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La Folie........

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Greney Eric

  02/12/2007

US says it has right to kidnap British citizens
David Leppard
December 2, 2007

AMERICA has told Britain that it can “kidnap” British citizens if they are wanted for crimes in the United States.
A senior lawyer for the American government has told the Court of Appeal in London that kidnapping foreign citizens is permissible under American law because the US Supreme Court has sanctioned it.
The admission will alarm the British business community after the case of the so-called NatWest Three, bankers who were extradited to America on fraud charges. More than a dozen other British executives, including senior managers at British Airways and BAE Systems, are under investigation by the US authorities and could face criminal charges in America.
Until now it was commonly assumed that US law permitted kidnapping only in the “extraordinary rendition” of terrorist suspects.
The American government has for the first time made it clear in a British court that the law applies to anyone, British or otherwise, suspected of a crime by Washington.
Legal experts confirmed this weekend that America viewed extradition as just one way of getting foreign suspects back to face trial. Rendition, or kidnapping, dates back to 19th-century bounty hunting and Washington believes it is still legitimate.
The US government’s view emerged during a hearing involving Stanley Tollman, a former director of Chelsea football club and a friend of Baroness Thatcher, and his wife Beatrice.
The Tollmans, who control the Red Carnation hotel group and are resident in London, are wanted in America for bank fraud and tax evasion. They have been fighting extradition through the British courts.
During a hearing last month Lord Justice Moses, one of the Court of Appeal judges, asked Alun Jones QC, representing the US government, about its treatment of Gavin, Tollman’s nephew. Gavin Tollman was the subject of an attempted abduction during a visit to Canada in 2005.
Jones replied that it was acceptable under American law to kidnap people if they were wanted for offences in America. “The United States does have a view about procuring people to its own shores which is not shared,” he said.
He said that if a person was kidnapped by the US authorities in another country and was brought back to face charges in America, no US court could rule that the abduction was illegal and free him: “If you kidnap a person outside the United States and you bring him there, the court has no jurisdiction to refuse — it goes back to bounty hunting days in the 1860s.”
Mr Justice Ouseley, a second judge, challenged Jones to be “honest about [his] position”.
Jones replied: “That is United States law.”
He cited the case of Humberto Alvarez Machain, a suspect who was abducted by the US government at his medical office in Guadalajara, Mexico, in 1990. He was flown by Drug Enforcement Administration agents to Texas for criminal prosecution.
Although there was an extradition treaty in place between America and Mexico at the time — as there currently is between the United States and Britain — the Supreme Court ruled in 1992 that the Mexican had no legal remedy because of his abduction.
In 2005, Gavin Tollman, the head of Trafalgar Tours, a holiday company, had arrived in Toronto by plane when he was arrested by Canadian immigration authorities.
An American prosecutor, who had tried and failed to extradite him from Britain, persuaded Canadian officials to detain him. He wanted the Canadians to drive Tollman to the border to be handed over. Tollman was escorted in handcuffs from the aircraft in Toronto, taken to prison and held for 10 days.
A Canadian judge ordered his release, ruling that the US Justice Department had set a “sinister trap” and wrongly bypassed extradition rules. Tollman returned to Britain.
Legal sources said that under traditional American justice, rendition meant capturing wanted people abroad and bringing them to the United States. The term “extraordinary rendition” was coined in the 1990s for the kidnapping of terror suspects from one foreign country to another for interrogation.
There was concern this weekend from Patrick Mercer, the Tory MP, who said: “The very idea of kidnapping is repugnant to us and we must handle these cases with extreme caution and a thorough understanding of the implications in American law.”
Shami Chakrabarti, director of the human rights group Liberty, said: “This law may date back to bounty hunting days, but they should sort it out if they claim to be a civilised nation.”
The US Justice Department declined to comment.
Additional reporting: Anna Mikhailova
http://www.timesonline.co.uk/tol/news/world/us_and_americas/article2982640.ece

