RapSit-USA2020 : Vers la guerre civile

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RapSit-USA2020 : Vers la guerre civile

Il semble bien que se prépare aux USA un terrible affrontement devant les tribunaux puis au-delà, à partir de ce que l’une des meilleures et plus honnêtes avocates des USA, Sidney Powell, juge être des “preuves massives” d’une “fraude massive” durant l’élection du 3 novembre 2020, qui devraient renverser les résultats dans plusieurs États. Les conditions de l’obtention de ces preuves sont décrites, semble-t-il, comme celles d’un raid lancé par une autorité officielle et des forces mandatées, contre un centre de contrôle informatique de la CIA situé à Francfort (en Allemagne, pays d’Europe et de l’UE qui n’est pas, ou pas encore, un des États de l’Union), ; centre d’où la CIA contrôlait et manipulait l’architecture électronique du système électoral US.

Un des aspects extraordinaires, irréels et féériques de cette affaire, est qu’elle n’est quasiment pas relayée par la ‘grande presseSystème’ du bloc-BAO, bien qu’il s’agisse de personnalités officielles, faisant des déclarations publiques, etc. Il semble donc de plus en plus clairement (?) que nous vivons dans des mondes parallèles qui sont tout juste disposés à se montrer leurs culs ou à se cracher dessus de temps en temps, avec l’un des camps criant à gorge déployé, comme un goret qu’on égorge, sa vertu et sa puissance de tolérance, d’équité et de justice. Dont acte, ou ‘dont acte no-act’ : il s’agit de répondre à notre engagement évident, et par conséquent il s’agit de dire que, du côté de la presseSystème, de la plus formidable architecture de propagande, jusqu’à former un réel simulacre dont la mission est de faire croire qu’il existe et que rien d’autre que lui-même ne peut exister, tout se passe sérieusement comme si rien de sérieux ne se passait.

Ci-dessous quelques faits (facts en anglais standard, FakeNews pour ‘Alice au Pays des Merveilles’). Quoi qu’il en soit et quoi qu’il se passe, la bataille est énorme et son résultat, dans un sens ou l’autre, le sera également.

• La vedette de l’affaire, de « la bataille judiciaire la plus importante de l'histoire des Etats-Unis » (selon Michael Snyder), c’est l’avocate et ancienne procureure dans la juridiction de l’État du Texas, Sidney Powell. Considérée comme une des ‘super-avocat(e)s’ aux USA (les étoiles du barreau qui ont remporté plus de soixante-dix causes importantes devant les tribunaux), Powell est également caractérisée unanimement (jusqu’à maintenant...) par une réputation d’intégrité et d’honnêteté exceptionnelles, et ses commentaires sont appréciés à mesure, et bien entendu ceux de la présente énorme affaire des fraudes électorales.

« Trey Trainor, chef de la Commission électorale fédérale (FEC), a déclaré dans un tweet mardi qu’il croyait l’affirmation de l'avocate de la campagne Trump, Sidney Powell, selon laquelle la fraude électorale était généralisée.

» Powell, une ancienne procureure fédérale, a affirmé que l'équipe juridique du président avait reçu un déluge de preuves concernant des fraudes électorales et d'autres irrégularités. Elle a déclaré à Fox Business qu’elle avait suffisamment de preuves pour lancer une enquête criminelle à grande échelle et que “nous nous préparons à inverser les résultats des élections dans plusieurs États”.

» Bien qu’elle ait refusé de préciser les preuves qu’elle pourrait avoir en sa possession, elle a insisté : “Je ne fais pas de commentaires sans avoir les preuves irréfutables pour les étayer”.

