Forum

Cette idée de trou dans le continuum de l espace temps est tout à fait convenable métaphysiquement . L effet etrange vient de ce que celà correspond à des faits trés concrets bassement terrestres .
Le premier architecte /batisseur celebre pour ses "trous" fut Bouygues , qui romput avec cet élan vers le ciel qu'ont incarné , cathedrale , tour Eiffel , gratte-ciels . Des les cathedrales les murs des plus hautes sont tenus par des "fers" , contraire à la tradition ., un gratte ciel c'est une tour Eiffel enrobé de beton , avec garniture de briques ou non ou autres .  Bouygues inversait donc completement tout çà .  OR ....pour Notre Dame , existait dejà du temps de Hollande un projet ficele , de creuser sous la cathedrale . S est faite une location du parvis par Auchamp et  plus gros business , pour creuser une entrée , faire un ensemble commercial et touristique sous la cathedrale comme pour le Louvre . L idée de pyramide du Louvre reprise par un toit en verre ou autre , dominant la cathedrale et la transformant du coup elle meme  en " trou"" , vue de haut .
le sous sol Parisien qui est dejà un vrai gruyére de calcaire ( autant de rues et salles en dessous de la surface qu'au dessus ), se prete particuliérement à ce genre de choses .
Cette intuition de trou est vraiment à creuser .

Projet ficelé pour les JO .

Si le français ne suffisait pas. Se suffire à lui-même. Dans la réalité de ses mots.
L'expression est joyeuse : what else. Et si dramatique si l'accentuation est de mise.
Je l'accepte pour l'atmosphère de notre temps décadent.
La narrative va et vient comme une valse à trois temps : d'un incendie à un attentat, d'une belle parole à une autre iconoclaste ( ennemi de toute tradition, qui cherche à faire disparaître ce qui est Passé).
En cette ère diablement diabolique, il plaisante beaucoup. J'en reviendrai donc encore au Passé.
Et plus précisément à la symbolique développée dans le film d'Andreï Tarkovski :  « Andreï Roublev ».
(notes empruntées au site Dyptique crossing au sujet du film)
« Comme il s’agit d’un peintre d’icônes, j’aborde tout de suite la signification de ce mot.
L’icône est un moyen symbolique de fabriquer une LIAISON entre le visible et l’INVISIBLE. L’icône est comme un signe de reconnaissance. Elle représente l’invisible dans le visible.
Le Peintre a été choisi pour voir l’invisible, l’icône représente une petite image. [ICOINE, ANCONE], EIKONE en Grec Byzantin : image exprimant un dogme. C’est l’image idéale, le symbole idéal.
Elle essaye de représenter le Divin, ou encore de FIXER l’Esprit dans l’image. »

Si la dialectique « narrativiste » évoquée si souvent chez dedefensa est à l'appel comme au lever des couleurs avant la bataille finale, voilà de quoi raviver la flamme!
Nous sommes confrontés ( et je suis du peloton défensif P.G.) à une destruction en bonne et due forme de la Tradition dans son occurrence Méta-historique. On parlait récemment de la destruction de Notre Dame, on peut évoquer celle des Bouddhas de Bâmiyân… Si cela n'est pas la volonté de notre temps avec toutes ses armées décérébrées et sans plus aucune conscience, avec toutes les plus mauvaises raisons qui soient (idéologiques, fanatiques plutôt que religieuses, capitalistiques plutôt que capitalistes, etc…) de vouloir séparer l'homme de son passé, d'où il vient.
La sidération, voilà l'état dans lequel on veut nous placer. Comme l'ombre au sol d'un Hiroshima.2.
Et que les astres nous pardonnent!
Bref : « détruire la liaison entre le visible et l'invisible ».Rompre l'entretien de l' immanence avec la transcendance et la matière et tous les « éons » auxquels on voudrait faire appel. Voilà les maux contre lequels il faut se battre.
J'hésitais à titrer cet article par « le fondeur de cloche ». je m'explique.
Dans le chef d'oeuvre cinématographique de Tarkovski, un chapitre est consacré à la fonte d'une cloche. Cet épisode du film m'a profondément marqué par sa « symbolique ». Allez visionner cela, vous comprendrez.
Le peintre va retrouver la foi (si foi il avait perdue) et la voix après ce moment d'une rare intensité.
Si on a suivi le petit cheminement d'un lecteur, j'en viens au tailleur de pierre, au créateur de vitraux, et à la mystique (« haute » « intuitive ») inhérente à toute création qui nous dépasse.
 Lors d'une fonte de cloche intervient une multitude d'ingrédients : « intraitabilité » de la matière, immanence et transcendance, foi, et toutes les facettes de l'humain ; peur, joie, espérance, pleurs,..
 Avez-vous essayé de tailler une pierre ? Moi , oui ,et là j'ai compris que la volonté ne suffit pas.
Travailler une « matière » quelle qu'elle soit, demande une très grand humilité et un don transmis par une puissance supérieure à nous-même.
What else!
 A placer devant « La néantisation du passé et l’entropisation du présent en un futur diabolique figé dans la catastrophe »  pour survivre.

