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Article : Le nouveau monde qui attend Obama

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A propos de l'ère Bush (fils ?) et du CMI ...

eric b

  21/11/2008

  “On n’a jamais menti autant que de nos jours. Ni menti d’une manière aussi éhontée, systématique et constante. On nous dira peut-être qu’il n’en est rien, que le mensonge est aussi vieux que le monde, ou, du moins, que l’homme, mendax ab initio ; que le mensonge politique est né avec la cité elle-même, ainsi que, surabondamment, nous l’enseigne l’histoire ; enfin, sans remonter le cours des âges, que le bourrage de crâne de la Première Guerre mondiale et le mensonge électoral de l’époque qui l’a suivie ont atteint des niveaux et établi des records qu’il sera bien difficile de dépasser.
Tout cela est vrai, sans doute. Ou presque.

<...>

Quant à la qualité - nous voulons parler de la qualité intellectuelle - du mensonge moderne, elle a évolué en sens inverse de son volume. “
    Réflexions sur le mensonge - Alexandre Koyré - 1943 -

Engdahl

Stephane Eybert

  12/10/2009

“comme si, effectivement, les deux étaient liées, comme si l’hégémonie US avait tenu essentiellement à l’hégémonie du pétrole dans notre civilisation machiniste. “

Vous plaisantez ?

N’avez vous pas lu William Engdahl et son Oil Geopolitics ?

Revision

Stephane Eybert

  12/10/2009

Avez vous vu le film “Hitler, A career” ?

On y voit un Hitler bien different de l’habituelle image d’Epinal que l’on nous offre.

Un Hitler hesitant, lors de ses premiers discours, qui paufine sa technique, sa gestuelle.

Meme si le personage a ete un criminel de guerre et contre l’humanite, l’image du monstre hysterique et colerique est une proposition de l’historiographie dominante.

Le film lui y montre un homme en retrait, peu confortable en societe, ayant besoin de sa base l’adulant, comme un artiste son public.

L’histoire dominante prefere evidemment ignorer tout cela et presenter un Hitler ne vociferant et le postillon a la bouche.

Michel Onfray, notre philosophe national qui ecrit sa “Contre histoire de la philosophie” avait parle dans un de ses cours, de la bibliotheque personelle de Hitler, quelqu’un d’erudit apparement, ayant lu nombre de philosophes.

Ca nous change du succes mediatique recent de “La catastrophe” de Costelle avec sa narative lyrique et bienseante. Un exemple de forgerie que l’on peut y trouver, Hitler faisant quelques pas de danse. C’est un film connu des historiens, fait par les anglais a partir d’un seul pas, pour y depeindre un Hitler fantasque et impulsif. Costelle n’est pas cense ignorer cela, et pourtant il nous sert la version dominante et confortable.