Jean-Paul Baquiast
06/07/2011
Je me suis permis de re-publier cet article sur le site Automates Intelligents, car il impacte directement le lectorat de ce site. Merci à Philppe Grasset
http://www.admiroutes.asso.fr/larevue/2011/119/revoltehansen.htm
Jack v.
06/07/2011
Ces scientifiques fourbes s’inquiètent plutôt pour la manne, on l’espère bientôt tarie, des subventions destinées à leur donner les moyens de justifier la fameuse taxe carbone qui aurait renfloué les finances du système au détriment des plus pauvres.
Qu’ils brûlent en Enfer !
Geraldo Lino
06/07/2011
Dear Sirs:
This website is one of the best references for my work of analysis of the global strategic scenario and is obviously part of my daily readings. However, in what concerns the climate issues I dare to say that your general trend favoring alarmists like James Hansen and his ilk is completely off the mark.
The so-called Anthropogenic Global Warming (AGW for short) has long become a political issue in the worst sense of the word and an economic and financial one, also in the worst sense. The business of carbon trading has the same economic consistency of selling bottled rainwater.
And as to the scientific basis ot the AGW hypothesis, I leave to you the same challenge I and other of its critics have been presenting since this hysteria began to gain steam some time ago: to come up with one single hard evidence proving that the temperature and sea level changing rates observed during the industrial period (the last two and a half centuries) are in any way abnormal as compared to the previous ones that occurred during the whole Holocene epoch in which our civilization has been existing (the last 12,000 years). For hard evidence I mean one observed in the real world, not mathematic concoctions from the supercomputer-driven climatic models.
So, I modestly suggest that you start to pay attention to this other side of the climatic coin.
Subotai
07/07/2011
To answer your suggestion…
I suggest you pay attention to the amazing events witch enjoying the life of the american citizens, like weird sand storm on Phoenix-Arizona…
Geraldo Lino
07/07/2011
Dear Subotai:
What do the sandstorms in the US have to do with what I said? Such phenomena are anything but new, remember the so-called Dust Bowl in the 1930s.
In any case, let me ask again: Where’s the evidence in the real world that the temperature and sea level changing rates of the last centuries are abnormal as compared to the previous ones? When this question is adequately answered it will be possible to start discussing seriously about the human influence on the climate on a global scale.
Jack v.
08/07/2011
Quelques fichiers qui mettent à mal une esbroufe climatique qui est surtout destinée à alourdir les taxes.
http://lemytheclimatique.files.wordpress.com/2010/01/manuel.pdf
http://lemytheclimatique.files.wordpress.com/2010/01/manuel-du-sceptique-ii-v4.pdf
Voir le site suivant pour se faire une opinion qui ne soit pas une réponse affective au battage des média.
José DE CARVALHO
08/07/2011
Bonjour,
Votre article sur la révolte des scientifique passe complètement à coté de la plaque et votre analyse de la situation complètement faussée en découle. Voyons cela:
vous partez de deux présupposé :
- la communauté scientifique est d’accord à 98% sur le réchauffement climatique. ceci est complètement faux, et votre éloignement par rapport à ce sujet, que je me suis donné la peine de creusé vous fait tomber dans le “panneau” médiatique. je vous conseille de rectifier à la lecture du site suivant : http://www.pensee-unique.fr
- vous prenez comme une évidence en plus la responsabilité de l’homme dans ce réchauffement, or il n’est pas démontré, et les faits prouvent plutot l’enfumage du GIEC en ce sens, qu’il y ai réchauffement climatique (rappeler le froid aux US cet hiver et actuellement au chili et argentine). d’ailleurs, vous aurez noté le glissement sémantique du mot “réchauffement” au mot “changement” climatique ! Ce qui en dit long ne trouvez-vous pas ? car changement du climat il y a eu, il y a et il y aura, homme ou pas homme dans l’affaire.
Partant de ces faits, vous faites passer les “climato-sceptiques” pour des ignares ou bien des irresponsables, cela sur les hypothèses précédentes et en étant un peu trop influencé par la destructuration du Système en cours, dont vous êtes de fins observateurs ! Mais le climat n’est pas le Système, et les éléments n’ont pas les propriétés psychologiques plus ou moins aberrantes des hommes, le climat répond à des lois, avec des causes et des effets. Par ailleurs, la Terre a déjà eu des taux de CO2 bien plus important qu’aujourd’hui, sans remonter à des millions d’années, sans subir d’apocalypse climatique !