Le virtualisme est-il un concept nouveau ∫

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Dominique Larchey-Wendling

  02/12/2007

“L’isolement croissant des élites signifie entre autres choses que les idéologies politiques perdent tout contact avec les préoccupations du citoyen ordinaire. La débat politique se restreignant la plupart du temps aux << classes qui détiennent la parole >

>, comme on a eu raison de les décrire, devient de plus en plus nombriliste et figé dans la langue de bois. Les idées circulent et recirculent sous forme de scies et de réflexes conditionnés. La vieille querelle droite-gauche a épuisé sa capacité à clarifier les problèmes et à fournir une carte fiable de la réalité. Dans certains secteurs, l’idée même de la réalité est mise en cause, peut-être parce que les classes qui détiennent la parole habitent un monde artificiel dans lequel des simulations de la réalité remplacent la réalité proprement dite.”

Christopher Lasch 1996.

“La révolte des élites et la trahison de la démocratie”

Chapitre 4, “La démocratie mérite-t-elle de survivre ?”

Chaos créateur

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Alain Benajam

  02/12/2007

A propos d’un article de P. Grasset sur le chaos je me suis permis une glose théorique sur mon blog.

http://www.alain-benajam.com/article-14297191.html

Un avion voyou américain détruit un oléoduc crucial pour les Etats-Unis

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ursulon

  01/12/2007

Par Sorcha Faal, le 29 novembre 2007

Source : http://www.whatdoesitmean.com/index1051.htm

Traduction AlterInfo, révisée:

D’inquiétantes informations circulent au Kremlin à propos d’une attaque qui a eu lieu aux Etats-Unis contre un oléoduc essentiel pour l’approvisionnement de ce pays. Venant du Canada, cet oléoduc fournit un cinquième de l’alimentation en pétrole des Etats-Unis ; sa mise hors service a entraîné une hausse du prix du baril de plus de quatre dollars sur le marché mondial.

Les médias occidentaux ont indiqué que la très forte explosion était « accidentelle ». Ainsi, CNN indique :
« Une explosion suivie d’ un incendie a tué deux ouvriers et interrompu l’approvisionnement sur un oléoduc transportant du pétrole brut depuis le Canada vers les Etats-Unis, a déclaré l’exploitant du pipeline. Enbridge Inc, qui possède et exploite un réseau de pipelines au Canada et aux États-Unis, a déclaré mercredi que l’accident, survenu dans le nord de l’Etat du Minnesota, a contraint la compagnie à fermer temporairement quatre oléoducs.
La compagnie a indiqué que l’explosion s’était produite mercredi, à environ cinq kilomètres au sud-est de son terminal de Clearbrook, dans le Minnesota. Elle a déclaré qu’une enquête était en cours, en liaison avec les autorités fédérales et celles de l’État. »

En dépit de ces informations, des experts pétroliers russes, soulignent que, sauf introduction d’un explosif incendiaire, la probabilité pour qu’un pipeline de pétrole brut explose spontanément sont nulles, car il n’y a présence d’aucun des composants organiques volatiles nécessaires à l’allumage.

Les analystes militaires russes évoquent un tableau plus inquiétant de cet événement troublant. Cela a commencé avec interdiction de vol cette semaine par l’US Air Force, pour la deuxième fois en un mois, des chasseurs à réaction F-15 qui sont la première ligne de défense des États-Unis.

Le fait que l’ensemble des avions de combat F-15, soient cloués au sol laissant sans protection l’espace aérien au-dessus des oléoducs du Minnesota, a nécessité le redéploiement immédiat de la 148ème Fighter Wing de la Garde Nationale Aérienne du Minnesota sur le Corridor Est des États-Unis, afin de maintenir des avions disponibles sur cette zone.

La traduction, par les militaires russes, des communications émanant de la Base de l’US Air Force d’Offutt dans le Nebraska, montrent parmi les contrôleurs militaires qui surveillaient l’espace aérien Nord des États-Unis au moment de l’explosion, une énorme confusion due au vol « non signalé » et « non autorisé » de ce qu’ils ont pensé être deux avions militaires furtifs F﷓117A Night Hawk provenant d’une base aérienne « inconnue » du Nevada.

