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"Far more prosperous" : critère unique et très temporaire

Article lié : L’esprit du temps

Lambrechts Francis

  12/05/2007

“far more prosperous” ... en omettant soigneusement les raisons historiques et objectives, elles, de la résurgence britannique.

Tout le monde a vu la Grande Bretagne perdre sa puissance économique : à l’aune du cours de la Livre sur le 20e siècle. Rapporté au PIB le revenu d’un anglais était pratiquement devenu la moitié du français. A la fin du siècle il le dépasse.

Les années 70 ont vu le début de l’exploitation du pétrole de la mer du Nord, passé en pleine production durant les années Thatcher ! Simultanément s’est ouverte à l’Angleterre la plus grande communauté économique du monde : la CEE !

Rêvons la même chose en France actuellement : une pluie de royalties pétrolières avec l’ouverture d’un marché prospère et le plus vaste du monde !

Imaginez le délire d’auto glorification, la vantardise éhontée des politiciens Français qui en attribuerait tous les mérites à leur “génie politique”.

Voilà où en sont les politiciens anglo-saxons. Contemplons aussi le spectacle pitoyable des français, entre autres, dont le “génie”, universel lui, semble tomber dans tous les panneaux.

Comme les revenus du pétrole stagnent avant de diminuer et suivant le “syndrôme hollandais” le résultat commence à se faire sentir dans les comptes nationaux anglais : balance commerciale, taux d’intérêts… nous serons bien sûr éblouis par la réponse des génies politiques face à cette évolution ! Certains rapports anglais commencent à parler du gaspillage de la fenêtre pétrolière.

Voici donc que commence le chant du cygne, discret, au milieu du vacarme arrogant des canards médiatiques.

Tony Blair nous parle à nous les Français.

Article lié :

Jean

  12/05/2007

Je m’amuse que De Defensa n’ai pas relevé la petite vidéo qui circule sur le net et ou Tony Blair viens feliciter à la fois les Français et le nouveau president…en Français!

Car au dela de l’habituel verbiage politique de circonstance, c’est bien d’un rapprochement entre l’Angleterre et la France dont il est question (sujet pourtant traité il y a peu par De Defensa).

Ces voeux ne s’adressent pas au Français pour que la France reprenne sa place en Europe ou qu’elle inclue le cercle vertueux des etats “anti terroriste”, non la seule chose dont il est question ici c’est d’un raprochement Franco-Anglais.
C’est surprenant et c’est ici:

http://www.youtube.com/watch?v=P6Cu9187tCY

ethique des soldats US

Article lié :

Gazel

  11/05/2007

Irak

L’enquête du Pentagone sur l’éthique au sein de l’armée, dont les conclusions ont été rendues publiques la semaine dernière, montre que seulement 40% des “marines” et 55% des soldats de l’US Army déployés en Irak déclarent qu’ils signaleraient le fait qu’un des leurs a tué ou blessé un Irakien innocent. Plus d’un tiers des soldats et marines pensent en outre que la torture doit être autorisée pour obtenir des renseignements susceptibles de sauver les vies de militaires américains ou d’en savoir plus sur les insurgés irakiens. Selon le rapport, réalisé du 28 août au 3 octobre 2006, 10 % environ des 1320 soldats et 447 marines interrogés ont reconnu avoir maltraité des civils, soit par des violences physiques, soit en infligeant des dommages à leurs biens.

Reuters

sans commentaires
cité sur le site intérêt géneral

en iran

Article lié :

gei

  11/05/2007

Trois articles de l’IFAS sur les problemes intérieur régionaux de l’iran , et les interférences extérieures.

http://www.strato-analyse.org/fr/spip.php?article142

http://www.strato-analyse.org/fr/spip.php?article141

http://www.strato-analyse.org/fr/spip.php?article140

Comment "prendre conscience" avec du "spin", des "MSM" et autres Murdoch

Article lié : Ils commencent à mesurer l’ampleur de la catastrophe, — l'exemple de Holbrooke

Lambrechts Francis

  11/05/2007

Les autorités militaires ont décidé de mieux surveiller les écrits émanant des troupes déployées en Irak. Une réglementation qui risque de creuser davantage le fossé entre l’armée et les civils, estime le magazine en ligne Slate.

