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Article : Notes sur la paralysie-blocage des crises

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Un Homme Téméraire

perceval78

  26/03/2015

Ihor Kolomoïsky est le maître de l’Oblast de Dniepropetrovsk
c’est un de ses collègues qui dirige l’Oblast d’Odessa, quand on regarde la carte, on se dit que l’opération pourrait s’avérer dangereuse pour certains lien.

Il y a TERMITE et THERMITE !

eric basillais

  26/03/2015

Effectivement, les situations de crise décrites ressemblent à une guerre de tranchées façon 14/18…

C’est l’aspect métahistorique qui reste confondant…pourquoi sinon pour, comme on dit, “s’enfoncer (debout) dans le chaos” (version désordre).

Concernant les “termites”, beaucoup sont peu visibles parce que c’est dans leurs fonctions d’être “secrets”...donc très grosse agitation planétaire de termites qui explique peut-être les “tirages de bords” diplomatiques de surface de nos chers “élus” (Merkel, Hollande, Obama…)...combien de chantages traitent-ils par jour ?

Puis il y la THERMITE, la version explosive des précédents. J’admets sans réserve qu’elle soit la conséquence du blocage (-termite) plus souvent que sa cause.

Mais une autre question me préoccupe, plus psychologique : la question des false flags (dont la thermite et certains termites ont le secret) comme opération de guerre “classique” mais surtout de “manipulation socio-culturelle” de masse via la guerre de la communication:

Par exemple, le crash A320 en France et ses suites médiatiques pointent vers “l’ennemi intérieur”, tout en créant une situation de pseudo-solidarité affective en Europe; du coup la “collecte des données personnelles” sur TOUS les passagers en EUROPE est annoncée en fanfare (depuis Snowden, je croyais que c’était déjà fait mais c’est annoncé). Une explosion (ici un Airbus) modifie bien des choses dans une France / Europe/  Planète en apparence paralysée dans les crises.

Bref, le climat psychologique MONDIAL correspondant à cette paralysie-approfondissement-extension des crises me semble être, du point de vue strictement humain, un aspect de dressage collectif voire collectiviste à un “environnement sécuritaire” qui semble ainsi assurer un semblant de “croissance”, sinon le seul.

Seule la connaissance économique de ce “secteur” pourrait valider ou non cette hypothèse.

Dans l’affirmative, Brave new war pourrait ne pas être anti Brave new world que cela Si, et seulement SI, sa gestion devenait rentable autant que stratégique.

Juppé et le n'importe quoi

Damien Moreau

  26/03/2015

Lors de la soirée électorale des élections européennes 2014, on a pu voir M. Juppé défendre l’idée que si le FN arrivait en tête c’était en raison du trop peu d’Europe.

Adhésion à la narrative oblige, d’autres mots n’auraient pas pu franchir le seuil de ses lèvres. C’est cependant parfaitement paradoxal et idiot, quelle honte pour “le plus intelligent d’entre nous”.

Le rejet de l’UE via le vote FN équivaut à la frustration d’un désir trop grand. Dans le genre discours tordu de psychanalyse nous voila servis.

C’est à de petits évènements tels que celui-ci qu’on peut observer de manière factuelle que nos dirigeants pratiquent la double-pensée telle que définie par Orwell, non pas comme outil de manipulation des foules mais parce qu’ils sont eux-mêmes contaminés.

Et cela explique comment certains de nos dirigeants ressemblent à des échappés de l’asile, parfaitement hystériques, suant à grosses gouttes, tremblant comme des feuilles, débitant leur discours creux comme des robots. Ou bien dois-je dire “martelant leur discours vide” comme tout “journaliste” qui se respecte ? Quand on martèle du vide, on tombe ; c’est donc certainement judicieux.

Aussi trouve-t-on ici un Juppé désemparé face à une tactique simple parce qu’à force de double-pensée il s’est rendu incapable de comprendre le plus élémentaire qu’il qualifie de “n’importe quoi”. Pourtant Juppé est méritant, il ne cède pas aux réflexes reptiliens de certains de ses confrères et parvient à sauvegarder sa dignité à défaut de son honneur.

