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Article : La véritable théorie du genre

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Trouble(s)

Bernard Scaringella

  25/02/2014

La magnifique argumentation de picasso ne lui sert qu’à masquer
ou expliquer le trouble de l’identité qui le caractérise: le don juanisme
un des nombreux troubles de la relation à autrui rassemblés par
la science dans l’ensemble dit des perversions. La séxualité n’est pas
le seul indicateur de la perversion, la manière générale dont
on (picasso en l’occurence) traite autrui est un ensemble d’indicateurs. Picasso est bien plus du côté des machos (mot
inconnu de la science) que des sois disant “corps sensibles” sois-disant féminin.

Cela n’enlève rien à la grandeur de l’art de picasso, qui
de facto est plein de son don juanisme. L’émérite pilote de scooter
dans la manière générale dont il traite chacune de ses femelles
indique clairement qu’il est du coté des perversions.

De même pour la science et ce depuis une bonne vingtaine d’années,
les homos mâles ou femelles ou les trans ou autre ont aussi un
trouble de la personne les empêchant de ré-investir dans la
génitalité leur séxualité. Comment pourraient ils prétendre
à une quelconque parentalité puisqu’ils en sont dénués de par leur
trouble?

Le fait d’être artiste pour la science n’est pas dépendant du sexe
ni d’ une quelconque perversion ou autre trouble de la personne.
Cela relève de la maîtrise des matières et des matériaux, des instruments et des engins. Mais évidemment les troubles quels qu’ils
soient influent sur la production artistique.

Pour ce qui est de nos idéologues gouvernementaux, leur(s) troubles
relèvent de la relation aux autres et font partis de la grande famille
des délires, ce sont des psychotiques. Les plus flagrants étant la jeune
porte parole et le dirigeant du mammouth (le nouveau calvin).
Cela explique toutes les volontés d’uniformisation totale (à la mao)
des personnes, et donc de destruction de toute structure afin
d’imposer celle correspondant à leur délires. Evidemment la
contradiction interne à leurs idéologie et politique ne peut leur
apparaitre vu leur troubles.

Les universitaires dépendant hiérarchiquement de l’ednat sont
adoubés lorsqu’ils adhèrent aux délires, rejetés dans le cas contraire,
rien de bien étonnant.

Que les pédiatres disent que la proximité physique
de la mère (la génitrice) est la condition sine qua non du dévelop-
pement sain de l’enfant jusqu’à cinq ans environ n’entre pas
dans les délires au pouvoir, ils sont donc devenus invisibles.
Les dires et écrits des délirants ne peuvent être scientifiques
ils sont au mieux mythiques ou bien .... rien d’identifiable
rationnellement.

Un pervers et des psychotiques. Voila à quoi se résume le présent.
Après quelques années à supporter un névrosé (l’étrange ressemblance de toutes ses épouses ...) cela change. Mais n’arrange
rien.