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Article : La connivence (le complot ?) Poutine-The Donald

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Décaméron : De Cameron à Camerone

perceval78

  18/12/2015

Umana cosa è aver compassione degli afflitti Boccace

On sait que Jacek Saryusz-Wolski, Polonais de l'EPP est vent debout contre le pipeline reliant la russie et l'allemagne, ses idées ont convaincu l'EPP.

Seehofer le Trump de la CSU en a rien à foutre et part à Moscou rencontrer Poutine.

On sait que Matteo Renzi, centriste est lui aussi contre le NordStream 2, mais pour des raisons un peu inverses, il en marre du diktat allemand. Il a essayé de convaincre les socialistes hier, sans grand succès, même si la photo du Système rencontrant l'anti-Système avait un coté historique.

Mistral et NordStream même combat ? peut être

en tout cas Eric Brattberg du Mc Cain Institute nous dit qu'il ne faut pas se tromper,la géopolitique est plus important que l'économie,
douce phrase venue d'un institut connu pour sa pensée néo-marxiste

Erik Brattberg @ErikBrattberg Oct 26
@VAhoniemi Might very well be but geopolitical case against Nord Stream should trump the economics. @er3 @veitera
lien

L'union européenne trouve toujours des solutions, le problème Cameron a été brillamment résolu hier soir,
on apprend d'ailleurs qu'il travaille main dans la main avec Trump

Wolsky lui a été séduit par une autre idée de Mc Cain, les 5 rebelles modérés armés de missiles ca n'a pas marché, ce n'est pas grave , formons en 100000 équippés d'avions et de tanks ... ce sera la nouvelle légion étrangère.

C'est de la bazainite, les fins d'empire ont leurs soleils même s'ils durent peu

La fin de la guerre civile américaine se traduit immédiatement par une forte implication du gouvernement américain dans le conflit. Celui-ci continue en effet à reconnaître comme seul légitime le gouvernement de Juarez. Les juaristes reçoivent donc des armes et un fort soutien logistique alors que la pression diplomatique des Etats-Unis sur la France s’accroît. Pour appuyer cette démarche, une armée de 50 000 hommes est rassemblée au Texas, sous le commandement du général Shéridan. Plus de 100 000 volontaires s’apprêtent à la rejoindre.

Pragmatique, Napoléon III proclame la victoire (22 janvier 1866) et entame un retrait progressif du corps expéditionnaire français affaibli par la fatigue, la fièvre jaune et les désertions. Ce mouvement est accéléré par l’aggravation des tensions en Europe, provoquée par l’affrontement entre la Prusse et l’Autriche. Bazaine et les dernières troupes françaises quittent le pays au début de l’année 1867.

Les derniers légionnaires rembarquent le 22 février 1867 alors que l’on a un moment envisagé de prêter puis de céder la Légion au nouvel Etat mexicain. La renommée acquise par le combat de Camerone en métropole contribue probablement à l’abandon de cette funeste décision.