Une constante très invariable .

Charles DESTAR

  04/04/2015

Même si j’ ai déjà posté sur ce sujet , la persistance du phénomène justifie largement cette récurrence .
  Pourquoi s’obstine-t-on à  discuter et commenter la partie d’ échec sans fin que constitue l’ actualité,  en supprimant toute référence à une des pièces majeure ?
  Cet acteur politique - pourtant extrêmement dangereux , puissant , affranchi de toutes ces valeurs morales que partagent tous les peuples , et usant de techniques de pouvoir dignes d’une guerre d’extermination ,  est reconnu dans quelques effets de son influence , mais jamais ni nommé , ni étudié  !
  Je parle de la puissance sioniste , qui exerce un pouvoir total à travers une multitudes d’ interfaces   dont une des moindres est celle que constitue nos gouvernements d’ Europe . 
Sa structure , ses valeurs mafieuses , les vecteurs de sa puissance ,ses moyens , son objectif   et son rôle dans l’ établissement d’une dictature planétaire appelée NWO me semblent pourtant   justifier une étude sérieuse .
  Doit-on suspecter ici aussi , ce que le Général Della Chiesa révélait , un mois avant de prouver son dire , en violant cette règle, puis par son propre assassinat ? <

< la mafia est partout où il est impossible de parler d'elle >

>
  Merci   pour votre lecture.

Insistance

Aldebert Morgenstern

  06/04/2015

Si vous ne répondez pas à la question posée par Charles DESTAR, j’envisage d’annuler mon soutien.
Je pense être clair.

Conclusion

Aldebert Morgenstern

  12/04/2015

Vous préférez donc perdre un soutien plutôt que de vous fendre de quelques lignes d’explications. Soit.

réponse à l'insistance de Mr Aldebert Morgenstern

Olivier Riche

  13/04/2015

Il me semble d’avoir lu le glossaire et l’ensemble des articles depuis deux ans, que la seule mise en cause qui tienne est celle du Système et de sa toute puissance.
Mettre en évidence le fait que les maître du système soient tous ou en majorité issus d’un groupuscule ne fait que nous détourner de l’objet de notre contre civilisation : le Système représente l’opérationnalisation du “déchaînement de la Matière” et à travers la modernité la disparition de toute référence métaphysique (la Tradition) ou spirituelle.

Surmontez le colérique par l’absence de colère;
Surmontez le malfaisant par la bonté ;
Surmontez l’avare par la générosité ;
Surmontez le menteur par la vérité.

Les paroles du Bouddha - Dhammapada 17.223

Conclusion 2

Aldebert Morgenstern

  13/04/2015

Et donc le groupuscule en question n’est pas responsable de ce qu’il fait, c’est la faute au déchaînement de la matière, c’est limpide.

@ aldebert

laurent juillard

  13/04/2015

Cher Aldebert,
Si, par miracle, vous arriviez à éliminer ce groupuscule, il y aurait d’autres individus assoiffés de pouvoir pour immédiatement prendre leur place. Et le système perdurera. Perte de temps, donc, que de se focaliser sur ceux qui prétendent diriger mais qui sont autant pris dans le système, même si à un échelon plus élevé.

Il est plus intéressant de comprendre comment le système fonctionne, pour éviter d’être trop pris dans ses mailles et garder cette lucidité d’esprit qui montre que notre conscience est encore bien vivante et non pas, tel le mouton, phagocytée par des automatismes système.

Mais il faut une lecture assidue et prolongée de De Defensa pour bien assimiler ce concept, car il casse cette idée bien ancrée en nous, les « modernes », que l’homme, et surtout le maitre, dirige son destin et celui du monde.

Mais, justement, nul n’est obligé d’agréer, tel un mouton, à ce concept. Etudiez le d’abord.

