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• S’il est un archétype de tragédie-bouffe pour caractériser notre époque, l’Europe-UE tient la corde et, à franchement parler, ne laisse aucune chance à ses concurrents. • C’en est à un point où une âme pure ne devrait pas hésiter une seconde pour proposer à l’Honorable Majesté de l’Élysée de sortir Orwell du Panthéon (après l’y avoir mis) pour qu’il remplace d’un seul coup de maître Ursula La Hyène et la Haute Représentante la-Kallas. • Ainsi l’Europe-UE serait-elle lavée, plus blanc que blanc, de tout soupçon de corruption et d’idiotie sénile.
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8 décembre 2025 (19H15) – Elon Musk, comme d’habitude, n’y va pas par quatre chemins. Pour nous, c’est plus court et moins de temps perdu. L’UE ? (Puisque c’est de cela que nous discourons.) Il n’y a qu’à la liquider. Il faut dire, comme le rappelle Robert Bridge dans RT.com qui accorde toute son importance à cette affaire, que la réaction de Musk vient après une amende de 120 €millions infligée à ‘tweeterX’ – sans doute pour “usage non autorisé de la liberté d’expression”. (Cet oxymore orwellien pour désigner une pénalité de cette vertueuse sorte enchantera, pensons-nous, le cœur des poétes-censeurs de la bureaucratie bruxellaire.)
« Vendredi, la Commission européenne a provoqué la colère du magnat de la technologie en infligeant à X une amende de 120 millions d'euros (environ 140 millions de dollars) pour « manquement à ses obligations de transparence » en vertu de la loi sur les services numériques de 2022, qui établit des normes en matière de responsabilité et de modération des contenus. La décision du bloc des 27 États membres a qualifié le système de coche bleue de la plateforme de « trompeur » et l'a accusée de manque de transparence en matière de publicité et de non-respect de l'obligation de fournir les données requises.
» En réaction, Musk a eu son propre moment de rupture, appelant à la dissolution de l'UE et au retour de la souveraineté nationale pour ses 450 millions de citoyens. Dans une série de messages virulents publiés ce week-end, Musk a affirmé que “la bureaucratie européenne étouffe lentement l'Europe”. “L'UE devrait être abolie et la souveraineté rendue aux pays, afin que les gouvernements puissent mieux représenter leurs citoyens”, a écrit Musk, qualifiant le bloc de “monstre bureaucratique”. »
... Fort logiquement, Musk a aussitôt enchaîné sur lui-même, selon une vieille habitude de trillionnaire, en faisant de l’UE le IVème Reich. Les temps s’y prêtent, à suivre au beau soleil de décembre la brigade ‘Azov’, avenue Stepan Bandera...
« Musk a repartagé un message indiquant “Le Quatrième Reich”, accompagné d'une image du drapeau de l'UE qui se décolle, laissant apparaître le drapeau de l'Allemagne nazie. “C'est à peu près ça”, a commenté Musk. »
Et aussitôt, surprise surprise, – mais non, après tout, pas tant que ça, – une des premières personnalités officielles à dire son accord à Moscou n’est autre que Dimitri Medvedev, le dur des durs des phalanges de combat du Kremlin :
« Les Américains continuent d'essayer de dompter l'animal déchaîné qu'est l'Union européenne. Bien sûr, il s'agit avant tout de rappeler à cette créature chancelante qui est le véritable maître du jeu. Même Elon Musk s'en est mêlé (en réaction à l'amende infligée à X) en souhaitant la disparition de l'UE. Pas si mal !
» Cela nous arrange plutôt bien. Mieux vaut affronter le pragmatisme de grande puissance de Trump que de subir la sénilité globaliste de Biden. »
L’UE, qui a du flair comme Orwell avait celui d’imaginer ‘1984’, sent bien que les USA de Trump sont en train de devenir un de ses ennemis les plus implacables. Si l’on suit le jugement de Douguine, c’est donc bien que l’UE est en train de perdre l’un de ses deux piliers, – paradoxe, justement celui qui intrigua et accoucha de sa dynastie, entre le Plan Marshall et la CIA nouvelle-venue, avec l’aide du boutiquier de génie du prestigieux cognac (Cognac, département de la Charente) que fut Jean Monnet.