» Tom Ozimek de Epoch Times rapporte que Trainor, dans son tweet, a qualifié Powell de “franche et honnête dans tous les cas qu’elle a pris en charge”, ajoutant que “si elle dit qu’il y a une fraude électorale généralisée dans #Election2020, je la crois”. »

• Ainsi Michael Snyder écrit-il à propos de cette offensive juridique qui va être lancée par la plus puissante équipe d’avocats jamais réunie sur une cause, sous la direction, sinon l’impulsion et l’inspiration de l’avocate et ancienne procureure :

« Nous sommes sur le point d’assister à la bataille judiciaire la plus importante de l’histoire des États-Unis.  Oui, le résultat déterminera si Donald Trump ou Joe Biden remporte la présidence, mais plus important encore, au cœur du procès figurera le sort de l’intégrité du système électoral des USA.  Si la fraude peut être prouvée, des machines de vote extrêmement coûteuses devront être détruites dans tout le pays et la manière dont nous organisons nos élections devra être complètement reconfigurée. Si la fraude n’est pas prouvée, nos élections continueront à être organisées de la même manière et personne n’osera plus jamais les contester. C’est littéralement le moment historique où nous déterminons si des élections honnêtes pourront avoir lieu aux États-Unis dans un avenir prévisible. »

• Il existe d’ores et déjà de nombreuses indications sur les “preuves” obtenues par l’équipe Trump, et notamment par l’avocate Powell en coopération avec un parlementaire républicain, le député Louis Gohmert qui a rapporté la chose en détails dans un tweet. Quelques sites ont répercuté des détails sur l’action (un raid de saisie d’informations et de programmes contre une station de la CIA à Francfort) qui est à la base de l’obtention des “preuves”. Il y a notamment un article (repris plus loin) de l’ancien officier de la CIA Larry C. Johnson, sur le site SST (Sic Semper Tyrannis), et aussi un article avec nombre de références et des orientations originales du site WhatDoesItMeans. Il est à noter que la référence de cet article de Johnson, mis sur son compte Facebook par le colonel Lang, a été supprimée par cette sympathique plateforme-d’accueil et d’escorte (‘escort platform’) : la vertu-Zuckerberg, ou startup-vertu, règne et veille.

• Partant de la lecture du tweet sur l’opération de Francfort, suscitée par ce qu’il  qualifie de « courageux et brillant duo Sidney Powell-Congressman Louis Gohmert », Johnson écrit (mais le 15 novembre, donc ne prenant pas en compte des précisions selon l’accusation connues depuis, notamment sur le contenu et les conséquences des fraudes sur le Conseil des Grands Électeurs) :

« Quand j’ai entendu cela, je n’y ai vu aucun sens. Laissez-moi vous expliquer. J’ai travaillé pendant quatre ans au Bureau de la lutte contre le terrorisme du Département d’État (aujourd'hui, Bureau de la lutte contre le terrorisme). J’étais l’un des deux agents qui ont traité directement avec le FBI dans le cadre de l’enquête sur l'attentat terroriste du vol Pan Am 103 [1988]. Cette expérience m’a appris que les services de sécurité nationale US ne peuvent pas intervenir dans d’autres pays sans l’autorisation de ces pays.

» J’ai également passé 22 ans à rédiger des scénarios d’exercices de terrorisme pour les opérations spéciales de l’armée. Mon travail consistait à simuler les communications du département d'État et de l'ambassade lors d’une crise terroriste. J’ai donc beaucoup d'expérience dans le travail en situation réelle avec les forces de sécurité nationale, l’armée et nos ambassades pour régler les problèmes qui se posent lorsque les USA veulent mener une opération policière ou militaire dans un pays étranger.

» L’armée américaine ne devrait donc pas avoir mené de raid en Allemagne contre les bureaux ou les serveurs de Sctyl ou de Dominion [les deux compagnies impliquées dans le fonctionnement du système électoral, Dominion’ spécifiquement pour les USA]. Ce sont des ressortissants étrangers et nous devons opérer conformément à la loi allemande. En outre, l’armée américaine n’a pas de pouvoirs de maintien de l'ordre à l’égard de ces entités.

