Aliénor d’Aquitaine ? A Hélène et Pâris ? A Tristant et Yseult ? A Guenièvre et Lancelot ?

Et puis aussi, quel intérêt de poursuivre une marche obstinée vers le pouvoir absolu si comme vous le dites, les femmes maîtrisaient pleinement les rouages sociaux à leur profit ? Vous allez bientôt nous dire que les violences faites aux femmes ne sont que des réactions épileptiques d’hommes habituellement dominés par les femmes dans leur quotidien ?

Vous nous dites également que les rois fous étaient toujours rapidement assassinés, pour enchaîner en nous demandant d’imaginer un instant qu’un des adjoints de Hillary Clinton (la folle) l’assassine.

Excusez-moi, mais pourquoi voudriez-vous que quelqu’un l’assassine, parce que c’est bien ce que vous voulez, que quelqu’un mette à mort cette femelle hystérique ? Vous savez qu’il suffirait à Barack Obama - un noir épais comme un clou, c’est une femme qui a été mise au pouvoir par les Black Panthers ? - de la démettre de ses fonctions ?

Quant aux rois, aux dictateurs, ou aux empereurs fous, vous êtes bien certain qu’ils étaient rapidement assassinés ? Charles VI, surnommé le roi fou, a régné pendant 42 ans, et a sombré dans la folie dès la douzième année de son règne ! Néron, Caligula, Staline, Hitler,... Vous trouvez vraiment qu’ils ont été rapidement assassinés ?

Et sur cette base complètement fallacieuse (inversée ?) que vous voudriez que quelqu’un dans l’entourage de Hillary Clinton l’assassine pour mettre fin à sa folie, tout en déplorant que dans ce monde émasculé par les femmes, personne n’aura le courage de le faire ?

Vous vous demandez encore si on a jamais vu dans l’histoire humaine un homme, un vrai, un dur, un tatoué, faire un régime ? La frontière qui sépare les hommes, les vrais, des ... quoi, au juste ? Des pédales, des folles, des tantes, des femme(lette)s ? serait si mince que cela ? C’est à cette frontière si ténue que tiendrait toute entière votre virilité ? Elle est si fragile que cela ?

Et puis, vous concluez sur l’hypersexualisation (alléguée) du monde occidental qui serait un fait, répugnant pour les autres civilisations, les invitant à nous envahir.

Euuuh ? Nous envahir ? Avec quels moyens ? Avec quelles armes ? Les armées occidentales (davantage avec des mercenaires, des forces spéciales, voire des drones qu’avec des troupes régulières, souvent claquemurées dans leurs camps fortifiés) déployées en Côte d’Ivoire, en Libye, en Irak, en Afghanistan, en Syrie, au Yemen seraient donc en train de combattre pour repousser l’invasion des autres civilisations ? Vous êtes vraiment sérieux ?

Néanmoins, il y a bien une chose que je vous concède. Si j’étais un Syrien, un Afghan, ou un Ivoirien, confronté à la violence des puissances occidentales, des puissances qui prétendent apporter la liberté, la démocratie, quand elles n’apportent que la violence, la mort, la misère, le tout en répugnant à se salir les mains (drones, mercenaires, forces spéciales), en ayant la frousse de l’engagement (démesure des moyens employés, surprotection, tendance à se calfeutrer dans des camps), et en affichant le spectacle d’une société totalement corrompue, viciée, qui se vautre dans la démesure de l’abondance matérielle (avec toute la symbologie des femmes court vêtues offertes à la concupiscence masculine), effectivement, je pourrais trouver le monde occidentale complètement décadent et répugnant. Mais avant de l’envahir, j’aurais surtout une furieuse envie de lui botter l’arrière-train et le renvoyer chez lui où il se débrouillera pour continuer à mener grand train sans son précieux pétrole.

Splendide. Ce n’est pas parce que nous considérons les autres comme des barbares répugnants indignes de profiter de la manne des ressources naturelles qui se trouvent dans leur sous-sol que nous nous permettons de les envahir pour piller leurs ressources et continuer de mener grand train, non non ! C’est pour obéir aux compulsions hystériques des femmes occidentales ! Et si nous rencontrons une forte résistance un peu partout sur la planète, ce n’est pas en raison de notre comportement grossier et envahissant, du tout ! C’est parce que nous renvoyons l’image d’une société amollie et totalement dominée par les femmes !

Eh bien… Je crois que Hillary Clinton n’est pas la seule à être complètement hystérique en ce moment…

La Déesse Mère

Bernard Scaringella

  08/07/2012

Diable déjà le procés stalinien .... On est bien en UE ....

La conclusion s’impose de l’invisibilité pour l’occidental moyen de ce que le Système si bien décrit sur ce blog est une femme et mieux la Déesse Mère devant laquelle tous doivent se prosterner. Et l’occidental moyen se prosterne.
Et il lui incompréhensible que tous ne se prosternent pas. Et ne connait plus les femmes de sang et de chair, les ayant divinisées.
Et toute position un tant soit peu tranchée lui est insupportable, agressant sa bulle. Evidemment le conflit fondement de l’histoire et des sociétés ne peut pour lui avoir de place puisque histoire et société ne sont plus dans le paysage.
Il est tellement plus correct d’ergoter sur les mots. Et de traiter de terroriste le partisan, le résistant. L’interlocuteur qui ne peut supporter d’être nommé est lui aussi terrorisé comme nos dirigeants. Psychologisant a qui mieux mieux digne représentant du Système. Et cet innommable affollé devant la moindre goutte de sang.
Connaitre un de ses adversaires n’est pas le haïr mais bien plutot avoir un immense respect pour sa force.