Ces informations soulignent que la perte de l’oléoduc survient à un moment critique, au moment où l’armée américaine a des besoins urgents de carburant au Moyen-Orient, comme l’indique une dépêche de Reuters :
« L’armée américaine intensifie l’affrètement de pétroliers pour satisfaire une demande supplémentaire de carburant dans la zone de l’U.S. Central Command, qui inclut la région du Golfe, ont indiqué des sources proches de l’industrie pétrolière. L’une d’elle a précisé que ces affrètements suggéraient une grande activité navale, peut-être pour démontrer à l’Iran que l’US Navy protégera le détroit d’Ormuz en cas de tensions à propos du programme nucléaire de Téhéran. »

Les analystes russes précisent que l’économie américaine ne pourra pas supporter longtemps l’énorme quantité de pétrole consommée par leurs forces armées, à moins de restreindre sévèrement leur consommation intérieure. Par ailleurs, l’OPEP a annoncé aux Etats-Unis qu’elle garantirait l’approvisionnement pétrolier de l’Asie, qui constitue 50% de sa production, éventuellement au détriment des Etats-Unis.

Schizophrenie UK

Article lié : Enjeu transatlantique, donc enjeu européen

Bobino

  01/12/2007

Le paradoxe de la position britanique (la schizophrenie), mis provisoirement dans l’ombre par le rejet du traite conctitutionnel UE de mai 2005, ne trouverait-il pas une soupape de detente vers le Commonwealth?
Renationalisation, emancipation vis a vis de l’UE (facile!) et des US (espoir!), renforcement de l’administration centrale du resau Commonwealth (en mode liberal, bien sur).

Un autre brulôt du Financial Times

Article lié : “(Very) Blue Mood”

Hashem Sherif

  01/12/2007

FT.com
Saturday Dec 1 2007Saturday Dec 1 2007

Judicial torture and the NatWest 3

By Martin Wolf

Published: November 29 2007 19:38 | Last updated: November 30 2007 06:30

The case of the “NatWest three” has stirred up huge concern among business people in the UK. This week, however, we learn that the three former NatWest bankers have pleaded guilty to wire fraud. So was this just much British ado about nothing? My answer is: “no”. The fact that these three men pleaded guilty does not prove they were. It demonstrates that the offers made by US prosecutors are of a kind sensible people cannot refuse. The pressures the former can exert make it rational, even for the innocent, to plead guilty. I do not know whether that happened here. But it would not be very surprising.

This case had yet another disturbing feature: the fact that the three men were extradited under a treaty agreed with the US in 2003 that allows US courts to extradite people without establishing a prima facie (preliminary) case in a British one. Many believe the good reason for this change was the need to co-operate over terrorism. Yet it has, in practice, been used extensively against British business people by US prosecutors who are targeting white-collar crime.

Because so many British businesses have some US involvement, their vulnerability to this judicial activism is self-evident. What made the case of the NatWest three more remarkable is that the bank, alleged victim of the fraud, never pressed for a British investigation of the events.

Yet why should anybody object to the extradition of suspects to face US justice? Is America not, after all, a bastion of the rule of law? The answer, I fear, is: “alas, no”. The urge to find guilt has overwhelmed the presumption of innocence on which Anglo-Saxon justice is based. It is easy to understand the frustration that ambitious prosecutors and populist politicians feel over the difficulty in sending criminals to prison. But hard cases make bad law. This is a good example of that axiom.

Plea-bargaining is effective because of four salient features of American justice: the exceptional severity of punishment; the justified terror of what might happen in prison; the uncertain outcome of fighting cases before juries; and the possibility of obtaining a far lighter sentence by agreeing to pleas of guilty.

In the case of the NatWest three, the accused faced the possibility of up to 35 years in prison for their alleged offences. It is a reflection of the gulf in culture that has grown up between the US and the UK that what are in effect life sentences might be imposed for their alleged involvement in helping Andrew Fastow, then Enron’s chief financial officer, defraud Enron.

