Forum

Pour poster un commentaire, vous devez vous identifier

EADS, guerres communicationnelles et luttes de pouvoir franco-allemandes

Article lié :

JM

  21/10/2007

Je fais suite à votre article du 28 juillet pour vous indiquer celui-ci :

Plus d\‘influence que jamais
29/08/2007
BERLIN/PARIS/MOSCOU
(Compte rendu de la rédaction) - Des responsables français du groupe d\‘armement EADS mettent en garde contre la reprise en fait de l\‘entreprise par Berlin. Pour Jean-François Knepper, le co-président du comité d\‘entreprise EADS, l\‘Allemagne est en train, \“de s\‘approprier ni plus ni moins que l\‘industrie aérospatiale et la défense européenne\”. L\‘occasion lui en est donnée par la lutte pour le pouvoir autour de la nouvelle structure de direction du groupe, et par la querelle au sujet de l\‘introduction d\‘une \“action d\‘or\”. Le gouvernement fédéral triomphe: ainsi que le déclare le secrétaire d\‘Etat parlementaire au ministère fédéral de l\‘Economie Peter Hintze, l\‘Allemagne a d\‘ores et déjà \“une influence plus grande que jamais sur le groupe\”. Afin de renforcer encore sa position face à Paris, Berlin pousse à la coopération du groupe avec Moscou. Comme le confirme le président allemand de la filiale d\‘EADS Airbus, l\‘entreprise franco-allemande envisage d\‘entrer dans le holding aéronautique d\‘Etat russe OAK. La coopération de plus en plus étroite avec la Russie s\’étend également au secteur aérospatial, y compris aux applications militaires.
Au début de la semaine, le groupe aérospatial EADS a mis fin à l\’ère de la double direction binationale. Il a ainsi achevé la restructuration à la tête de l\‘entreprise, négociée au cours d\‘une violente lutte d\‘influence franco-allemande. L\‘unique président exécutif est désormais Louis Gallois, son ancien co-président Thomas Enders dirige à présent la filiale Airbus. Le président du conseil d\‘administration est lui aussi un Allemand, Rüdiger Grube.[1]
Un personnage puissant
La nouvelle structure de direction renforce de manière décisive la position allemande au sein du groupe. Paris n\‘a pas pu empêcher que le poste de président du conseil d\‘administration et celui de président d\‘Airbus soient occupés par des Allemands. Airbus est de loin la plus importante filiale d\‘EADS. Pour la presse allemande, qui a commenté la nouvelle situation, \“Gallois est pris en tenaille par des managers allemands\”: le Français Gallois est certes l\‘unique patron du groupe, mais il est \“sous la haute surveillance de Rüdiger Gruber, qui le contrôle de près\”.[2] En outre, le poste de président d\‘Airbus occupé par Enders est en pratique à peine moins important que celui de président du groupe, dans la mesure où la filiale représente aujourd\‘hui près de 70% du chiffre d\‘affaires d\‘EADS. Le gouvernement fédéral considère lui aussi que l\‘influence allemande est nettement renforcée. Peter Hintze, secrétaire d\‘Etat parlementaire au ministère fédéral de l\‘Economie et coordinateur de l\‘industrie aéronautique et spatiale, estime que le patron d\‘Airbus est \“déjà un personnage puissant\”: \“De ce fait, l\‘Allemagne a une influence plus grande que jamais sur le groupe depuis que celui-ci existe\”.[3]
Bout après bout
Et tandis que le gouvernement fédéral triomphe, l\‘inquiétude grandit en France face à l\‘hégémonie allemande qui s\’étend au sein d\‘EADS. Le comité d\‘entreprise européen du fabricant d\‘avions Airbus constate un net déséquilibre dans le groupe. Jean-François Knepper, le co-président du comité d\‘entreprise, s\‘est montré critique, en constatant que par une pression politique exercée pendant des décennies, l\‘Allemagne a obtenu \“bout après bout\” de l\‘influence, du pouvoir et des positions dirigeantes: \“Les Allemands sont en train de s\‘approprier ni plus ni moins que l\‘industrie aérospatiale et la défense européenne\”.[4]
L\‘action d\‘or
En dépit de la critique embarrassée venant de France, le gouvernement fédéral lance son offensive suivante. Au moyen d\‘une \“action d\‘or\”, Berlin veut augmenter encore son influence chez EADS. Les détenteurs d\‘une telle action disposent de droits nettement plus étendus que d\‘autres actionnaires; celle-ci donnerait aux gouvernements allemand et français un droit de veto pour les questions stratégiques importantes. Paris se rend compte que la proposition allemande est une nouvelle tentative pour retirer à la participation de l\‘Etat dans EADS sa raison d\’être légitime, et réagit négativement.[5] Christine Lagarde, la ministre française des Finances, a déclaré récemment que la question de \“l\‘action d\‘or\” ne figure pas à l\‘ordre du jour. Elle a été contredite par le président allemand du conseil d\‘administration d\‘EADS: Rüdiger Grube a annoncé qu\‘un groupe de travail maison allait examiner dans les mois qui viennent l\‘application du projet allemand, et présenter ses conclusions au plus tard en mai 2008.[6] Le coordinateur du gouvernement fédéral Peter Hintze est \“optimiste\”, et croit pouvoir parvenir rapidement avec la partie française à un accord sur cette disposition, présentée comme une soi-disant mesure de protection contre des rachats hostiles.[7]