@Laurent

Aldebert Morgenstern

  13/04/2015

Si, par miracle, vous arriviez à éliminer ce groupuscule…
- Je n’ai jamais parlé de cela.
Perte de temps, donc, que de se focaliser…
- Je ne suis ni pressé, ni focalisé.

Je n’ai fait que poser une question et vous m’attribuez des intentions et des traits de caractère issus de votre imagination.
Ça me rappelle les méthodes d’un certain groupuscule, ce doit être parce que je suis focalisé, mais bon sang mais c’est bien sûr.

George Friedman / transcription de son discours de février dernier

pierre

  16/04/2015

Bonjour,
Je me suis fendu d’une transcription du discours époustouflant du patron de Stratfor en février dernier à Chicago, dans lequel notamment il parle de l’intermarium doctrine…
Il y a beaucoup de chose là dedans…
bien à vous
Pierre

http://www.entrefilets.com/Quand%20l_Empire_tombe_le_masque.html

L'intéressant frédéric Lordon trouve le temps long

GEO

  08/06/2015

http://blog.mondediplo.net/2015-06-01-Les-taches-aveugles-de-l-autre-euro-possible

(…...)
En cette époque qui ne corrige le sur-place intellectuel que par les accélérations imaginaires du gouvernement mondial, ou continental, il aura fallu presque deux décennies pour que certains se rendent compte qu’il y avait un problème avec l’euro, et qu’ils commencent à le dire — en gros il a fallu la décapilotade à grand spectacle pour que leurs yeux s’écarquillent et que leurs bouches finissent par s’ouvrir. Les voilà maintenant qui, réécrivant l’histoire, enfin surtout la leur, prétendent avoir dès le début lancé de vigoureux avertissements [1], ou bien proposent un nouveau tour de manège institutionnel, cette fois-ci avec un parlement de l’euro, dernière trouvaille en date destinée à nous rendre la monnaie unique enfin démocratique [2] — se peut-il qu’on nous ait menti et qu’elle ne l’ait pas toujours été ?

Le « manifeste pour une union de l’euro » publié début 2014 à l’initiative, entre autres, de Pierre Rosanvallon [3], offre ainsi un concentré des taches aveugles de l’européisme social-démocrate qui, confondant la substance et les attributs, imagine que planter quelque part un nouveau parlement vaut ipso facto constitution politique de l’euro. Malheureusement il n’en est rien. Encore faut-il pour s’en apercevoir s’être formé une idée tant soit peu profonde de ce qu’est une communauté politique véritable, dont les institutions formelles ne sont que la superstructure. Le mot ici est à comprendre en un sens non-marxiste, pour souligner que le principe fondamental de la démocratie, tel qu’il est mis en œuvre dans les institutions formelles, à savoir la loi de la majorité, ne se soutient pas de lui-même, mais n’est opératoire que sous des conditions de consistance communautaire préalable, dont il faudrait être fou pour les imaginer réunies dans l’Europe d’aujourd’hui.

(….......)

A certains politologues n’ayant visiblement aucune compréhension du fait politique, il faut donc des épisodes maximaux, c’est-à-dire des cas de séparatisme aigu, comme il a failli s’en produire un en Ecosse — un cas spécialement intéressant d’ailleurs puisqu’il est d’un séparatisme moins « identitaire » que « politique » — pour apercevoir, mais généralement trop tard, tous les prérequis invisibles du fonctionnement ordinaire des institutions démocratiques — et ce qu’il en coûte de les ignorer. Ce prérequis passionnel de l’affect commun d’appartenance, seul à même de rendre viable le dissensus démocratique organisé sous la loi majoritaire, est-il satisfait dans le cas de l’Union européenne ? Non. Chez qui fait-il suprêmement défaut ? La Grèce, vers qui tous les regards accusateurs se tournent systématiquement ? L’Espagne qui, Podemos arriverait-il au pouvoir, connaîtrait le même sort ? Non : l’Allemagne. Est-il possible de parler de l’Allemagne ? Non plus [5]. Toute mise en cause de l’Allemagne est aussitôt accueillie aux glapissements de « germanophobie ». Il faut sans doute avouer qu’on trouve assez souvent le pire en cette matière, et qu’il est bien des discours sur l’Allemagne qui sentent le fusil Lebel et la ligne bleu horizon. Mais enfin la mauvaise monnaie intellectuelle ne devrait pas en principe chasser la bonne, ou au moins ne pas restreindre les droits légitimes de l’analyse – et empêcher que soient posées quelques questions. C’est pourtant le cas, si bien que l’accusation de germanophobie est devenue en Europe, spécialement en France, l’asile de la cécité volontaire.