Tout d'abord une impression " je veux être aimé non pour ma culture non pour mon intelligence mais pour mon corps".

Je me rappelle un film canadien " les invasions barbares" un film canadien réalisé au decours de la chute des tours jumelles. dans ce film, un penseur  lors d'un journal télévisé ( remarquez ici la profondeur du sujet) parlait d'invasions barbares.

Mais s'agissait il de l'invasion ou évasion barbare.

Dans notre monde moderne, dans la psychologie moderne, de type arianiste ou hegelienne ou Rousseauiste, seul l'esprit est pris en compte. Alors qu'est ce qu'un barbare selon le langage mal compris de Platon. Il s'agit d'un esprit qui ne comprend pas le langage de la cité, de la loi de la cité.

Le barbare est interieur à la pensée du faux citoyen, de celui qui n'a que l'apparence de citoyen; de celui qui, par un faux langage fait croire aux autres qu'il oeuvre pour le bien de la cité mais qui en fait "oublie" le bien commun. Un loup deguisé en agneau qui en troupeau va dépecer tous les agneaux silencieux. Le silence des agneaux: encore un film inversé.

Effectivement l'avenir du groupe humain qui 'à d'humain que le mot est peut être de devenir star mais encore faudrait-il qu'il sans donne les moyens qui ne peuvent être que matériel.

PhG¹:« Il suffit d’un mot, d’une phrase, d’une citation à placer en tête, la chose inspiratrice qui ouvre la voie et là-dessus se déroule le texte, à son rythme, entièrement structuré, avec sa signification déjà en forme et en place. Je n’ai rien vu venir et j’ignore où je vais, mais j’ai toujours écrit d’une main ferme et sans hésiter… et toujours, à l’arrivée, il y avait un sens, une forte signification, le texte était devenu être en soi… C’était un instant de bonheur fou. »                                         

PhG dans ses oeuvres, là où, selon moi, il excelle vraiment, là où l'Historicien (H majuscule) survole tous les historiciens besogneux qui meublent les universités:

"Quoi que cette appartenance à cette communauté (des historiens] n'ait guère d'importance ontologique en soi pour moi, (...), je ne peux cacher la jubilation que j'éprouve à ne pas exister aux yeux de l'imposture de l'histoire-Système; (...)"²

Bonheur fou et jubilation en prime?

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I. Quelques remarques

- Je relève une analogie phallique entre 9/11 (english order) et 15/4 (ordre français): l'effondrement des deux (trois?) tours  de Manhattan et l'effondrement de la flèche de NDP. Avec cette différence cependant que l'effondrement est venu par l'extérieur à NY (les vions venus du ciel) alors qu'il est venu par le feu intérieur, en quelle sorte par la terre, à Paris. Effondrement dans un nuage de poussière à NY (consumation/entropisation) contre consumation/purification par le feu à Paris.