Un nouveau géant
Pour un autre gain de position encore, le gouvernement fédéral va se servir du plan d\’économies chez Airbus. Berlin est sorti vainqueur de la lutte franco-allemande pour le pouvoir à l\‘occasion du redressement du groupe. Des domaines importants de la production et de la recherche restent en Allemagne, tandis que la France se voit imposer la perte d\‘un plus grand nombre d\‘emplois.[8] Les trois usines Airbus en République fédérale – celles du nord de l\‘Allemagne, à Nordenham et à Varel, où sont fabriqués des éléments pour des avions civils et militaires, et la grande usine d\‘armement à Augsbourg – doivent donner naissance à l\‘un des plus grands fabricants mondiaux d\’éléments d\‘avion. Ce nouveau géant aéronautique, spécialisé dans les éléments de fuselage, aurait un chiffre d\‘affaires annuel de près d\‘un milliard d\‘euros, et environ 6 000 employés sur trois sites.[9]
Solution allemande
La vente du futur géant aéronautique, en l\‘occurrence du groupe allemand d\‘usines Airbus, suscite une lutte chez les repreneurs, entre des entreprises de la République fédérale et des Etats-Unis.[10] Le chargé de mission gouvernemental Hintze déclare: \“Pour ce qui est de la vente des usines en Allemagne, (...) je suis bien sûr absolument partisan d\‘une solution nationale.\”[11] Les représentants des salariés le soutiennent. Rüdiger Lütjen, le président du comité d\‘entreprise EADS, demande que, pour les usines mises en vente, la préférence soit donnée à un \“partenaire allemand fort\”: \“Nous souhaitons une solution allemande entre les mains d\‘un seul.\”[12]
Partenaire stratégique
La position française chez EADS est encore affaiblie par la coopération germano-russe dans le domaine de l\‘aéronautique. Berlin accélère cette marche en avant avec Moscou, malgré la critique qui vient des Etats-Unis, et en dépit des résistances dans plusieurs Etats membres de l\‘UE.[13] A la demande de l\‘Allemagne, Moscou a déjà acquis un peu plus de 5% des actions d\‘EADS, et insiste pour être reconnu comme \“partenaire stratégique\”.[14] Thomas Enders, le nouveau patron de la filiale d\‘EADS Airbus, a déclaré lors du salon international de l\‘aéronautique et de l\‘espace (MAKS), qui vient de s\‘achever dans les environs de Moscou, que le groupe franco-allemand est par principe prêt à entrer dans le holding public russe OAK. OAK regroupe les plus grands constructeurs d\‘avions du pays et est destiné à être un concurrent du fabricant américain Boeing.[15]
Un signe de la puissance
Le salon international de l\‘aéronautique et de l\‘espace (MAKS) prouve de surcroît que la coopération entre la Russie et l\‘Europe dans ce secteur profite en premier lieu à l\‘industrie allemande. L\‘industrie aéronautique allemande s\‘y est présentée comme plus forte que jamais auparavant: près de la moitié des exposants non russes venaient de la République Fédérale.[16] Dietmar Schrick, le secrétaire général de l\‘Association des entreprises allemandes du secteur aéronautique et spatial (BDLI) a déclaré: \“Cette évolution extrêmement réjouissante montre à quel point le marché russe est attrayant pour l\‘industrie allemande, et combien les perspectives de coopération sont prometteuses.\” Pour lui, \“c\‘est également un signe de la puissance et de la capacité d\‘expansion de l\‘industrie aéronautique allemande\”.[17]
Un potentiel considérable
La coopération vise aussi explicitement à l\‘utilisation militaire de l\‘activité spatiale. L\‘Agence Spatiale Européenne (ESA), où Berlin s\‘est déjà assuré un rôle déterminant dans le contrôle des projets importants du point de vue militaire, vient de décider à Moscou, avec l\‘Agence spatiale russe Roskosmos, la construction d\‘un vaisseau spatial commun pour des vols autour de la Terre, vers la Lune et vers Mars.[18] En même temps, le général Vladimir Popovkine, commandant en chef des Forces spatiales russes, a annoncé qu\’à l\‘avenir la Russie exploitera également à des fins militaires ses vols habités. Il a déclaré: \“Nous réfléchirons à l\‘usage militaire possible des vols habités.\”[19] Des officiers, des grands patrons et des conseillers politiques allemands ont déjà, eux aussi, étudié dans le détail comment le spatial peut servir pour des engagements à l\’échelle mondiale de la Bundeswehr. Leur conclusion: pour la conduite de la guerre, l\‘univers offre \“un potentiel considérable\”.[20]