« L’UE n’est que restes, résidus du réseau mondial Sorosien/Obamiste/Bideniste. Elle s’effondre rapidement en raison de la perte du siège central américain. Les neocon, malgré tous leurs efforts, ne peuvent pas remplacer cette perte. »
« L’UE est une colonie d’un réseau libéral mondial qui n’a rien à voir avec les intérêts souverains des Européens. Quand ce réseau était contrôlé par les États-Unis, l’UE était une double colonie — de l’Amérique (militaire) et des globalistes (idéologique et économique). »
Face à ces constats fort angoissants, l’on avancera que, comme l’on sait, ou dans tous les cas comme l’on devrait le savoir, l’emblème de l’Europe-UE confrontée à cette marée de mises en cause d’origine bien entendu suspecte, comme le MI6 les a identifiées, devrait être celui des Trois Singes de la Sagesse. Mis ensemble, ils ne voient rien, ils ne disent rien, ils n’entendent rien. Leur but commun est d’éviter toute collusion avec le “Mal”, c’est-à-dire avec la guerre et la corruption, comme Jean Monnet nous l’avait dit, n’est-ce pas, – et, plus récemment, toute collusion avec Donald Trump...
« Les trois Singes de la Sagesse (Sanzaru en japonais), symbolisant la maxime “Ne rien voir, ne rien entendre, ne rien dire” (le mal) pour atteindre la sagesse ou le bonheur, avec les noms japonais Mizaru (aveugle), Kikazaru (sourd) et Iwazaru (muet). Ces figures orientales, souvent sculptées, illustrent la prudence et l'évitement du mal, avec des origines confucéennes et bouddhistes, popularisées au Japon. »
Le vrai est que les USA de Donald Trump, – origine officielle, cette fois, – ne prennent pas, eux non plus, de gants de velours ou de doux cachemire pour attaquer l’Europe, et plus précisément l’Europe-UE. L’attaque contre le ‘X’ de Musk (l’amende de 120 €millions) est d’ailleurs officiellement qualifiée d’une attaque contre la liberté d’expression qui est protégée par le Premier Amendement de la Constitution de 1791, aujourd’hui baptisé “Amendement ‘1984’” par les connaisseurs.
Paradoxalement, cette “liberté d’expression”’ qui serait malmenée (quelle drôle d’idée) par l’Europe-UE a pourtant trouvé une éclatante application ces trois derniers jours, dans les réactions de deux des principales vedettes féminines et féministes de l’Europe-UE et de la victoire totale de l’Ukraine au document NSS-2025 de l’administration Trump (celui qui plaît notamment à Medvedev, et même au président Poutine lui-même). Il est assez intéressant de comparer ces réactions, somme toute, puisqu’il s’agit de deux cheffes des armées zélenkistes au cœur de la citadelle de l’UE, et qu’on s’attendrait à les voir côte-à-côte.
• Il s’agit d’abord de la réaction d’Ursula von Leyen à ce document NSS-2025, telle que rapportée par les amis d’‘euractiv.fr’. Le texte de Matthew Karnitschnig, qui entend nous donner toutes les précisions utiles, commence par le rappel d’un diction fameux dans les milieux de la “Liberté d’expression-2025” : « La parole est d’argent mais le silence est d’or ». Cela, c’est bien se conformer à la Sanzaru des Trois Singes, – et voici ce que cela donne :
« Lorsqu’il s’agit de Donald Trump, Ursula von der Leyen semble avoir fait de cette phrase une sorte de leitmotiv, comme elle l’a prouvé une nouvelle fois ce week-end. Face à une avalanche d’affirmations mensongères sur l’UE de la part du vice-président américain JD Vance et d’une galerie de personnages peu recommandables parmi les responsables de l’administration et les partisans du mouvement MAGA, Ursula von der Leyen s’est distinguée par son silence.