» Que s’est-il donc passé ? J’ai été informé par des sources sûres qu’une unité sous le commandement de l’USEUCOM (Commandement américain en Europe) a effectivement mené une opération pour prendre le contrôle de serveurs informatiques. Mais ces serveurs appartiennent à la CIA, et non à Dominion ou à Scty. [Ainsi, parce qu’il ne s’agit pas de ressortissants étrangers travaillant pour les deux sociétés,] l’armée américaine a toute autorité pour intervenir car toute activité de la CIA sur le théâtre européen est menée sous couverture militaire. En d’autres termes, les agents de la CIA seraient identifiés auprès du gouvernement allemand (et de toute autre autorité agréée) comme des employés ou des consultants militaires dépendant de nos forces armées.

» Une telle opération devrait donc avoir été menée par ou en présence de forces de sécurité américaines pour prendre possession des preuves [concernant la fraude électorale de l’élection USA2020]. Cela signifie que les preuves seront sous le contrôle du ministère de la justice par l’intermédiaire des procureurs américains et qu’elles pourront être utilisées dans un tribunal ou dans d’autres procédures judiciaires.

» Ce n’est pas la première fois qu’une unité militaire rattachée à l'EUCOM oblige une installation informatique de la CIA à lui remettre des preuves. Un ami cher (un officier de la DEA à la retraite) m’a raconté un incident au cours duquel il est entré dans une installation de la CIA à Francfort, avec l’aide de l’armée américaine, pour obtenir des informations que la CIA dissimulait (cela s’est passé dans les années 1980).

» J’ai également confirmation du fait que Jim Hoft a rapporté l’autre soir : la directrice de la CIA Gina Haspel n’a pas été informée à l'avance de cette opération. En fonction de ce développement, je pense qu’il est exact de dire qu’une action a été menée en Allemagne sur un territoire sous contrôle américain et qu’une installation de la CIA était visée.

» J’ai également appris que le directeur du FBI, Christopher Wray, a été exclu de cette opération. Wray, plus que Haspel, a travaillé de manière agressive pour saper et saboter Donald Trump. Cela signifie qu'une autre agence américaine chargée de l’application de la loi (par exemple, les US Marshals, la DEA, le Secret Service, etc.) a été chargée de rassembler les preuves.

» Sidney Powell est une avocate sérieuse. Elle ne fait pas de fausses allégations, point final. Elle incarne l'honnêteté et l’intégrité. Compte tenu de ses récentes déclarations à Maria Bartoromo, Lou Dobbs et Eric Bolling, elle sait clairement que des preuves sont recueillies qui prouveront au-delà de tout doute raisonnable (c'est-à-dire le type de preuves requises pour obtenir une condamnation pénale) que la CIA avait une sorte de relation infâme avec Dominion Software et que Dominion Software était utilisé à l’étranger et aux États-Unis pour frauder les électeurs.

» Je m’attends à ce que les responsables de la CIA soutiennent qu’ils ne savaient pas que Dominion était engagé dans une activité aussi infâme. Leur démenti a autant de poids que l’affirmation du capitaine Louis Renault dans la scène emblématique du film ‘Casablanca’ :

» Capitaine Louis Renault : “Je suis choqué, choqué qu’il y ait des jeux d’argent ici.”

» Serveur : “Monsieur, voici vos gains.”

» La tentative de coup d’État pour faire tomber Donald Trump se poursuit. »

• Quels que soient les détails de la riposte de contre-offensive lancée par le camp de Trump, et dont des détails essentiels ont été ont été révélée hier par le député Gohmert, on assiste sans aucun doute à une accélération et à une importance grandissantes de l’aspect juridique de l’élection, avec des perspectives vertigineuses. On l’a appris hier, en effet, l’enquête menée par Powell-Gohmert conduirait à exiger un redécoupage des résultats de l’élection USA2020 donnant une victoire triomphale à Trump, avec 410 Grands Électeurs (il en a 239 actuellement). On voit dans tous les cas l’ordre de grandeur de la contestation.