[1] Airbus hat nun einen deutschen Chef; Die Welt 27.08.2007. Voir aussi Zur Wahrung der Standortinteressen
[2] Daimler-Chrysler stärkt Macht bei EADS; Frankfurter Rundschau 16.07.2007. Deutsche Manager nehmen Gallois in die Zange; Spiegel online 16.07.2007
[3] Hintze sieht deutsche Position bei EADS gestärkt; http://www.dradio.de 17.07.2007
[4] Franzosen fürchten nun deutsche Übermacht; Die Welt 16.07.2007. \“Einfluss, Macht und Führungspositionen ergattert\”; Süddeutsche Zeitung 17.07.2007
[5] Deutschland will Veto-Recht bei EADS; Die Welt 18.07.2007
[6] EADS schützt sich mit \“Goldener Aktie\”; Financial Times Deutschland 27.08.2007
[7] Berlin will EADS rasch schützen; Handelsblatt 27.08.2007
[8] voir aussi Interessen gewahrt
[9] EADS will Werke in Konzern bündeln; Financial Times Deutschland 13.08.2007
[10] Industrie ringt um Airbus-Werke; Handelsblatt 23.08.2007
[11] Hintze sieht deutsche Position bei EADS gestärkt; http://www.dradio.de 17.07.2007
[12] Airbus-Werke sollen in deutscher Hand bleiben; Tagesspiegel 11.07.2007
[13] voir aussi Unheilvoller Schatten, Krieg et Irritationen
[14] \“Wir wollen einen Durchbruch\”; Spiegel online 20.08.2007
[15] EADS öffnet sich dem Werben der Russen; Spiegel online 22.08.2007. EADS prüft Einstieg bei neuer russischer Flugzeugbau-Holding; Handelsblatt 22.08.2007
[16] Luftfahrtmesse in Russland: Made in Germany auf Erfolgstour in Russland; Spiegel online 22.08.2007
[17] BDLI: Deutsche Industrie stark wie noch nie auf der MAKS vertreten; http://www.bdli.de 19.08.2007
[18] Russland will zum Mars fliegen; Tagesspiegel 22.08.2007. Voir aussi Krieg aus dem All
[19] Russland stellt die Weichen für seinen Weg ins All; Die Welt 23.08.2007
[20] voir aussi Astronaut in Uniform

source: http://www.german-foreign-policy.com/fr/fulltext/55943?PHPSESSID=5p71oa8ga2dd3siuspisqbad12

Le ton est extrêmement faucon-esque. Ce site est la vitrine d\‘un groupe un groupe \“indépendant\” de publicistes et de scientifiques qui observent les efforts de l\‘Allemagne pour redevenir une grande puissance sur le plan économique, militaire et politique.

Certains de leurs arguments pourraient néanmoins se voir battus en brèche: ils ne prennnent pas en compte la cession d\‘un septième ensemble industriel, Allemand, annoncée au début aout et représentant 2000 personnes supplémentaires se traduira sans doute par des licenciements supplémentaires et équilibrera plus ou moins la balance.(http://www.lefigaro.fr/actubourse/20070810.FIG000000043_airbus_va_alourdir_son_plan_power.html)
L\‘alliance Germano-Russe semble également précaire et sur-vantée: lors de l\‘entrée de la VTB dans Airbus à l\’été 2006, le gouvernement Allemand et les Landers qui voulaient à l\’époque racheter des parts vendues par Daimler s\‘en étaient inquiétés.

La guéguerre de pouvoir continue donc au sein d\‘EADS. Au centre de cette tourmente, Louis Gallois aura-t-il suffisamment de liberté d\‘action pour couper court à ces ingérences étatiques et relancer son entreprise ? Plutôt que de tirer la couverture à elles, les différentes parties vont-elles parvenir à un pacte assurant la stabilité et le développement de ce que chacun s\‘accorde à nommer le fleuron européen de l\‘aéronautique ? La réémergeance du populisme économique, illustrée par cet article me pousse au doute. Qu\‘en pensez-vous ?

Clin d'oeil

Article lié : Mystères de la “politique profonde” et du COG

René M.

  20/10/2007

Joli clin d’oeil à nos posts (des uns et des autres)  de l’autre jour en réaction à “Bienvenu 9/11”

Dit comme vous le faites aujourd’hui ! je pense que nous sommes finalement assez d’acord . Et je vais sûrement m’intéresser au livre évoqué .

Peut être d’ailleurs ce livre sera-t’il une excellente “voie d’accès”  pour par exemple des gens de mon entourage plutôt style intellos , mais qui sont pourtant remarquablement bloqués sur l’image :  9/11 = islamistes . ( point)

Cependant pour l’homme de la rue, pour les foules en général,  je reste persuadé que la prise de conscience de la vraie nature du jour de “l’accident accélérateur” comme vous dites , d’un processus déjà à l’œuvre, cette prise de conscience est la voie d’accès la meilleure à ces questions

Une fois - déniaisés -  (comme diraient les Québecquois)  sur les faits de ce jour extraordinaire , ceux qui en auront l’envie et la possibilité (et les capacité)s pourront alors potasser les questions de la genèse , de l’installation progressive des structures d’un pouvoir de l’ombre (  GOG et deep politics ). Faire le lien avec des faits plus anciens décryptés etc… Bref comprendre l’Histoire de ce subvertissement progressif de la démocratie qui a rendu possible une journée pareille !

