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Article : La guerre transformée, ou le Complexe contre le système

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Coquille

Vianney Stroebel

  08/03/2008

Coquille au 3e paragraphe : il s’agit de Joseph Stiglitz et non de Paul.

Félicitation pour la qualité de votre site. Continuez !

Ne pas inverser les termes de l'implication logiqu

CdC

  09/03/2008

Les subprime n’ont rien à voir avec les dépenses miltaires des USA.
Le rêve américain de posséder une maison a été encouragé par l’administration Bush qui noyautée par les lobby des instutions de prêt hypothécaire ont commencé à endetter la fausse classe moyenne qui ne peut prnedre en charge les chages liés à un prêt.

L’obligation d’un apport personnel de 20% a été détourné par des syxtèmes de pret seconde ligneselon lesquels un premeir emprunt permettait d’ontenir les 20% avec lesquels le prétendant se présentait au prêteur. Une fois le contrat signé, l’emprunteur gageait la part du capital captif dans son logement et fait un nouvel emprunt qui couvrait le tout premier.
Grâce à ces montages, on peut devenir “propriétaire” sans un cent d’épargne.

Deuxième caractéristique des prêts hypothécaires, c’est la notation des emprunteurs selon un indice Fair Isaac Co, FICO.
Tout citoyen est coté selon son passé: défaut de paiement, retard de paient, stabilité des revnus quiclasse entre 300 et 900 tout individu selon le risque de défaillance et de faillite.
Ce qui est le reflet de difficultés antérieures pénalise pour l’aveni car les taux seront beaucoup plus chers pour les catégories les plus défavorisées.

Autre caractéristique, c’est la réintroduction des prêt avec le paiement uniquement des ointérêts laissant le principl pour la fin. De plus, beaucoup d’intitutions financières prêtent et accordent une ou deux années avec un minimum de paiement, il ne s’agit pas de rembourseùment car il n’y a pas d’amortissement.

Ces prêts très risqués ont été titrisés et vendus sur toute la planète.
Ils sont irrecouvrables car le système ne fonctionnait quue tant que le prix de l’immobilier grimpait. Car originalité suprême, même en ne possédant rien, on pouvait prêtait sur gage ou non l’équivalent de la plus-value théorique qui aurait été réalisée en cas de revente de la maison.

Cette architecture faite sur des chimères devait s’effondrer avec ou sans la guerre comme se sont effondrées les valeurs boursières des dot.com.

La gurre était venue à point nommé sauver le début de l’entrée en récession, mis elle a échoué.
Le financement de la guerre se fait par ‘épargne mondiale.
Dès que les marchés financiers étasuniens avec ses bons du Trésor ne seront plus considérés comme attractifs par les capitaux, la pompe à épargne cessera de fonctionner et ce sera le spectacle à ne pas rater.

Coquille réparée...

dedefensa,org

  09/03/2008

Effectivement, Joseph et non Paul Stiglitz. Merci, avec nos excuses.

de la relativité complexe et évolutive des causes

Francis

  09/03/2008

@CdC
“The spending on Iraq was a hidden cause of the current credit crunch”
- une des causes cachées pas LA cause
- “credit crunch” dont le subprime est un élément
- la baisse des taux d’intérêts rentre dans un ensemble complexe dont Greenspan a voulu relancer la dynamique. Au prix constaté.

Le but était bien une relance pour financer des dépenses: et d’abord la tentative de “limitation” de déficits abyssaux. Echec annoncé dont le monde paie/ra les conséquences.

Il suffit de voir la consommation d’énergie du CMI pour révéler son importance dans l’archipel économique impérial US.

Les causalités ne s’enchaînent pas linéairement (cartésianisme binaire) et votre image d’une architecture de chimères correspond déjà plus aux conditions socio-économiques. “Architecture” me semble ainsi trop statique et je préfère la complexité d’un modèle “météorologique” où le CMI prendrait la place du plus gros émetteur de CO2 dans une catastrophe qui dépasse aussi de loin l’irak.