» Interrogé vendredi 5 décembre sur la dernière “ stratégie de sécurité nationale ” des États-Unis, qui dépeint l’Europe comme un continent confronté à “l’effacement de sa civilisation” et l’UE comme un “organisme transnational qui sape la liberté politique et la souveraineté”, le porte-parole en chef de la présidente de la Commission a répondu : “Nous ne sommes pas encore en mesure de commenter quoi que ce soit à ce sujet”.
» Ursula von der Leyen est cohérente. Depuis que Donald Trump a entamé son deuxième mandat il y a onze mois, la réponse de la présidente de la Commission aux railleries et provocations du président américain est toujours la même : sourire et supporter (en mettant fortement l’accent sur le sourire). »
• Il s’agit ensuite et pour finir de la réaction de Kaja Kallas, surnommée affectueusement “la-Kallas”, jeune mais déjà bien formée au bellicisme de bureau et à la manœuvre bureaucratique. Mise en selle par Ursula qui comptait en faire sa chose, elle a naturellement choisi la rébellion bureaucratique et joue la même partition ukrainienne, mais à son rythme. La Hyène fait dire qu’elle n’a rien à dire sur le NSS-2025 et qu’il est grand temps de “donner du temps au temps” et de ne rien dire tout en continuant à détester Trump ? De Doha, la-Kallas répond 5 sur 5, parvenant à trouver dans le NSS-2025 l’affirmation que USA et UE sont manifestement les plus grands alliés du monde ! Diable, c’est avoir le regard perçant :
« S'exprimant samedi au Forum de Doha au Qatar, Kallas a réagi à la nouvelle stratégie de sécurité nationale américaine. Ce document de 33 pages, publié vendredi par la Maison Blanche, avertit que l'Europe est confrontée à un “effacement civilisationnel” en raison de son orientation politique et culturelle actuelle.
» La stratégie critique également les gouvernements européens pour leur “manque de confiance en soi” et leurs “attentes irréalistes”. concernant le conflit en Ukraine.
» Kallas a reconnu le ton critique du document, mais a déclaré que certains points étaient pertinents. “Bien sûr, il y a beaucoup de critiques, mais je pense qu'une partie d'entre elles est fondée”, a déclaré Kallas. Elle a ajouté que malgré les désaccords, “nous sommes les plus grands alliés, et nous devons rester unis ”. »
Ces deux dames s’opposent donc dans la guerre stratégique bureaucratique (ou bureaucratico-stratégique). On les retrouve sur le même chemin de l’affrontement lorsqu’il s’agit de l’arme suprême de la corruption, qui pourrait être l’arme absolue encore tenue secrète du régime Zelenski.
Sur ce champ également, la-Kallas semble reprendre l’avantage sur Ursula qui avait réussi à la contenir dans un service minimum de son département SEAE (Service Européen pour l’Action Extérieure), aux dépens de certaines initiatives expansionnistes de la jeune et sémillante Estonienne. Dans l’article référencé, qui nous ramène au probable scandale d’une possible corruption (Mogherini, ancienne cheffe du SEAE et son ancien chef de cabinet Stefano Sannino), on lit effectivement qu’Ursula, sortie depuis peu du Pfizergate, n’est pas précisément à l’aise.
« D’ailleurs, et pas forcément par le fait du hasard, toujours le même jour, l'ancienne cheffe de la politique étrangère de l'UE, Federica Mogherini, et le chef de la direction générale de la Commission européenne pour le Moyen-Orient, Stefano Sannino, étaient perquisitionnés et arrêtés par le Parquet européen pour des soupçons de “fraude en marchés publics, corruption, conflits d’intérêt et violation du secret professionnel” sur fond de manipulations liées à des appels d’offres.
» Un classique de l’UE, qui rèsonne étrangement avec l’affaire des SMS de von der Leyen, des milliards d’euros de contrat Pfizer, et vient une nouvelle fois souligner toute une aura de pratiques douteuses autour d’elle et d’une institution où cela est historiquement monnaie courante. »
« Historiquement monnaie courante » ? Halte-là, comme dit la chanson, “les montagnards sont là”, et la-Kallas plus encore. Alexandre Regnaud, l’auteur de l’article, a la bonté de “nous laisser juge” : mais que faire d’un cas si éclatant de vertus répandues aux quatre vents, de vertus dispersées, martyrisées, – mais de vertus libérées ?