Et plus nombreux seront les yeux ouverts mieux ce sera ,et le plus tôt sera le mieux . Et pour que “nombreux soient ces yeux ouverts”  il nous faut ” Dire, Dire” partout, sans cesse…  et .... clairement, les choses.
SILENCE -  IS THE DEATH OF LIBERTY !
(maxime vue sur un blog américain : le George Washington blog )

J’ajouterai que lorsque Peter Dale Scott dit   “When asked for my opinon of what happened on 9/11, I customarily answer that I am sure of one thing only: that there has been a significant cover-up of vital issues.”

Je considère que c’est enfoncer des portes ouvertes à coup de langue de bois
Heureusement son livre est sans aucun doute, plus explicite ?

A propos du livre de Scott

Article lié : Mystères de la “politique profonde” et du COG

Jean-Paul Baquiast

  20/10/2007

Merci à Dedefensa d’avoir signalé ce livre, que je compte bien lire moi aussi. Mais je voudrais formuler à ce sujet une observation déjà présentée. Comment des analyses de ce type, apparememnt pénétrantes et informées n’entraînent elles pas de réactions des forces démocratiques (je suppose qu’il en reste beaucoup en Amérique), lesquelles mettraient en échec les menées des pouvoirs occultes dénoncés.

Je suppose que la réponse est systémique. La puissance du MICC est si forte qu’elle échappe à toutes les oppositions qu’elle peut susciter. La démocratie américaine est sans doute l’alibi permettant au superorganisme exerçant le pouvoir réel aux Etats-Unis de continuer à opérer en toute tranquillité et dans une ombre plus profonde encore que celle dénoncée par les critiques du système.

Je commence à devenir géné pour DeDefensa...

Article lié : Bienvenu, 9/11

Stephane

  20/10/2007

Je suis tout à fait d’accord avec les commentaires de René M et Alladin.

Et je vois le virtualisme dénnoncé par DeDefensa etrangler ce même DeDefensa.

Ce refus d’accepter la réalité de 911, puis dans un second temps de tenter de dire que quoi qu’il en soit, cette réalité n’est que de seconde importance et n’est pas à considérer dans le cadre d’une analyse de la situation contemporaine.

A lire DeDefensa qui dit: “c’est un peu comme 9/11, comme ceux qui font de cet événement un cataclysme, et un cataclysme comploteur éventuellement, selon la logique transparente qu’il y a un “avant-9/11” et un “après-9/11””.

On voit bien qu’il y a chez DeDefensa un refus de la proposition de Webster Griffin Tarpley faite dans son ouvrage majeur “911 Synthetic Terrorism” qui explique la CONTINUITE des attaques commencées sous l’administration Clinton, avec le point culminant de 911.

On retrouve ces même mecanismes au sein de l’administration usaméricaine pour refuser d’expliquer la traque puis l’oubli de Ben Laden.

L’ironnie n’a jamais été aussi belle.

Il faut espérer que DeDefensa balaira un jour devant sa porte. :-)

Mais DeDefensa n’est pas le seul.

Un autre esprit brillant a exactement le même comportement.

Je pense à Jean-Philippe Immarigeon et son blog http://americanparano.blog.fr

Même rejet initial, suivit du même jugement sur le caractère innofensif de l’évènement 911.

On voit que le virtualisme est décidemment purement psychologique et que nulle “intelligence” ne saurait l’arréter.

Quel régal de voir les aveugles pérorer de discours à la fois si justes et si conformistes.

DeDefensa, vous lire est un plaisir, mais vous observer est encore plus intéressant.

Stephane Eybert

Des nouvelles de nos missiles nucléaires en vadrouille

Article lié :

Stéphane

  20/10/2007

70 punished in accidental B-52 flight

Fri Oct 19, 7:58 PM ET

WASHINGTON - The Air Force said Friday it would punish 70 airmen involved in the accidental, cross-country flight of a nuclear-armed B-52 bomber following an investigation that found widespread disregard for the rules on handling such munitions.

“There has been an erosion of adherence to weapons-handling standards at Minot Air Force Base and Barksdale Air Force Base,” said Maj. Gen. Richard Newton, the Air Force deputy chief of staff for operations.

Newton was announcing the results of a six-week probe into the Aug. 29-30 incident in which the B-52 was inadvertently armed with six nuclear-tipped cruise missiles and flown from Minot in North Dakota to Barksdale in Louisiana without anyone noticing the mistake for more than a day.

The missiles were supposed to be taken to Louisiana, but the warheads were supposed to have been removed beforehand.