Such a sentence would be far longer than all but the tiniest proportion of murderers could expect to serve in the UK. Yet, apparently, it is regarded as perfectly reasonable in the US. Nor is this all. A sentence in a US prison, particularly for middle-class men, is likely to be entry into a lifetime of torment. Indeed, a few cynical Americans responded to complaints about what happened to Iraqi inmates in Abu Ghraib by arguing that it could not truly be torture since it was no worse than what might happen to inmates of a US prison.

Now imagine that you might face such a sentence if found guilty. Imagine, too, that you believed yourself innocent of all charges, but recognised the great complexity of the case and the ease with which a prosecutor might twist evidence against you before an uninformed (perhaps prejudiced) jury. You might suppose you had a one-in-five chance of being found guilty. That would be particularly plausible if you had run out of financial resources and so were unable to retain a first-rate legal team. What would you do if the prosecutors offered a plea bargain, under which you would serve just 37 months in prison in your home country (and pay $7.3m in restitution to the Royal Bank of Scotland, now the owner of NatWest)?

The answer is that most people would plead guilty, not because it was true but because it is what any risk-averse human being would do.

To my mind, this system is tantamount to extracting confessions of guilt under a form of psychological torture. That torture consists of the reasonable fear of being found guilty and fear of the length of time one might then serve in prison and of what might happen while one was there. All but exceptionally brave people will confess to almost anything to escape even the possibility of torture. In the same way, the majority of people would surely confess to almost anything to avoid the possibility of spending the rest of their lives in prison. Recognition of the meaninglessness of confessions extracted under threat of torture was the main reason civilised jurisdictions abandoned its use. The same objection applies to pleas of guilty made under the kind of plea bargaining employed in the case of the NatWest three.

Let me be clear: I am not asserting that the men are innocent. But the fact that they have made a plea of guilty does not prove their guilt. It could just as well show that the US judicial system has a potent machine for extracting pleas of guilty to lesser charges. In this way, it has also effectively eliminated a presumption of innocence. It is, for this reason, not a system with which the UK should retain its current extradition arrangements. At the least, the US must be asked to make a prima facie case. The conclusion is that simple.

Le ministre des Finances allemand et le pb des "subprimes" américains.

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Ilker

  01/12/2007

Le ministre des Finances allemand s’en prend violemment aux banquiers

Le ministre allemand des Finances Peer Steinbrück s’en est pris en termes violents à la direction des banques allemandes, qu’il accuse d’avoir sous-estimé les conséquences de la crise américaine du subprime et de ne pas bien faire son travail.

“Il y a des dirigeants de banque qui ne sont pas à la hauteur de ce qu’ils font”, a déclaré le ministre social-démocrate, connu pour ne pas mâcher ses mots, dans un entretien au Financial Times Deutschland allemand et au Financial Times britannique publié vendredi.

“L’arrogance des managers dont nous avons été témoin, d’après le principe +nous sommes plus malins que les autres+, a fini par un désastre”, a poursuivi le ministre.

Ses propos interviennent alors que le secteur bancaire allemand a dû jeudi voler une nouvelle fois au secours de son enfant malade, la banque IKB, qui se débat depuis plusieurs mois dans la tourmente des prêts hypothécaires à risque américains. Après 3,5 milliards d’euros cet été, ce sont 350 millions d’euros supplémentaires qu’un consortium de banques va mettre à disposition de l’établissement.

Les conséquences de la crise qui a secoué les marchés financiers américains en juillet et août sont loin d’être digérées en Allemagne. “Il est remarquable de voir le temps dont ont besoin certains dirigeants pour évaluer les risques correctement”, a commenté le ministre, “depuis fin juillet plusieurs mois sont passés et certains managers ne savent toujours pas combien cela va leur coûter”.

http://www.boursorama.com/infos/actualites/detail_actu_marches.phtml?news=4885258

Blowback

Article lié :

miquet

  30/11/2007

Blowback From Moscow

by Patrick J. Buchanan

Our next president will likely face a Russia led by Prime Minister Vladimir Putin, determined to stand up to a West that Russians believe played them for fools when they sought to be friends.

