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Article : Erdogan-Tillerson : Lost in Translation 

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Une autre

Spiridon

  19/02/2018

Non ce n'est pas necessairement par naïveté ni par excès de confiance dans le ministre d'Erdogan que Tillerson est venu "seul". Pour avoir pratiqué de nombreuses négociations multilingues,  je puis confirmer qu'une interprétation fine et fidèle, indépendante de l'autre partie est de grande importance. Souvent ; la plupart du temps même.  Mais pas toujours! Tout dépend du contenu et de la position relative des deux interlocuteurs. Dans le cas présent,  de l'absence d'interprète on peut déduire justement cette position relative. Tillerson pouvait bien sûr "écouter" la partie adverse, via le ministre(d'où les 3h), mais il n'avait aucune information ambiguë à transmettre. Il n'y a pas mille façons de dire "nous ne quitterons pas Mandjib, pas maintenant".  Difficile de rendre la position plus douce ou plus violente, même à un ministre doué de la plus partiale rouerie.

Win in Cinema !

Georges Dubuis

  19/02/2018

Les virtualistes se heurtent à des etats nations en formations ou déformations, construits sur du sable ,  des champs de pétroles et QG des religions(j'écrivais cela en 2005 sur mon mur à Hampstead "prenez 3 grandes religions faites les revenir suer un champ de pétrole, temps de cuisson~2000 ans). Comment traduire ces maux du bordel…. casino où le seul sens est bluff comme au poker, bluffer étant intransitif quoique certains le font sans le savoir disait déjà.....jésus. Laissons pisser le mérinos  disait Louis XIV après avoir été arrosé par cette bête, cadeau d'un turc si je ne m'abuse. Demain Constantinople ..... ça c'est effrayant pour les amères ricains. Temps bibliques présents, la mère d'une tranchée s'ouvre ( de la Pologne à l'Iran) entre fantaisie & rigueur, le singe et l'ours ! un inédit de La Fontaine et ses sources.