La création de la bulle des dot.com correspond ainsi à un environnement très différent : dans notre nouvel environnement le poids DES “Iraks” me semble effectivement de nature à justifier une pondération différente des causes: l’inversion de deux termes est trop simple, et oui celà a quelque chose à y voir.

Et en Europe :

Frédéric

  09/03/2008

On n’arrive pas a grand chose non plus :

Loi numéro 1, « tout état-major sert à commander des opérations lancées par le politique mais que ce dernier ne lance jamais ». Extension de tonton Claus : « un état-major lance de lui-même des opérations lorsqu’il est soit engagé dans un coup d’État, soit qu’il fait face à une invasion en provenance d’Andorre ».

Loi numéro 2 : « tout homme politique placé dans un environnement européen considérera que la défense européenne doit être une priorité après la régulation de la taille des petits pois, de celle du marché des poissons d’eau douce lituaniens et la composition du menu du midi de la cantine de la Commission européenne ».

Loi numéro 3, « le nombre faramineux de forces bi et multinationales européennes est dû à une forte demande de défilés militaires, et non au nombre d’engagements en opération ». Corollaire du neuneu : « la guerre, c’est pas bien ».

Loi numéro 4 : « un bon politique fait toujours une incantation au Dieu recherche & développement avant de financer autre chose en stricte application du principe de laïcité ». Questionnement corollaire du chercheur : « on mange quand ? ».

Loi numéro 5 : « les budgets d’équipement peuvent éventuellement servir aux équipements ». Loi corollaire belge : « tout budget d’investissement militaire est invariablement affecté au financement de la sécurité sociale, justifiant le concept d’armée humanitaire ».

Les militaires et les trubillions de zillions de quoi t'esse déja ∫

aa

  09/03/2008

Bien sûr que CdC a raison et que Francis n’a pas tort. L’un met sur la piste de la création magique du crédit (merci CdC), l’autre sur celle de quelques unes des attractions du système Barnum.

En première année commune de la licence en droit et de l’alors nouvelle licence es sciences éco, il y a un peu moins de quarante ans, les futurs lanceurs de pavés découvraient dans le « Monnaie et Crédit » de Jean Marchal de quoi les dégoûter à jamais de la sottise humaine et de son insondable propension à la crédulité vis-à-vis de la chose économique. Etudiant, j’adorais la clarté et l’honnêteté de ses exposés, et, plutôt benêt, je me disais que les jours de la classe bourgeoise étaient comptés, tant le bon sens hurlait contre les tours de passe-passe du milieu de la finance pillant ouvertement les fruits (matériels) de la croissance industrielle tout en prétendant en être le principal instigateur.
En plus, le père Marchal ne sortait pas son truc du chapeau pour amuser ses étudiants. Non, il y avait des précédents sérieux. Le respectable Ludwig von Mises par exemple, déclarait déjà en 1912 : « Ce serait une erreur de croire que l’organisation moderne de l’échange peut continuer ainsi. Elle porte en elle le germe de sa propre destruction; le développement de la monnaie fiduciaire doit nécessairement mener à son effondrement. »
Maurice Allais, dont on peut s’amuser des incertitudes politiques bien dans la veine d’un grand esprit, mais qui possèdait un cerveau en excellent état de marche, considère que « […] dans son essence, la création monétaire ex nihilo actuelle [1999] par le système bancaire est identique, je n’hésite pas à le dire pour bien faire comprendre ce qui est réellement en cause, à la création de monnaie par des faux-monnayeurs, si justement condamnée par la loi. Concrètement elle aboutit aux mêmes résultats. La seule différence est que ceux qui en profitent sont différents »
Aujourd’hui, les étudiants en sciences économiques planchent sur la « métaphore du voyageur de Calais » du très perspicace Allais, qui illustre qu’on ne peut jamais proprement parler du coût d’un bien ou d’un service, mais qu’il est plus exact de parler de coût d’une décision en indiquant à quel niveau on la considère, le coût n’étant jamais qu’un “coût d’opportunité” : la valeur de ce à quoi on renonce au moment d’agir.
Avant de passer l’arme à gauche, Galbraith, le grand montreur de grizzlis des Rocheuses a fait sa confession (bien expurgée) dans un minuscule opuscule expiatoire : « The Economics of Innocent Fraud ». Pourquoi fait-on comme si le fait d’en avoir rendu compte une fois à sa parution suffisait pour l’éternité ?
Rien n’a changé d’un iota : les prolos continuent à se jeter des zillions de roupies à la figure sous l’œil rigolard des magiciens de la finance. Ces chiffres, qui sont du vent, n’ont même pas le mérite d’avoir été relativement vrais une seule seconde.