- En lisant la fiche Wikipédia de NDP, j'ai noté que la première flèche a été érigée après la première inauguration (au XIIIème?) et que cette flèche a été démontée à la grande révolution (et remontée par Viollet le Duc en plein triomphe Yang du choix du feu). Comme si NDP ne voulait pas de ces symboles phalliques.

- Alors que PhG voit dans les deux tours de NDP des colonnes qui bornent l'entrée des lieux sacrés, j'y vois plutôt des mamelles( sacrées), avec les cloches pour tétons; bref, j'y vois un symbole Yin.


II. Les mouvements tectoniques en présence

- PhG voit nettement se dessiner l'affrontement à venir comme étant celui entre la Tradition et la Modernité ("Cette situation immensément complexe dans les détails et les expertises des pédants est devenue d’une simplicité cristalline dans ses enjeux."). Moi de même. Mais je vois également se dessiner un autre affrontement: celui du Yin et du Yang, celui de la Terre et du Ciel, celui du Féminin et du Masculin (et là le symbole est pour moi très clair: Notre-Dame va faire peau neuve, elle va revenir à sa vocation première qui est Yin).

- Rome ville éternelle, cédant sa place en Europe à Paris ville symbole?


III. Généralités sur les mouvements tectoniques

PhG: "(...)  une sorte de “danse de Saint-Guy” des sociétés civiles en guerre civile chaotique permanente (...)".

Je crois -là j'y vais complètement au flair- que Thom qualifie cette sorte de "danse de Saint-Guy" de catastrophe généralisée. Il y a un chaos catastrophique dans les deux cas: chaos maléfique et entropique pour le Système, et chaos à terme bénéfique à NDP.

Pour Thom en effet, en Biologie, toute morphogénèse non triviale, tout changement de forme un tant soit peu compliqué comme celui qui débute par la fécondation de l'ovule par le spermatozoîde, commence par une catastrophe silencieuse qui est bénéfique en ce sens que c'est une période de gain de compétence, chaos bénéfique donc-peut-être le rôle des GJ?-. (Cf. "Une théorie dynamique de la morphogénèse", MMM, 1ère ed., p.267³)

Cette impression de "danse de Saint Guy" je l'ai eue tout récemment lors de la confrontation des leaders des partis politiques à la TV (LCI?) la veille du "show" d'Emmanuel Macron (Kaa fascinant son auditoire): chaos total -gradient quasiment nul diraient les scientifiques-, mais chaos nécessaire car c'est pendant cette période que se comblent par entropisation les anciennes cuvettes de potentiel -les actuels partis politiques- pour en voir apparaître -ailleurs (prémisses chez les GJ?)- de nouvelles. (PhG en voit deux: La Tradition et la Modernité; j'en vois quatre⁴ puisque j'y rajoute les hommes et les femmes.)


¹: http://www.dedefensa.org/article/le-desenchantement-de-dieu

²: "La Grâce de l'Histoire", tome II, p.424

³: Il faut s'accrocher -moi au moins-...

⁴: Pour moi les femmes sont fondamentalement -"génétiquement"- plus conservatrices (XX) que les hommes qui sont, eux, plus évolutionnistes -plus "progressistes"- (XY).

En haut des cathedrales souvent  , des statues , non de saints dont on nous a parlé , comme mises a l' abri . Mais du diable et du maitre architecte agrementée de gargouilles monstrueuses .
Ce qui represente bien à mon sens , l ordre réel du monde , le diable en haut dominant , les Saints , souffrant , en bas , presque à notre portée .

Sexuons.

Trou-vagin, féminin donc. Espace¹: féminin. Temps¹: masculin.

Par le vagin arrive -en input- la demi-vie (le spermatozoïde) et ressort -en output- le nouveau-né.

À Manhattan.

