Franck du Faubourg
03/11/2011
Certaines nouvelles donnent particulièrement la nausée:
http://www.latribune.fr/actualites/economie/international/20111103trib000661335/les-etonnants-sponsors-prives-du-g20-.html
Lire aussi ce dernier papier de Martin Armstrong - pas très optimiste..
http://www.martinarmstrong.org/files/Euro%20Greece%2011-03-2011.pdf
Jack v.
04/11/2011
Nos amis Grecs trouveront peut-être de quoi être inspirés au bout du lien ci-dessous.
http://www.legrandsoir.info/Comment-Cuba-a-survecu-au-peak-oil-par-Megan-Quinn-From-The.html
Après tout, les Cubains se sont bien débrouillés avec des moyens plus limités et un embargo en sus.
Francis Lambert
04/11/2011
la France est “exemplaire” depuis si longtemps.
D’abord un rappel succint de la crise avec une liste précise des promesses et réalisations du Pouvoir Présidentiel Fort d’une Grande Nation (pas comme la Grèce)
puis la conclusion:
“Trois ans après avoir dit qu’il fallait “réglementer les banques pour réguler le système”, Nicolas Sarkozy se répète et promet, le 27 octobre, sur TF1 et France 2, que “les bonus et les rémunérations des traders rentreront enfin dans des pratiques normales” d’ici à l’été 2012.
Il annonce d’ailleurs son intention de confier à la Banque de France un “pouvoir de sanction et de contrôle” sur les établissements financiers, afin de “veiller à ce que les pratiques du passé s’arrêtent”, notamment en matière de versement de bonus.
Sauf que, comme l’a rappelé Claire Guélaud, journaliste au Monde et auteur du blog “Contes publics”, le gouverneur de la Banque de France possède depuis longtemps ces moyens de sanction et de contrôle.
Il ne les a jamais utilisés.
Sarkozy et les banques : trois ans d’avertissements et de rappels à l’ordre, par Hélène Bekmezian
http://www.lemonde.fr/politique/article/2011/11/03/sarkozy-et-les-banques-trois-ans-d-avertissements-et-de-rappels-a-l-ordre_1597649_823448.html
“d’ici à 2012” re-re-re-promis !
Alors les petits grecs tout au bout ...
Ilker de Paris
10/11/2011
Ce n’est pas tellement par les armes militaires que les États-unis “tiennent” le monde mais par le système financier, casser une économie est autant dévastateur que le bombarder, ainsi on pourra mesurer l’affaiblissement de l’influence us à celui des marchés.
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