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“Une réponse simple consisterait à ne pas entrer dans le jeu du système.  “
Oui, mais comment faire?
Le système s’est d’abord attaqué à l’égalité et à la solidarité, il s’attaque dorénavant à nos libertés de façon sournoise et perverse.
Par delà le verrouillage des urnes,  ce système vous oblige au quotidien malgré vous,  et il vous faut encore vous plier personnellement à sa loi, voire devenir complice pour éviter de devenir soit même le maillon faible d’une gigantesque machine à exclure: à l’école, au boulot, malade ou au chômage,  les maillons faibles tombent comme des mouches, victimes silencieuses de politiques d’évaluations virtuelles qui masquent la réalité mais déstructurent profondément le tissu social.
Les yeux rivés sur des indicateurs ou des objectifs qui n’ont pas de sens, chacun devient à la fois bureaucrate et son propre bourreau en produisant des chiffres censés améliorer la performance,qui finissent surtout par objectiver sa propre exclusion, sa propre déchéance comme un ultime sacrifice permettant de rassasier “l’ogre système” devenu insatiable.

Le système n’en est pas un, c’est pourquoi il est en fait insaisissable, c’est un RÉSULTAT de la force, de la ruse, de la conquête de l’espace par la technologie des armes, la croyance divine d’être tout puissant, cette montée en puissance se retrouve maintenant dans chaque individu à divers niveau de son pouvoir d’achat et de vente, son INDIVIDUATION à travers son travail. L’unité de base familiale en a pris un coup avec la sortie des femmes dans le monde du salariat où la lutte de pouvoir fait rage, le lien premier “naturel” s’éclate. Pour la 1ere fois dans l’histoire l’être SINGULIER se coltine à ses signes extérieures de richesse COMMUNS par lesquels il est reconnu, son identité chosifié est une tourmente constante INVISIBLE et non représentable dans cette course où seul les drogues légales et illégales peuvent le soulager.Un conformisme formidable le somme d’être responsable de lui même, cet être est paralysée par l’idée même de la puissance qu’il délègue à toutes ses machines qui feront tous les travaux à sa place et notamment la guerre, nous sommes en guerre mais nous n’y sommes pas, l’exportation d’un style de vie démocratico/féministe. La finance et ses comptes représente réellement cette phénoménologie, son inconscient, Mr Blankfein de GS a parfaitement intégré cette mission divine, nous sommes dans un monde essentiellement juif celui de l’usure et de l’argent qui circule comme il le veut et spécule sur tout INVISIBLEMENT, nos civilisations chrétiennes et conquérantes se sont déchargées sur eux de ce péché avec les retours de manivelle énormes pour ces derniers, que l’on sait que TROP de leurs MÉMOIRES de souffrances.
L’IRONIE de l’histoire est la création de cet état juif mais en réalité sioniste, au cœur du sanctuaire des 3 grandes religions conquérantes qui ne sont pas mortes,loin de là(la sphère où le monde privé étant très friand de cet AU-DELÀ du travail) les actuelles proprios insistant sur un titre biblique ancien qu’ils avaient crée de toutes pièces, conjugué à la culpabilité colossale du monde occidental catholique.Les USA où le seul moto est de gagner où perdre de l’argent divin sont l’allié organique d’Israel que je surnomme la bible atomique, une volonté également vertueuse,pour les 1ers de répandre la bonne parole de l’argent qui parle et qui fascine et pour les seconds de sanctifier toute agression et crimes au nom de la souffrance.
Point de révolution possible puisque le peuple à disparu dans l’individuation qui ne peut que s’en prendre à elle même, implosion certainement, le tea party incarnant le désarroi apocalyptique du conformisme.Ainsi soit il tel est le nom du film.

PS l’étoile montante virtuel d’Attali, j’ai nommé Paul Jorion l’anthropologue de confort,n’a bien sûr rien voulu savoir de cette diatribe, il a d’ailleurs fait son devoir de mémoire en éradiquant toute la mienne de son blog, ah ces puritains sont partout .