A main reason for the error was that crews had decided not to follow a complex schedule under which the status of the missiles is tracked while they are disarmed, loaded, moved and so on, one official said on condition of anonymity because he was not authorized to speak on the record.

The airmen replaced the schedule with their own “informal” system, he said, though he didn’t say why they did that nor how long they had been doing it their own way.

“This was an unacceptable mistake and a clear deviation from our exacting standards,” Air Force Secretary Michael W. Wynne said at a Pentagon press conference with Newton. “We hold ourselves accountable to the American people and want to ensure proper corrective action has been taken.”

Newton acknowledged that the Air Force needs to “restore the confidence” lost among the American people after the August incident, which raised questions about the safety of the country’s nuclear arsenal.

“We are making all appropriate changes to ensure this has a minimal chance of ever happening again,” Wynne said.

Newton said the flight in question resulted from an “unprecedented string of procedural errors,” beginning with a failure by airmen to conduct a required inspection of the missiles before they were loaded aboard the B-52 bomber at Minot. The crew flying the plane was unaware nuclear warheads were on its wing, though it wasn’t explained what role they played in the mistake.

Highest among those to be punished are four officers who were relieved this week of their commands, including the 5th Bomb Wing commander at Minot — Col. Bruce Emig, who also has been the base commander since June.

In addition, the wing has been “decertified from its wartime mission,” Newton said.

Some 65 airmen have been decertified from handling nuclear weapons. The certification process looks at a person’s psychological profile, any medications they are taking and other factors in determining a person’s reliability to handle weapons.

After it was loaded with the missiles, the B-52 sat overnight at Minot, flew the next morning to Louisiana, and then sat on a tarmac again for hours before anyone noticed the nuclear warheads.

Newton avoided repeated questions on what extra security would have been required if crews had known the nuclear weapons were on the plane. But another official later said privately that security was increased as soon as the nuclear warheads were discovered.

The Air Combat Command ordered a command-wide stand-down — instituted base by base and completed Sept. 14 — to set aside time for personnel to review procedures, officials said.

The incident was so serious that it required President Bush and Defense Secretary Robert Gates to be quickly informed.

Wynne prefaced his remarks about the B-52 incident by saying that, in publicly confirming that nuclear weapons were involved, he had authorized a one-time exception to U.S. policy, which states that the location of nuclear weapons will never be confirmed publicly. He said he made this exception because of the seriousness of the episode and its importance to the nation.

The weapon involved was the Advanced Cruise Missile, a “stealth” weapon developed in the 1980s with the ability to evade detection by Soviet radar. The Air Force said in March that it had decided to retire the Advanced Cruise Missile fleet soon, and officials said after the breach that the missiles were being flown to Barksdale for decommissioning.

http://news.yahoo.com/s/ap/20071019/ap_on_go_ca_st_pe/nuclear_mistake

Lebanon US base to counter Qaeda, Hezbollah or Russia∫

Article lié :

loxydental

  19/10/2007

Au fait, c’était pourquoi Nahr El Bared?
Réponse peut-être ci-dessous:

Lebanon US base to counter Qaeda, Hezbollah or Russia?
Mohamad Shmaysani

18/10/2007 The issue of building a US airbase in northern Lebanon has
resurfaced. Senior US political and military officials have been flocking
into Lebanon since the Israeli war against Lebanon in 2006, the last of whom
is Eric Edelman, the US Undersecretary of Defense for policy, heading a
Pentagon delegation. The Lebanese daily Assafir raised speculations of a
likelihood to build US military bases in Lebanon and alter the Lebanese
army’s creed. “It is perceived that the US is focusing on the army’s
directive which includes the fundamental national policy adopted by the
army, particularly article five which stresses on the brotherly and special
ties between Lebanon and Syria and article eight which underscores
supporting the resistance,” Assafir said.
In the report which the daily said is based on “reliable sources”, the Eric
Edelman delegation met with the head of the unconstitutional government
Fouad Saniora, Defense Minister Elias el-Murr and Army General Michel
Suleiman and tackled four issues: the military situation in Lebanon,
security and intelligence, the situation of the Lebanese Army and Lebanese
state policy. 

US Ambassador to Lebanon Jeffery Feltman, who reportedly attended the
Pentagon delegation meeting dismissed Assafir daily report as insulting to
the Lebanese army. Sources closed to Saniora’s unconstitutional government
brushed aside as fabricated reports that the US had proposed building
military bases.

Earlier reports revealed that a US airbase in the north of Lebanon would be
built in the model of El-Udeid base in Qatar, for covert operations against
the Syrian regime and to safeguard the oil pipelines of Baku-Tiflis-Ceyhan
and Mosul-Kirkuk-Ceyhan.

“According to the US plan six military bases will be set up, three in Iraq,
one in Jordan, one in Saudi Arabia and one in Lebanon. It is believed that
the Lebanese government is approving the establishment of the base and the
name of the base will be the US-Lebanese Center for Rehabilitation of the
Army in order to cover the real activity of the base,” Amin Hotait, a
retired army colonel said.

