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Article : Le Grand Retournement

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BW2 ou l'hypothèse David Crockett

perceval78

  30/05/2016

Do you agree with de Tocqueville's opinion about Davy Crockett and Andrew Jackson as political leaders?
BW2 : Moi président j'auditerais la Federal Reserve

Trump nous fout la Ziza grave chez les neo-cons, Bill Kristol le loser essaye de créer un troisième parti, Kagan appelle à voter clinton. Et ce qui est plus grave c'est que d'autres : Mac Cain, Graham restent, la scission est consommée. Il est vrai que Kristol était plutôt un Troll de gauche devenu Troll de droite,
BHL le sentait même un peu léniniste sur les bords, se prétendant même
le seul démocrate.Ce faisant on rappellera à BHL qui parle beaucoup que le créateur du parti Démocrate est Andrew Jackson  le président le plus indianophobe de l'histoire des états-unis allié au sénateur Calhoun porte parole des états esclavagistes.

I am a planter - a cotton planter. I am a Southern man and a slaveholder - a kind and a merciful one, I trust - and none the worse for being a slaveholder.
John C. Calhoun

Revenons à Bill Kristol qui pense contrairement à dedefensa que tout se passe normalement dans cette élection tiers-mondiste. Il propose David French comme éventuel troisième homme, cet homme nous semble manquer de charisme ... mais la présence de la cocarde tricolore sur son compte twitter nous permet d'imaginer l'inimaginable ! Seigneur prions ...

Nous pensons cependant du haut de notre nuage d'inconnaissance que Andrew Jackson est plus proche de Trump que de BHL

Après s’être ainsi abaissé devant la majorité pour gagner sa faveur, le général Jackson se relève ; il marche alors vers les objets
qu’elle poursuit elle-même, ou ceux qu’elle ne voit pas d’un œil jaloux, en renversant devant lui tous les obstacles.
Fort d’un appui que n’avaient point ses prédécesseurs, il foule aux pieds ses ennemis personnels partout où il les trouve, avec une facilité qu’aucun président n’a rencontrée ; il prend sous sa responsabilité des mesures que nul n’aurait jamais avant lui osé prendre ; il lui arrive même de traiter la représentation nationale avec une sorte de dédain presque insultant ; il refuse de sanctionner les lois du Congrès, et souvent omet de répondre à ce grand corps. C’est un favori qui parfois rudoie son maître. Le pouvoir du général Jackson augmente donc sans cesse ; mais celui du Président diminue.