dessert vanille et framboise, quel destin∫

CdC

  09/03/2008

Architecture au sens comme vous le notiez d’une construction onirique.

Dont le sens émerge au fur et à mesure d’addition de signifiants qui se répondent ou se déplacent dans un chaînage temporel.

À elle seule, la fabrication de l’illusion d’une accession à la propriété d’une fraction de la population étasunienne et sa propagation mondiale de ses effets aurait abouti à la situation de l’asséchement du crédit et/ou moins à un interventionnisme de plus en plus important du Gouvernement Fédéral.Ce qui y a abouti a été formalisé depuis les législations des années 80.

Mais l’objet économico-politique qu’est le capitalisme étasunien est en effet co-substanciel avec le CMI.

Pour autant, ainsi que formulé par J. S.,  l’administration Bush aurait pêché par sa décision de faire une guerre en Irak, pas mêmê à l’Irak et enfanté de cette trillonesque dépense comme d’une verrue sur un épiderme par ailleurs exempt de toute tumeur ou tuméfaction.

Le peu d’histoire qui revienne au non lanceur de poussière, c’est la dépression de 32-33, entre deux guerres…

Les Irak semblent plutôt fonctionner comme des préventions inefficaces contre ce qui advient à la machninerie menteuse productrice de fictions et de désastres

redevenos un peu sérieux, selon la loi 5” et la loi 2 alinéa 4, quand passe-t-on au dessert?

buts de guerre

bert

  10/03/2008

“comme si le fait même de déclencher la violence guerrière (la guerre en Irak) provoquait automatiquement des destructions supérieures (dans tous les domaines) chez l’attaquant (le système lui-même).”

Difficile à évaluer. Une chose est sûre, l’Irak est très largement détruit, bien plus qu’après 1988, bien plus qu’après 1991. L’Irak n’existe plus industriellement, économiquement, socialement, institutionnellement, voire même déjà géographiquement…

En ce sens, je ne suis pas sûr que les USA en soient encore là.

Par contre, après 5 ans de guerre et d’occupation, il est toujours aussi difficile de poser la très clausewitzienne question des buts de guerre, des objectifs. Le “mission accomplished” de Mr Bush en mai 2003 paraissait légèrement prématuré, et peu clair. Depuis, s’il est évident que les buts annoncés ont été relativement atteint (il n’y a plus, sic, d’ADM en Irak, il n’y a plus beaucoup d’alqaeda en Irak, et le régime de Saddam Hussein n’existe plus), on a du mal à croire que ces buts là étaient les objectifs à atteindre en attaquant l’Irak. Posée autrement, la question est: que font les USA et leurs mercenaires gouvernementaux ou privés en Irak, après une si éclatante victoire?

Préparer le terrain aux entrepreneurs chargés de la reconstruction?
Maintenir une présence militaire près de l’Iran?
Eviter la création d’un gouvernement “hostile”?

Et dans dix ans, ces buts là seront ils toujours pertinents?

buts de guerre

Quelqu'un

  10/03/2008

Et qu’en est il du sous sol irakien?