Aussi je vous appelle à reconsidérer la “révolte” de ces scientifiques comme une manifestation dee la frustration de ces scientifiques qui n’ont pu imposer leur vision idéologique plus que scientifique; pour vous en convaincre je vous renvois à tous les scandales qui ont entachés le GIEC, ainsi qu’à sa structure de fonctionnement qui n’a rien de scientifique.
voilà c’est dit, j’espère avoir fait oeuvre utile.
José De Carvalho
Ilker de Paris
09/07/2011
Quels avantages économiques y aurait-il a imposer des contraintes aux échanges économiques ? Au contraire, les contraintes sont des frais supplémentaires, donc moins de bénéfices. Quant aux taxes carbones, elles ne pourront pas être élevées car ça jouerait sur la croissance en diminuant le pouvoir d’achat déjà fragile.
lutgen pierre
10/07/2011
Comme le dit Geraldo Lino le site dedefensa est pour moi également un site de référence que je ne manque de consulter 2-3 fois par semaine.
Comme lui et comme Jose de Carvalho ou Jack je suis outré par votre parti pris pour le dogme religieux du changement climatiquee et vos positions irrationnelles contre le nucléaire.
Dans chacun des deux cas ce sont des lobbys qui vont de la recherche académique aux fabriquants de moulins à vent qui nous leurrent. Je me réjouis de trouver des réseaux d’amis scientifiques (p.ex. http://meteo.lcd.lu ou http://www.mitosyfraudes.org) dans le monde qui défendent un point contraire au vôtre sur ces questions qui partagent l’avis de Jack, José ou Lino.
Ce qui m’écoeure c’est que chaque fois ces “scientifiques” qu’ils soient de l’UCL ou de la NASA essaient de nous convaincre avec des larmoiements sur le sort de nos petits enfants.
Une fuite dans l’avenir qui ignore le présent et qui ferme les yeux sur les 30 000 (trente mille) enfants qui meurent tous les jours de diarrhée ou de malaria.
Ici au Grand-Duché nous développons des techniques économiques et écologiques contre ces fléaux. Vous pouvez nous aider
Pierre Lutgen
Arrou Mia
11/07/2011
financé par le pétrolier Exxon
Ceci permettant de douter de cela.
Quelle science est-elle si pure d’intention idéologique?
Surtout quand c’en n’est pas une, de science.
Certes, deux événements simultanés ne sont pas à lier par une relation de causalité.
Et il ne s’agit pas d’escamoter la fausseté de certains raisonnements par récurrence.
Et que l’on n’oppose pas seulement un argument d’autorité ou d’anti-autorité comme élément de démonstration.
Ilker de Paris
17/07/2011
Une analyse intéressante, d’un certain Pierre Mellet, sur les journaux télévisés, et en particulier le 20h, en France (qu’on pourrait, peut-être, étendre a d’autres pays), qui déconstruit avec pertinence les mecanismes de fabrication de ces journaux et dénonce l’escroquerie intellectuelle qu’ils représentent. Une citation de Guy, que reprend l’analyse, est remarquable :
“Le journal télévisé fait partie de ce « service public », dont parle Guy Debord dans les Commentaires sur la société du spectacle, « qui [gère] avec un impartial “professionnalisme” la nouvelle richesse de la communication de tous par mass media, communication enfin parvenue à la pureté unilatérale, où se fait paisiblement admirer la décision déjà prise. Ce qui est communiqué, ce sont des ordres ; et, fort harmonieusement, ceux qui les ont donnés sont également ceux qui diront ce quils en pensent »”
http://www.voltairenet.org/Comment-la-structure-rituelle-du
Il est de plus en plus temps de déconstruire, en effet, la propagande de ces journaux dont la structure est inconsciemment acceptée mais qui sont loin donc d’être neutre.
Ilker de Paris
17/07/2011
L’économiste Paul Krugman affirme que le GOP est devenu fou, encore faudrait-il ajouter que la “normalité” de notre monde a quelque visage pas très sain non plus :
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Il n’y a guère d’aspects positifs à la menace imminente d’un défaut de paiement des États-Unis. Mais il y a, je dois l’avouer, matière à rire dans le genre humour noir devant le spectacle de tant de gens jusque-là dans le déni et qui se réveillent soudain à la vue du délire.
Un certain nombre de commentateurs semblent choqués par la déraison des républicains. “Le GOP (Grand Old Party, surnom du parti républicain) est-il devenu fou ?” demandent-ils.
Ma foi, oui. Mais ce n’est pas là quelque chose de nouveau, c’est l’aboutissement d’un processus qui dure depuis des décennies. Quiconque est surpris par l’extrémisme et l’irresponsabilité à l’uvre aujourd’hui n’a soit pas fait attention, soit a délibérément fermé les yeux.