Prominent Journalist Franklin Lamb said that the project is being promoted
as a ‘US - NATO’ base that will serve as the headquarters of a NATO rapid
deployment force, helicopter squadrons, and Special Forces units, to make it
more palpable.
“The Pentagon and NATO HQ in Belgium have given the project which, will sit
along the Lebanese-Syrian border, using this vast area “as a base for fast
intervention troops”, a name. It is to be called The Lebanese Army and
Security training centre”. The base will provide training for the Lebanese
army and security forces fighting Salafi, Islamist fundamentalists and other
needs,” he said. As reported by the NATO headquarters in Brussels, an
American-German-Turkish military delegation toured and surveyed Akkar
region. US Embassy ‘staff’ have reportedly visited Kleiaat airport earlier
this year to look over the site. US Assistant Secretary for Near Eastern
Affairs David Welch also had a quick look at the site during his recent
visit.

The Pentagon argues that the military base will contribute to the
development and the economic recovery in the region, advising the Lebanese
government to focus on the financial aspect and positive reflection on the
population of the region. Contenders for the billion dollar project,
according to the Pentagon procurement office could be Bechtel and
Halliburton and other Contractors currently doing projects in Iraq.

Former Lebanese Prime Minister Martyr Rafik Hariri, saw potential for the
Kleiaat airport as well. But he very much opposed a US airbase. He was
assassinated in 2005. 

“According to Washington observers watching developments, the base has been
pushed by elements in the office of the US Secretary of Defense and the
Joint Chiefs of Staff at the urging of Israeli operative Elliot Abrams.
AIPAC can be expected to do the necessary work in Congress and with House
Foreign Affairs, Appropriations, Intelligence, and Armed Service committees
hermetically sealed by stalwarts of the Israel Lobby, it can be expected
that it will be added as a rider to an unsuspecting House bill coming
along,” Lamb wrote.

“We need to get this base built as quickly as possible as a forward thrust
point against Al Qaeda and other (read Hezbollah) terrorists”, according to
AIPAC staffer Rachael Cohen.
“The question for Lebanon is whether the Lebanese people will allow the base
to be built. Few in North Lebanon doubt that Israel will have access to the
base.”

The Pentagon delegation headed by Edelman highlighted the issue of
“extensive Russian presence” North of Syria; a threat to US presence in the
region. The delegation also pointed to an ongoing “US - Russian cold war”,
new strategies adopted by Moscow and new moves which require a change of US
strategy, especially in Lebanon, which is the closest location to the
Russian base on the Syrian Port city of Lathikiya. 

"out of control"

Article lié :

miquet

  19/10/2007

Many in the US Military Think Bush and Cheney Are Out of Control’
SPIEGEL ONLINE – October 15, 2007

SPIEGEL ONLINE: Mr. Kolko, editorials in US papers like the Wall Street Journal, the Weekly Standard and the National Review are pushing for military action against Iran. How does the leadership in the US military view such a conflict?

Gabriel Kolko: The American military is stretched to the limit. They are losing both wars in Iraq and Afghanistan. Everything is being sacrificed for these wars: money, equipment in Asia, American military power globally, etc. Where and how can they fight yet another? The Pentagon is short of money for procurement, and that is what so many people in the military bureaucracy live for. The situation will be far worse in the event of a war with Iran.

Many in the American military have learned the fundamental dilemma of modern warfare: More money and better weapons don’t mean that you win. IEDs, which cost so little to make, are defeating a military which spends billions of dollars per month. IEDS are so adaptable that each new strategy developed by the United States to counter them is answered by the Iraqi insurgents. The Israelis were also never quite able to counter IEDs. One report quotes an Israeli military engineer who said the Israeli answer to IEDs was frequently the use of armored bulldozers to effectively rip away the top 18 inches of pavement and earth where explosive devices might be hidden. This is fantastic, as the cost of winning means destroying roads, which form the basis of a modern economy.

SPIEGEL ONLINE: Are people in the Pentagon getting nervous about how influential voices in the White House continue to push for conflict with Iran?

Kolko: Many in the US military think Bush and Cheney are out of control. They are rebelling against Bush and Cheney. Washington Post reporter Dana Priest recently said in an interview that she believed the US military would revolt and refuse to fly missions against Iran if the White House issued such orders.

CENTCOM [US Central Command, the military grouping whose responsibilities include the Middle East] commander Admiral William Fallon reportedly thwarted Cheney’s wish to sent a third additional aircraft carrier to the Persian Gulf. One paper wrote that he “vowed privately there would be no war against Iran as long as he was chief of CENTCOM.”

Lt. Gen. Bruce Wright, in charge of US forces in Japan, told the Associated Press last week that the Iraq war had weakened American forces in the face of any potential conflict with China. He was quoted as saying, “Are we in trouble? It depends on the scenario. But you have to be concerned about the small number of our forces and the age of our forces.”

SPIEGEL ONLINE: Do you think that conflict with Iran is likely?