N’y a t’il pas un projet de loi visant à privatiser l’une des plus grosse (si pas la plus grosse) éponge du monde?

http://www.voltairenet.org/article150156.html#article150156

http://www.voltairenet.org/article154825.html#article154825

Frédéric

  11/03/2008

Une question et deux constast :

1/ Que représente exactement cette somme de 3000 milliards et qui dit que ces chiffres sont exacts ? Vous connaissez la réputation des économistes qui sont désormais moins fiable que la météo; Lors de ces précédentes déclarations retranscrit dans le wikipédia, on indique :

* 336 milliards déjà dépensés.
* 389 milliards de frais de fonctionnement pour les opérations futures
* 127 milliards pour les indemnités et pensions des anciens combattants
* 160 milliards pour la démobilisation et le repositionnement de la défense

Les coûts économiques se décomposent selon les auteurs de la façon suivante :

* 355 milliards de manque à gagner pour l’économie liés aux décès, invalidités, différentiels de coûts des achats liés à la guerre…
* 300 milliards liés au prix du pétrole sous forme de transferts vers les pays producteurs.
* 150 milliards liés à une moindre performance économique liée aux même prix élevés.
* 450 milliards découlant de l’affectation des budgets à la guerre plutôt qu’à des dépenses productives ou à la réduction du déficit.
* 355 milliards de manque à gagner pour l’économie liés aux décès, invalidités, différentiels de coûts des achats liés à la guerre…
* 300 milliards liés au prix du pétrole sous forme de transferts vers les pays producteurs.
* 150 milliards liés à une moindre performance économique liée aux même prix élevés.
* 450 milliards découlant de l’affectation des budgets à la guerre plutôt qu’à des dépenses productives ou à la réduction du déficit.

Franchement, les derniers 450 milliards me laissent septique, des dépenses productives par un gvt ? Tandis que l’on oublie de préciser que ‘‘rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme’‘, l’argent dépensé effectivement part en salaires des militaires, en pension pour les familles, en achats dans les entreprises, en R&D dans les laboratoires, en aide pour les gvts alliés; Et retournent en partie dans les caisses du fisc dont je rappelle que les entreprises n’ont jamais autant remplit les dites caisses tandis que les états alliés achètent du matériel en majorité aux Etats-Unis.

2/  La situation en Irak est stabilisé malgré les récents attentats, on ne parle plus de risque de renversement du gvt irakien par la guérilla qui est en perte de vitesse avec le plan de pacification mit en place, les bénéfices commerciaux peuvent commencer à rentrer; Les Iraniens veulent une part du gateau, on doit pouvoir s’arranger s’ils ne sont pas trop gourmand.

3/ Même 3 000 milliards de $ ne représentent que moins de 14 mois du budget fédéral américain; soit environ 25 % des dépenses de ces 5 précédentes années; On est loin du gouffre des 80 % de la 2e GM et a en dessous des chiffres de la guerre de Corée.

Au fait, pas de dessert pour les hommes politiques, il faut qu’ils entretiennent leur ligne pour bien passer dans les médias :)

constat

bert

  11/03/2008

Je serais assez d’accord avec le 1) du constat de Frédéric. Non seulement les chiffres estimés sont de sources variables et variés, mais de plus il est difficile de mesurer un “coût” sans y opposer les “avantages”. (quand on parle de guerre, ces termes sont difficiles à employer…)

Je serais plus prudent pour le 2). La situation ne me paraît pas vraiment stable en Irak. Il y a eu depuis quatre mois une baisse sensible des attaques visant les forces US, ainsi que les milices entre elles. cela est dû à la “méthode Petraeus” consistant à financer les milices sunnites au lieu de les combattre, à un profil relativement bas des forces US sur le terrain (avec un corollaire, l’augmentation des bombardements aériens, vieille histoire…), à un espace géographique totalement basé sur des critères religieux, à quoi se combine une lassitude extrême de l’ensemble des irakiens pour une situation dans l’impasse, et une recomposition des forces politiques chiites. Rien de tout cela ne va dans le sens de l’apaisement à long terme. (ce que je souhaite, pourtant. 5 ans, c’est beaucoup trop, et les souffrances endurées par le peuple irakien sont immenses, et insupportables)

Il paraît difficile d’imaginer que le système de division sur des critères religieux ou ethniques peut durer, sans le soutien financier US (ou autre). Il est illusoire de penser au retour des millions de réfugiés dans leurs foyers alors que la répartition de l’habitat a été totalement transformé par de telles politiques.