... Il est d’autant plus essentiel d’entendre ces voix que l’ensemble du public est déconnecté de l’effort de guerre.

L’opinion des soldats peut également parfois permettre à la machine militaire de mieux fonctionner. Certes, les militaires ont besoin de discipline, mais les mesures qu’elle prend pour faire taire les dissensions vont parfois trop loin. En Irak, où j’ai servi l’an dernier, j’ai vu la hiérarchie militaire conspirer pour trafiquer des rapports jugés trop négatifs ou pessimistes, pour empêcher ces rapports de remonter la chaîne de commandement, ou encore pour réduire au silence certains avis avant qu’ils ne parviennent aux généraux à Bagdad.

Les nouvelles réglementations de l’armée de terre vont logiquement neutraliser toute divergence d’opinion, ainsi que les multiples articles de journaux et débats spécialisés écrits par des militaires sur la guerre et qui ont permis au public d’en savoir plus. Cette politique réduit le débat d’idées en empêchant les civils de prendre part à des discussions avec les militaires sur la stratégie et la tactique.

Ce sont des règles d’une rare myopie, en particulier dans le cadre de la lutte anti-insurrectionnelle que nous menons en Irak, où certaines des meilleures idées peuvent venir d’universitaires ou d’employés civils travaillant dans des ministères comme le département d’Etat.

( Les soldats américains privés de blogs, Slate, Philip Carter, http://www.courrierinternational.com/article.asp?obj_id=73772 )

Bleaker Prospects For Turkey's Membership With Newly Elected French President

Article lié :

Stassen

  11/05/2007

[Comment] Turkey may be France’s price for the new EU treaty

11.05.2007 - 09:24 CET | By Peter Sain ley Berry

EUOBSERVER / COMMENT - Two weeks ago I suggested in these pages that from a European perspective the French Presidential contender Ségolène Royal might be a better choice than Nicolas Sarkozy.

I argued that it would be necessary to put any revised constitutional treaty to a second referendum in France (the alternative would be to enlarge the EU’s democratic deficit to dangerous proportions). As the opposition to the first treaty had come, at least in part, from a perception that it would undermine the French system of social welfare, a left-wing president could more easily reassure voters, I argued, and so carry such a referendum early in her first term.

It was perhaps a forlorn piece of analysis, for within a point or two the outcome of the second round, which elected Nicolas Sarkozy, was clear from the results of the first. All the evidence showed that supporters of the centrist, François Bayrou, would divide equally between both camps. And this they did. It would have needed three-quarters of them to have backed Ségolène Royal for her to have scraped a win and all of them for her to have won convincingly. This was never going to happen.

The policies of M. Sarkozy are widely held to be what France needs. I wouldn’t dissent from that view. His ideas on economic reform also chime with the greater part of the Commission’s free market Lisbon agenda, now beginning to show results in terms of rising levels of GDP growth. Though before the free market contingent get too carried away we must remember that the new French President-elect is still at heart an economic nationalist, like his predecessor.

Whether he will be able to implement the reforms he wishes to see is of course another matter. Sarkozy has been likened to Margaret Thatcher, Prime Minister of Britain from 1979 to 1990, who carried through far reaching economic reforms and broke what was perceived as the trade union stranglehold on enterprise.

But Thatcher, at least in her early days, embodied a good deal of popular will, importantly from across the working population. Whether Sarkozy has that same support is doubtful.

An interesting analysis by Eric Dupin writing in Le Figaro shows that apart from business owners and the Poujadist rump of the self-employed, those in paid employment voted more often for Royal than for her rival. Sarkozy’s real support came from the older generation, the over 50s, people in the main who were either retired or otherwise inactive economically. Royal had far more support among the young and the employed.

Sarkozy may pose the question, ‘who governs France?’ But the unions may answer ‘we do’ and, moreover, have the forces on the ground to prove it. The President’s irresistible force may meet an immovable object - the resulting stalemate doing neither France nor the rest of Europe much good.

The resistance is likely to be heightened if Sarkozy tries to ratify a new constitutional treaty, in effect the old treaty with a new name, through Parliament alone. We assume that he will be able to command a majority in the Assembly, at least on this issue, though even that cannot be taken for granted.