Americans who think Putin has never been anything but a KGB thug will reject accusations of any U.S. role in causing the ruination of relations between us.

Yet the hubris of Bill Clinton and George Bush I, and the Russophobia of those they brought with them into power, has been a primary cause of the ruptured relationship. And the folly of what they did is evident today, as Putin’s party, United Russia, rolls to triumph on a torrent of abuse and invective against the West.

Entering the campaign’s final week, Putin, addressing a rally of 5,000, ripped the Other Russia coalition led by chess champion Gary Kasparov as poodles of the United States, “who sponge off foreign embassies ... and who count on the support of foreign resources and governments, and not of their own people.”

“Those who oppose us,” roared Putin, “don’t want our plans to be completed. They have completely different tasks and a completely different view of Russia. They need a weak, sick state, a disoriented, divided society, so that behind its back they can get up to their dirty deeds and profit at your and my expense.”

Putin is referring to the time of the “oligarchs” of the Yeltsin era, who looted Russia when its state assets were sold off at fire-sale prices.

Putin is also accusing his opponents of attempting to use the Western-devised tactics of mass street protests to bring down his government. “Now that they have learned some things from Western specialists and tried them in the neighboring republics, they are going to try them on our streets.”

Putin is talking here about the “color-coded” revolutions that the U.S. and NATO embassies, the National Endowment for Democracy, and allied foundations and front groups engineered in Ukraine and Georgia. Governments tilting toward Moscow were dumped over and pro-Western regimes installed – to bid for membership in NATO and the European Union.

Blowback is a term broadly used in espionage to describe the unintended consequences of covert operations. The revolution that brought the Ayatollah to power is said to be blowback for the U.S.-engineered coup to overthrow Mossadegh in 1953 and install the Shah.

The nationalism and anti-Americanism rife in Putin’s Russia is blowback for our contemptuous disregard of Russian sensibilities and our arrogant intrusions into Russia’s space. How did we lose a Russia that Ronald Reagan and Bush I had virtually converted into an ally?

We pushed NATO into Moscow’s face, bringing six ex-Warsaw Pact nations and three ex-Soviet republics – Lithuania, Latvia and Estonia – into our Cold War alliance and plotted to bring in Ukraine and Georgia.

We financed a pipeline from Baku through Georgia to the Black Sea to cut Russia out of the Caspian oil trade. After getting Moscow’s permission to use old Soviet bases in Central Asia to invade Afghanistan, we set about making the bases permanent. We pulled out of the Anti-Ballistic Missile treaty over Moscow’s objection, then announced plans to plant ABM radars in the Czech Republic and anti-missile missiles in Poland.

Putin has now responded in kind, and who can blame him?

As we tried to cut him out of the Azerbaijan oil with a Black Sea pipeline, he is slashing subsidies on Ukraine’s oil and colluding with Germany on a Baltic Sea pipeline to cut Poland out of the oil trade with Western Europe.

As we moved our alliance and bases into his front and back yard, he has entered a quasi-alliance with China and four nations of Central Asia to expel U.S. military power from the region.

As we abandoned the ABM Treaty, the Duma, in November, voted 418 to 0 to suspend participation in the Conventional Forces in Europe Treaty, which restricts the size of the Russian army west of the Urals.

If we recognize Kosovo as independent, at the expense of Serbia, Putin is now threatening to recognize South Ossetia and Abkhazia, the breakaway republics of Georgia, and Transneistria, claimed by Moldova.

Where we backed the Orange Revolution in Ukraine and the Rose Revolution in Georgia, Russia backs its favorites in Kiev and supports street protests in Tbilisi against the pro-American regime of Mikhail Saakashvili, whom the United States now seems powerless to help.

It was not NATO that liberated Eastern Europe. Moscow did – by pulling out the Red Army after half a century. Why, then, did we think moving NATO into Eastern Europe was a surer guarantee of their continued independence than the goodwill of Russia?