On a une forêt de gratte-ciel, phallus tournés vers le ciel et tentant de le féconder. Mais le ciel est infécond. Plus précisément c'est le soleil-Yang qui féconde la terre-Yin de ses photons-spermatozoïdes. Et le soleil a envoyé quelques avions sur Manhattan pour le rappeler aux hommes.

À Paris.

Là c'est le feu qui a détruit le phallus-flèche. Mais c'est un feu qui a pris à l'intérieur, qui vient donc de l'intérieur de la Terre. C'est annonciateur d'une naissance, d'un accouchement (la toiture de NDP qui flambe et qui dégage la nef, c'est le début de la dilatation du col de l'utérus…).


L'erreur des hommes?

Je pense que de tout temps la fondation d'une ville a été vécue comme une prise de possession d'un territoire délimité; acte doublement Yang -choix du centre puis fixation des limites-.

J'ai fouillé sur la toile pour savoir comment se fondaient les villes antiques (j'en avais une petite idée après avoir lu "Éloge des frontières" de Régis Debray). Et je suis tombé sur (²) qui commence par:
"La fondation d'une cité romaine est bien évidemment un acte politique mais c'est aussi un acte religieux. La fondation d’une ville romaine se déroule donc selon des rites bien précis. Il faut tout d'abord sélectionner un lieu d'implantation pour la ville. Des augures (des prêtres) observent des signes dans le ciel afin de repérer un lieu bénéficiant d'une protection divine.
Lorsque les signes divins apparaissent, l'emplacement de la future ville est choisi à l'endroit même où les signes se manifestent. Les dieux sont censés inspirer le fondateur de la ville et assurer la future cité de leur protection."

Il me semble à peu près évident que les fondateurs de NY n'ont pas fait attention à toutes ces vieilleries d'un autre âge. Mais si les prêtres romains ont fait comme il est dit ici -invocation du ciel-, je me demande s'ils n'ont pas fait une erreur. Car ils n'ont pas invoqué la terre -Gaïa-, ils n'ont pas demandé aux femmes ce qu'elles en pensaient. Un viol, en quelque sorte.

Jacques Attali: ""La plupart des végétaux et des animaux, lorsqu'ils échappent à l'uniformité suicidaire de la scissiparité et de la parthénogenèse, se reproduisent par la mise en commun de leur patrimoine génétique; en général, le mâle n'est qu'un simple instrument de fécondation de la femelle, qui disparaît une fois son rôle rempli. Dans quelques espèces animales plus sophistiquées, les rôles s'équilibrent; puis le genre masculin en vient à dominer le féminin."

(Jacques Attali "Amours" -sous-titré "Histoire des relations entre les hommes et les femmes-.)

Amen.





¹: Je tire ça de Guénon (Le règne de la quantité et les signes des temps"), chap. XXI eI XXIII, en remplaçant Abel par Abelle.

²: https://sites.google.com/site/civilisationromaine/la-ville-romaine/fondation-et-organisation-de-la-ville-romaine

S'il est loisible de lire dans l'incendie de la charpente de Notre-Dame un signe, et c'est ce que je soupçonne, et c'est ce à quoi je vais me risquer, en dépit de toute ma formation scientifique au "doute méthodique" - que je ne renie en aucune façon, mais comme toute chose humaine elle a son domaine de validité, et ce domaine seulement, pour le reste il faut savoir s'en défaire - ce signe est entièrement positif.

Je le mets en rapport avec cet autre signe qui peut être lu dans les tempêtes de fin décembre 1999. Impérieuses, destructrices, et survenant précisément à la veille du passage symbolique à l'an 2000, elles ne pouvaient être comprises que comme un signe de l'arrivée d'autres tempêtes historiques après l'entrée dans le nouveau millénaire. Rappelons que le moulin de Valmy notamment - ce symbole de la République - fut entièrement balayé.

Mais voici l'extraordinaire dans l'incendie de Notre-Dame : c'est que par une espèce de miracle de courage et de compétence des soldats du feu, et encore comme s'il avait été sous la protection du Ciel, rien de l'essentiel n'a été perdu.