The idea of a truly mini-treaty, limited to updating voting weights in the European Council and giving that body a semi-permanent Chair, seems to have disappeared. Except in capitals such as London and Warsaw, it always seemed an impractical suggestion.

The European Commission is also viewing Sarkozy with apprehension over his attitude to Turkey. During the election he made it plain that while he accepts the Balkan states should eventually be admitted to the Union, this does not extend to Asia Minor. The talk is all about other types of relationships that might be invented for Turkey (and presumably other non-Balkan aspirants such as the Ukraine).

He is, of course, not alone in voicing such doubts; other leaders, indeed the German Chancellor herself, have never been convinced of Turkey’s future place in Europe, however far in the future that place may lie.

This has led to a ruffling of feathers in the Berlaymont hencoop, with no one quite sure whether to ignore the French President-elect or to remind him of Europe’s obligations. As he is only President-elect - and on holiday to boot - he is something of a will o’ the wisp. He cannot easily be criticised. Nevertheless, guarded statements about the necessity of respecting European commitments are cropping up with regularity. Even Margot Wallström had a pop at him on her blog this week.

It is not impossible that Turkey might commit some act of folly - such as a military coup - that would disbar the country, at least for a while - and let Europe of the hook. Recent rumblings from the Turkish military about the need to safeguard Kemal Attaturk’s secular legacy were serious enough and led Olli Rehn, the Enlargement Commissioner, to issue a veiled reminder about the need to respect state institutions.

Not impossible perhaps, but unlikely. Which will leave us in a tricky position come June when Mrs Merkel hopes and expects to have the roadmap to the EU’s constitutional reform agreed.

I have to say the prospects for this were looking uncertain before Sarkozy’s election; after it they look even bleaker. Sarkozy appears likely to insist that the new treaty does not compromise on the issues to be settled by majority voting that were written into the old treaty. This may prove contentious, especially, in London, where Gordon Brown is expected to have taken over from Tony Blair by mid-July.

But it is Sarkozy’s position on Turkey and his insistence that a new treaty say something about the EU’s boundaries that is likely to prove more difficult - at least in the short time that remains. I happen to agree with this position and have argued the point several times in this column. But to attempt an agreement on this in the few weeks that remain before the June European Council may well prove impossible.

Nevertheless, some statement along these lines may be Sarkozy’s price for delivering a French ratification. He may even have the majority of the French electorate behind him also. He is something of a Napoleonic figure, after all; not averse to using a whiff of grapeshot to get his way. I foresee trouble ahead.

The author is editor of EuropaWorld

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© EUobserver.com 2007
Printed from EUobserver.com 11.05.2007

The information may be used for personal and non-commercial use only.

This article and related links can be found at: http://euobserver.com/9/24039

La France, un exemple pour l'Europe de l'Est

Article lié : Les Russes et le nouveau président français

Lambrechts Francis

  11/05/2007

L’élection de Nicolas Sarkozy en dépit des nombreuses attaques des sbires de Le Pen et des allusions venimeuses de François Bayrou à ses ‘racines’ est une preuve flagrante du sérénité et de la tolérance de la société française.

Dans la patrie de son père, la Hongrie, les populistes conservateurs de droite traitent les critiques ou les opposants de personnes ‘au coeur étranger’ ou aux ‘sentiments étrangers’. En Serbie, les nationalistes traitent les démocrates modérés de marionnettes ou d’hommes de main de l’étranger.

A Budapest ou à Belgrade, et désormais à Varsovie ou à Moscou, l’élection libre d’un président possédant des racines similaires à celles de Nicolas Sarkozy est à peine imaginable.”

Der Standard (Autriche) http://europe.courrierinternational.com/eurotopics/article.asp?langue=fr&publication=10/05/2007&cat=POLITIQUE&pi=1#1

Réveille-toi, Clovis, il est devenu fou !

Article lié : Holà, petit Nicolas ! Première piqûre de rappel maistrienne…

Jean-Philippe Immarigeon

  10/05/2007

Le yacht, passe encore, on sait pour qui va gouverner le nouveau président, qui appelle de ses voeux une France d’héritiers. Le “j’emmerde les Français, je fais ce qui me plait” était également prévisible, il n’est pas nouveau.

