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Article : Bob Dylan, Spielberg, Lincoln et l’esclavage

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Et qu'en dirait Soros ?

Jack v.

  01/12/2012

Après les points de vue de Kissinger, de Brzezinski, celui de Dylan, aujourd’hui, il serait bon d’avoir l’avis d’un autre vieux ca¨man, en l’occurrence Georges Soros, d’autant plus qu’aux dernières nouvelles, en plus d’essayer de contrôler les “révolte arabes”, on l’accuse sur certains sites de conspirer contre la démocratie Américaine et de préparer un coup d’état communiste, ce qui ne serait pas si étonnant que cela.

Joe Hill

Michel DELARCHE

  04/12/2012

L’engagement créateur de Dylan remonte à sa jeunesse New-Yorkaise et à ses visites au vieux Woody Guthrie agonisant dans un hospice de banlieue (cf. ses mémoires “Chronicles” Vol. 1
Il évoque aussi la mémoire de Joe Hill, chanteur engagé et syndicaliste des années 1910 condamné à mort et fusillé après un procès truqué. Le néo-McCarthysme qu’on sent monter aux USA vient de loin.

rapport sur un désastre: Libye, Qatar, al-Qaïda, USA

dominique

  08/12/2012

L’article est paru sur Oulala avec les parties en Anglais traduites: http://www.oulala.info/2012/12/rapport-sur-un-desastre-libye-qatar-al-qaida-usa/
Info-Palestine va aussi le passer et vraisemblablement LGS…

La dissidence se tient les coudes mais cela n’empèchera pas le pire d’arriver comme le prédit aussi Jean-Michel Vernochet dans son livre, Iran, la destruction nécessaire (article de Maria Poumier):

.....Se situant dans une avant guerre inéluctable, l’auteur conclut: « au demeurant l’issue de la crise iranienne se jouera au final sur une partie de poker tricontinentale. L’Amérique abattant ses cartes avec le revolver sur la table, la Russie et la Chine s’interrogeant avec anxiété » sur la part de bluff que les gens de Washington et de Tel Aviv font intervenir dans ce jeu délétère, se demandant quant à eux jusqu’où ne pas aller trop loin. » Si c’est bien là une représentation dessillée des forces en présence, le pronostic ne fait guère de doute…
Radicalement pessimiste, toute l’analyse des facteurs financiers, énergétiques, géopolitiques et diplomatiques débouche sur le pari que l’Iran va tout perdre, dans très peu de temps: sa souveraineté, son intégrité territoriale, sa capacité à se doter d’installations nucléaires civiles, la maîtrise de ses hydrocarbures, et sa fierté nationale bâtie sur une longue histoire de résistance aux impérialismes occidentaux. C’est ce qui est arrivé à l’Irak, à l’Afghanistan, à la Libye, c’est ce qui est prévu en Syrie, la porte d’accès à l’Iran.”...
http://www.mecanopolis.org/?p=26841