Kolko: All the significant economic journals (Financial Times, Wall Street Journal, etc.) recognize that the American and European economies are now in a crisis, and it may be protracted. The dollar is falling; Gulf States and others may abandon it (as an investment currency). A war with Iran would produce economic chaos because oil would be scarce. There are states which the United States wishes to isolate, like Russia and Venezuela, who can develop great influence through their ability to sell oil in such a crisis. The balance of world economic power is involved, and that is a great issue.

(...)

Loi du "marché" des bulles et des mythes (article du Wall Street Journal... Murdoch !)

Article lié :

Francis

  19/10/2007

« Aujourd’hui, après une décennie de croissance effrénée des titres adossés aux emprunts hypothécaires, et autres produits financiers sophistiqués échangés en dehors des marchés, la transparence a disparu. De larges secteurs des marchés financiers se sont transformés en trompe-l’œil, » écrit le Wall Street Journal.

En cause, la valorisation des CDO, ces titres créés par les banques dont la valeur est adossée à des emprunts immobiliers. Depuis le début de la crise des subprimes, ou les défaillances d’emprunteurs ont remis en cause la rentabilité promise, ces titres ne trouvent plus preneurs. Mais sans marché, comment évaluer leur prix ?

Sans valeur reconnue de marché, la valorisation réelle des portefeuilles ne peut plus s’effectuer non plus, et de nombreux fonds d’investissement portent à leur bilan des chiffres « irréalistes, » juge le WSJ.

Warren Buffet estime que certains gestionnaires font preuve de beaucoup d’imagination lorsqu’ils évaluent leurs avoirs. « Ils appellent cela comptabilisation à la valeur du marché (marked to market), mais en réalité c’est comptabilisé à une valeur mythique (marqued to myth).

Cette difficulté à établir les prix dissuade les acheteurs éventuels ce qui en retour amplifie le phénomène. Sur un marché sans transaction, personne ne sait plus comment valoriser, et la publication des cotes devient difficile par manque d’information.

Ce genre de phénomène s’était déjà produit en plusieurs circonstances, dont la plus récente remonte à 1998 lors de la faillite du fond d’investissement Long Term Capital Management, mais la situation est bien plus grave aujourd’hui note le WSJ.

Le marché des titres gangrené par les valorisations douteuses, 18 octobre 2007
http://contreinfo.info/article.php3?id_article=1342

Dénonciation

Article lié : L’assassinat réussi de POTUS le 19 octobre 2007

Dominique Larchey-Wendling

  19/10/2007

A l’époque où j’ai vu ce film, il y a un an environ, je l’ai perçu comme un dénonciation par avance d’une tentative de prise de pouvoir de Cheney par assassinat du président : “After all, Cheney is just one heartbeat away from being president”.

Tiens, tiens..

Article lié :

miquet

  19/10/2007

ABM: les antimissiles américains défendront la Pologne face à la Russie (premier ministre polonais)
18:05 | 18/ 10/ 2007

MOSCOU, 18 octobre - RIA Novosti. Les missiles intercepteurs américains sont nécessaires à la Pologne pour la défendre contre la Russie, a déclaré jeudi le premier ministre polonais Jaroslaw Kaczynski, cité par Reuters.

“Cela renforcera notre sécurité (...). Nous ne devons pas oublier que nous sommes constamment exposés à une menace. Les Russes n’ont pas accepté les changements survenus depuis 1989. Ils semblent croire que nous nous trouvons dans leur sphère d’influence”, a déclaré le premier ministre polonais interrogé lors d’une conférence de presse sur les motifs qui poussent la Pologne à accueillir sur son territoire des missiles intercepteurs américains.

Les Etats-Unis affirment de leur côté que ces engins seront déployés pour intercepter les missiles iraniens.

(...)

Autour du pot

Article lié : Bienvenu, 9/11

René M

  19/10/2007

D’accord avec FB.Que de temps perdu à tourner autour du pot ! sur ce sujet

il suffit de partir des “éléments techniques” et seulement eux ! ils conduisent à une évidence forte , cohérente, entre ces différents faits examinés dans cet aspect technique.

Partant de là qu’il y est eu “avant” une lente (ou plus ou moins rapide dérive, ou des prémisses, ne change rien au fait que 9/11 fut un franchissement irréversible dans ce processus .disons une sorte de franchissement du rubicon .

Cette attitude , votre attitude que l’on sent effectivement réticente à ce point de vue,

je pourrais la comprendre d’un esprit encore illusonné sur le système américain. cela représente en effet pour un fidèle des fidèles un acte ressemblant à la perte de la foi dans le domaine religieux. de là sans doute la passion qui se glisse dans les débats entre les partisans contre ou pour la théorie du complot intérieur, et ceux qui pris de vertige “en entrevoyant la chose”  se débattent comme s’ils se noyaient ,et se raccrochent au propre et au figuré à tous les débris possible pour refuser l’évidence

Mais de vous et d’y revenir sans cesse en tournant autour ?

