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Autres references Spacewar

Article lié : Rafale et Brésil: bruits d’arrière-bottes

Dedef

  16/09/2009

http://www.spacewar.com/reports/Rival_bidders_pull_out_all_stops_for_Brazil_fighter_jet_deal_999.html
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Craig Caffrey, an analyst for Jane’s, a highly respected defense information group based in London, said France’s offer “is seen as a huge advantage both economically and politically” by Brazil.

Boeing, in contrast, “have their hands tied by US export regulations and so cannot offer the same level of technology transfer.”

And while Saab could offer good industrial participation and technology, “some of the key components included in the Gripen NG such as the engine and AESA radar are not made by Saab or a Swedish company thereby making full technology transfer impossible.”

The Gripen’s engine is made by US company General Electric, and therefore subject to US export controls, while the advanced active-array, multi-targeting radar is made by Italian firm Selex.

Caffrey said France’s Rafale was “in my opinion probably the best platform” in the Brazilian contest “so the air force is highly unlikely to be against the selection of the aircraft.”

Although it was the most costly of the three jets, with an estimated price tag per unit of 56 million euros (82 million dollars), “if price is taken out of the equation, which the government appears to have done with this announcement, then the Rafale bid becomes stronger,” he said.
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http://www.spacewar.com/reports/US_offers_technology_to_win_Brazil_fighter_deal_officials_999.html
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The Rafale, which has stealth-like technology and cutting-edge cockpit interfaces and threat detection, was seen as Brazil’s favored choice, largely because France was offering full transfer of technology—the key demand in the tender.

Saab, too, has promised to share knowhow with Brazil—even though the Gripen’s engines were US-designed and therefore subject to US foreign military sales authorization.

It was unclear what technology the United States was prepared to share from the F/A-18, which was the oldest model aircraft on offer, having been flying since 1980.

One consideration, both for Brazil and for the United States, was likely to be how the F/A-18 might stack up against Venezuela’s air force should any future confrontation take place.

Venezuela recently purchased 24 Russian and Chinese-developed Su-30MK2s, a modern fighter considered to have superior performance over the US plane.
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http://www.spacewar.com/reports/UAE_F-16_pilots_spar_with_US_top_guns_999.html
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U.A.E. F-16 pilots spar with U.S. top guns

According to Jane’s Defense Weekly, the U.A.E. pilots and ground crews spent two weeks preparing for the exercises at the Arizona Air National Guard’s 162nd Fighter Wing at Tucson International Airport.
by Staff Writers

Abu Dhabi, United Arab Emirates (UPI) Sep 1, 2009
The elite F-16 pilots of the United Arab Emirates air force are honing their dog-fighting skills with the U.S. Air Force’s top guns in the skies above Nevada as the Arab states of the Gulf build up their military power to confront Iran.
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The main strike capability of Iran’s air force consists of an estimated 43 Soviet-era Sukhoi Su-25K Frogfoots and Su-24MK Fencer Ds as well as 24 French-built Mirage F-1Es.

Many of these are former Iraqi air force jets that were flown to Iran during the 1991 Desert Storm war to prevent their destruction by U.S.-led forces liberating Kuwait. Tehran has refused to return them to Iraq.

Iran also has 25 aging MiG-29A and MiG-29UB Fulcrums, also formerly owned by Iraqi air force, that comprise its main fighter interceptor force.

It still deploys 25 U.S.-built F-14 Tomcats that were acquired during the reign of the shah in the 1970s.

But these are no longer considered to be a match for the cutting-edge F-16E/Fs and French Dassault Aviation Mirage 2000 combat aircraft flown by the U.A.E. air force.

