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Article : En attendant de Gaulle

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De Gaule est bien de retour avec l'UPR.

Georges Dubuis

  01/05/2019

Je m'étonne que vous ne mentionnez point cette copie , très conforme, incarné par François Asselineau, avec tous les défauts innérants à l'original, un1/2 agent british malgré lui…qui, d"ailleurs va se tirer une balle dans le pied avec le Brexit, qui a bien pris place, par défaut, mais qui finalement sera tronqué jusqu'à être vidé de toute substance, comme cheux nous en 2005. La perfide City ne s'en laisse pas compter par ....le bétail démocratique d'un autre royaume désuni !

Et De Gaulle sauva la France ...

Christian Feugnet

  02/05/2019

Conclusion d' une de ces redacs à 14 ans . .
Un rapprochement s'impose  à moi celui d'avec Notre Dame .L image que je garde de lui est celle d'une statue gothique , taillée à la gouge sutgie du fond des ages . Il en faut des coup de gouges pour en faire une comme çà .  La souffrance lui a pas manqué . L accolement de Michelet j'estime que çà n'a rien à voir .sur le fond . 
Un autre à venir ? Non je ne vois rien venir . Asselineau ? L esprit , la tenue , une reminiscence . .
 

De Gaulle et les sept nains

jc

  02/05/2019

Pompidou, Giscard, Mitterrand, Chirac, Sarkozy, Hollande, Macron.

In God he trust. In Gold they trust.

De Gaulle dans la cathédrale de Reims avec Adenauer; la fin d'un monde:

https://www.qwant.com/?q=de%20gaulle%20adenauer%20reims&t=images

Debré sur de Gaulle:

" Michel Debré révélera dans ses ‘Entretiens avec le général de Gaulle’ (Albin Michel, 1994) ce que ce dernier lui avait dit, en tête à tête, le 26 mai 1968 : “Je ne souhaite pas que ce référendum réussisse. La France et le monde sont dans une situation où il n’y a plus rien à faire et, en face des appétits, des aspirations, en face du fait que toutes ces sociétés se contestent elles-mêmes, rien ne peut être fait… Je n’ai plus rien à faire là-dedans, donc il faut que je m’en aille. Et, pour m’en aller, je n’ai pas d’autre formule que de faire le peuple français juge de son destin.” Debré ajoute : ‘Ce qui paraît le plus le frapper, c’est le fait que les sociétés se contestent elles-mêmes et n’acceptent plus les règles, qu’il s’agisse de l’Eglise ou de l’université, et qu’il subsiste uniquement le monde des affaires, dans la mesure où [il] permet de gagner de l’argent. Mais sinon, il n’y a plus rien.” » (Extrait de "De Gaulle actuel", Dedefensa)

"Mais sinon, il n'y a plus rien."

Il y a les femmes…