Non, ce qui ne passe pas, c’est le T-shirt marine “NYPD” pour le jogging. Un texte ou un dessin humoristique, à la rigueur, mais “NYPD”... le comble de la beaufitude et de la ringardise. Non que cela confirme une fois de plus que l’Amérique est seule à la hauteur des fantasmes du nouveau président, mais que le personnage n’est ni à la hauteur de la charge millénaire qu’il va occuper, ni surtout disposé à se laisser transcender par elle (mon article “Paradoxes de Sarkozy” sur http://americanparano.blog.fr). Le code nucléaire, les fastes de la République, c’est un gadget de plus pour frimer. Le président est finalement très proche de la “racaille” qu’il dénonçait, mais qu’il comprend bien mieux que les bobos rayalistes, parce qu’il leur ressemble.

Que cherche-t-il a se prouver à lui-même, et à montrer aux autres ? Il y a déjà une bonne chose : la meuf est revenue. Mais je me demande si la France ne va pas faire les frais durant cinq ans du mal-être affectif et sexuel de son président.

Il est petit. Dans sa tête surtout. Mais qu’il fasse attention : les Français ont la fâcheuse habitude de raccourcir, politiquement et quelquefois physiquement, celle de leurs dirigeants qui ne se montrent pas à la hauteur.

Sempe et Nicolas

Article lié : Holà, petit Nicolas ! Première piqûre de rappel maistrienne…

Flupke

  09/05/2007

Hélas il n’y aura pas de rendez-vous avec l’Histoire
mais avec des histoires .

On a bien annoncé une retraite monacale puis un séjour
dans le clapier de Mr Clavier .

Puis ce fut plus modestement le clash avec Bolloré
simplement la couleur est annoncée et le naturel revient au galop .

Sur certains blogs on peut découvrir des pages fort intéressantes sur le personnage .
Un journaliste Suisse le surnomme Rastignac en référence
au personnage de Balzac .
Oui nous sommes bien en présence d’un personnage
très particulier et pas dans l’esprit de Mr de Maistre .

Oh certes le futur président avait certes le droit de se reposer après sa campagne électorale . Mais pas d’annoncer une retraite prétendument (?) monacale après trois boîtes de nuit et le Fouquet’s .
Non citoyens citoyennes bientôt cela ne sera plus
sixtes , nonnes , vespres et matines .

Curieux que Mr Besson après avoir commis un ouvrage
chargé de fiel sur Mr Sarkozy ( disponible en téléchargement sur au moins deux sites ) déverse à présent
ce fiel sur Mme Royal .

Simplement l’ouverture de la France à un ultra libéralisme.
Et peut-être , ce qui serait regrettable , à de sérieuses turbulences . 

Holà, petit Nicolas ! Première piqûre de rappel maistrienne…

Article lié : Holà, petit Nicolas ! Première piqûre de rappel maistrienne…

Françoise

  09/05/2007

Il me semble que vos analyses du personnage étaient quelque peu optimistes. Je souhaite qu’il réussisse son rendez-vous avec l’Histoire, pour le bien de mon pays. Je crains qu’il n’ait pas assez de finesse pour cela. William Pfaff avait raison qui écrivait : “His allegiance is to success.”

Maintenant que l’échéance tant attendue est arrivée, et que le succès est là, pourquoi n’en pas “en profiter personnellement” et sans complexe ? C’est semble-t-il le raisonnement tenu. “Petit Nicolas”, dites-vous ? Peut-être bien un peu trop “petit”...

Iran bis...

Article lié :

mortimer

  09/05/2007

Article du Christian Science Monitor du 11 Avril 2007(Extraits):

...“So the question now is what the United States should do about Iran. It is more of a conundrum than a question, for the options are
few.”...

Conundrum? L’affaire d’Iran est donc une affaire énigmatique. Interessant.

“Seized at gunpoint in the waters between Iraq
and Iran, they (les militaires britanniques) were flown to Tehran, blindfolded, their hands shackled
behind their backs, and backed up against a concrete wall while their Revolutionary Guard captors clicked and cocked their weapons. This kind of intimidation was very similar to that given American hostages seized by Revolutionary Guards at the American embassy in Tehran in 1979.”

A relever que l’auteur (“John Hughes, a former editor of the Monitor, is currently a professor of communications at Brigham Young University”)compare la nature du traitement infligé aux détenus britanniques à celle des otages de l’ambassade US en 79 et non à celle d’actions plus actuelles notamment de la part de l’armée américaniste en Iraq. No comment.