The U.A.E. is also considering the acquisition of a new aerial strike force of as many as 80 Dassault Rafale multirole combat jets that will give it an even greater punch than it has now.

l'article des echos

Article lié : Rafale et Brésil: bruits d’arrière-bottes

Dedef

  16/09/2009

l’article des echos est ici:
http://www.geostrategique.net/viewtopic.php?t=6357&postdays=0&postorder=asc&start=105&sid=e8a16e5cf9af5cb25d6ae00e601c16c2

——————extraits:————————————
Jusqu’au début de l’été, le match à trois se résume pourtant à un duel franco-suédois. A partir de mi-juillet, changement d’ambiance : Boeing et l’administration Obama déroulent le rouleau compresseur. Depuis son lieu de vacances, le président américain appelle Lula pour lui indiquer que les Etats-Unis iront loin en matière de transfert de technologies, et qu’il se porte garant du Congrès, dont l’accord est indispensable. « Je vous le confirmerai plus tard », ajoute-t-il. De son côté, l’avionneur américain et ses relais commencent à distiller des informations négatives sur le Rafale, obligeant Paris à des mises au point par différents canaux.
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L’essentiel se joue en coulisses

Washington et Boeing tentent alors d’ébranler l’édifice. Un haut responsable brésilien présente des éléments nettement défavorables au Rafale au président Lula et à son ministre de la Défense. L’heure de vol ressortirait à 21.000 dollars, près de 3 fois plus cher que celle du F-18, pourtant plus lourd. Le Brésil n’obtiendrait pas l’exclusivité d’exportation en Amérique du Sud. Pire, il faudrait débourser 70 % du contrat avant de toucher le premier appareil. « Nous ne pensions pas que cela irait aussi loin dans la désinformation », explique un des négociateurs. La ficelle est un peu grosse, mais elle porte. Et puis, comme il s’y était engagé, Obama appelle Lula pour lui confirmer que le Congrès est dans la poche.
——————————————etc..————————-

Sur le sujet, à lire:

Article lié : Les “trois singes de la sagesse” devenue folle

Dedef

  16/09/2009

Quelles seraient les prochaines étapes de la crise financière ?

Article lié : Les “trois singes de la sagesse” devenue folle

Francis Lambert

  16/09/2009

“la crise monétaire et financière actuelle n’en est qu’à ses débuts et sera d’une exceptionnelle gravité. (...)

Avant tout, il est essentiel de comprendre à quel point, dans notre monde financier totalement globalisé, une banque centrale à elle seule ne peut plus rien faire pour soutenir sa monnaie où l’économie de son pays. (...)

Tentons d’imaginer un scénario :
a priori on peut s’attendre à voir des critiques de plus en plus nourries à l’encontre de la Fed, « incapable de gérer cette crise ». Les opinions publiques, les grands fonds de pension et les fonds souverains de plus en plus inquiets vont exiger que les autorités financières « fassent quelque chose » pour freiner la chute du dollar et la flambée des matières premières.

On va assister à une dévaluation du dollar et des interventions de plus en plus musclées des banques centrales pour « contrôler » les taux de changes. Inévitablement cela entraînera de fortes variations dans les taux d’intérêts (car il est mécaniquement impossible d’agir à la fois sur les taux de changes et sur les taux d’intérêts).

Le FMI apparaîtra comme le seul à « avoir vu juste depuis le début». Le mécanisme de stabilisation par les DTS sera mis en place. De manière discrète dans un premier temps. Seule la presse spécialisée en parlera.

Le FMI proposera ensuite que les matières premières soient cotées en DTS. Ce n’est que par après que le grand public reconnaissant découvrira ces DTS.

En parallèle l’or jouera son rôle de valeur de refuge et l’instauration de cartes de paiement liées à l’or deviendra de plus en plus populaire.

Bien plus tard le FMI endossera son nouveau rôle de banque centrale mondiale gérant une monnaie mondiale, les DTS rebaptisés bancor. Paiera-t-on alors son pain en bancor ?”

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Prémisses et conclusion d’un article long, didactique et intéressant concernant “les pièces du puzzle” et “comment ces pièces pourraient s’emboiter dans une même logique historique”.

Extraits de “Août - Septembre 2008”  par Pascal Roussel, analyste en produits dérivés au sein du Département des Risques Financiers de la Banque Européenne d’Investissement (BEI)

http://www.leseditionsromaines.com/?pg=economy&arch=32

la lettre du leap

Article lié : Les “trois singes de la sagesse” devenue folle

jean pierre SIMON

  15/09/2009

presstitutes

Article lié : Mission accomplie: c’est encore pire qu’il y a un an

nol

  15/09/2009

Et pendant que la presse mainstream joue les cheerleaders d’un système pourri, histoire de ramasser pendant qu’il en est encore temps les derniers euros des derniers annonceurs, l’économie se bloque de plus en plus pour qui la vit au quotidien et en première ligne.
L’année 2010 va être saignante.