Et si je peux me permettre de dire quelque chose à ceux qui se rongent soudain les sangs à propos de la santé mentale d’un de nos deux grands partis politiques : les gens comme vous ont leur part de responsabilité dans l’état actuel de ce parti.
Parlons un instant de ce que les dirigeants républicains rejettent.
Le président Barack Obama a clairement fait savoir qu’il est disposé à signer un accord sur la réduction des déficits qui consiste essentiellement en des réductions de dépenses, et inclut des coupes drastiques dans des programmes sociaux clés, y compris un relèvement de l’âge d’éligibilité à Medicare. Ce sont là des concessions extraordinaires. Comme Nate Silver du New York Times le souligne, le président a proposé des accords qui sont bien plus à droite de ce que préfère l’électeur américain moyen en fait, ils sont même un peu à droite de ce que préfère l’électeur républicain !
Pourtant les républicains disent non. En effet, ils menacent de provoquer un défaut de paiement des États-Unis, et de créer une crise économique, s’ils n’obtiennent pas un accord complètement unilatéral. Et ceci était tout à fait prévisible.
D’abord, le GOP moderne refuse radicalement d’accepter la légitimité d’une présidence démocrate quelle qu’elle soit. On l’a vu avec le président Bill Clinton, et on l’a vu de nouveau dès qu’Obama a pris ses fonctions.
Par conséquent, les républicains sont automatiquement contre tout ce que veut le président, même s’ils ont soutenu des propositions similaires par le passé. Le plan santé de Mitt Romney est devenu une attaque tyrannique contre la liberté américaine à partir du moment où il fut mis en place par ce gars à la Maison Blanche. Et la même logique vaut pour les propositions d’accords sur la dette.
Disons-le autrement : si un président républicain avait réussi à arracher le genre de concessions sur Medicare et la Sécurité sociale que propose Obama, cela aurait été considéré comme un triomphe des conservateurs. Mais quand ces concessions s’accompagnent d’une augmentation minime des recettes, et plus important encore, quand elles viennent d’un président démocrate, les propositions deviennent des plans inacceptables destinés à tuer l’économie américaine par les impôts.
De plus, l’économie vaudou a pris le pouvoir au GOP.
L’économie vaudou qui affirme que les réductions d’impôts s’auto-financent et/ou que toute augmentation d’impôts conduirait à un effondrement économique constitue une force puissante au sein du GOP depuis que Ronald Reagan a adopté le concept de la courbe de Laffer. Mais cette économie vaudou était jusque-là maîtrisée. Reagan lui-même avait fait voter des augmentations d’impôts significatives, compensant considérablement ses réductions initiales. Et même l’administration de l’ancien président George W. Bush évitait les déclarations trop dithyrambiques sur la magie des réductions d’impôts, de peur que de telles déclarations ne mettent en doute le sérieux de l’administration.
Or, récemment, toute retenue a disparu elle a en effet été chassée du Parti. L’année dernière, Mitch McConnell, le leader de l’opposition au Sénat, affirmait que les réductions d’impôts de Bush avaient en fait augmenté les recettes une affirmation qui va complètement à l’encontre des faits et déclarait également qu’il s’agissait là de “l’opinion de quasiment tous les républicains sur ce sujet”. Et c’est vrai : même Romney, considéré par beaucoup comme le meilleur prétendant à l’investiture présidentielle de 2012, a adopté l’idée que les réductions d’impôts peuvent vraiment réduire le déficit.
Ce qui m’amène à la responsabilité de ceux qui ne mesurent que maintenant la folie du GOP.
Voici le problème : ceux, au sein du GOP, qui avaient des scrupules à embrasser le fanatisme de la réduction d’impôts auraient pu s’opposer plus fermement s’il y avait eu un signe quelconque qu’un tel fanatisme avait un prix, si des personnes extérieures avaient été disposées à condamner ceux qui prônaient des choses irresponsables.
Mais il n’y eut aucun prix à payer. Bush a dilapidé l’excédent des dernières années Clinton.
Pourtant d’éminents experts prétendent que les deux partis sont autant à blâmer pour nos problèmes de dette. Le député Paul Ryan, président de la Commission budgétaire à la Chambre, proposa un soi-disant plan de réduction du déficit qui comprenait d’énormes réductions d’impôts pour les entreprises et les riches, et fut ensuite récompensé pour sa responsabilité fiscale.
Il n’y a donc eu aucune pression sur le GOP pour faire preuve d’un minimum de responsabilité, ou ne serait-ce que de rationalité et évidemment, on touche le fond. Si vous êtes surpris, c’est que vous avez fait partie du problème.
http://www.rtbf.be/info/chroniques/chronique_au-bord-de-la-folie?id=6458553&chroniqueurId=5032403
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