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Article : La “liquidation” de ben Laden entre réalité et vérité

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Liquidation d'un témoin capital

justin gregoire Dubois

  20/06/2011

Est mort en même temps que Ben Laden, la possibilité de le traduire en justice…L’exécution extra judiciaire (qu’elle soit virtuelle ou réelle) est un acte d’obstruction à la Justice compte tenu du fait qu’il y a de plus en plus de scepticisme par rapport à la version officielle des attentats du 11 septembre. La mort extrajudiciaire de Ben Laden peut aussi être interprété comme une preuve que la version officielle du 11 septembre est un mensonge, sinon quel intérêt à liquider Ousamma Ben Laden en tant que témoin ?

Question naïve: à qui se fier

Jean-Paul Baquiast

  20/06/2011

Selon ces “témoignages”, non seulement Ben Laden était mort depuis longtemps à l’époque alléguée de sa mort, mais l’attaque des SEALs aurait tourné à la catastrophe. Faut-il demander à Obama la vraie version des faits?
Le vertige me saisit.

Obama quantique

Laurent Caillette

  21/06/2011

Essayons de faire le tri. Première hypothèse : la version officielle est vraie, donc voilà BHO qui avoue publiquement avoir commandité un assassinat en violation de la souveraineté territoriale d’un pays reconnu comme allié. Seconde hypothèse : la version officielle est fausse et le relai fourni par BHO fait de lui un menteur, et d’un niveau bien décevant si l’on considère toutes les incohérences qu’il faudrait avaler.

Dans quelle mesure ces deux hypothèses s’excluent-elles mutuellement ? La rapidité avec laquelle sont apparues les mises en causes de la version officielle rendent impossible tout cloisonnement ; à vrai dire la version officielle s’est retrouvée disqualifiée à l’instant même de sa parution. Il faut dire que les précédents n’encouragent guère à la crédulité : 11 Septembre, armes de destruction massive en Irak… Sur le terrain de la perception, BHO se retrouve inclus dans ces réalités multiples qui se superposent au lieu de s’exclure, du fait de leur simultanéité. Voici donc BHO dans un état quantique, sa qualité de président des États-Unis d’Amérique s’additionne à celle de menteur et d’assassin. Plus le temps de cloisonner ces réalités qu’on aurait tenues il n’y a pas si longtemps pour formellement contradictoires, plus le temps de laisser émerger la possibilité tranquille d’un quelconque “juste milieu”.