Une fantastique bataille, – juridique et le reste

Quelles soient la valeur, la justesse, la ponctualité des positions des uns et des autres, on peut objectivement constater que les deux partis qui s’opposent sont à une telle distance l’un de l’autre et séparés par de tels sentiments de haine qu’aucun compromis de quelque façon que ce soit n’est possible, ni aucun arrangement ; dès lors, la possibilité d’une cohabitation s’impose, politiquement, constitutionnellement et psychologiquement, comme simplement inenvisageable.

• Il nous paraît impossible qu’avec la prospective de chiffres d’une telle importance (les Grands Électeurs pour Trump fixés à 410, selon un premier décompte contestataire), les républicains même modérés puissent accepter une élection de Biden, et les électeurs de même. Quels que soient le sens des événements, l’opposition à Biden s’appuierait alors sur une sorte de légitimité de facto, permettant d’envisager les mobilisations les plus extrêmes et les plus justifiables par rapport à l’esprit de la loi.
• D’un autre côté, il nous paraît impensable que le DeepState, et principalement la CIA dans ce cas, mais également la presseSystème et divers autres centres de pouvoir et d’influence, puissent accepter l’idée même d’une hypothèse accordée aux chiffres affichés par l’opposition. Même si l’hypothèse est fondée, même s’il y a donc certaines forces du clan-Biden qui sont conscientes de la fraude, le climat est tellement hystérique et plein de désordres furieux et de simulacres indissolubles, que cette vérité-de-situation sera rejetée avec le plus complet mépris et la certitude de faire bien. “God Is On Our Side”, chantaient les yankees ; aujourd’hui les démocrates font de même, ils chantent avec entrain à propos de la sauvegarde de la démocratie américaniste et de la modernité, dont ils se sont institués les gardiens et qu’ils sont prêts à sauver, au besoin en en saccageant jusqu’à la mort tous les fondements ; vieille habitude américaniste, cela : “vous écraser à mort  pour vous sauver”..

Il nous paraît vain, pour l’instant sans aucun doute, de discuter et de commenter les chiffres, bien que nous ayons, sans aucun doute également, notre idée sur la vérité potentielle de la ‘fraude massive’. Toujours pour l’instant, ce qui nous importe est la puissance phénoménale du choc prévisible, en fonction de la puissance phénoménale de la différence entre les deux thèses. L’effet sur les psychologies déjà chauffées à blanc sera à mesure même s’il faut quelques temps pour que ces informations parviennent au public à cause du blackout et de la censure de la presseSystème et des GAFAM. Il s’agit du cas le plus ‘favorable’ à une aggravation accélérée de la situation, avec la perspective d’une guerre civile sous une forme ou une autre, et la probabilité de décisions de sécession, sinon jusqu’à un effet de désintégration des USA.

Il est probable que la bataille de la communication, avec les interférences habituelles et scandaleuses des divers GAFAM, sera elle aussi d’une extraordinaire intensité. Un lecteur de SST a affirmé en commentaire de l’annonce par Lang de l’annulation de son message avec la référence du texte de Johnson, que la prochaine étape serait « l’interdiction d’accès à certains sites étrangers et même US », par les autorités ; ce lecteur affirme parler à partir de sources très bien informées, dans une rubrique de commentaire (celle de SST) en général très riches d’informations du fait d’un lectorat très liés à des carrières ou des occupations dans le renseignement. (Lang est un ancien colonel de la DIA.)

Ce projet d’un resserrement drastique de la censure est évidemment envisageable, sauf que, dans cette prospective, on ignore qui, aux USA, constitue et surtout constituera l’autorité de contrôle des diverses forces de l’affrontement ; sauf qu’il n’y a aucune force intérieure, constituée ou non officielle, qui tiennent toutes les autres sous son joug ; sauf que les USA ne sont pas une république bananière simpliste, avec un seul pouvoir à prendre, mais une république bananière très compliquée, sous la forme d’une fédération incroyablement complexe, avec une multitude de pouvoir souvent en concurrence et investis des mêmes capacités, un déséquilibre complet de l’autorité des différents pouvoirs selon le domaine considéré, une corruption généralisée, un éclatement des responsabilités.

 

Mis en ligne le 18 novembre 2020 à 15H00