BAE Systems licencie.....

Article lié : L’industrie de l’armement britannique en désordre de retraite

CMLFdA

  15/09/2009

BAE to axe 1,100 jobs and close site

Union says ‘bitterly disappointing’ for workers and local communities, especially in Cheshire where site will close down

Defence company BAE Systems is to axe 1,100 jobs and close one of its sites, unions said today.
The Confederation of Shipbuilding and Engineering Unions (CSEU) said the news was “bitterly disappointing” for workers and local communities.
The cuts will affect a number of sites, including Woodford in Cheshire, which will close, said the union.
The CSEU’s general secretary, Hugh Scullion, said: “This is bitterly disappointing news for the staff and for the local communities which rely on these jobs.
“This is particularly true in the case of the proposed closure of Woodford. The CSEU will work constructively with the company to keep redundancies to a minimum and ensure no compulsory redundancies.
“The CSEU believes there is still an opportunity to extend production at the Woodford site.”
BAE later announced that, following a detailed review of its current and future business levels, it had started consultation on the potential closure of Woodford and cuts at another three sites, with the loss of 1,116 jobs.
The firm is planning to close the Woodford site at the end of 2012, on completion of the Nimrod MRA4 production contract, with the loss of 630 jobs.
A further 205 jobs will be lost at Samlesbury in Lancashire, 170 jobs at Warton in Lancashire and 111 jobs at Farnborough in Hampshire.
The company said in a statement: “It has been clear since 2003 that the Woodford site had little future beyond the end of Nimrod MRA4 production, and the workforce has been kept informed since that time.
“Despite strenuous efforts to achieve further Nimrod production work, there has been none forthcoming. It is intended that there will be a phased run-down of the site in line with the production programme.
“At Samlesbury, the potential job losses are in the manufacturing function and are associated with the end of Airbus work currently undertaken by BAE Systems for Spirit AeroSystems.
“At Warton, the potential job losses are in the manufacturing and operations areas as work on the Nimrod, Tornado and Hawk programmes decreases.
“At Farnborough the potential job losses are in the Harrier business. The job losses are as a result of a downturn in Harrier upgrade work over the next few years.”
Kevin Taylor, managing director of BAE’s Military Air Solutions arm, said: “Whilst we regret having to make this announcement, we have to ensure we are the right size and shape to remain competitive and meet our customer’s requirements in the future.
“We will work with our employees and their representatives to explore ways of mitigating these potential job losses and we will do everything necessary to deal with the potential job losses and closure of Woodford in a professional way and support our people throughout this process.”

2013 après moi le déluge

Article lié : Le “vieux couple” et l’enfant terrible

nol

  15/09/2009

@ Exocet
J’ai rien compris à votre poste. Le commentaire géopolitique comme un des beaux-arts ?

2013 le retrait, d’ici là pas mal d’eau aura coulé sous les ponts.
Je persiste à penser, en bon néo-complotiste paranoïaque cynique et anté-moderne, que les allemands, tout comme les français, les alliés, et bien sûr les US, savent très bien ce qu’ils font en Afghanistan et pourquoi ils y sont.

GEAB N°37 : Crise systémique globale : A la poursuite de l'impossible reprise

Article lié : Mission accomplie: c’est encore pire qu’il y a un an

Francis Lambert

  15/09/2009

Nous nous dirigeons donc tout droit vers la phase de dislocation géopolitique prévue pour commencer au quatrième trimestre 2009 (11).

Ce GEAB N°37 analyse les tendances en cours (inflation ou déflation, marchés immobiliers, banques, géopolitique, ...) au sein du chaos actuel créé par l’avalanche de fonds publics non maîtrisés et la persistance d’un système financier incontrôlé, sur fond d’incohérences statistiques croissantes. Paradoxalement, cette dislocation est devenue, selon nos chercheurs, la seule voie praticable pour une reprise économique, mais qui se fera selon une architecture globale et des modalités d’interaction entre les sphères économiques, sociales et financières profondément différentes de celles que nous avons connues au cours des dernières décennies.