Many among our foreign policy elite now talk of a Second Cold War. John McCain wants Russia kicked out of the G-8.

But do we not have enough enemies already that we should add the largest nation on earth?

November 30, 2007

Patrick J. Buchanan [send him mail] is co-founder and editor of The American Conservative. He is also the author of seven books, including Where the Right Went Wrong, and A Republic Not An Empire.

Copyright © 2007 Creators Syndicate

ALERTE AU VENEZUELA

Article lié :

hannes

  30/11/2007

ALERTE AU VENEZUELA
http://www.michelcollon.info

LES MEDIAS EN GUERRE CONTRE CHAVEZ ?
MICHEL COLLON

Les prochains jours, vous allez être bombardés d’informations sur le Venezuela. A sens unique. Face à toute guerre médiatique, cinq réflexes :

1. Les images, ça se manipule.
2. Ai-je entendu l’autre version ?
3. Nous dit-on les intérêts économiques des deux camps en présence ?
4. Nous explique-t-on pourquoi les uns sont riches, les autres pauvres ?
5. Qui a-t-on refusé d’inviter ?

Voici cinq articles pour aider à l’autodéfense…

Gaël Brustier et Christophe Ventura - Au sujet de l’article « L’opportunisme humanitaire de Chávez» publié par Libération
Bernard-Henri Lévy et ses amis sont des menteurs. La preuve.
Libération*

James Petras - Baduel candidat au rôle de Pinochet vénézuélien
Pour Petras, Chavez fait face à une nouvelle menace de coup d’Etat militaire
Baduel

Salim Lamrani - Pourquoi Reporters sans frontières s’acharne contre Hugo Chavez
Chavez muselle la presse, paraît-il ? Très bien, allons voir!
RSF

Romain Migus - Réforme Constitutionnelle et Déstabilisation : Chronique(s) d’une Révolution en marche
Pourquoi nous cache-t-on ce qu’il y a vraiment dans ces projets pour la Constitution ?
Constitution

Romain Migus - Vivez en direct le référendum populaire sur la Réforme Constitutionnelle au Venezuela
Depuis Caracas, mon ami Romain vous propose une radio Internet pour contrer la désinformation
Radio