(…..)

rêvons un peu, et imaginons pour le plaisir « l’autre euro possible ». Aucune de ses dispositions ne figure plus dans le Traité, toutes ont été rendues au parlement de l’euro. Et voici qu’une majorité se forme pour remettre la BCE sous contrôle politique, pour lui assigner mission de soutenir la croissance et l’emploi, voici que les règles budgétaires automatiques sont supprimées au profit d’une pragmatique conjoncturelle, que la question de l’annulation de certaines dettes est posée, enfin qu’il est envisagé de restreindre les marges de manœuvre des marchés pour neutraliser leurs représailles contre une réorientation progressiste de la politique économique. Qui peut croire que l’Allemagne, sans doute d’autres pays avec elle, mais l’Allemagne au premier chef, accepterait cet « autre euro »-là ? Mise en minorité, c’est elle qui partirait au nom de la sauvegarde de ses principes considérés comme des enjeux vitaux. Et « l’autre euro » se ferait sans elle — s’il y a quelque sens à une monnaie unique européenne sans l’Allemagne…

On opposera sans doute que les élites françaises par exemple — qui ne sont donc pas allemandes… — n’en défendent pas moins, et mordicus, les mêmes principes de politique économique, en fait adéquats aux exigences du capital auquel ces élites ont tout cédé. Et c’est vrai ! Mais la Grèce en février, peut-être l’Espagne cet automne, montrent que le miracle d’une réelle alternance politique ne peut jamais être complètement exclu — et avec lui celui d’un projet de réorienter radicalement la politique économique. Toutes choses égales par ailleurs, ceci ne se produira pas en Allemagne, pour des raisons qui tiennent à l’ancrage symbolique de la doctrine néolibérale (ordolibérale), ailleurs simplement idéologique, donc en principe susceptible d’être politiquement défaite.

Rien de ceci bien sûr ne signifie que, même à propos de la question monétaire, la société allemande ne soit qu’un bloc. Il n’y a jamais, nulle part, à propos de n’importe quelle question, de monolithisme unanimitaire. Des économistes comme Peter Wahl ou Wolfgang Streeck, et d’autres, ou bien les manifestations au pied de la BCE à Francfort, attestent que la société allemande a sa part de dissensus et de contradictions même quand il s’agit de doctrine monétaire. Mais la question est de savoir où se situe son centre de gravité à ce sujet, quelle est sa consistance, et quelles sont les chances, à horizon raisonnable, de le déplacer significativement.

Si donc l’on cherche les raisons de l’impossibilité d’un autre euro, c’est d’abord de ce côté, du côté du point de plus forte résistance, qu’il faut avoir la lucidité de regarder. Et puis aussi du côté de l’expérience grecque, ou plutôt de ce que l’Union européenne sous principes allemands fait subir à la Grèce. Car nous savons maintenant ce que pèse une crise humanitaire en face d’une orthodoxie monétaire : rien.

(…......)