Est-il vrai, demanderions-nous aux Macron et autres Merz qui soutiennent Ursula comme une pince à linge soutient un gilet pare-balles, que cette sorte de pratique c’est « Un classique de l’UE » ? Si c’est le cas, alors Trump a raison et l’Europe nous offre un « effondrement civilisationnel ». Est-ce possible ?
Par bonheur de vertu et comme au bal des vertueuses, la-Kallas ne mange pas de ce pain-là, – et d’ailleurs c’est assez sûr puisque l’on voit son pays (« une banque estonienne ») placé stratégiquement comme courroie de transmission de l’argent expédié de Bruxelles vers Kiev pour poursuivre la Grande Guerre de Libération Nationale, avec étape contre la montre à Tallin, – et ainsi va-t-on vous expliquer pourquoi la-Kallas ne mange pas... etc....
« Le ‘Berliner Zeitung’ nous apprend en effet le 5 décembre que dans une lettre personnelle aux employés du SEAE, l'ancienne Première ministre estonienne tenait à souligner que les bases du scandale en cours avaient été posées “sous des mandats précédents”. Un empressement à se dédouaner qui n’est pas précisément ce que j’appellerais avoir la conscience tranquille…
» De là à y voir une des explications les plus rationnelles à cet entêtement sinon incompréhensible à vouloir saisir les avoirs russes pour poursuivre une guerre déjà clairement perdue... Une autre explication étant l’incompétence et la bêtise pure et simple… Je vous laisse juge. »
En effet, l’Europe-UE est autant un événement-bouffe qu’une occurrence tragique. Ce pourquoi on en fait l’archétype de la tragédie-bouffe, une sorte de cathédrale gothique flamboyante de la modernité et du système de la communication développé pour recycler toutes les vérités absolument insupportables en mensonges qui ont la légèreté d’une contines de George Orwell, d’une plume venue d’une colombe de la paix nous apportant la lumière du printemps.
Ainsi, dit-on à RT.com, parla l’expert :
« L’Union européenne utilise des outils juridiques pour faire pression sur les plateformes de réseaux sociaux et orienter le débat public sur des sujets politiquement sensibles, a déclaré à RT Alexandre Guerreiro, expert en droit international basé au Portugal.
» Ses propos interviennent après que l'UE a infligé la semaine dernière une amende de 120 millions d'euros (140 millions de dollars) à la plateforme X pour non-respect présumé des exigences de transparence prévues par la loi sur les services numériques (DSA) de 2022. Le propriétaire américain de la plateforme, Elon Musk, a réagi en dénonçant l'UE et en la comparant au « Quatrième Reich ».
» Selon M. Guerreiro, la DSA n'est qu'un élément d'un cadre réglementaire plus large qui confère à Bruxelles un pouvoir considérable sur la communication en ligne.
» “De nombreux bureaucrates tentent d'imposer des restrictions et des conditions à la créativité et à la liberté d'expression”, a-t-il déclaré.
» D'après l'expert, l'approche de l'UE s'apparente à une tentative d'obtenir “un monopole et un contrôle total“, non seulement sur les principales plateformes en ligne, mais aussi sur “les messages et les discours” qui y circulent. »
Il est vrai, nul ne s’y trompera, que la confiance publique et la conscience du public dans les vertus européennes sont si hautes que l’on accueillera avec un soupir de soulagement cette héroïque initiative de la bureaucratie bruxellaire, installée au cœur d’un pays dont le Premier ministre assure la présidente de la Commission, sa marraine devant l’Éternel, que l’hypothèse d’une défaite de la Russie en Ukraine est « illusion pure ».