Notre équipe estime en la matière que d’ici l’été 2010 apparaitront clairement les premières caractéristiques du « monde d’après la crise ». Nous allons d’ailleurs nous attacher à les identifier dans les mois à venir.

http://www.leap2020.eu/GEAB-N-37-est-disponible!-Crise-systemique-globale-A-la-poursuite-de-l-impossible-reprise_a3791.html

Article lié : Mission accomplie: c’est encore pire qu’il y a un an

Dedef

  15/09/2009

La grande machine à bulles américaine
Matt Taibbi Rolling Stone – juillet 2009 Traduit de l’anglais par J.L.

http://www.alterinfo.net/les-charognes_a36600.html?com#com_965430
————————extraits———————-

Et voici le coup de grâce. Après avoir joué un rôle central dans quatre bulles catastrophiques, après avoir contribué à faire disparaître du NASDAQ 5.000 milliards de dollars de richesse, après avoir refilé des milliers de prêts immobiliers toxiques à des retraités et des municipalités, après avoir contribué à pousser le prix de l’essence jusqu’à 4 $ le gallon et provoqué la faim de 100 millions de personnes dans le monde, après avoir mis la main sur des dizaines de milliards de dollars des contribuables à travers une série de renflouages gérés par son ancien PDG, combien Goldman Sachs rendit au peuple des États-Unis en 2008 ? 
Quatorze millions de dollars.   
C’est ce que la firme a payé en 2008, un taux effectif d’imposition d’exactement un, vous lisez bien, un pourcent. La banque a payé 10 milliards de dollars en primes et bonus la même année et a fait un bénéfice de plus de 2 milliards de dollars – pourtant, elle a payé au Trésor moins d’un tiers de ce qu’elle a casqué à son PDG Lloyd Blankfein, qui a reçu 42,9 millions de dollars l’année dernière.
Comment est-ce possible ? Selon le rapport annuel de Goldman, le faible niveau d’impôts est dû en grande partie à des changements dans la « répartition géographique des profits ». En d’autres mots, la banque a déplacé son argent de manière à ce que ses profits soient situés dans des pays étrangers ayant de faibles taux d’imposition. Parce que notre système d’imposition des grandes sociétés est complètement foutu, des sociétés comme Goldman peuvent expédier leurs revenus dans des paradis fiscaux et reporter indéfiniment les impôts sur ces revenus, même si elles réclament par avance des déductions sur ces mêmes revenus non imposés. C’est pourquoi n’importe quelle grande société avec un expert-comptable qui soit à jeun au moins de temps en temps, peut, en général, trouver une façon de réduire à zéro ses impôts. En fait, un rapport du bureau de Comptabilité du gouvernement[49] a trouvé qu’entre 1998 et 2005, environ deux tiers de toutes les grandes sociétés opérant aux États-Unis n’y ont payé aucun impôt.
 
C’est un scandale qui justifierait une levée de fourches – mais je ne sais comment, quand Goldman publia son imposition d’après le renflouage, c’est à peine si quelqu’un le commenta. Un des peu nombreux qui remarquèrent le scandale fut le représentant Llyod Doggett, un Démocrate du Texas qui siégea au comité des moyens et solutions[50] de la Chambre. « Tandis que la main droite mendie l’argent du renflouage », dit-il, « la gauche le cache dans des paradis fiscaux ».

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Et tout l’article est du mème bois.

Quand Karzaï fera le Mur,les moudjahiddines auront des motos

Article lié : Le “vieux couple” et l’enfant terrible

Exocet

  15/09/2009

Vous semblez pédaler dans la choucroute de la subordination typiquement germanique… Merkel n’est pas sotte à ce point , elle qui à vécut de l’autre côté du Mur n’est pas sans savoir que les mouvements pacifistes en Allemagne principalement, ceux émergés du conflit asiatique furent les parfaits idiots utiles de la Pax Américana. Pour que l’opération pysychologique de retrait puisses marcher au prés de l’opinion publique Allemande , il faudrait que Karzaï la marionette qui dit non, non,non en se rasant le matin ..  avant   qu’il ne   puisses avoir   le contrôle effectif   des notions abstraites de ses protecteurs.., et avoir accés aux medias occidentaux déjà rodés aux psyop’s les plus tordus afin de gagner le “coeur et les esprits ” du grand moudjahiddine qui sommeile en chacun de nous ...par exfiltration de la doxa américaniste ,déclencheuse d’émotions parfaitement pluralistes .Mais attention aux usurpations d’identités et autres choucroutes aux volontés confondues…

SUR LES « DEMOCRATES EUROPEENS ».