“But though British Prime Minister Tony Blair warned darkly of other measures if diplomacy failed, diplomacy it was, perhaps with sticks and carrots unknown to us, that the British employed to bring home their men and one woman.”

Unknown to us, le bâton et la carotte? Ca a plutôt l’air d’une fausse prise de conscience sur le tard. L’arbre qui cacherait un aveuglement sévissant et structurant. A propos, T.Blair semblait adopter-encore une fois, lâchera t-on- une posture estampilée “outre-atlantique” (Blair warned darkly of other measures if diplomacy failed) mais au final, ça s’est avéré fallacieux puisque c’est la diplomatie real-politik qui l’a emportée.

“Though President Bush prudently says that everything is on the table, military force cannot seriously be under consideration. Secretary of Defense Robert Gates, who has brought realism and good sense to the Pentagon, says it is not.”

R.Gates, l’homme du contre-pied à contre-courant de l’establishment actuel. Voici le nouvel arbre qui cacherait la faiblesse cette fois. Dans ce sens,ce qui suit est encore plus édifiant.

“If it is not yet already abundantly clear to Mr. Ahmadinejad, who sometimes lives in a world of make-believe, the Iranian leadership should
be left in no doubt about the awesome consequences of an Iranian developed nuclear weapon being used
by them or their surrogates against the United States or its allies.”

On croit rêver. Ahmadinejad est traitée d’illusionniste(make-believe). L’appel du berger à la bergère, en quelque sorte. En sus, l’éloge de la diplomatie s’est évaporée faisant place à une sommation adressée au leadership iranien de jauger les conséquences impressionnantes (awesome) entrainées par sa politique nucléaire. Puis, l’auteur revient sur ses pas avec “l’incident” des militaires british détenus par l’Iran comme toile de fond:

“While Iran’s leadership often seems mysterious and its actions unfathomable, diplomacy can sometimes trump machismo.”

Ouf, l’honneur est sauf. La diplomatie se défie du machisme (et c’est le titre du présent article!).

Article lié : On sait maintenant qui le futur F-22 nippon menace : la Corée du Sud

bert

  09/05/2007

Cette interdiction de vendre le “Raptor” à l’étranger pourrait aussi être levée pour le cas d’Israel, si “sa sécurité est en danger”...
(Jerusalem Post)

http://www.jpost.com/servlet/Satellite?pagename=JPost%2FJPArticle%2FShowFull&cid=1177591142861

9/11 et la question to "complot"

Article lié : Un complot pour nier qu’il y a un complot?

Elias Davidsson

  08/05/2007

Je vous félicite pour votre analyse du “complot” des médias pour étouffer le débat sur 9/11.  Je partage votre vue qu’exposer ce complot et la vérité sur 9/11 est d’une importance capitale pour nos sociétés, et transcende de loin le crime lui-même.

Je voudrai ajouter que ce ne sont pas seulement les médias qui se font délégitimer par leur complot du silence mais toute la classe politique, de la gauche a la droite ainsi que pratiquement toute la classe universitaire, a quelques exceptions pres.

Il me semble que cette situation n’a jamais eu son équivalent, même sous dictatures. Tenu que l’information circule librement aujourd’hui et l’existence de l’internet, l’envergure et la force de la “pensée unique” (et le déni collectif) sur 9/11 pose des questions fondamentales pas seulement sur nos institutions mais sur les fondements de la pensée humaine. Comment se fait-il que pratiquement toute la classe intellectuelle a avalé le mythe officiel, tout cru?

Les russes et leur opinion .

Article lié : Les Russes et le nouveau président français

flupke

  08/05/2007

Je m’étonne que Mr Grasset cite l’un des
personnages les plus troubles de l’extrême
droite russe le nommé Jirinovski .
Fatalement que ce personnage éculubre sur
Ségolène Royal .

Sarkosy et la Russie

Article lié : Les Russes et le nouveau président français

Papypeinard

  08/05/2007

La première décision de Sarkosy après avoir été élu a été de prendre des vacances, et pas n’importe où, à bord du yacht de Abramovitch, les Russes vont certainement beaucoup apprécié.