Forum

Article : Il y a donc termites et termites…

Pour poster un commentaire, vous devez vous identifier

évolution

tino candela

  05/06/2012

Il y a une sorte de sélection naturelle à l’œuvre :
Ceux (les gouvernements, les nations, le systèmes politiques) qui résisteront à la pathologie de la dissolution serviront de modèles (ou imposeront les leurs) pour la reconstruction qui suivra tôt ou tard.

la corde pour les pendre

Michel DELARCHE

  05/06/2012

Lénine disait que les capitalistes étaient tellement cupides qu’ils vendraient aux révolutionnaires la corde pour les pendre, et il y a un peu de ça dans cette histoire de “termitière” (Milady Cresson avait en son temps comparé les Japonais à des fourmis, d’où je déduis que l’on peut bien, révérence garder, assimiler la Chine d’aujourd’hui à une vaste termitière ultra-capitaliste…)
La cupidité du système militaro-industriel américain est telle que la maximisation de ses dividendes doit désormais passer par une bonne dose de chinoiserie frelatée…
Ceci me rappelle une anecdote récente d’un parlementaire américain qui planchait sur le problème de la dette devant la Commission des Finances du Sénat, ou quelqu’autre cénacle de ce genre,  et qui expliquait, avec un visage impavide à la Buster Keaton, que pour pouvoir financer la défense de Formose con leurs engagements pris de longue date, les USA devraient emprunter davantage à la Chine (rires nerveux dans l’assistance, selon le compte-rendu en anglais dont je ne retrouve malheureusement plus la source)

Source probable de l' anecdote :Bloomberg/Cohan

Dedef

  06/06/2012

U.S. Perfecting Formula for Budget Failure, Says Bowles   By William D. Cohan Apr 30, 2012 12

http://www.bloomberg.com/news/print/2012-04-29/u-s-perfecting-formula-for-budget-failure-says-bowles.html

Erskine Bowles, a true Southern gentleman and co-chairman of President Barack Obama’s erstwhile budget-deficit commission, came to New York City from his home in North Carolina the other night to talk sense about the nation’s perilous fiscal condition.

“I think today we face the most predictable economic crisis in history,” he told an audience on April 24 at the Council on Foreign Relations—an audience that might actually be able to help do something about the problem. “Fortunately, I think it’s also the most avoidable. I think it’s clear, if you do simple arithmetic, that the fiscal path that the nation is on is simply not sustainable.”

Bowles, a Democrat, then laid on the crowd some pretty simple, but devastating, arithmetic. He explained that 100 percent of the tax revenuethat entered the Treasury in 2011 went out the door to pay for mandatory spending—such as Medicare, Medicaid and Social Security—and to pay the interest on our staggering $15.6 trillion national debt.

That means that every single dollar we spent on everything else, including two wars, national defense, homeland security, education, infrastructure, high-value-added research and the like, was borrowed. “And,” he warned, “half of it was borrowed from foreign countries. And that is a formula for failure in anybody’s book.”

Interest-Rate Help
He said the U.S. is now paying $250 billion a year in interest on the debt, and that is only because, mercifully, interest rates are at historic lows. That’s chiefly because investors are more worried about the risk of default by European nations, and because the Fed is doing everything in its power to keep interest rates low. “It’s because we’re the best-looking horse in the glue factory,” he said.

If interest rates were normalized, Bowles said, the annual bill would be $600 billion a year. “We’ll be spending over $1 trillion on interest alone before you know it,” he said. To nervous laughter, he offered the example of the country’s obligation, by treaty, to defend Taiwan in the event that China decides to invade the island. “There’s only one problem with that,” he said. “We’ll have to borrow the money from China to do it.”

etc..

Moscou-Damas-Hillary et les hélicoptères irresponsables

Sébastien Graugnard

  16/06/2012

Juste un autre exemple de la déformation de la réalité pour la rendre politiquement compatible avec la vérité qui conviennent au système.
Dans l’article ci-dessus, on peut relever :
La seule référence “qualitative” imposée pour ces “sources” est qu’elles soient hostiles à Assad et fournissent des éléments directs ou indirects de description évidemment irréfutable d’actions contre les civils, passées ou (sûrement) à venir. Ces pratiques sont partout similaires chez les acteurs principaux du bloc BAO de la crise. Des sources européennes signalent que les échelons juste en-dessous de Lady Ashton font supprimer systématiquement et sans la moindre discussion possible toute nuance de doute ou d’interrogation des services concernés de la bureaucratie européenne impliquée dans la crise syrienne à propos de la validité de cette sorte de “sources”, y compris dans des rapports d’information déjà bouclés.

La même chose est valable pour d’autres sujet dans d’autres pays comme le Japon, fortement impliqué dans le système. Hier, il y avait 11000 manifestant devant la demeure du 1er ministre japonais (chiffre peu élevé pour nous, mais énorme pour des japonais habitué à être docile) pour refuser le redémarrage des réacteurs nucléaires japonais. Hé bien comme la bureaucratie européenne qui supprime ce qui ne lui convient pas, les médias japonais les ont imités en ne retransmettant aucune image ni information de l’évènement ...

Sources : http://ex-skf.blogspot.fr/2012/06/what-kind-of-joke-is-this-japanese-msms.html

Cordialement