J’avoue que j’ai du mal à me l’expliquer !

pendant ce temps le vent tourne on commence à faire foule… et y a même du beau monde.
voir éventuellement là toutes ces personnalités : http://www.patriotsquestion911.com/ 

Cordialement

pourquoi cette non 'dénonciation explicite' ∫

Article lié : Bienvenu, 9/11

Aladin

  19/10/2007

oui, ça me fait le même effet que le commentaire précédent,
amusant ce décalage entre une pensée de dedefensa si fouillée et la non ‘dénonciation explicite’ des attentats orchestrés du 11 septembre 2001.
Bien sur il est difficile de mettre un NOM sur les personnes ou les organisations qui ont manoeuvré, sauf N.O.M. ‘Nouvel Ordre Mondial’ peut-être. (...facile!)

voici un petit dossier de quelques éléments prouvant la falsification/orchestration des attentats.
(en prenant l’affaire des écoles de pilotage d’avion aux guerres en Afganisthan et Irak, le nombre d’incohérences, bizarreries doit se monter à 800, je vous les épargnent et à moi aussi)

http://www.choix-realite.org/?3049-11-septembre-2001

Naomi Klein

Article lié : Bienvenu, 9/11

Dominique Larchey-Wendling

  18/10/2007

Je crois qu’avec le livre “The Shock Doctrine”, la gauche américaine pourrait bien se trouver une excuse à sa cécité dans l’analyse du 11 septembre. Elle en a bien besoin pour ne pas se sentir complice d’un crime.

Ce qui lui permettrait ensuite de se remettre en cause et de recommencer à penser cet évènement en le situant dans une histoire américaine : vous savez action/réaction, causes/conséquences etc ...

Saddam & Iran

Article lié :

Bruno

  18/10/2007

Un rappel bref des 30 dernieres annees au proche orient.
1-les US installent le shaa en Iran
2-Khomeni arrive de france et installe le pouvoir islaqique.
3-prise d\‘otages de l\‘embassade US a theran.
4-Echec de liberation des otages par le commando aeroporté US (echouee´s dans le desert)
5-Mise en place de Saddam Hussein par les US. Objectif utiliser l’irak pour envair l’Iran.
Rumsfeld alors secretaire a la defense fournit meme des aides a cet effet.
6-guerre Irak (appuyé par l’occident)contre l’Iran (appuyé par Israel qui a l’epoque craint saddam)
7-Suite a l’echec d’invasion de l’iran, Rumsfeld suspend les finances. Saddam tourne contre les US
8-Les Kurdes irakiens qui s’etaient alignees avec l’iran durant la guerre sont menacés et font la guerre a l’irak (ligne de front 4KM est de Erbil, capitale du kurdistan)
9-des compagnies occidentales font des forages en travers. Depuis le kuweit pompent des puits dans la proche region de Basra en Irak.
10-Invasion du Kuweit par Saddam et consequente Iºguerre du golfe
11-Lors de la mise en place de l’euro, Saddam opte de l’utiliser pour les transactions au detriment du dollar.
12-les USA font de deux pieces un coup et aprés le tapage mediatique sur les armes de destruction massive, reçoivent l’appui du royaume uni et autres (par USD)
13-invasion de l’Irak

Essayez a enoncer le nombre de guerres faites par l’Amerique depuis sa fondation, mais en gros, omis la periode de la guerre de secession, ILS ONT TOUJOURS ETE EN GUERRE ET LE SERONT TOUJOURS PARCE-QUE L’AMERICAIN LE VEUT AINSI. Au nom du dollar!

dedefensa

Article lié : Les raisins de l’inconséquence

Solerti

  18/10/2007

Il me semble que,en europe sourtout, on a perdu la notion de DEFENSE. Pourtant ceci a un moment ou de defense en europe on a un grand besoin.
La defense de chaque nation a ete cree pour proteger ses citoyens, or les peuples d’europe depensent des sommes extraodinaires pour des defenses utilisees dans les 4 coins du monde, alors que dans nos propres villes (pour le moment! puis partout?)les gens, sans respect d’age ou de sexe, se font assassiner, violer et voler. Ceci impunement,puisque au nom d’associations, les brigands sont protegees, les peines ridcules, la justice inexistante,Puis si l’europeen par malheur se rebiffe et fait mal au brigand, les memes forces de l’ordre (?)qui sont payees par lui-meme, le convoquent au tribunal pour payer une substantielle compensation a sa victime (tortionnaire)
L’europe doit definir des objectifs de defense communs(qui ne sont pas les memes que les USA) puis en rapport des objectifs definis s’organiser,en personnel, materiels, pour arriver a ce pour lequel est destinee, c’est a dire enfin PROTEGER L’EUROPE ET SES CITOYENS.
Actuellement presque tous les pays d’europe ont des bases US sur leur sol, mais se reclament independants, on ne fait pas ce qu’on veut
avec un lyon dans la maison. Donc cette notion d’independance est nouvelle.
Parlons plus de la defense EUROPEENNE ET DES EUROPEENS puisque actuellement nous allons vers un ravin!