Le profit est toujours a court terme doit on le rappeller ??

L’universalité du profit a court terme comme pouvoir absolu, que nous vivons n’est-il pas preuve de ma thèse??

Et devant l’incohérence et la vue basse de nos dirigeants qui cédent aux sirènes n’est-il pas preuve qu’il ne faut jamais céder aux lubies féminines?? Et que de désastres chaque fois que cela survient, comme de nos jours. Les peuples cèdent aux lubies des dirigeantes est-ce assez clair?

Un psychiatre vous expliquera simplement que le pervers n’a pas forcement de projet, contrairement au psychopathe. L’occidental comprend il que cela implique qu’on ne peut trouver de raison causale aux relations perverses, que c’est le seul mode de relation aux autres que le malade a; d’être pervers. Et que seule la victime croit y voir un but. L’Inconnaissance tant adoubée ici n’est elle pas une vue exacte de la perversion de l’occident, autant dans le voyeurisme que l’exhibitionnisme, que le sado-masochisme permanent de la relation dirigeantes-peuples???

Obama démettant Hillary ?? Hillarant !!

Quand à l’invasion, l’occidental méconnait l’histoire (Rome?) et c’est bien normal car c’est lui la fin de l’histoire parait-il.

La donna e mobile. Et ce qui n’est pas nommé n’existe pas.

les hystériques de dedefensa

carole

  08/07/2012

Houla ! L’hystérie règne aussi chez les lecteurs de dedefensa.

Faut se calmer, les gars. Je vous dirais bien que tirer un coup soulage, mais on va m’accuser à la fois d’antiféminisme et de complotisme féminin (selon le bord où l’on se place) : mais quoi, pour vous réconcilier, que n’est-on prêt à sacrifier, hein ?

La Grande Prêtresse ....

Bernard Scaringella

  09/07/2012

Il est savoureux que ce soit une femme qui réalise l’exploit en 2 lignes de nous donner a voir l’ensemble de la rhétorique du Systeme, du Diable. Grande prêtresse ou diablotin? Ainsi analysons ces deux lignes, ouevre d’art réalisée comme par écriture automatique, celle des esprits malins:

—>> Houla ! L’hystérie règne aussi chez les lecteurs de dedefensa.

Yn jugement définitif pour commencer comme notre Système aime tant en proférer. Juger d’hystérie le combat intellectuel revient a falsifier, dénaturer, détourner le sens du terme hystérie. Tactique habituelle de la rhétorique Système.

—>>Faut se calmer, les gars.
Un ordre. C’est a dire entrer en conflit. C’est aussi l’expression autoritaire. Typique du Système, j’ai le droit d’ouvrir un conflit, pas vous. C’est aussi déclarer que l’on est au-dessus des parties au conflit, que donc le conflit que l’on ouvre soi-même est superieur et légitime. Typique du Système encore. Quand a l’argument d’autorité c’est un sophisme largement utilisé par le Système.

—>> Je vous dirais bien que tirer un coup soulage,
Encore un ordre, enc ore un conflit… légitime bien sur ... Qui plus est un ordre d’aller vers les pulsions et non pas la raison, la négociation, non non. Appel aux pulsions typique du Système. On demande au conflit intellectuel de s’abaisser au niveau biologique, de s’autodétruire en évacuant la sois-disant tension. Ce rabaissement à l’animalité est typique du Système.

—>> mais on va m’accuser à la fois d’antiféminisme et de complotisme féminin (selon le bord où l’on se place)

Par contre ici la prétresse ne manque pas d’utiliser un magnifique sophisme en dénonçant par avance toute critique de sa position. Encore typique du Système. L’infaillibilité et la légitimité son chez la grande prêtrsse evidemment.

—>> mais quoi, pour vous réconcilier, que n’est-on prêt à sacrifier, hein ?

Encore l’autorité, dont la destinée est de réconcilier évidemment, en donnant des ordres, évidemment… La grande prêtresse se sacrifie? Ce qui est impossible, ce sont toujours les autres qui vous sacrifient. Le sens est donc ici qu’elle fait son devoir. C’est sa mission d’ordonner la réconciliation, evidemment sur son corps offert. Mais grande prêtresse nous sommes deux??? Vous êtes à ce point perverse? Car oui nous retrouvons la toute la perversion du Système.

Conclusion: Remercions la grande prêtresse qui en deux lignes seulement nous donne la quintessence du Système, de sa rhètorique, de sa méthode et de sa volonté et se perversion et ....

On ne manquera pas de noter le persiflage contenu dans ces deux lignes. Quintessence du mal qui ronge.

PSA : un choc prévisible

Christophe Perrin

  17/07/2012

Suite à l’accord avec GM, la direction de PSA a décidé de suivre l’embargo américain sur le marché iranien. Or, ce marché tenait jusqu’alors la deuxième place dans les ventes du groupe, juste après la France. En renonçant à exporter en Iran, PSA a décidé de s’asseoir sur 457 000 voitures vendues par an (en 2011), soit quelque 200 000 en six mois… quelle surprise, tout juste le chiffre de baisse des ventes annoncé cette semaine ! (Lutte Ouvrière n°2293 du 13 juillet 2012)