Quand bien même la situation politique serait relativement apaisée, il reste un immense effort de reconstruction qui risque de nouveau de déclencher des tensions latentes.

La baisse des attaques contre les forces US n’est pas un signe suffisant de stabilisation, ni d’espoir pour un avenir meilleur en Irak, si tenté soit que cette baisse se maintienne dans les mois qui viennent.

Coûts évités de l'intervention, et lien sur la ''pacification''

Frédéric

  12/03/2008

Voici des infos prit sur un des premiers mensuel DSI de 2005 que j’avais reporté à l’époque sur l’article ‘‘Conséquences de l’invasion de l’Irak’’ du Wikipédia francophone :

==Coûts « évités » par l’intervention==

Coût auquel il faut soustraire les économies générées par ces opérations (arréts de l’application des résolutions de l’ONU et des souffrances du peuple Iraquien, relance du commerce international)

* États-Unis : 32 milliards
* Coalition hors États-Unis : 85 milliards
*TOTAL : 117 milliards.

sources : Scott Wallsten et Katrina Kosec de l’AEI-Brookings Joint Center for Regulary Studies

Force est de constaté que malgré la violence, la vente de biens de consommation dans une population sevrée depuis les années 1980 augmentents exponentiellement depuis 2003, c’est aussi en autres une des raisons des coupures de courant à Badgad, la demande énergique est bien supérieur à la capacité de production électrique du pays.

Je signale, pour ce que le connaissent pas, ce blog francophone ‘‘En vérité’’ qui fait le point en particulier sur les opérations de lutte antiinsurrectionnelles en Irak :

http://lewebpedagogique.com/coin/

Ils semblent bien que les ‘‘djhiadistes’’ purs et durs se retrouvent dans la situation du GIA et consorts à la fin des années 1990/début des années 2000, ils peuvent encore frapper avec des attentats mais n’ont plus de capacité ‘‘militaire’’ d’affronter les forces de sécurité tandis que les états majors sur le terrain reprennent les bonnes vieilles formules de pacification à la Lyauté qui ont déja montré leurs capacités.

Les ‘‘guérillas’’ sont largement suréstimé dans le grand public. Doit on rappeller que le petit Portugal à sut tenir son empire en Afrique jusqu’en 1975 avec relativement peu de moyens et n’a quitté celui ci que parce qu’une révolution des oeillets à éclaté. En Amérique Latine, seuls deux guérillas ont eu du succés en un siècle, Cuba et le Nicaragua, mais la parce que les régimes était vraiment impopulaire et laché par les USA.

moins d'accord! (du coup...)

bert

  13/03/2008

Ah, ou je comprends mal Frédéric, ou je suis beaucoup moins d’accord avec lui!

L’arrêt des souffrances des irakiens? La situation est trop tragique pour pouvoir simplement rire de cette phrase.

La relance du commerce international? L’aggression de l’Irak aurait relancé le commerce international? je n’ai pas dû comprendre.

Les résolutions de l’ONU avant 2003 généraient des coûts, soit, mais alors, que dire de l’application unilatérale de la “no fly zone” par les anglo-américains? De “provide comfort” et autres opérations?

La capacité de production d’électricité du pays a été ravagé par les bombardements de 1991, relativement rétablie, et de nouveau complètement détruite par ceux de 2003 et ensuite, puis par les sabotages. D’ailleurs, plus globalement, la quasi-totalité des infrastructures civiles irakiennes a été la cible d’opérations militaires de la coalition, ce qui constitue un crime répréhensible.

les conclusions du blog cité sont assez floue, et basée sur des sources extrêmement partiales.