Ni les tours avec leurs cloches. Ni la structure de l'édifice. Ni les magnifiques rosaces. Ni les reliques, et surtout la couronne d'épines qui serait celle de Jésus sur la croix. Ni même le coq du sommet de la flèche, contenant quelques autres reliques de moindre importance ! Entrant les premiers dans la cathédrale après avoir éteint l'incendie, les pompiers ramenaient cette photo de la Croix demeurée debout sur l'ancien autel, dorée et éclairée par un rayon de lumière, symbole de victoire comme au matin de Pâques.

Le jour même de l'incendie, les voix s'élevaient, les volontés se rencontraient et s'affermissaient : nous réparerons.

L'aurore boréale "sanglante" de la nuit du 25 janvier 1938 annonçait une grande guerre et beaucoup de sang versé.

La tempête de 1999 annonçait des temps d'épreuve. Le jugement du Ciel paraissait suspendu : la tempête de l'Histoire emporterait-elle tout ?

L'incendie de 2019 annonce la grâce d'En-Haut. A cause du courage de quelques-uns, à cause de la réponse d'amour de la multitude, l'essentiel sera préservé et restera debout malgré toutes les épreuves - qui certes ne semblent pas prêtes de leur fin, ni même sans doute de leur apogée

bonjour,
En regardant les images télévisées en direct de l'incendie de Notre Dame, je me suis immédiatement senti transporté le 11 septembre 2001 ! Surtout lorsque la flèche s'est effondrée, j'ai alors revu l'antenne du WTC disparaitre et littéralement de volatiliser.
Les images du public sur place sidéré fut marquante aussi.
Dans votre article, il manque un point essentiel dans votre comparaison avec le 11.9, il n'y a eu aucun mort !..
 

PhG: "La sagesse, aujourd'hui, c'est l'audace de la pensée."

Il suit que l'amour de la sagesse, la philosophie d'aujourd'hui, est l'amour de l'audace de la pensée.

Thom se proclame philosophe de la nature. Amour et audace, les maîtres mots de cette nouvelle philosophie. Recherche de l'Unité perdue¹. Et cette recherche commence naturellement par la recherche de l'Unité Homme-Femme dans la diversité de l'Homme et de la Femme.

Sexuer sa pensée. Trier les concepts en masculin et féminin. Les marier. Se reculer et voir si cela est bien. Comment? En y prenant du plaisir intellectuel, en ayant un micro-orgasme intellectuel qui vous chuchote "C'est ça". C'est tout.

Il ne faut pas y voir chez moi une quelconque envie de choquer. C'est naturel. C'est tout.

Le paratonnerre-clitoris comme seul symbole phallique sur le nouveau toit de Notre-Dame n'enlève -à mes yeux- rien au caractère sacré de Notre-Dame. Bien au contraire: il montre qu'elle est Déesse, Déesse qui ne peut être fécondée que par Dieu.

(Le continu de NDP-toujours-là-ici-bas fécondé par le flash de la singularité, du discret à l'état pur qu'est l'éclair. Le symbole de NDP fixé sur la pellicule au moment de l'orage…)


¹: Seul progrès qui vaille selon Baudelaire et Maistre (d'après Vouga)

Ondes longitudinales: masculines¹.
Ondes transversales: féminines².

Puissance féminine³.

Cf. mon commentaire "Tsunami féminin" de l'article "Du DeepState à l’État-peu-profond”,
et aussi "En ce jour de Pâques 2019, j'ai rêvé...", commentaire de l'article "Start-up Notre-Dame 2.0".

Que René Thom soit avec nous. Et surtout avec notre esprit…

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Application:

Le dimanche 9 Juin, jour de la Pentecôte, 14 poutres portées chacune par 14 hommes (compagnons du devoir si possible) en costume régional (double symbole phallique hommes+poutres) sur les 14 nationales convergent vers le RPZ, le Rond-Point Zéro, chacune suivie par une vague féminine également en costume régional ou GJ (surf de la poutre sur la vague).