TENAZA : OPÉRATION DE LA CIA AU VENEZUELA

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hannes

  30/11/2007

Jeudi 29 novembre 2007
TENAZA : OPÉRATION DE LA CIA AU VENEZUELA

Un MÉMO de la CIA révèle les dessous des activités menées au Venezuela par les forces d’opposition internes et externes pour contrer le référendum sur la réforme constitutionnelle, prévu pour le 2 décembre 2007, et pour renverser le gouvernement élu du Président Hugo Chavez. Ce MÉMO, rédigé le 20 novembre 2007, par le responsable de la CIA à l’ambassade des États-Unis au Venezuela, Michael Middleton Steere, a pour destinataire le Directeur général de l’Agence à Washington, Michael Hayden. Bien que hautement confidentiel, ce MEMO s’est retrouvé entre les mains de personnes qui ont jugé bon d’en faire la diffusion la plus large possible. (http://www.aporrea.org/tiburon/n105390.html )
L’auteur de la note fait le point sur l’OPÉRATION TENAZA et aborde les dernières étapes à franchir pour atteindre les objectifs visés.
D’ABORD IL RELÈVE LES CONSTATS
1.  La tendance des intentions de vote se maintient. Selon les derniers sondages réalisés tant à l’interne qu’à l’externe, le OUI a l’avantage de 10 à 13 points (57% OUI, 44% NON).
2.  Les analyses confirment que cette tendance est irréversible à court terme, c’est-à-dire qu’elle ne peut être modifiée de façon significative d’ici le référendum du 2 décembre.
3.  La campagne publicitaire promue conformément au Plan ainsi que les désertions du camp gouvernemental de certains hauts dirigeants (Podemos-Baduel, par exemple) ont fait perdre à Chavez 6 points par rapport à son pourcentage initial. Ceci dit, de telles tendances ont atteint leur plancher.
4.  Il faut s’en tenir au PLAN TENAZA pour lequel divers scénarios peuvent être envisagés.
LES SCÉNARIOS
1.  Empêcher le Référendum ou, à défaut d’y parvenir, en méconnaître les résultats.
Selon l’auteur, il faut continuer à renforcer les activités qui visent à empêcher la tenue du référendum tout en préparant en même temps les conditions pour en contester les résultats. Sur ce dernier point, il est important de créer dans l’opinion publique le fait que le NON est en nette avance sur le OUI et qu’il est assuré de la victoire. C’est en ce sens qu’il faut continuer à travailler avec les maisons de sondage contractées par la CIA.
2.  Il faut discréditer autant faire se peut le Conseil national électoral (CNE) de manière à créer dans l’opinion publique la sensation de fraude.
En ce sens, il faut semer le doute sur l’inconsistance du registre électoral permanent et la non fiabilité des équipements mis en place pour le vote. Des contacts avec une équipe d’experts universitaires permet de compter sur leur prestige académique, pour donner de la crédibilité à la fraude par la manipulation des données de la part du CNE entre autres au moyen d’encre spéciale et en intervenant dans le maniement des machines de votation.
3.  Il faut engorger le plus possible les bureaux de votation en encourageant les militants du NON à voter puis à rester sur place : VOTE ET RESTE.
Cette action produira une implosion qui permettra l’exécution de la directive prévue dans l’Opération Tenaza.
4.  Il faut commencer à donner de l’information sur les résultats du vote dans les premières heures de l’après-midi, utilisant les sondages préliminaires déjà disponibles.
Telle que planifiée, cette opération requière une coordination avec les médias de communication au niveau international.
5.  L’implantation sur le territoire national de groupes de protestation préparant au soulèvement d’une partie substantielle de la population
La conduite de ces scénarios n’est pas sans comporter des risques politiques, d’autant plus que les groupes participants ne sont pas tous unanimes sur les actions proposées. Primero justicia et Nuevo tiempo ne partagent pas la stratégie présentée par la CIA alors que Comando national de la résistance et Action démocratique participent à toutes les étapes.

LES TÂCHES IMMÉDIATES DE LA PHASE FINALE
L’empêchement du référendum, la dénonciation d’une fraude électorale et les manifestations de rues devront compter sur des initiatives ponctuelles pour assurer le succès de l’opération. Le MEMO en fait une liste que nous pourrions résumer ainsi :
1.  Un effort diplomatique soutenu pour isoler toujours plus Chavez sur la scène internationale.
2.  Travailler à l’unité des forces de l’opposition et chercher des alliances entre ceux qui vont s’abstenir de voter et ceux qui vont voter NON.
3.  Augmenter la pression par des manifestations de rue dans les jours précédant le référendum.
4.  Soutenir avec insistance la propagande contre le régime.
5.  Exécuter les actions militaires d’appui aux mobilisations et aux actions d’occupation.
6.  Mettre en place les dispositifs opérationnels des forces installées à proximité du territoire vénézuélien;
7.  Assurer l’appui des équipes externes en provenance du « pays vert et bleu, est coordonné;
8.  L’action maritime de « bleu » est prévue et les frontières avec « vert » aux endroits déterminés sont libres de passage.
LISTES DES TÂCHES DÉJÀ RÉALISÉES
A) Des rencontres avec des étudiants, des professeurs et recteurs d’universités privées ont permis d’en arriver à un accord pour qu’ils s’incorporent organiquement aux initiatives de la CIA avec pour objectif l’expulsion de Chavez. Le groupe Bandera roja a été l’un de ceux qui a appuyé le plus l’action directe de rue contre les institutions : CNE, LE TRIBUNAL SUPRÊME DE JUSTICE et LE PALAIS MIRAFLORES.
B) Un des objectifs de l’Opération Tenaza est de contrôler, dans un lap de temps de 72 à 120 et avec l’appui massif des citoyens mécontents, une partie du territoire ou des institutions de manière à permettre l’intervention militaire et sa proclamation d’autorité. L’auteur précise que tous les secteurs ne participent pas à cette opération. Il est donc nécessaire de travailler à forger une plus grande unité. La découverte d’un commando et de l’arsenal militaire à leur disposition en a ébranlé plusieurs.
C) Les meilleurs succès ont été obtenus dans le secteur de la propagande et des opérations psychologiques prévues au Plan en cours. Les apports des réseaux privés nationaux, de la Société interaméricaine de presse (SIP) et des agences internationales ont été déterminants. Enfin il importe de préciser, dit l’auteur du MEMO, que des 8 M$ qui ont été transférées, il n’en reste que très peu, la grande partie ayant été utilisée pour la propagande, la publicité et pour quelques unes des organisations de couverture.