Il y va surtout, et en fait de plus en plus, d’une déformation monstrueuse du débat politique qui a conduit à faire de la sortie de l’euro le monopole du Front National, et en fait le stigmate même de l’extrême droite. Que le duopole indifférencié des partis de gouvernement, assisté de tout son appareil médiatique, se complaise dans cet argument ignominieux, la chose n’a rien pour surprendre. Elle est même bien faite pour indiquer le véritable rapport qui a fini par s’établir entre le FN et ce qu’on pourrait appeler le massif eurolibéral (dans lequel, on l’a compris, PS et UMP sont deux composantes de mieux en mieux substituables et en fait tendanciellement identiques). Ce rapport est de symbiose fonctionnelle — évidemment déniée par la comédie de l’intransigeance républicaine .

(…....)

En toute rigueur, le débat sur l’euro a sa parfaite légitimité propre, et n’a aucunement à prendre en considération cette préemption, qui n’est en fait qu’une pollution. En réalité il l’a d’autant moins qu’on peut soutenir que, le FN arriverait-il au pouvoir, il ne ferait pas la sortie de l’euro. En voici la raison : du moment où la perspective de l’arrivée du FN au pouvoir prendrait consistance, le grand capital pactiserait avec lui. Il le ferait sans la moindre hésitation car, l’histoire l’a suffisamment montré, le capital ne se connaît aucun ennemi à droite, et aussi loin qu’on aille à droite.
Il y a là, incidemment, de quoi faire ravaler leur dégueulis à tous ces misérables personnages qui n’ont rien eu de plus pressé que de poser un signe égal entre Front National et Front de gauche — et je le dis avec d’autant plus de liberté que je ne suis pas membre du Front de gauche, et que j’ai même de sérieux désaccords avec sa ligne actuelle. Mais enfin il n’est pas besoin d’être extralucide pour imaginer ce que serait l’attitude du capital face à un Front de gauche aux portes du pouvoir : il y a tout lieu de penser en effet qu’il chercherait moins à pactiser qu’il n’entrerait en mode « guerre », et même « guerre à outrance ».

(…..)

En tout cas le capital pactisera avec le FN. Et voici quels seront les termes de la transaction : le capital apportera ce qu’il sait apporter de mieux : de l’argent — de l’argent pré-électoral, post-électoral, de l’argent. Et puis aussi de l’assistance technique en prêtant ses cadres les mieux disposés. Mais la contrepartie sera que le FN ne touche pas à l’euro. C’est que l’euro dans sa construction d’ensemble est la plus puissante machine à discipliner le salariat que le capitalisme contemporain ait inventée, et cela, en effet, le capital ne permettra pas qu’on y touche.

Nul doute qu’il obtiendra complète satisfaction, et si l’on ajoute à ça que le « modèle économique » du FN consiste en réalité en une sorte de néo-corporatisme reaganisé essentiellement adressé aux patrons de PME, on mesurera l’imbécillité aussi bien intellectuelle que politique, de créditer le FN d’une posture « anti-système », c’est-à-dire de lui accorder sa principale revendication !

Ces raisons-là n’étaient nullement nécessaires, mais elles devraient être en principe suffisantes pour déchirer le voile de stupéfaction qui, sous la forme du FN, a été jeté sur le débat de l’euro. Elle devrait l’être d’autant plus que s’y ajoute le démenti catégorique apporté par l’expérience grecque. Double démenti en vérité : démenti de la fiction d’une transformation de l’intérieur des institutions de l’euro ; démenti surtout de l’assimilation à l’extrême droite de tout projet de s’affranchir de la camisole ordolibérale et de la monnaie unique.

On dira, précisément, que Tsipras se bat pour rester dans l’euro. Mais d’une part, comme on pouvait en fait l’annoncer avant même son arrivée au pouvoir, ce combat est voué à l’échec [8], et n’admet pour seul alternative au renoncement que la sortie de l’euro. Et, d’autre part, Syriza doit compter avec une forte minorité interne, à laquelle s’ajoute une opposition externe de gauche qui, elles, plaident résolument pour la sortie de l’euro. Et que même l’éditorialisme le plus malhonnête aura du mal à faire passer pour des fourriers du nationalisme xénophobe.

(….....)
Frédéric Lordon