Déferlement simultané à l'heure dite sur le Parvis de Nos Dames.

(Les femmes françaises d'en bas, GJ en tête bien sûr, se relaient alors pour "tenir" le RPZ, en costume régional et/ou GJ bien sûr, jusqu'à la ré-inauguration de NDP (restaurée par les CDD, les Compagnons Du Devoir bien sûr) -le jour de Pâques 2022?-)

Faire plier le pouvoir sur ce point précis de la restauration de NDP (mettre provisoirement le reste en veilleuse?). Reprendre la main sur ce point hautement symbolique avec toute la puissance que donne la légitimité de l'article 2 de la constitution que le peuple français s'est donné: gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple.

C'est à vous de jouer, Nos Dames… Nos "mecs" seront à cette occasion, j'en suis convaincu, vos chevaliers servants.


Remarque: Faire graver chaque poutre de la nouvelle charpente du nom de la commune-d'en-bas sur laquelle elle aura été prélevée et qui l'aura offerte. Faire graver chaque ardoise du nouveau toit au nom du français-d'en-bas qui l'aura offerte. Symboles forts de l'Unité de la Matrie française. Ré-appropriation de sa capitale par le peuple français des régions et d'en bas (et jonction symbolique de deux "France profonde").
 

¹: https://fr.wikipedia.org/wiki/Onde_longitudinale
²: https://fr.wikipedia.org/wiki/Onde_transversale
³: Cf. des images de vagues shallow waters déferlant à HawaÏ ou Nazaré.

J'ai déjà développé un peu ça. C'était avant de penser à une royauté populaire: une reine -et un roi?- élue par le peuple "de base" et qui lui ressemble, une reine pas du tout aristocratique, en un certain sens seulement, une reine genre "Madame sans gêne", une reine à qui on demande "seulement" d'aimer "son" peuple.

Comment avoir un gouvernement par les meilleurs, c'est-à-dire par les aristocrates (définition de l'aristocratie)?

Tout est, je crois, dans le "meilleur"; "meilleur" pour qui? "Meilleur" pour le peuple, bien sûr.

Vox populi, vox dei- c'est au peuple de définir la finalité, les objectifs¹. Car il y a, on le constate tous les jours, une déconnexion quasi-totale entre ceux censés commander et ceux censés exécuter; un soi-disant savoir d'une élite sélectionnée sur des critères de plus en plus délirants, et incapable de diriger quoi que ce soit -sauf exceptions, bien sûr, qui confirment la règle-.

Devant le problème précis qui se pose pour la restauration de NDP, il n'est peut-être pas besoin d'architecte en chef puisque les plans sont connus. Mais ce seront -j'espère- les CDD, les Compagnons du Devoir, qui mettront en oeuvre ces plans. Il me semble donc tout naturel que ce soient à eux d'élire leur architecte en chef, leur "maître d'oeuvre". Car je suis convaincu que ce sont eux, les CDD, qui porteront le jugement le plus pertinent sur l'aristocratie architecturale française car ils les connaissent tous, les architectes, ayant travaillé avec tous (et le meilleur pour eux ne sera pas nécessairement le meilleur pour la macronie ou la hollandie, donc ne sera pas nécessairement l'actue(le?) architecte en chef des bâtiments de France).

Si le peuple français porte le projet CDD, le maître-mot dans l'affaire sera le mot confiance; une relation de confiance s'établira entre le peuple et les CDD. Chargés de cette mission, il choisiront naturellement  eux-mêmes le chef en lequel ils ont le plus confiance.

Tout ce 2.0 pour convaincre qu'il ne s'agit pas seulement de faire plier le pouvoir; il faut aussi appuyer là où ça fait va lui faire mal. Pour faire réaliser ça aux français (et préparer la suite?).


¹: Visiblement -et risiblement si ce n'était dramatique- les actuels objectifs jupitériens ne sont pas les meilleurs et l' "élite" chargée de diriger leur exécution non plus.