Oscar fortin
Québec, le 28 novembre 2007
http://humanisme.overblog.com

Paul Craig Roberts

Article lié : “(Very) Blue Mood”

Stephane

  29/11/2007

J’avais rencontre chez lui, le dernier des economistes de l’ecole autrichienne, a Cannes, un venerable monsieur, tres aimable, qui nous avait recu chez lui. On avait discute pendant 2 heures, mon pere etait venu aussi, curieux de qui j’allais voir. Vous connaissez peut etre, le docteur Richebächer

http://www.dailyreckoning.com/LP/Richebacher.html

J’etais alle le voir, car il tenait le meme discours qu’un ami a moi, passione de finance, qui me parlait il y a 3 ans deja de Fanny May et Fredie Mac…

Le Dr Kurt Richebächer est le seul economiste a ne pas s’etre voile la face…

Paul Craig Roberts

Article lié : “(Very) Blue Mood”

Stephane

  29/11/2007

Vous devriez regarder un film qui s’appelle The Moneymasters.

http://www.themoneymasters.com/synopsis.htm

http://video.google.com/videoplay?docid=-515319560256183936

Vous apprendriez bien des choses, notemment ce que pensent Ron Paul et Paul Craig Roberts.

Il ne tient qu’a vous.

Paul Craig Roberts

Article lié : “(Very) Blue Mood”

Stephane

  29/11/2007

Je lis PCR depuis un petit bout de temps. Je lui avais meme ecrit il y a un peu pres un an de cela, suite a un article ou il parlait de 911 en le decrivant suivant la ligne officielle. La realite de 911 ne l’avait pas encore rejoint. Sa psychologie resistait et je lui avait envoye quelques liens sur des ressources bien connues relative a 911 (Webster Tarpley, In Plane Sight, Loose Change, etc..). Un peu comme DeDefensa aujourd’hui qui rechigne. Mais ne sourions pas du derisoire. Il est symptome du vivant. Or, depuis, PCR a bien change. Je ne pretend pas en etre la raison. Mais cela fait plaisir de voir que sa comprehension de 911 a maintenant rejoint celle de Webster Tarpley. Au souvenir de l’email que j’avais recu de lui, PCR est un homme qui a du avoir du mal a ouvrir les yeux sur 911. Mais il les a ouvert. Je suis donc revenu vers ses articles.

L'un des deux jumeaux

Article lié : La possible transmutation de la crise BMDE

CdC

  28/11/2007

est encore en “vie”.
Sa fonction de Président peut-elle constitutionnellement bloquer l’action du gouvernement?
Et surtout, peut-elle être le levier d’une “mouvement démocratique” antivote populaire?

En Tchéquie, le mouvement antiBMDE a lancé la mode, le jour anniversaire de l’insurrection des étudiants contre le régime communiste, du Boycott des USA. C’est ça qui est “in”.

Traduction systématique s'il vous plait !

Article lié : Humeur noire, avec le spectre de la Grande Dépression

blablalain.skynetblogs.be

  28/11/2007

J’apprécie votre site pour l’originalité des articles qui y sont traités , malheureusement , mon anglais laisse à désirer ..Pourriez vous systématiquement traduire l’entièreté de ceux -ci , cela serait un gain de temps pour moi et je risquerai moins de mal interpréter certains faits .. déjà merci

Alain D