Diable, attaquer de la sorte le Premier Amendement de la Constitution des États-Unis, dont la-Kallas nous dit que « nous sommes les plus grands alliés, et nous devons rester unis », n’est-ce pas prendre un risque de montrer un certain aspect de ce qui serait une sorte d’« effondrement civilisationnel » ? De toutes les façons, la-Kallas nous confie que ce n’est pas si faux, cette histoire d’“effondrement civilisationnel”. Comprenez-vous enfin ? C’est là, exactement à ce point semble-t-il, que George Orwell commença à en perdre, et son latin et sa novlangue.
C’est dire enfin, au terme de ce marathon sémantique qui n’est pas sans vertus multiples, qu’il est temps de se glisser dans la lecture d’un texte d’Alexander Douguine qui nous dit, trente-cinq après : « ‘1984’ d’Orwell, c’est maintenant vous, pas nous. » Il aurait tout de même pu nous avertir, nous qui n’avons rien vu venir sinon une perspective européenne absolument radieuse.
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• L’Europe sous la domination du réseau mondial libéral. • L’UE est une colonie d’un réseau libéral mondial qui n’a rien à voir avec les intérêts souverains européens.
L’UE n’est que restes, résidus du réseau mondial Sorosien/Obamiste/Bideniste. Elle s’effondre rapidement en raison de la perte du siège central américain. Les néocons, malgré tous leurs efforts, ne peuvent pas remplacer cette perte.
Dans l’équipe de Trump, les neocon (Lindsey Graham et bien d’autres) ont réussi à bloquer et à saboter la montée du vrai MAGA. Cela ne concerne pas seulement Netanyahu. C’est plus large. Mais… MAGA a réussi à confondre et à décimer les neocon, à les affaiblir, à les disperser.
Trump ne représente plus que la puissance militaire des États-Unis désormais. Mais les États-Unis gardent tout le contrôle sur l’UE. Idéologiquement, l’UE est encore sous double occupation. Et les élites libérales actuelles de l’UE sont les forces d’occupation qui œuvrent pour les intérêts de la secte mondialiste.
"L’UE n’est pas une colonie des États-Unis. Nous avons nos règles que nous définissons démocratiquement. Le chaos provoqué par Trump peut-être une opportunité pour l’UE. Elle doit prendre sa place et accepter d’établir un rapport de force pour s’affirmer comme puissance." Aurore Lalucq
Ce sont là des mots d'une incroyable stupidité. L’UE est une colonie d’un réseau libéral mondial qui n’a rien à voir avec les intérêts souverains des Européens. Quand ce réseau était contrôlé par les États-Unis, l’UE était une double colonie — de l’Amérique (militaire) et des mondialistes (idéologique et économique).
L’UE n’est souveraine en rien. C’est le laboratoire cynique pour des expériences post-humanistes. Les Européens sont les otages de leurs élites anti-européennes. Comme les Ukrainiens. Les Européens sont victimes de leurs propres dirigeants imposés par la secte mondialiste. Il n’y a plus de démocratie.
Si l’Europe choisit d’être, d’exister, ses peuples doivent immédiatement renverser les élites dirigeantes — brutalement et radicalement. Macron, Merz et Starmer incarnent la condamnation à mort de l’Europe. Plus ils vivent, plus tu meurs. Efface-les, ou tu seras effacé. Très bientôt.
Le monde est divisé en grands espaces avec différents contenus civilisationnels et ensembles de valeurs. L’Europe a perdu ses valeurs traditionnelles. C’est une civilisation en faillite. Peut-être pourra-t-elle se reconstruire et redevenir un grand espace indépendant. Peut-être pas. Il semble que non.
Si la démocratie est la participation réelle des peuples dans la définition de leur destin, la Russie de Poutine et la Chine de Xi sont deux exemples de la vraie démocratie. Réussie et prospère. Une telle démocratie est abolie en Occident, remplacée par la dictature des lobbies et l’oligarchie.
1984 d’Orwell, c’est maintenant vous, pas nous. Censure = culture de l’annulation. Vérité = mensonge constant des médias traditionnels. Humanité = amour des perversions et des robots. Surveillance totale, contrôle total, marché disciplinaire de désirs imposés et de demandes provoquées. La société du spectacle (dégoutant).