Article lié : L’Europe plébiscite BHO-Gorbatchev, pas Obama 44ème POTUS

GEO

  15/09/2009

La popularité d’Obama en Europe me paraît surtout un comportement d’américains imaginaires de la part des européens. Se vouloir plus démocrate, au sens partisan, que les américains, ce n’est pas forcément soutenir Gorbama.

Pas plus que rêver sur les gangsters américains n’est pour un jeune français manifester des tendances anti-système.

Ce peut être aussi bien envier aux USA jusqu’à leur violence interne et leur bipartisme.(Voir l’excitation comique à gauche sur le thème des « primaires ».)

Il me semble que l’américanisation des esprits n’a jamais cessé de s’intensifier depuis 2000 à peu près.(c’est un compte rond et c’est avant 2001.)

L’Amérique nous fournit à présent nos structures d’opposition en kit, et le public adore. Il peut être, en Europe, le vrai parti du président. (Quelle fête!)

je ne comprend pas

Article lié : Contractions prémonitoires du système en cours de désintégration

Sputnik Diesel

  14/09/2009

Pardonnez moi, je ne comprends pas bien. Les mechanismes qui font la relation entre l empire et le reste du monde sont d ordres psychologiques ou psychopolitiques? La puissance americaines passerait donc par la perception que ceux -ci ont d eux memes? Quand le moral va, l empire va?  L empire s’ effondrerait-il parce que les neocons, ces clowns, sont resté scotchés sur une vison uniquement geopolitique du monde?

L importance de l intoxication mediatique des peuples du monde n est plus a demontrer,  le peuple nord americain y compris.

L effondrement de l’ empire est donc ineluctable si les nord americains ne croient plus aux mensonges de leur classe dirigeante. mmmh Est ce que ce peuple est pret a rennoncer a un mode de vie qui implique une surconsomation des richesses naturelles de la planete et donc a une domination militaire des peuples du mondes? car finalement ce ne sont pas les fils de cette classe dirigeante qui etrippent et bombardent alegrement au nom de leur liberté et de la civilisation. 

Est ce que les talibans, les irakiens, et avant eux les vietnamiens ont vaincu l armee US parce que celle ci est fatiguee, n as pas le moral ou a montrer ses limites? ou alors parce que toute invasion militaire imperialiste est condamnee a l enlisement. Les peuples apprenent a se defendre.

La Puissance des USA, dépend elle vraiment de la vision que les européens et les peuples du monde peuvent avoir d elle , d Obama, ou est ce que c est l inverse? car si le gouvernement US se recontruit une sante( economique)  en se recentrant par exemple sur sa “chasse gardée ” et en y concentrant toute sa puissance, cet empire pourrait bien inspirer la meme soumission aux europeens a nouveua et redonner la fierte du peuple elu au nord-americains.

J avoue que je ne comprend pas, si quelqu un peut m expliquer, please…

Perception

Article lié : Contractions prémonitoires du système en cours de désintégration

Stephane Eybert

  14/09/2009

La puissance des USA depend de sa credibilite comme super puissance bienveillante, qui a son tour depend de la perception qu’en ont les amis des USA.

Or, il est tres peu probable que les chanceleries du monde ignorent quoi que ce soit du coup d’etat du 11 Septembre 2001 et du desordre resultant au sein de l’appareil americaniste.

Plus que la faillite economique ou l’echec des campagnes militaires, le viol de la marionette American Dream par son marionetiste est peut-etre la vrai deception de ce public si fidele.

L’histoire un jour parlera peut-etre des annees d’illusion devant notre aveuglement pour cet American Dream.

Comment le dire

Article lié : Zbig, l’“ami critique”, très critique…

Francis Lambert

  14/09/2009